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Les histoires coquines.
Toutes les histoires sont écrites par des lecteurs ou lectrices de notre journal, pour que nous les acceptions il faut impérativement qu'elles soient érotique ou porno, qu'il s'agisse d'une histoire, d'un fantasme, d'un rêve, d'une aventure, l'essentiel c'est que le texte soit chaud.  
​Vous pouvez toutes et tous nous en envoyer en y ajoutant une photo pour l'histoire vous recevrez en retour un petit guide sexy. Message sur le contact.
Vous pouvez aussi retrouver plus de 200 histoires de toutes catégories sur la rubrique La librairie coquine

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Histoire envoyé le 24 03 2021 par anonyme

Bagarre chez mes voisins.


D'abord je dois vous dire que je suis fans d'histoires de cul, je suis abonné à la librairie coquine et j'en lit au moins trois par semaine, j'adore ça. J'ai 45 ans je suis marié, je vis dans un petit village des Alpes de Hautes Provence dans un lieu dit ou il à cinq ou six maisons habitées. Quand je ne travaille pas je fais mon jardin qui est mitoyen du maison habité par un couple d'une cinquantaine d'années. Lui est un vrai sauvage toujours prêt à cogner sur tout ce qui bouge. Les flics sont venus déjà plusieurs fois chez lui pour des bagarres dans des bars. Sa femme une blonde bien grassouillette pas très grande, qui est sympa. Souvent je les entend brailler et s'engueuler chez eux quand je suis dans mon jardin. Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé samedi dernier, neuf du matin j'étais entrain de bécher quand soudain j'entends une grosse engueulade dans la maison puis un grand bruit comme un choc et je vois le voisin sortir en gueulant comme un fou, je regarde discrètement car je ne veux rien avoir à faire avec lui, sa femme arrive comme une furie derrière lui en l'insultant et le traitant de tous les mots d'oiseaux, lui fait volte face et lui assène une gifle magistrale, elle bascule dans les rosiers en le traitant de salaud, lui la traite de grosse truie, d'obèse, de grosse pute etc, etc puis il s'engouffre dans sa voiture et disparaît sur les chapeaux de roues. Je regarde médusé, voyant qu'elle ne se relève pas je contourne mon jardin pour aller chez elle, quand j'arrive elle est toujours groggy dans les rosiers, elle pleure à chaudes larmes. Je lui demande si ça va si elle veut que je l'aide. Elle répond oui je peux pas me relever. Elle est habillé avec un peignoir tout ouvert. Quel spectacle. Tant bien que mal et au bout d'un effort monumental j'arrive à l'extraire de sa prison d'épines. Je la tient par la taille plutôt comme je peux, je l'entraîne à la maison. Elle n'arrête pas de gueuler le traitant de connard d'abruti. Je lui dit de se calmer qu'il est parti. Putain elle est lourde en plus elle se laisse aller. Je la traîne comme je peux et la laisse tomber sur le canapé. Je reprends mon souffle, la regarde son peignoir ouvert montre des cuisses boudinées, des poignées d'amour, une culotte comme celle de ma grand mère, des nichons énormes cachés par un sou-tif de couleur foncé. Finalement elle me remarque tire sur son peignoir pour caché ce que j'ai déjà vu. Elle s'assoit je dit merci et ajoute je suis piqué partout quel con ce mec. Puis elle se lève pose un pied sur le canapé ouvre son peignoir et regarde et cherche les épines, heureusement elle me tourne le dos. Elle dit qu'elle en à deux ou trois dans la cuisse et dans le dos. Elle s'en va dans le couloir et réapparaît une minute plus tard elle me dit tu va aider à les enlever je pourrai pas toute seule. Je lui dit non je veux pas d'emmerde s'il revient. Elle répond il est partit jusqu'à demain soir. Elle me montre une pince à épiler qu'elle à dans la main, elle fait tomber le peignoir et me demande de regarder dans son dos ou elle à poser un doigt. Effectivement il y a une épine assez longue qui est facile à sortir. Puis elle s'allonge sur le canapé en enlève deux autres elle même. Ensuite elle demande d'enlever une qu'elle sent avec son doigt mais ne voit entre le genou et la cuisse à l'intérieur. Me voilà donc la tête à moins d'un mètre de son entrecuisse à chercher l'épine et j'en trouve deux que j'ai grande peine à retirer. Elle passe une main partout pour voir s'il en reste, mais apparemment non. Elle se relève et me demande si je veux boire un café, je réponds par l'affirmatif, je la vois partir à la cuisine sans le peignoir. Je ris je suis dans un film x catégorie grosse mégère. Je l'entend qui m'appelle, je la retrouve dans la cuisine elle à ajusté une blouse en tissus léger croisé sur le devant qui laisse voir ses cuisses et ses nichons au moindre mouvement. Elle me remercie de l'avoir sorti de cette position inconfortable. Elle sert le café, elle me raconte ses déboires avec son compagnon qui lui reproche d'avoir grossi comme un cochon de ne rien faire pour maigrir et de s'en foutre complètement. Elle recommence à chialer comme une madeleine. Je la regarde comme un con ne sachant pas quoi faire. Elle s'écroule sur la table pleure de plus belle. Soudain elle pousse un cri aie j'en ai encore une dans le dos. Elle se relève enlève la blouse se retourne pour que je regarde vers la bride du sou-tif là a gauche me dit elle, j'ai beau regarder je ne vois rien, elle décroche alors le sou-tif et met un doigt sur le côté. Ah oui je la vois. Je pars chercher la pince resté au salon et reviens, elle est plié en avant le sou-tif sur les coudes, deux énormes nichons comme je n'en ai jamais vu se balancent au grès de ses mouvements. Je tente de retirer cette chose qui la pique mais elle est entré profondément, enfin a force de gratter et c'est enfin terminé elle se redresse se tâte et me souris je me sens mieux maintenant, elle est face à moi, elle tient dans ses mains le tissus qui normalement devrait emprisonner les deux énormes globes de chair. Elle le pose sur la table et passe ses mains partout sur son corps pour je pense vérifier qu'il ne reste cette fois plus d'épine. Moi à un mètre d'elle je supervise l'opération. Intérieurement je me marre, dans quel situation je suis. Ses mains remontent sur ses cuisses, son ventre, ses hanches, sur ses flancs et sur ses nichons qu'elle se met à malaxer doucement en me regardant. Elle s'avance et me dit vérifie toi même qu'il n'en reste plus, aller fait moi plaisir je te dois bien ça, comme je ne bronche pas elle s'approche me prend une main et la pose sur un sein, elle laisse tomber l'autre, moi comme un con je me mets à passer mes mains partout sur ce corps puis elle se retourne, je continu derrière gentiment elle me guide plus haut plus bas, je m'aperçois que je me prends au jeu que je commence à avoir une érection, et que je n'ai plus envie de m'arrêter, son fessier se colle à moi j'empoigne ses deux nichons et les malaxe elle se met à grogner, sa main vient sur ma bite elle mais tu bande salaud tu as envie de me baiser hein cochon ? Elle se retourne me dégrafe mon pantalon sort mon engin le branle en disant oh il est beau et elle se laisse tomber à genoux avant de me prendre en bouche directement, c'est une vraie gourmande, elle me suce et me pompe magistralement pendant que je m'amuse avec ses gros tétons. Elle y aime elle y va de bon cœur jusqu'au bout elle avale tout, puis se relève et me dit viens la bas on sera mieux. Nous voilà dans la chambre, elle s'allonge sur le lit, je finis de me désaper
elle enlève sa monstrueuse culotte, j'hésite un peu par quoi vais-je commencer je m’agenouille sur le lit, je regarde sa touffe blonde bien frisé et me présente entre ses gros jambons et plonge la tête entre ses cuisses. Elle sent bon, elle devait sortir du bain quand l'histoire s'est passé, l'odeur du savon mélangé à celle de son intimité me déclenche un envie de fou, c'est la première fois que je baiserai une grosse. Mes doigts écartent les lèvres de cette chatte odorante. Ce savoureux parfum me met hors de moi. Ma langue gloutonne lèche et lape cette chatte poisseuse sur toute sa surface, les lèvres sont longues et très développées, le bouton saillant est bien visible, dès le premier contact il sort complètement de son capuchon comme pour me narguer. J’écarte les chairs pour mettre en évidence une vulve bien rouge, toute luisante de cyprine, un fruit très appétissant que ma bouche dévore avec voracité en faisant glousser la grosse. Je m’aperçois à quel point elle mouille facilement, cette grosse chatte bien potelée, et son jus bien chaud s’écoule sur ma bouche tandis qu’elle s’arc-boute sur ses pieds en cambrant bien ses reins. Apparemment, elle n’en peut plus, excitée comme une puce et déjà vaincue après mes léchouilles. Elle doit avoir sacrément envie cette grosse cochonne pour être ainsi troublée. Elle grogne, elle crie, elle éructe. Alors j’insiste un peu et m’acharne sur son bouton turgescent d’envie, avant de descendre avec ma langue le long de sa fente charnue aux parois très humides. Elle s'acharne sur ses nichons. De la bouche de ma partenaire du moment sortent des Non, des Oui, des Oh, des Humm, des ho putain c'est bon!!! visiblement elle ne sait plus où elle est, ni où elle en est, elle se tortille dans tous les sens comme un gros ver ventru, me supplie tantôt d’arrêter, puis l’instant d’après de continuer. La jouissance la torture, je presse ses seins, les triture, je les maltraite, je les malaxe,pince les tétons puis je retourne vers son volcan qui semble fin prêt pour une éruption. La pointe de ma langue passe et repasse alors sur son clito désormais tout dur. Je mordille le bourgeon, elle éclate et éjacule plusieurs jets de jus bien chaud, laisse échapper un grognement de bête en rut puis se met à crier comme une cinglée en tapant des pieds et des mains anarchiquement sur le lit. Si ce n’est pas un orgasme, ça, qu’est-ce que c’est ? J’essaie de le prolonger le plus longtemps possible avec ma langue en m’acharnant sans pitié sur son gros bouton turgescent. Elle n’en peut vraiment plus, me demande instamment d’arrêter, elle m’ implore, et m’y contraint finalement en m’agrippant fermement par les cheveux et en tirant dessus pour me calmer… mais tu es fou glousse t'elle soudain consciente de ce qui vient de se passer. Tu m’a fait jouir comme une cinglée. Moi de lui répondre J'ai une grosse envie de te baiser. Elle Oh, vous n’y pensez pas, si mon mari apprenait ça… On aurait pas du. Moi de continuer Mais regardez dans quel état tu m’a mis. J’ai la bite toute tendue et dure comme la pierre. Tu va pas me laisser comme ça! Accroupi sur sa poitrine, je lui présente alors ma bite, droite et érigée devant son nez. Le bout est rougeoyant et ne demande qu’à être happé. Elle: Écoutez, je suis d’accord pour vous sucer, pour vous soulager, mais après il faudra que vous soyez sage , il ne faut que tu me promette de ne pas profiter de la situation. Elle n’a pas le temps de finir sa phrase, je lui enfonce déjà ma queue en bouche. Fermement, en lui tenant la tête, et je lui baise les lèvres. Pendant qu'elle me suce je lui dit tu es vraiment une cochonne tu aime la bite hein salope. Pour toute réponse, je l’entends glousser ? Elle roucoule de plaisir et bave le long de mes couilles. Je lui enfonce mon sexe jusqu’au fond de la gorge et la pénètre avec violence, elle a soudain un haut-le-cœur. Conscient d’avoir été cette fois-ci un peu trop brutal, je me calme un peu et la laisse me pomper plus tranquillement. Elle s’applique avec ferveur, prend le temps de gober mes couilles une à une, pour passer sa langue sur toute la longueur de ma pine avant de l’avaler. Elle ponctue cette longue fellation de Hum de contentement qui semblent, au fil du temps, de plus en plus forts et de plus en plus fréquents. Visiblement elle apprécie de pouvoir jouer ainsi avec ma bite, ça l’excite tant et si bien que maintenant elle qui me propose de la baiser, alors qu’elle s’y refusait il y a quelques minutes. Finies donc les bonnes résolutions ! Elle s’agenouille à quatre pattes et tend vers moi son gros derrière en disant Aller, viens, baise-moi, tu m’excites trop. Enfonce ta grosse bite, je n’en peux plus d’attendre. Prends moi et fais moi encore jouir. Inutile de la faire attendre, son gros cul réclame un traitement de choc. Je m’approche d’elle pour claquer ses fesses avec violence, elle gémit de plaisir à chaque claque. Je la traite d’obsédée, de vicieuse, de salope et j'attrape ma bite dans la main frotte mon gland contre ses fesses, contre sa vulve et dans sa raie. Elle crie oh salaud baise moi maintenant je peux plus attendre, je la fais encore languir, pénètre sa grotte et ressors aussitôt. Elle proteste, me supplie à nouveau de la baiser. Elle remue langoureusement son cul et semble complètement déchaînée. Puis elle passe sa main derrière elle, agrippe fermement ma bite et dirige mon dard contre sa vulve. Elle donne un gros coup de cul et l’engloutit d’un coup en criant de bonheur. Je la besogne fermement accroché à ses hanches, elle gémit crie pousse des hurlements, elle devient hystérique oh ouiouioui crache tout arrose ma chatte j'ai le feu. Cela m'excite je force encore un peu plus et je jouis dans sa chatte. Nous finissons couchés l'un sur l'autre. Elle souffle comme un bœuf. Elle me renverse sur le côté. Elle me regarde et se met à genoux et recommence à me sucer avec force et vigueur cette quinquagénaire à la forme malgré son poids et surtout elle aime la queue. Quand je suis à son goût elle se met sur le dos écarte les cuisses et m'attire à elle en missionnaire, je m'introduis en elle en un violent coup de reins elle pousse un ahahaha puis se calme et me dit remplis-moi de ton foutre, cocufie mon connard de mari. Oh oui baise moi bien fait moi jouir comme toute à l'heure. Elle grimace ahane, se tortille comme un ver, se cabre hurle ses mains battent le lit mon dos mes épaules, elle est comme une folle en rut. Je donne les derniers coups de reins avant l'explosion finale je me vide dans sa chatte. Elle se colle contre moi. En criant oh chéri oh chéri c'est trop bon et elle retombe anéantie. Moi je me lève cherche la salle de bain pour me laver un peu. Quand je la trouve la porte à été enfoncé certainement le bruit que j'ai entendu ce matin avant la dispute. Je le lave me rhabille et me sauve avant que ma femme ne s'aperçoive de quelque chose. En partant elle me dit on recommence un de ces jours si tu veux moi je suis d'accord, ma chatte te sera toujours ouverte.



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Histoire envoyé par Faustine le 18 03 2021.
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Je baise avec ma belle mère, c'est une grosse cochonne.
Je suis Faustine, j’ai 40 ans et je suis mariée depuis 10 ans. Nous n'avons pas d'enfants. Je suis grande très sexy souvent habillé en cuir, avec de longs cheveux blonds, une belle poitrine et quelques kilos en trop, mais bon j'assume. Comme je crois, dans tous les couples, au fil du temps la monotonie s'installe, je dois dire qu'en fin de compte je suis délaissée un peu par mon mari qui trouve toujours des excuses pour ne pas rester à la maison le samedi après midi par exemple il va aux boules ou au foot. Moi je n'ai pas le tempérament à prendre un amant. Le samedi quand je suis seule à la maison je lis des histoires érotiques depuis très longtemps, j'aime bien ça me détend et souvent me permet de me faire un petit plaisir solitaire car certaines sont plutôt chaudes. J'ai hésité longtemps avant de me décider à vous raconter ce qui m'est arrivé car je crois que ce n'est pas banal. Un gendre avec sa belle-mère oui mais une belle fille c'est rare enfin je le crois. Tout d'abord vous devez savoir que nous recevons très souvent mes beaux parents chez nous car nous avons la chance d'habiter en Normandie dans un village, notre maison est grande et nous avons un beau jardin. Eux habitent en ville dans un appartement en étage. Ils viennent le samedi pour midi et s'en vont le dimanche soir ou le lundi matin. Je m'entends très bien avec eux, surtout avec Christine ma belle mère qui à 62 ans, avec qui j'ai une grande complicité. Elle est comme moi très sexy et encore très belle pour son âge, un jour elle m'a avoué qu'elle mettait encore des bas et des porte jarretelles. Ce week-end de Juillet, le père et le fils était partis à la pêche. Moi je regardais mon site la librairie coquine, assise sur le canapé, Christine elle devait être das sa chambre ou dehors. Soudain je sentis une présence derrière moi ses mains se posèrent sur mes épaules et elle dit tu es prise sur le fait ah tu regarde des histoires cochonnes petite coquine et elle m'embrassa dans le cou et rajouta tu sais j'en fait autant et j'adore ça. Nous nous sommes regardées et avons éclatées de rire ensemble, elle s'est assise à côté de moi et m'a demandé qu'est ce que tu aime le plus dans les histoires ? J'ai répondu n'importe c'est un peu au pif. Elle : moi j'aime les histoires entre femmes. Je l'ai regardé surprise elle à ajouté j'ai fait l'amour plusieurs fois avec une femme ça été pour moi comme une révélation. Je restais ébahie par cette déclaration. Je sentis sa main se poser sur ma cuisse quand elle rajouta je te trouve très attirante depuis longtemps et elle posa ses lèvres sur les miennes en même temps que sa main remontais sous ma robe légère, j'ai tressaillis surprise puis j'ai accepté la caresse d'autant qu'elle était douce. Je me suis aperçu qu'elle n'avait qu'un peignoir de soie noir et or avec des motifs asiatiques. En plus cela faisait au moins quinze jours que je n'avais pas eu de câlins, je me suis vite retrouvé excité surtout que l'histoire que je lisais m'avait déjà faite mouiller. Pendant qu'elle me caressait les cuisses doucement je voyais ses gros seins nus par l'ouverture du peignoir, elle défit la ceinture de celui ci et écarta un peu les jambes, je distinguais une forme sombre. Je ne savais plus ce qu'il fallait faire, j'ouvris légèrement les cuisses pour laisser passer sa main. Elle m'embrassa sur la bouche joua avec ma langue, je lui ai rendu le baiser et nous sommes partis dans une folie. Elle à ouvert le peignoir remonté ma robe et s'est assise face à moi à califourchon sur moi. Nous nous sommes embrassés fougueusement ses seins lourds écrasaient ma poitrine, elle se dandinait contre mon sexe. Je sentais le feu monter en moi, pour la première fois que je touchais une fille c'était super extra, j'ai embrassé et mordillé ses tétons, elle s'est mise à soupirer, à passé sa main dans ma robe et peloté mes seins. La situation était incontrôlable. Elle m'a embrassé fougueusement puis s'est levé et m'a entraîné dans sa chambre, elle m'a déshabillé, fait tomber son peignoir, faite allonger sur le lit, elle s'est positionné en 69 et m'a léché la minette, j'ai hésité mais pas longtemps car sentir sa langue dans mon intimité m'a donné l'idée de faire de même. J'ai léché d'abord son clito puis sa fente avant de la pénétrer. Je devais bien me débrouiller car tout de suite elle s'est mis à ahaner et à jouit très vite, c'était la première fois que je goûtais au jus d'une femme, j'ai trouvé ça très bon, elle m'a faite jouir à son tour, nous sommes restés un long moment
à nous lécher l'une l'autre et nous avons eu plusieurs orgasmes successifs. Quand nous nous sommes détachées, elle m'a dit de me mettre sur le dos elle à glissé un coussin sous mes fesses elle à prit dans le tiroir de la table de nuit quelque chose, c'était une poire à aspiration qu'elle m'a collé sur la vulve, elle m'a fait gonfler la minette, j'ai ressentis un plaisir extraordinaire puis elle m'a léché la minette avant d'y introduire un vibromasseur qu'elle à mit en grande vitesse, j'ai rapidement pris un pied formidable avant qu'elle me bouffe la minette et lape toute la liqueur que j'ai produit.
Depuis cette après midi de folie je bais avec belle maman tous les jeudis après midi mon jour de repos. Nous faisons l'amour dans toutes les positions, nous avons achetés un gode ceinture qui nous sert à toutes les deux dans tous les trous. Nous sommes devenues des folles du sexe et surtout très accroc l'une de l'autre.



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Histoire envoyé par Sébastien le 12 03 2021

Méfiez vous des grosses.

Je suis Sébastien, j'ai 32 ans, je vis à Carcassonne, je suis livreur depuis huit pour le compte d'une firme bien connue dans les produits naturels. Je livre sur la moitié du département, je passe chez nos clients une fois par mois, toujours le même jour et à peu près à la même heure. J'ai mes petites habitudes les clientes m'invite à boire un coup ou un café, elles sont toutes plus sympa les unes que les autres, on parle un peu et on rigole. Bien sur il m'est arrivé quelques petites aventures avec certaines, mais j'évite de renouveler pour éviter les problèmes. Mais l'histoire que je vais vous raconter c'est la plus coquine et je me souviendrai toute ma vie. Je passais chez cette dame Pauline, pour la deuxième fois, âgée d'une quarantaine d'années. Il est presque quinze heures je sonne à la porte du petit pavillon, quelques instants après la porte s'ouvre, elle est vêtu d'un peignoir plutôt léger, les cheveux tout ébouriffé, j'ai bien l'impression que je l'ai dérangé. Elle bonjour c'est aujourd'hui que vous passez j'ai oublié, je lui demande son bon de commande elle retourne je la suit nous sommes dans le salon elle cherche dans un tiroir moi je la regarde elle est ronde, sa poitrine opulente, avec ses poignées d'amour elle est très bandante. Je tourne machinalement la tête vers le canapé, la télé marche sans le son un mec baise une grosse nana. Elle me tend le papier je retourne au camion, sort son colis et lui rapporte le pose sur la table, je détourne la tête vers la télé le film continu il la prend en levrette. Je la regarde elle me fait un grand sourire. Moi excusez moi de vous avoir dérangé au mauvais moment. Elle rit et me répond mais pas du tout au contraire, je crois que je vais gagner au change. Je reste un peu interloqué par cette réponse surtout qu'en même temps elle ouvre sa robe de chambre, sa poitrine est énorme sa touffe noir tranche entre ses cuisses. Elle me continu en plus je suis déjà toute prête et j'ai une envie du diable, en même temps sa main se pose sur ma braguette, tu peux toucher tout est naturel comme tes produits. Elle fait tomber sa robe sur le carrelage d'une main de l'autre elle à déjà ouvert mon jeans et glissé sa main dans mon caleçon. Je bande comme un cheval et me retrouve avec un énorme nichon dans la paluche. Enfin je reprends mes esprits quitte ma chemisette, baisse mon caleçon, me débarrasse du jeans et me voilà à poil devant femme en rut qui à genoux me suce la queue comme une vorace, je malaxe ses nichons pince un peu les tétons elle s'active de plus belle en me tenant les fesses pour pas que je recule, je me retiens tant que je peux mais elle veut arriver à ses fins, elle redouble de vitesse, je pousse un râle et crache dans sa bouche. Elle se relève passe sa langue sur ses lèvres et lance aller vient tu va pas t'en tirer comme ça. Elle s'approche du canapé se place à genoux devant moi. Je suis toujours en érection je me mets derrière elle et pointe mon gland sur le trou béant et trempé qui brille devant moi, je pousse un grand coup elle crie, je la besogne en la tenant par les hanches, elle crie oh oui j'aime la levrette c'est bon baise moi bien j'aime ça aller bourre moi bien. Je la baise comme une bête elle ne tarde pas à jouir en déblatérant des mots incompréhensibles. Elle râle ahane, se tortille en criant encore encore. Puis elle éclate dans une jouissance incroyable pendant que je jouis en elle. Je me retire sa chatte coule comme une fontaine. Elle descend de son perchoir se met à genoux et m'embouche la queue toute ramollie, elle me pompe goulûment. Je regarde ma montre car ma prochaine cliente va rouspéter si j'arrive en retard, mais j'assume c'est tellement bon. En rien de temps elle me remets sur pieds je suis prêt à nouveau, elle se relève appuie ses deux mains sur le dossier du canapé me présente sa croupe en écartant les cuisses. Prends moi encore en levrette ta queue est tellement bonne aller fait moi encore plaisir. Je frotte mon gland sur sa fente et le glisse sur son petit trou elle crie et se détourne non non pas là pas aujourd'hui. Je m'insère à nouveau dans sa chatte en feu et la pistonne de toutes mes forces, bien cramponné à ses hanches je la bourre à grands coups de reins. Elle ne tarde pas à repartir dans un brouhaha de cris, de vociférations et de jurons avant d'atteindre encore une fois l'orgasme. Cette fois il faut que je me sauve, je lui demande de me laver un peu, elle m'envoie dans la salle bains ou je me rince, quand je reviens je m'habille pendant que nue elle remplit le chèque. Je lui caresse les fesses en lui disant au mois prochain. Elle me répond ce sera avec grand plaisir, je te ferais un petit cadeau. J'ai tout de suite compris de quoi il s'agissait, le temps va me paraître long. La suite vous la connaissez je me suis fait jeter par la vieille rombière qui était ma cliente suivante à qui j'ai du raconter une histoire à dormir debout et non pas baiser debout. Les mois suivants j'ai baisé Pauline dans tous les sens et même sodomisé. Cette nana pourtant bien ronde est insatiable et vraiment elle mérite toutes les attentions.


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Histoire envoyé par Carine le 10 03 2021
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La voyeuse

Je suis Carine j'ai 35 ans, brune de longs cheveux je vis dans un centre d'une grande ville de l'Isère. Quand je suis chez moi et qu'il ne fait pas froid, je suis souvent nue. J'aime ça. Surtout quand je passe devant le miroir de l'armoire de ma chambre. Je ne suis ni narcissique ni amoureuse de moi-même mais voir mon corps nu m'excite beaucoup. J'aime voir mes seins que je trouve très beaux et mon pubis recouvert de cette petite touffe noire, j'aime sentir l'air sur mon corps. Je suis fan de masturbation, alors je m'allonge sur mon lit et je me fais un petit plaisir, enfin plutôt un grand ! J'aime ça et je n'arrive pas à m'en passer même quand je fais l'amour régulièrement avec un homme ou une femme. Oui en plus je suis bi. Justement, l'an passé, pendant l'été, alors qu'il faisait très chaud, j'étais la majeure partie du temps nue chez moi et j'essayais de faire des courants d'air dans la maison en ouvrant les fenêtres. Ce petit air, même un peu tiède, m'enlevait cette sensation d'étouffement. J'habite au sixième étage d'un immeuble dont la fenêtres de ma chambre donne sur une cour intérieur avec de l'autre côté un autre immeuble à une dizaine de mètres. Comme je suis nature je me suis jamais préoccupé de savoir si quelqu'un me reluque ou pas de l'autre côté. Un jour que je me masturbais sur le lit, j'ai cru voir par la fenêtre les rideaux bouger au septième étage de l'immeuble d'en face. Je me suis levé et j'ai surveillé discrètement. Mon impression s'est vite confirmé, il y avait quelqu'un et regardant j'ai vu une femme. Il était environ seize heures. Je ne sais pas si c'était la première fois ou pas qu'elle regardait. Cela m'a un peu excité, pour vérifier j'ai recommencé le lendemain à peu près à la même heure. Tout en me masturbant, je regardais discrètement du côté de la fameuse fenêtre et je n'ai pas eu longtemps à attendre, elle était bien là. Je distinguais mal mais je la devinais derrière ses rideaux.  Sa présence m'excitait et je pris un pied d'enfer ce jour là et les jours qui ont suivis J'en faisais toujours plus. Elle se cachait de moins en moins. Un jour j'ai voulu avoir confirmation en allant dans ma salle de bain pour la surveiller de mon vasistas. Je la voyait attendre, les rideaux un peu plus ouverts. Un instant je l'ai vu distinctement elle paraît plus vielle que moi un peu corpulente. Je décidais de ne plus la faire attendre et passais aux travaux pratiques dans ma chambre. Pendant les jours suivants je réfléchissais à comment faire pour la contacter car si elle est si en attente de mes masturbations c'est qu'elle doit aussi y trouver du plaisir. L'idée me vint de trouver un grand carton et d'y noter mon numéro de tel en gros en espérant qu'elle puisse le lire. Le lendemain je préparais mon plan et attendit qu'elle fasse l'impatiente derrière ses rideaux. Quand j'ai été sur quelle était bien là j'ai mis le carton à la fenêtre en lui faisant un coucou de la main, le carton en place je m'éloignais et attendis un long moment puis je suis passé à mon hobby préféré, ne voulant plus faire attendre ma spectatrice. Les jours passèrent ou je renouvelais l'affichage du carton jusqu'à ce qu'un soir mon tel sonne avec au bout mon inconnue. Le début à été plutôt compliqué elle n'osait pas trop parler, j'ai vite pris le dessus et au bout de dix minutes nous parlions presque comme deux copines et j'ai appris qu'elle avait quarante deux ans qu'elle vivait seule, qu'elle me regarde régulièrement parce que ça l'excite beaucoup et cela l'aide à obtenir du plaisir, je réussis à l'inviter chez moi le lendemain après midi à l'heure ou elle regarde habituellement à la fenêtre. J'étais contente de moi je vais enfin pouvoir le faire devant quelqu'un qui apprécie. J'ai attendu avec impatience et fébrilité ce rendez-vous avec ma voyeuse. Le lendemain à l'heure précise on tape à la porte, je fais enfin connaissance avec ma voyeuse, elle est assez grande blonde bien potelé, bien mignonne mais elle à l'air plutôt timide et peu être un peu gêné. Je la fais entrer et lui fais la bise, puis lui dit je suisje l'entraîne vers le salon salon nous nous asseyons côte à côte sur le canapé, je la regarde lui sourit je lui prend la main et lui dit je suis Carine je suis contente de faire votre connaissance elle me répond je suis Clotilde. J'apprécie de vous voir de près, j'aime bien que vous m'observiez pendant mes petits moments intimes, je ne vous fait pas de reproche bien au contraire, je suis même flatté que vous appréciez aussi. J’aime qu’une femme me regarde quand je jouis. Je sens qu'elle se détend petit à petit elle me tient la main d'une façon douce et ses yeux brillent, ses lèvres pulpeuses colorées d'un rouge vif me font envie, mais je ne veux pas la brusquer et surtout ne pas la voir s'en aller. Je décide quand même de lui poser la question est ce que ça vous satisfait totalement de me voir jouir, si c'est le cas, tant mieux car ça voudrait dire que nous sommes un peu complémentaires et que l’on pourrait peut-être faire en sorte d’y trouver satisfaction toutes les deux. Elle me répond oui j'aime bien regarder car moi seule je n'y arrive pas. Je lui serre la main affectueusement et lui pose un baiser sur la le coin des lèvres. Elle ne paraît pas offusqué bien au contraire. Je me suis levé, j’ai relevé ma robe pour la quitter par le haut. Il faisait déjà chaud, mais là avec la situation que je venais de créer. Je l’ai vue avaler sa salive. J’étais un peu moite, j'étais nue devant elle. Elle écarquilla les yeux sa bouche s'ouvrit un peu , j’ai lentement fait glisser mes mains le long de mes cuisses nues, jusqu’aux genoux, puis remonter vers l’intérieur pour les ramener sur mon sexe, J'étais bien installé en face d'elle de façon à ce qu'elle ne manque rien. Bien adosser et installé confortablement, les yeux fermés, la tête en arrière sur l'accoudoir j’ai commencé à me branler avec volupté comme si j’étais seule. Heureuse et excitée à la fois. Je sentais sa présence. Je l’imaginais la bouche ouverte, le souffle court, avalant avec difficulté sa salive, ses yeux me parcourant le corps de la gorge aux pieds en s’attardant sur mes seins et mon bas ventre, je gémissais sous mes caresses plus excité que jamais, mes doigts qui s’activaient sur mon petit bouton. Je la sentit se lever s'approcher de moi, une de ses mains effleuré mes tétons j'ouvris les yeux elle était torse nu devant moi, ses seins arrogants me narguaient. La situation m'excitait follement, je mouillais de plus en plus et le titillement de mes doigts sur mon clitoris et mes lèvres faisait entendre un clapotis de plus en plus fort mais aussi de plus en plus excitant. J'avais l'impression de ne plus entendre que ce clapotis de plaisir. J'ai ouvert les yeux pour la regarder. On aurait dit qu'elle me dévorait des yeux. Elle était tout contre moi, me caressait pendant que je me branlais. Une complicité s'est installé entre nous, nous avions confiance l'une à l'autre. Elle se mit à mordiller doucement mes tétons ce qui déclencha des vagues énormes dans mon ventre j'éclatais dans un orgasme incommensurable. Elle posa sa main sur mon sexe et ses doigts entrèrent doucement dans mon intimité je repartis aussitôt dans un jouissance douce et longue pleine de bonheur. Quand je rouvris les yeux elle était nue devant moi elle s'allongea sur moi, seins contre seins et sexe contre sexe nous sommes partis dans une chevauchée qui nous fit exploser toutes les deux. Nous nous sommes levées. Elle m'a embrassé passionnément puis m'a murmuré tu voudrais me sucer et me faire jouir encore ? Je n'ai rien répondu et j'ai passé à l'acte aussitôt, entre ses cuisses j'ai léché et sucé son abricot ainsi que son bouton jusqu'à ce qu'elle jouisse dans la bouche. Sa liqueur salée et un peu âpre rendu folle, nous avons finalement passé la soirée au lit et baisé comme deux salopes en rut. Depuis elle vient chez moi ou je vais chez elle et nous dormons souvent ensemble.​


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Histoire envoyé par marc le 14 03 2021.
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Massages en tous genres.
Je suis marc j'ai 45 ans, grand sportif, je suis diplômé en naturopathie depuis 10 ans, j'ai fais aussi une formation de masseur de bien être. Depuis mon divorce il à cinq ans j'ai décidé de changer de vie, de quitter la ville pour la campagne et de vivre au naturel loin des tracas de la société, sans plus me préoccuper de faire du fric et du rendement, je vis au jour le jour dans ma petite maison avec mon jardin, j'assure deux ou trois clients par jour, point à la ligne. En cinq ans je me suis fait une clientèle en majorité de femmes, je donne des conseils aux gens qui veulent revenir vers la nature, et je pratique beaucoup de massages à des femmes de tous âges qui viennent chez moi, je n'ai jamais été aussi bien de ma vie. Il m'arrive quelques fois d'avoir des aventures avec certaines d'entre elles qui sont un peu délaissées par leur mari ou qui ont envie de passer un agréable moment de plaisir juste avec mes mains. Je vais vous raconter une de ces aventures. Je reçois un jour une nouvelle patiente envoyé par une amie, elle à trente cinq ans environ grande rousse, très bien roulé. Je la fait entrer dans mon cabinet, après avoir fait connaissance je sais qu'elle est enceinte de trois mois. Elle m'explique qu'elle adore les massages, que son mari n'est pas doué pour ça
qu'une amie commune lui a indiqué mon cabinet. Après lui avoir demandé ce qu'elle souhaite comme type de massage, j'ai bien compris sa demande. Je lui demande de se dévêtir pendant que je mets une blouse et me lave les mains et les désinfecte. Elle à quitté sa robe légère, elle porte un soutien gorge blanc en dentelles transparentes qui relève bien sa poitrine et laisse deviner ses larges tétons, elle porte une culotte en dentelles blanche sous laquelle apparaît une petite toison noire. Elle me regarde, me souris et demande je reste comme ça ou pas ? Je vois qu'elle est un peu troublée. Je réponds c'est comme vous voulez vous, pour moi pas de problème faites comme vous vous sentez le mieux. Sans hésiter elle quitte son soutien gorge, le pose sur la chaise, ses seins sont très beaux, tendus, fermes et ronds, les pointes en avant. Ce fut le tour de la culotte sans aucune gêne, je la fait installer sur la table sur le ventre et commence le massage après avoir vaporisé sur son corps un produit 100% naturels pour soins relaxants apaisants de qualité professionnelle. Depuis la nuque jusqu'aux pieds en passant par les hanches, les flancs, les fesses, mes mains s'attardent à l'intérieur de ses cuisses qu'elle écarte aussitôt elle se détend et ronronne doucement, je sens que le plaisir la gagne pourtant en aucun moment j'ai touché une partie sensible. Je la fait se retourner lui demande si ça va elle sourit et répond c'est super. Je vaporise aussi le côté pile et commence par les bras et le cou puis je descends doucement, je frôle les tétons, mon doigt tourne dessus puis je prends les deux et les titille, elle gémit ses yeux se ferme, ses pointes dressées subissent mes caresses, je la sens en pleine excitation, ses cuisses s'écartent, elle se tortille de plaisir, sa respiration s'accélère elle ondule du bassin. J'ai abandonné ses tétons pour descendre sur son ventre et ses cuisses, mes doigts glissaient sur sa peau douce et brillante d'huile, je la sentais au bord de la jouissance car mon doigt est entré en contact avec sa vulve trempée de mouille, ses mains ont enserrées ses seins pour les masser, mes doigts montaient et descendaient le long de sa fente, son bassin ondulait de plus en plus fort contre mes doigts pour les introduire. Elle était au bord de l'orgasme quand j'entrais l'index et le majeur mon pouce se place sur le clitoris, elle lâche un ohohohouiuiouioui alors que je roule le bouton qui grossit et que mes doigts masse le point G. Elle replie ses jambes s'appuie sur ses pieds et jouit en serrant ses seins dans ses mains. Sa vulve laisse écouler son liquide, elle se calme petit à petit, je retire mes doigts, je vais laver les mains et lui masse les mollets et les pieds pendant qu'elle reprend ses esprits. Quand je termine, elle reste sans bouger dans un état second. Quelques minutes plus tard elle se redresse et descend, je lui indique la douche, je l'attends tranquillement à mon bureau. Elle revient quelques minutes plus tard se rhabille, avant que je dise un mot elle lance ça c'est du massage, je me sens rajeunie de dix ans, je reviendrais c'est sur. Elle me règle et disparaît, une cliente de plus. Les massages bien être sont ma plus forte demande, toutes les femmes jeunes ou plus âgées qui prennent rendez vous viennent en grande partie je le crois pour passer un grand moment de plaisir que je leur donne juste manuellement.

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Histoire envoyé par Murielle le 10 03 2021.
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Vacances chez ma fille.

A soixante cinq ans, veuve depuis maintenant plus de dix ans, je pensais avoir fini ma vie côté sexe même si parfois je prends un peu de plaisir seule. Parfois le destin chamboule tout. L'été dernier je vais passé trois semaines chez ma fille Élodie, elle vit avec son mari et ses deux enfants dans les Deux Sèvres à la campagne. Les deux premières semaines se passent à merveille jusqu'au jour ou Léo le mari de ma fille se sent pas. Le matin de bonne heure elle appelle leur médecin qui répond qu'il passera en début d'après midi. Ma fille travaille, les enfants sont à l'école lorsque le médecin arrive, il s'agit d'une femme d'une quarantaine d'années qui est leur docteur déjà depuis longtemps, elle lui demande ce qu'il ressent et l'examine rapidement prise de tension, stéthoscope et tout le bazar puis palpation sur le torse et le ventre. Elle lui dit rassure toi c'est rien de grave un bon rhume puis elle lui demande pendant que je suis là ton problème plus bas comment ça va, elle baisse le pantalon et y a entre une main pour palper le ventre. C’est alors qu’elle lui demande : Et ton testicule, ou ça en est ? Je savais, par ma fille, que son mari avait eu un petit problème de ce côté là. Il a répondu à la doctoresse que ça avait l’air d’être revenu à la normale. Elle Je vais quand même regarder ça allons dans la chambre. Moi les mots testicules et sexe m'émoustille j'ai eu envie d'en savoir plus, je les suit jusqu'à la porte resté entrouverte, elle l'a fait déshabiller et allongé sur le lit. Je vois mon gendre nu pour la première fois. Elle lui palpe longuement les parties l'une après l'autre. Visiblement cela doit lui prodiguer de bonnes sensations, car je vois le sexe se redresser. La doctoresse, voyant sa réaction lui dit tout naturellement mais c'est très bien : Voyons si tout se passe correctement. elle prend son pénis dans ses doigts et le manipule en le décalottant. Ce n'est pas une masturbation, sans doute sait-elle parfaitement comment effectuer ce genre d’examen, laisse toi aller je veux voir si tout est normal au bout de quelques secondes il éjacule. Trois ou quatre giclées de sperme se sont giclées de son sexe tendu, maculant son ventre. Sans se départir de son sérieux, elle lui déclare simplement : En tout cas ta fonction génitale s’effectue normalement, tu es en pleine forme, on se reverra quand même dans 6 mois. Voyant qu'elle rangeait ses affaires, je suis sauvé à la salle de bains qui est tout à côté, je n'y étais pas entré depuis quelques secondes que la porte s'ouvre et mon gendre nu comme un ver entre la queue encore en bonne forme le sperme dégoulinant sur son ventre. Il me regarde surpris puis rigole en haussant les épaules. Je sors tout émoustillé par ce que je viens de voir. Machinalement je passe ma main entre mes cuisses, ma culotte est humide. Je rejoins le médecin qui est entrain de rédiger l'ordonnance. Léo nous rejoint récupère les papiers paie et elle s'en va. Nous nous retrouvons tous les deux il me regarde et me dit je te sens un peu troublé Murielle je me trompe ? Et il continu oui c'est vrai depuis le temps que tu vis seule. Il s'approche de moi me regarde droit dans les yeux et continu si je peux faire quelque chose pour toi ce sera avec plaisir, car moi aussi je fantasme sur ton corps, tes fesses, tes seins et depuis que je te connais mais je n'ai jamais osé. J'ai craqué ma main se glisse sous l'élastique de son survêt elle se pose sur le sexe qui s'est met aussitôt à grossir, il m'embrasse à pleine bouche pendant qu'il caresse mes fesses, je baisse le pantalon, je regarde ce pieu tendu que je masturbe doucement, je me suis mise à genoux et me suis appliqué à lui faire une fellation. Que c'est bon depuis tout ce temps sans rien. Lui à ouvert mon chemisier puis l'a enlevé, dégrafé mon soutien gorge, je le suce avidement, ma chatte est toute mouillée, quel bonheur de sentir ce membre vibrer dans ma bouche. Il joue maintenant avec mes tétons qu'il triture, j'accélère car je veux en finir, je veux qu'il me prenne, sentir ce membre vigoureux dans ma chatte. Je le sens sur le bord de l'explosion je masse ses couilles et c'est le bonheur il me donne sa semence, j'avale tout avant de me relever. Je quitte ma robe et ma culotte. Il me suce les tétons, les mordille puis me fait installer à genoux sur le canapé, il se colle derrière moi et sans autre préliminaires il m'enfile et me pistonne d'abord doucement puis de plus en plus vite il s'accroche à mes hanches, ses coups de reins me transportent lentement vers le plaisir. Je serre les dents pour ne pas ameuter le quartier, il y à très longtemps que ne n'avais pas jouis comme ça. Il se vide dans ma chatte en poussant un râle libérateur. Je m'écroule sur le dos dans le canapé, lui est debout la queue à la main il me regarde en souriant tu es bonne me dit il et il se glisse entre mes cuisses, sa langue joue avec mon berlingot le lèche, l'astique le suce, il me rend folle je ahane, ses doigts massent mon point G pendant que sa langue excite mon berlingot, cuisses bien écartées je mouille comme une fontaine, d'un coup l'orgasme me saisit je serre les cuisses lui bloque la tête me cabre contre sa bouche en criant. Il me laisse pantelante et groggy. Je le vois disparaître dans le couloir vers la salle de bains. Je me masse les seins de bonheur quel moment merveilleux. Quand il réapparaît il me demande si tout va bien, je réponds on ne peux mieux. Je me lève et vais à mon tour me laver. Quand je reviens il me demande si je veux boire du thé, je réponds oui nous allons dans la cuisine pour faire chauffer l'eau et le préparer. Je cherche le thé dans le placard quand il m'enlace par derrière m'embrasse dans le cou, sa main passe sous ma robe comme je n'ai pas remis de culotte, entre mes cuisses ses doigts entrent dans ma fente et il me doigte, il me retourne m'embrasse me soulève m'assoit sur la table, je fais mine de ne pas vouloir nonononon arrête mais déjà je sens la queue raide au contact de ma fente, je me renverse sur la table, je lève les jambes sur ses épaules, mes mains attrapent les bords de la table pendant qu'il s'active en moi comme un bête. Cette fois c'est beaucoup plus long mais tellement meilleur, plus fort je serre les dents quand l'orgasme s'empare à nouveau de moi. C'est fou et irréel il se vide encore dans mon intimité. Ce garçon à de la ressource, c'est incroyable. Il va être l'heure ou les enfants rentrent de l'école heureusement car je n'en peux plus et j'ai l'intime conviction qu'il aurait bien continué. Le repas du soir est un peu compliqué j'ai honte de ce que j'ai fait mais finalement ma fille n'a rien remarqué. Le lendemain matin je suis allé faire les courses, à mon retour Léo à cherché à refaire le coup d'hier mais je lui ai dit que c'était une erreur que c'est fini. Les derniers jours se sont bien passés, je suis rentré chez moi avec la ferme intention de chercher sur des sites un homme pour m'envoyer encore en l'air.


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histoire envoyée le 10 03 2021 par Laurent.

Ah les apparences !
Bonjour à tous, je m'appelle Laurent j'ai quarante huit ans divorcé depuis cinq ans je suis très sportif beaucoup de vélo et de natation. Je travaille dans une administration. En Lozère et je vis dans un charmant village à une vingtaine de kilomètres de la préfecture. Étant moi même friand de récits coquins, je vais vous raconter l'aventure qui m'est arrivé ces derniers mois. A côté de ma maison se trouve une propriété détenue depuis un siècle par la même famille avec qui j'entretiens de bonnes relations. Lui est notaire depuis plusieurs générations, sa femme n'a jamais travaillé, elle à élevé ses deux enfants qui sont partis le garçon en Asie et la fille aux États unis. Il vivent très bien grâce aux appartements qu'ils louent. C'est une famille de notables dans la région. Je vais chez eux souvent boire l'apéritif car Rodolphe est un peu porter sur la bouteille et moins j'ai un faible pour cette femme pleine de mystères. Un matin en partant au travail je m'aperçois qu'il y a plusieurs véhicules dans la cour dont une ambulance. Je m'approche et j'apprends que le mari est décédé. J'entre dans la maison et me trouve tout de suite devant Claire je lui présente mes condoléances elle m'explique la situation, je lui dit si tu as besoin de moi pour quoi que ce soit tu peux m'appeler à ce numéro xxxxxxxxxx. Je lui fait la bise et pars au travail. Dans ma voiture je repense à tout ça et me dit, elle ne parait pas trop marqué par cette tragédie car mourir à moins de 65 ans comme ça subitement. Le soir en rentrant je passe pour prendre des nouvelles, elle me dit que ses enfants vont venir le plus vite possible mais qu'en fonction des problèmes actuels dans le monde elle ne sait pas quand. Je reste un moment à parler avec elle, étant fille unique personne ne viendra lui tenir compagnie car ses parent sont vieux et vivent pas dans la région. Du côté de son mari ils vont venir demain. Je lui propose de venir passer la nuit chez moi si elle ne veux pas rester seule dans cette maison. Elle me répond merci Laurent je sais que je peux compter sur toi, mais il va bien falloir que je me débrouille seule maintenant. Je la trouve calme et sereine et cela me surprend beaucoup. Les jours suivants je passe la voir régulièrement mais quand sa famille est là, je m'abstiens. Dix jours plus tard l'enterrement, au cimetière Claire est habiller tout en noir de la tête aux pieds comme dans le passé. Elle me prend à part, me demande de passer à la fin de la cérémonie. Elle a organisé un petit buffet pour remercier les gens de sa famille. Je fais la connaissance de ses enfants passe une heure avec tout le monde puis je prends Claire un peu à part pour la remercier de m'avoir invité, je lui fais la bise, je rentre chez moi. Le lendemain dans l'après midi mon portable sonne au bureau, c'est Claire qui me demande d'aller manger ce soir chez elle, ils sont tous partis et elle ne veux pas rester seule. Comme je sais qu'elle aime le bon vin j'emmène avec moi un bouteille de Bordeaux d'un grand cru que j'ai dans ma cave et un bouquet de fleurs acheté à la boutique de fleurs à côté de mon travail. Quand elle m'a ouvert la porte je n'en croyais pas mes yeux, elle n'était plus en deuil, mais habillé comme à son habitude c'est à dire BCBG, nous avons pris l'apéritif et ensuite mangé, nous avons parlés de tout et de rien, elle n'a pas voulu que je parle de Rodolphe, j'ai même eu l'impression qu'elle était mal à l'aise, à chaque fois elle changeait de conversation. Enfin nous avons passés une bonne soirée et pas mal bu tous les deux. Je lui redit que si elle avait besoin de quelque chose elle peut compter sur moi sans problème. Les jours suivants, je suis passé ou j'ai téléphoné. Je la sens beaucoup mieux et surtout elle ne paraît pas affecté par ce deuil, du moins elle ne le montre pas. Le samedi suivant elle m'invite à manger mais à midi. Elle est comme à son habitude très bien habillé avec une robe à franges, un beau corsage, des bas ou des collants résilles, des talons hauts. Elle est superbe comme je l'ai toujours vu. Nous discuter de tout et de rien, j'apprends qu'elle aime le théâtre et la musique classique tout comme moi, tu vois me dit elle je pourrais aller au théâtre avec toi s'il tu le veux bien. Elle est radieuse, je la trouve très belle. Nous parlons de sa vie, de son avenir, de ses enfants enfin on parle de tout ce qui l'a concerne maintenant. Soudain elle s'effondre en pleurs, nous sommes dans le canapé du salon, je la prend dans mes bras pour la consoler et la calmer. Cela dure un long moment puis d'un coup elle se met à déblatérer des choses impensables pour moi. Que son mari la trompait depuis toujours, que ses enfants sont comme lui, qu'ils ont que l'argent dans la tête, qu'ils veulent lui faire vendre la maison. Elle se blottit contre moi sa tête sur mon épaule, elle me raconte le calvaire de sa vie depuis quinze ans, les coups, la brutalité de son mari qui la considérait comme son esclave, qu'il la délaissait complètement, ils faisaient chambre à part et quand elle ne voulait pas céder à ses avances il la violait, elle à vécu l'enfer mais qu'enfin c'est fini, qu'elle était heureuse qu'il soit mort. Je suis abasourdi par cette déclaration. Elle s'arrête de pleurer subitement, se serre encore plus contre moi, je sens sa main serrer mon bras, elle me pose un baiser sur la joue et me dit merci d'être là pour moi, je vais enfin reprendre goût à la vie et puis avec toi je suis en sécurité. Elle se love encore un peu plus contre moi,je sens sa poitrine contre moi,je commence à sentir la chaleur envahir mon corps car il y a déjà pas mal de temps que j'ai envie d'elle. Ma main se pose sur sa cuisse et la caresse doucement. Elle serre un peu plus mon bras avant de le lâcher, son bras vient autour de mon cou et sa bouche devant la mienne, nos yeux se croisent, nos bouches se rencontrent et tout bascule, elle commence à ouvrir ma chemise, sa main explore mon torse, la mienne sous sa robe remonte entre ses cuisses pour découvrir au dessus des bas sa peau douce. Elle soupire doucement se laisse aller à mes caresses de plus en plus osées, je l'embrasse dans la cou, ma main court sur sa culotte de soie, mes doigts glissent dessous. Elle soupire Non Laurent non non puis comme signe d'acquiescement elle écartes ses jambes oh Laurent si tu savais comme j'ai envie de faire l'amour avec toi, j'y pense depuis si longtemps. Elle m'embrasse passionnément puis elle se lève et me dit viens nous serons mieux dans ma chambre et elle m'entraîne par la main. Un fois dans la chambre, nous commençons une séance d’effeuillage réciproque tout en nous embrassant. C'est ainsi que je découvre enfin celle qui hante parfois mes nuits, elle est là en soutien gorge, culotte de soie et bas résilles, elle est encore plus belle que je croyais. Elle s'allonge sur le lit en me tendant les bras, fait moi l'amour tout en douceur s'il te plaît il y a tellement longtemps que je n'ai pas jouit. Je quitte mon slip et m'allonge auprès d'elle. Collés l'un contre l'autre nos jambes entre croisées notre baiser et de feu, je bande comme un fou, dans la mêlée j'arrive à décrocher son soutien gorge, elle crie oh oui Laurent c'est bon tu bande coquin. Je me détache et commence à l'embrasser partout ma langue coure sur ses seins lèche les tétons, elle gémit de plus en plus, d'une main je fais glisser sa culotte, mes doigts jouent a l'entrée de sa grotte toute mouillé. Je descends doucement et ma langue arrive sur sur une fine toison brune frisée, elle pousse de petits cris ouiouioui chéri continu c'est bon. Elle écarte ses cuisses, je découvre un bourgeon sortit de son capuchon, une fente bien mouillé ou ma langue pénètre doucement sous les ahanements de plaisir de ma charmante voisine, ses mains se posent sur ma tête, mes doigts roulent le bourgeon pendant que ma langue tournoie dans sa grotte? Elle soulève les jambes et crie son plaisir au rythme de mes caresses, je ne tarde pas à recevoir dans la bouche les premiers signes de sa jouissance, cabrée contre ma bouche elle jouit sans retenue plusieurs fois de suite. Je la laisse reprendre ses esprits je me remonte sur elle l'embrasse à pleine bouche, je lui donne un peu de ce qu'elle m'a donné, ses lèvres mangent les miennes puis elle dit oh c'est bon chéri prends moi j'en peux plus, je m'installe entre ses cuisses et ma queue entre en contact avec son intimité ou elle entre jusqu'à la garde elle wouah ohohohohhouiuouioui elle s'accroche à mes épaules glisse ses jambes autour de ma taille, je vais et viens dans son antre elle geint ahane de plus en plus fort. Je la besogne hardiment, je ralentis , je raccélère, elle se tortille crie son bonheur jusqu'à ce que je jouisse en elle. Nous restons comme ça un instant le temps d'un long baiser. Puis allongés côte à côte, sans rien dire nous reprenons nos esprits, c'est elle qui vient sur moi pour me dire tu sais Laurent il y a longtemps que j'ai envie de toi, je ne t'ai pas fais d'avance car j'avais trop peur de lui, il m'a dit un jour si tu me trompe je te tue. Elle se retourne prend ma queue dans sa main la secoue doucement puis la suce et la lèche avant de l'enfoncer. Elle y va de bon cœur, je lui caresse le dos et la nuque pendant que je reprends une forme appréciable pour elle, dans sa bouche, puis elle se relève et me chevauche aussitôt face à moi elle monte est descend sur ma queue, je la tient par la taille et regarde ses deux globes de chair qui se balance sous mes yeux. C'est elle qui me fait l'amour, j'aime ça en plus elle est très doué. Elle y va de bon cœur et nous emmène tous les deux à le jouissance. Allongés côte à côte nous parlons, elle me dit tu te rends compte je peux enfin dormir sans fermer ma porte à clé, je suis libre, je sais que je suis vieille mais j'ai bien l'intention d'en profiter maintenant car j'en ai assez bavé avec ce tordu. A l'extérieur nous passons pour un couple modèle, beaucoup de femmes m'envie alors qu'en réalité c'est un enfer depuis plus de vingt ans. Elle m'enlace ses seins contre mon torse et me dit merci Laurent ça m'a fait du bien de vider mon sac, j'espère que tu ne me prend pas pour une pute, il y a tellement longtemps que je pense à toi, tu es un garçon doux et gentil tout le contraire de ce porc qu'était mon mari mais bon c'est fini, n'en parlons plus. Dans la soirée nous avons mangés ensemble en écoutant de la grande musique, nous avons parlés de nos goûts, de nos envies si bien que j'ai passé la nuit avec elle comme un vieux couple. Avec un mois de recul les choses ont bien changées, elle à fait le partage avec ses enfants sans vendre sa maison, comme nos propriétés sont contiguës nous vivons ensemble en restant le plus discret possible pour le moment. Nous avons beaucoup de points communs et nous nous apprécions beaucoup.

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Histoire envoyé par inconnu le 04 03 2021

La découverte du plaisir, le vrai.
Je me décide enfin de raconter mon histoire car celle-ci à vraiment transformé ma vie. J'ai quarante cinq ans, je suis marié. Je vis à la campagne depuis toujours, ma mère à divorcé très vite après après la naissance de mon frère et mon père est décédé d'une maladie peu de temps après. J'ai été élevé par mes grands parents maternels dans une éducation catholique relativement stricte, ma mère travaillait et n'était là que le soir. Après mon adolescence j'ai eu quelques aventures avec des garçons mais sans plus. Je me suis marié vierge à 20 ans. J'ai eu mes deux garçons. Après mon deuxième accouchements j'ai pris des kilos que je n'ai jamais réussi à perdre, à partir de là le calvaire à commencé. Je me suis renfermé sur moi même, peur du regard des autres certainement, mon mari lui ne me regardait plus, je ne voulais plus qu'il me touche et surtout qu'il me voit nue. Je vivais toujours habillé en pantalon ou survêtement le col fermé au ras du cou. Je n'osais plus me regarder dans une glace. Je vivais cloîtrer ou presque, comme en plus nous avions mon mari et moi prit la décision à la naissance de nos enfants que je ne travaillerait pas. Les années ont passées, ma mère s'est retrouvé un homme un peu plus vieux qu'elle. Tout de suite ce fut compliqué pour moi car il était tout l'opposé de moi, très bronzé il est espagnol, moi je suis blanche comme un cachet d'aspirine, il parle de sexualité très facilement alors que moi je suis plus que coincé la dessus, et en plus j'ai l'impression qu'il me fait de rentre dedans, il a toujours des petits compliments par si par là, il me regarde droit dans les yeux cherche toujours à me toucher la main ou le bras, quand on se fait la bise il se serre contre moi etc, etc. Quand nous sommes tous les deux il me conseille indirectement de me mettre en valeur de changer de fringues de me faire bronzer, enfin j'ai l'impression qu'il me drague. Cela à duré pendant au moins cinq ans. J'avais de temps en temps envie de me rapprocher de lui mais c'était plus fort que moi. Par moment une voix intérieure me dit laisse toi aller prend ce qu'il te donne pour une fois qu'un homme s'occupe de toi et puis la morale reprend le dessus. Petit à petit je me laisse aller je me surprends même à écraser ma lourde poitrine contre son torse et mon ventre contre le sien quand je le rencontre seul, souvent ses mains s'égarent sur un sein ou une fesse, je lui souris sans rien dire. Maintenant je soutiens son regard nos yeux parlent ensemble. Je m'aperçois quand je suis seule chez moi que j'aimerais qu'il apparaisse dans l'encadrement de la porte qu'il me prenne dans ses bras, je sens alors l'excitation monter en moi et il arrive même que je me caresse les seins en y pensant. Je me rend bien compte que quelque chose est entrain de changer en moi. On dit que le hasard fait bien les choses, un matin au supermarché je me trouve nez à nez avec lui. Après une bise plus que chaleureuse il m'a embrassé sur le coin des lèvres alors que sa main empoignait un de mes seins j'ai sentis une chaleur intense monter dans mon ventre pour la première fois de ma vie. Il m'a invité à prendre un café dans le bar de la galerie ou nous avons bien discuté en rigolant puis je ne sais pas ce qu'il m'a prit je l'ai invité à venir un après midi boire un café puis il m'a raccompagné à ma voiture. Nous nous sommes fait la bise, je me suis collé à lui comme une putain. Quelques jours plus tard il m'a téléphoné pour me dire qu'il passerait dans l'après midi si je voulais. J'ai raccroché, j'étais sur une autre planète, là je savais que me donnerai à lui s'il faisait le premier pas, j'en avais marre de jouer la vierge effarouché. J'ai pris une douche j'ai sortis pour l'occasion un corsage blanc que je n'avais pas mis depuis une éternité avec un soutien gorge lie de vin, comme je n'ai pas de robe j'ai enfilé un jeans. Je suis toute fébrile, depuis le temps que j'attends ce moment. Mais d'un autre côté j'ai beaucoup d'appréhension, je ne connaissait pas grand chose à la sexualité j'ai un peu honte, serais-je à la hauteur, son côté sur de lui me faisait un peu peur, pourtant j'ai une grande envie de franchir le pas et de devenir une vraie femme. Quand j'entends la voiture s'arrêter devant ma porte, je panique un peu, je suis comme une adolescente lors de son premier rendez vous. J'ouvre la porte, il entre m'embrasse sur la bouche en serrant très fort contre lui, sa langue joue avec la mienne, ses mains caressent mes fesses, je sens la chaleur monter en moi. Je me laisse porter par les événements. Machinalement je ferme la porte à clé pendant qu'il m'embrasse toujours, je sens un grosseur contre mon ventre, je me colle à lui pour mieux le sentir. Ensuite je l'entraîne dans la chambre d'ami ou doucement il m'effeuille en m'embrassant partout, je suis bien j'apprécie sans me poser la moindre question, il est maître du jeu, il ouvre doucement mon corsage qu'il retire de mon jeans, il masse ferment mes seins tout à tour en murmurant ils sont gros depuis le temps que je veux les voir, en même temps sa main passe dans mon dos et avec deux doigts il dégrafe mon soutien gorge, je pousse un non en me serrant contre lui. Il enlève mon corsage et mon soutien gorge, machinalement je cache mes seins. Il me dit c'est dommage de les cacher et il retire mes mains, il regarde ma grosse poitrine ses yeux brillent, il se met à les lécher, sa langue tourne sur mes tétons que je sens durcir. Machinalement ma main se pose sur sa braguette une énorme bosse remplit le pantalon. Je frotte ma main dessus pendant qu'il continu à lécher et mordiller doucement mes tétons, je pousse de petit cris, il ouvre mon jeans et le fait glisser à mes pieds, aussitôt une main glisse entre mes cuisses elle va et vient sur ma fente ma respiration s'accélère je pousse de petits gémissements. Il me renverse sur le lit, il quitte tous ses vêtements, je vois enfin le monstre que j'ai senti tout à l'heure, un sexe pas très long mais très large et gros, je ne m'attendais pas à un truc aussi énorme, en plus il est poilu partout un vrai gorille, les bras, les jambes, les épaules, le dos, la poitrine je reste ébahie devant ce spectacle. Il s'allonge contre loi m'embrasse fougueusement pendant que ses doigts jouent avec ma fente, dedans dehors en haut en bas je ne sais plus ou j'en suis, les yeux fermés je subis ses attouchements et ses caresses, je suis aux anges, je suis bien, les cuisses maintenant bien écartées je n'ai plus aucune appréhension, je jouis en silence. Il me dit des mots que je n'ai jamais entendu : que j'ai de beaux seins, de belles fesses bien rondes qu'il les aime. Puis soudain il disparaît sa langue lèche mes tétons mon ventre et s'enfouit dans ma fente je pousse un nonononononohohohohouiouiouiuoui j'empoigne mes seins et les malaxent pendant qu'il me bouffe la minette. Pour la première fois de ma vie j'ai jouis dans la bouche d'un homme dans un concert de ahanements qui n'en finissent pas. Il est partout sur mon bouton dans mon vagin. Je mouille comme une putain c'est bon. Quand il se relève et se met entre mes cuisses le sens le gros gland qui entre en contact avec ma fente je pousse un nonon il entre et s'enfonce en moi comme dans du beurre , il me remplit, je passe mes mains derrière sa nuque et me plaque contre lui je sens le mandrin qui gesticule dans mon bas ventre c'est une vraie explosion. Je n'ai jamais rien ressenti de tel et dès qu'il s'active la chaleur envahit mon corps ma respiration s'accélère et je pars dans un tourbillon infernal, je passe mes jambes autour de sa taille je mouille comme une fontaine et pour la première fois de ma vie je pousse des cris, mes ongles enfoncés dans sur ses épaules je suis ce galop infernal qui m'emporte au ciel. Ma tête tourne les étoiles envahissent mes yeux. Je l'entend râler sa semence se mélange à ma mouille. Il s'allonge à côté de moi m'embrasse me dit que je suis encore plus belle après l'amour, et si j'ai apprécié ? Je réponds oh oui ! Il me tourne sur le côté se place derrière moi et je sens de nouveau l'engin à l'entrée de ma fente je pousse un non plus plus mais il est déjà dans la place et c'est reparti pour un tour ses deux mains empoignent mes seins et la chevauchée repart de plus belle, il m'entraîne vers une nouvelle jouissance, il est insatiable, dès qu'il sent que ça vient il ralentit s'arrête et repart de plus belle, par surprise il pince doucement mes tétons je crie de plaisir. Il me défonce mais c'est tellement bon. Cela à duré jusqu'à 17h 30 dans plusieurs positions. J'ai été obligé de mettre d'y mettre fin ne voulant surtout pas prendre de risque. Avant de partir il m'a embrassé passionnément m'a dit que si j'ai apprécié je peux le rappeler. Ensuite j'ai pris un bain bien chaud, j'étais épuisée cassée mais heureuse d'avoir enfin découvert ce que baiser voulait dire. Quand je suis sorti de la baignoire j'étais une autre femme. Depuis deux mois se sont écoulés, nous faisons l'amour une fois par semaine mais c'est pas un petit vite fait. Je fais maintenant des choses dont j'avais honte rien que d'y penser. J'ai pas besoin de vous dire que mon mari ne s'est aperçu de rien du tout.


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Histoire envoyé par Marie-Jo le 02 03 2021

Je suis une chasseuse.

Marie-Jo 45 ans, 1m60 pour 60 kilos cheveux châtains clair, marié deux enfants, quand je dis marié je devrais plutôt dire mal marié car mon mari est plutôt fainéant du côté sexualité. Encore une fois ce matin il m'a prouvé a quel point il pouvait être un goujat, alors que gentiment je lui demandais un câlin il m'a répondu que ce n'était pas le moment qu'il devait aller travailler. C'est ainsi que je suis très souvent en manque et à la recherche d'une âme charitable pour apaiser ma libido. Comme j'habite dans la banlieue d'une grande ville du centre du pays je n'ai que l'embarras du choix pour mes lieux de chasse. Ma préférence, les centres commerciaux, les supermarchés et tous les magasins de ces zones commerciales. Mon jour, le lundi car je ne travaille pas ce jour là. Quelques fois cela va très vite et d'autres je rentre bredouille avec comme seule issue mon godemichet.
Ce jour là après deux heures de recherche en faisant mes courses, je n'ai rien vu d’intéressant, que des hommes beaucoup plus âgés avec qui je n'ai pas le feeling. Je suis sur le point de partir quand je reluque un type de cinquante ans environ bien sur lui, il a l'air de me mater en douce, alors pour avoir confirmation, je suis dans une allée devant les biscuits secs, je me fléchis sur mes genoux pour atteindre le rayon le plus bas puis lorsque j'ai les cuisses un peu écartées je me tourne vers lui comme s'il je ne l'avait pas vu. Il se rince l’œil faisant semblant de rien. Après quelques secondes je me relève et file au fond du magasin au rayon livres. Je le surveille du coin de l’œil il me suit discrètement. Arrivé devant le rayon je cherche les livres érotiques et fait semblant de m'y intéresser. Il est là à moins de trois mètres de moi, il est pas mal malgré son petit ventre rond, je me retourne vers lui et lui demande vous aimez cette littérature ? Il bégaie euh euh surprit par ma demande il répond oui comme tout le monde et vous ? La ayant féré le poisson je réponds j'adore même si ce n'est pas aussi bien qu'en vrai. Il me sourit, certain d'avoir trouvé de quoi passer un bon moment. Il se présente Jacques, moi Marie-Jo. Il m'invite à prendre un café dans la galerie marchande. Il me baratine avec des choses sans intérêt alors je prends l'initiative. Vous avez certainement comprit que je cherche à passer un bon moment comme vous d'ailleurs, alors ne perdons pas de temps.
Lui - Vous n’y allez pas par quatre chemins.
Moi - Je sais ce que je veux. J’aime baiser et je le dis, ça vous dérange?
Lui - Mon dieu non, bien au contraire, je trouve ça très excitant.
Vous voyez Jacques, nous sommes vraiment fait pour nous entendre, non? Alors ?
Il se leva et me dit on va chez moi j'habite à dix minutes. Le temps de déposer mes achats dans la voiture, je monte dans la sienne et en route. Une fois arrivés chez lui je me jette sur lui commence à défaire le bouton de son jeans et la fermeture éclair pendant que lui enlève mon corsage et libère mes seins de leur prison, puis il fait glisser ma jupe pendant que je finis de le mettre à poil, puis il me renversa sur le canapé et entreprit de me faire un cunnilingus en malaxant mes seins en même temps, cette fois je vois toute suite que je suis bien tombé, c'est loin d'être toujours le cas, lui c'est un vrai professionnel, doux pas pressé, il sait ce qu'il veut et ou il va. Je ahane et gémis de plaisir je crie oh oui bouffe moi bien c'est trop bon j'aime oh oui il me fit rapidement mouiller et prendre mon premier orgasme. Je suis comblé quand il me présente sa queue pour la sucer, ce que je fais avec beaucoup d'amour en massant ses coucougnettes, pendant ce temps il joue avec mes tétons qui commencent à me faire mal. Lui gémit de bonheur pendant que je m'active sur sa tige tendue. Soudain il me prend la tête se raidit et se vide dans ma bouche. Je le prend en main le masturbant doucement puis je m'allonge sur le canapé
les cuisses grandes ouvertes, je m'offre à lui entièrement pour une saillie qui j'espère sera aussi exceptionnelle que les préliminaires. Je n’en peux plus d'attendre, j'ai faim de cette queue arrogante, prends moi maintenant, baise-moi, criais-je. Il me plante et me pilonne de plus en plus fort, moi j'implore. Oui oui encore encore Vas-y, à fond, plus fort, défonce-moi plus profond. Je le saisit par ses fesses et l’attire encore plus à moi. Je mouille tellement que le clapotis de ma mouille dans ma chatte est obscène mais bougrement excitant. Mais le pilonnage en règle ne me suffit pas à me rassasier. J'en veux encore plus, je suis une gourmande de queue, j'aime ça et j'en veux toujours plus Je me relève, le fait asseoir sur le bord du canapé, je l'enjambe et je m'empale sur lui en guidant sa queue dans mon antre en feu, mon dos contre sa poitrine. Il entre en moi jusqu’à la garde.
Je monte et descend sur mon pieu tendu à l’extrême. Je suis comme folle je crie pousse des ohohohouiouiouioui sa queue me rend dingue, je crie et hurle de bonheur. Il tient mes seins à pleines mains, je rebondis sur ses cuisses, il me baise comme un dieu, sa queue me défonce j'aime ça. Je ne sais pas combien de temps il tiendra mais j'en veux encore et encore je criais de bonheur au rythme de ses coups de bite. Puis je décide de changer de positions, je veux qu'il me prenne par-devant, par derrière, à quatre pattes sur le canapé ou penchée sur le fauteuil. J'en veux toujours plus. Ma chatte est toujours insatisfaite malgré son sacré coup de rein. Cela dura deux heures. J'ai eu de multiples orgasmes certains très forts, voir violents. Je finis complètement groggy et anéantie. Ensuite il m'a ramené à ma voiture, m'a remercié du bon moment que je lui ai fait passer. C'est le premier à qui j'ai demandé son téléphone car j'ai très envie de renouveler l'opération. Enfin un qui est à la hauteur. ​


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Histoire envoyé par Florence le 20 02 2021

Baise avec mon beau-frère.

Florence 45 ans mariée, cheveux bruns mi longs, yeux noisettes, des formes qui ne laissent pas indifférent les hommes, 95 c de tour de poitrine et une toison toute à fait naturelle. Depuis mon mariage j'ai le béguin pour mon beau frère Yvan qui a 35 ans n'est pas marié, c'est le plus jeune de la fratrie 12 ans de moins que mon mari. Tout le monde sait qu il couche avec tout ce qui bouge. Il me tourne autour gentiment mais je vois bien qu'il n'a qu'une envie, la même que la mienne. Pour moi malgré mon attirance et mon envie de baiser avec lui je freine et garde un peu mes distances même si je sais qu'un jour ! Depuis déjà longtemps on joue au chat et à la souris lors des repas de famille et d'autres occasions. Comme je m'habille souvent en jupe courte ou robe. Il me met en boîte discrètement sur mes tenues olé olé comme il dit. Un jour même il a cherché à dégrafer mon soutien-gorge alors que je portais un léger chemisier. Une autre fois lors d’un repas de famille j’étais en jupe courte et collants noirs à motifs, assise entre lui et mon mari, mes cuisses largement dévoilées par ma jupe, il à posé à maintes reprises sa main sur ma cuisse et même après l’avoir repoussé gentiment il à continué, j'ai fini par céder car je n'avais qu'une envie qu'il monte plus haut. Les semaines ont passées, un jour ou je ne travaillais pas, seule à la maison je faisais du repassage, il faisait chaud, je n'avais sur le dos qu'une petite robe légère à bretelles nouées sur les épaules et une culotte brésilienne quand on frappa à la porte. J'allais ouvrir et me trouvais nez à nez avec Yvan mon beau frère qui me raconta qu'il était dans le quartier alors il est passé par hasard, bien sur je n'en ai pas cru un mot. Je le fais entrer il me fait la bise en me caressant les fesses comme toujours, mais là il me serra dans ses bras, je sentis aussitôt une grosseur contre mon ventre.. je me détache et file en direction du salon, il est juste derrière moi il me dit comme ça tu es encore plus belle que d'habitude et en même temps il glisse ses mains sous les bretelles de ma robe empoigne mes seins se serre contre moi m'embrasse dans le cou puis doucement me retourne et m'embrasse sur la bouche, il me roule une pelle comme on dit tout en dénouant les bretelles de ma robe qui glisse à mes pieds. Je me retrouve les seins nus, juste en culotte au milieu du salon. J'ai la chatte en feu, ses doigts dans ma culotte pour ‘jouer avec les poils de ma toison. Je lui lance : Tu as envie de me baiser salaud ? il répond j’ai toujours eu envie de te baiser tu es trop belle. Je touche sa queue par dessus le pantalon il était déjà dur. Il fouille un peu plus dans ma culotte et enfila deux doigts dans ma chatte déjà trempée de désir, je mouille, je suis toute excitée Je le déshabille à mon tour par ce que je veux être nue contre lui, sentir sa queue contre mon bas ventre. Tandis que j’ôte ses vêtements et quand le slip tombe à terre, il fait glisser ma culotte. Il est tout dressé je le caresse doucement pendant qu'il joue avec mes tétons puis je m'agenouille devant lui pour le caresser d’abord avec mes doigts, le décalotter et je pose un baiser sur son gland avant d’y passer ma langue. Je le prend à pleine bouche et je le suce profondément tout en lui caressant les bourses. Sa queue tressaute dans ma bouche tellement il est tendu. Je le suce l'aspire car je suis une gourmande de la pipe. J'y vais de plus en plus fort je ne tarde pas à le faire gicler il râle et se redresse en me serrant la tête. J'avale tout puis le lèche jusqu'à la dernière goutte. Le temps qu'il reprenne ses esprits je suis déjà allongé sur la table cuisses écartées, chatte béante, mouillée prête à l'emploi il me fait remarquer qu’il aime les poils noirs de ma toison, que ça l’excite. Je sens aussitôt sa queue me pénétrer jusqu'à la garde, il s'arrête s'allonge sur moi et m'embrasse goulûment puis reprend son action, il me baise à la hussarde, je ne tarde pas à prendre un pied d'enfer. Le salaud y va de bon cœur il va me défoncer la chatte, je crie , je jouis me cramponnant à lui pour le garder en moi. Bon dieu que c'est bon. Il m'emmène au septième ciel comme jamais de ma vie, je suis au bord de l’évanouissement quand il m'envoie la purée. Il tombe sur moi je passe mes jambes autour de sa taille pour ne rien perdre de ce moment fantastique. Depuis le temps que j'attendais ça. Il se rhabille me fais un câlin et me dit tu es très bonne je reviens quand tu veux pour aller un peu plus loin si ça te dit. Il s'en va sans se retourner. Je reste assise sur le bord de la table en souriant quel pied j'ai pris. Un moment après sous la douche je suis tellement excité que je me fais encore jouir en pensant à cette queue qui m'a si bien ramoné.


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Histoire envoyé par Stéphanie le 14 02 2021

Merci la pandémie.
Stéphanie 46 ans je suis marié depuis 15 ans, j'ai eu deux garçons, je travaille dans les bureaux d'une grande brasserie du sud ouest. Comme beaucoup de gens me suis retrouvé au chômage cause à cette pandémie qui n'en finit pas. Cloîtrée chez moi je broie du noir et suis au bord de la dépression, donc j'ai décidé suite aux conseils de mon docteur de faire de la marche pour perdre les kilos que j'ai en trop car le régime qu'il m'a donné et que je subis depuis deux mois ne fait pas grand chose, pourtant je le suit à la lettre. Comme j'ai la chance d'habiter à la campagne tous les matins et après midi je pars marcher deux heures. Pour moi c'est un vrai calvaire car je n'ai jamais fait de sport. Je suis une femme ronde depuis mon adolescence en en plus très complexé. Ce matin là quand je pars pour mon calvaire quotidien je croise devant chez moi mon voisin bien sympa avec qui je parle de temps en temps. C'est un homme d'une cinquantaine d'années, la conversation s'engage et il me dit tient vous allez vous balader ce matin. Je lui réponds que je vais pas très bien, que le médecin m'oblige à marcher tous les jours pour perdre du poids et que moi je n'aime pas ça. Il rit et répond pourquoi cette torture vous devriez vous renseigner sur internet une étude dit que faire une heure de sport en chambre équivaut à six kms de course à pieds. Je le regarde ébahie et lui répond n'importe quoi ! Et voyant qu'il se fout de moi je file mon chemin. De retour deux heures plus tard il sort de chez lui en me voyant passer. C'est vrai ce que je vous ai dit regardez vous m'en reparlerez. Je rentre chez moi en haussant les épaules. L'après midi il fait bon je repars. Le soir après avoir pris ma douche je ne sais pas pourquoi, je vais sur internet et effectivement en fonction de mes recherches on dit que une bonne partie de sexe peut faire perdre beaucoup de calories en fonction de la puissance de l'effort consenti. Je me marre et vais regarder la télé. Deux jours plus tard en sortant de chez moi le voisin me hèle pour venir marcher avec moi. Je souris et répond si vous voulez mais vous allez être déçu car je ne marche pas vite. Tout au long du chemin il ma fait du rendre dedans discret et en douceur mais il me l'a bien fait comprendre. J'ai fais mine de rien. Avant de se séparer il me demande s'il peut venir demain ? Je lui répond comme il veut. Le lendemain lorsque je sors il m'attend pour aller marcher. Je m'habitue à sa drague gentillette, il est plein d'humour et surtout il a l'air très câlin. C'est mon voisin et pourtant je ne sais rien de lui, à part qu'il vit seul veuf suite à un accident de la route. Mais en marchant il me raconte un peu sa vie, qu'il à une grosse entreprise de bois, qu'il aime marcher et faire du sport, mais la conversation revient souvent indirectement sur la sexualité, il me reparle de cette phrase qui m'avait tant étonné faire du sport en chambre. Je ne sais pas pourquoi je me suis lâché : c'est pas facile de faire ce genre de chose quand vous avez un partenaire qui fait du sport devant la télé et qui va à la pêche le dimanche, qui se couche quand je suis endormie et puis à mon âge ! Là il éclate de rire et me raconte qu'il va quelques fois dans des clubs libertins et qu'il y voit des femmes bien plus âgées que moi, que finalement je suis encore pour mon âge bien foutue malgré mes kilos, que certainement je pourrais faire envie à beaucoup d'hommes et à lui en particulier. Je m'arrête de marcher me retourne vers lui, le regarde dans les yeux en disant mais tu es complètement fou, et je repars de plus belle. Il me rattrape par le bras me tire contre lui et m'embrasse à pleine bouche. J'ai une seconde d'hésitation ou je le repousse puis je fond, sa langue cherche la mienne collé contre moi je ne tarde pas à ressentir les premiers émois. Heureusement que nous sommes au milieu de la campagne dans un chemin de terre ou il ne passe personne. Je suis vite dépassé par les événements, depuis le temps que je n'ai pas ressentis une chose pareille. Ces mains courent sur mon corps, je suis pleine de frissons, je ne sais plus ce qui m'arrive. Quand il relâche son étreinte je ne sais plus ou j' habite je suis perturbé car jamais je ne me saurais cru capable de ça. Je tente une diversion, tu es fou j'aurais pas du me laisser entraîner. Il me répond si tu l'a fait c'est que tu en avait envie, peut être que cela te ferait beaucoup de bien de t'éclater un peu, de te lâcher et surtout de te faire plaisir. J'étais tellement perturbé que j'ai fais demi tour et suis rentré seule chez moi. Une fois rentré j'ai pris une douche pour me remettre les idées en place je n'arrivais pas à croire que j'ai pu le laisser faire et participer à ce corps à corps qui m'a déboussolé. Je me suis caressé sous la douche et pour la première fois de ma vie je me suis aperçu que je pouvais ressentir quelque chose. Ensuite au coin de ma fenêtre je l'ai surveillé, quand il est entré chez lui il a longuement regardé de mon côté. A partir de ce jour je n'ai plus été la même. Je pense à ses caresses sur mon corps à travers mes vêtements qui m'ont chamboulé. Je suis prise entre le non tu dois pas et l'envie folle de faire l'amour avec lui. Même mon mari s'est aperçu que j'avais changé, il m'a fait des réflexions à propos que j'ai l'air absente quand il me parle. J'attends tous les matins pour aller me balader en espérant qu'il viendra mais depuis trois jours personne. Je suis un peu désabusé. Le week-end arrive et je ne l'ai pas revu. Le lundi après midi lorsque je pars j'entends qu'il m'appelle il est devant sa porte, me fais signe de venir. Je tourne la tête à droite et à gauche personne je fonce à la porte resté ouverte j'entre, il me dit je t'offre un café avant d'y aller. Me voilà assise à la table de la cuisine assise à côté de lui à boire le café, il me raconte que ces derniers jours il était en déplacement pour son travail, qu'il regrette que je sois parti comme une voleuse l'autre jour. Sa main se pose sur ma cuisse je sursaute le regarde et tout par en vrille il m'embrasse et commence à me caresser, sa main passe sou mon tee-shirt et caresse ma poitrine son autre main s'active entre mes cuisses. Je sais plus ou j'en suis, je cherche son sexe que je sens sous son short il est gros et dur. Il se lève m'entraîne avec lui dans la chambre ou il me déshabille sans que je fasse la moindre chose pour l'empêcher. Je suis rapidement couché nue sur le lit, il entreprend de me lécher les épaules les joues puis m'embrasse et continu à courir sur mes seins, mes tétons qui durcissent et me font vite mal ses doigt jouent avec mon intimité qui est déjà toute humide, quand sa bouche touche mon sexe je hurle en serrant les cuisses ses mains caressent ma poitrine, sa langue ma fente, je suis perdu je n'ai jamais ressenti ça je mouille comme jamais. Quand sa langue entre au fond de mon intimité je pousse des ohohoh nononon, ses doigts roulent mon bouton je crie je masse mes seins en écartant les cuisses je suis prise d'une sensation inconnue. C'est bon c'est trop bon. Cela dure une éternité il me mange la minette comme un fou je suis dans les étoiles jusqu'à ce que j'explose en serrant les dents pour pas hurler. Il lèche et boit ma liqueur. Puis d'un coup se remonte et me prenne d'un coup je pousse un anananan son engin me taraude doucement d'abord puis de plus en plus vite, je m'accroche à tout ce que je trouve, il me baise comme personne, son mandrin me défonce mais c'est tellement bon je lève mes jambes pour mieux qu'il entre au fond. Il s'active en moi, ses coups de reins me secouent je prends un pied d'enfer, puis soudain il se cabre contre mon ventre, sa queue se redresse dans ma minette je sens les giclées qui arrosent les parois de mon vagin. Je jouis en même temps que lui. Il m'embrasse et me dit tu crois pas que c'est mieux que de marcher. J'éclate de rire et répond oui tu as raison. Puis il me retourne me fait mettre à genoux sur le lit et il me prend par derrière, sa queue me remplit, je le sent encore mieux, il recommence ses va et vient en me tenant par les hanches, il me besogne avec beaucoup de vigueur, moi qui croyais que ça retombait toujours après je suis pas déçu, le salaud me baise comme un forcené et je trouve ça bien je l'encourage en ahanant et poussant des oh oui oui encore ohohoh. Je suis au bord de l'apoplexie je transpire comme une bête je crie de plaisir quand soudain il empoigne mes seins me redresse contre lui et jouit encore dans mon intimité. Je m'écroule sur le lit ko. Cette chevauchée vaut bien deux heures de marche. Un moment plus tard il lèche mes tétons et me dit quand pense tu? Tu viens faire ta marche tous les jours chez moi? Ce sera un vrai plaisir pour moi de faire retrouver le bonheur de vivre. J'ai accepté le marché et maintenant je baise chez le voisin au moins quatre fois par semaine, j'apprends beaucoup, j'ai pas perdu de poids mais moralement je vais beaucoup mieux et suis épanouie.

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Histoire envoyé par inconnu le 10 02 2021

​Les intempéries ça à du bon.

je suis un homme de 35 ans marié qui vit dans le nord pas de calais, je suis gardien dans une entreprise et je travaille toujours de nuit, je finis mon service à sept heures du matin. Ce matin là comme tout les jours je rentrais avec ma voiture, il avait neigé et la route était glissante, je roulais doucement, j'étais à quelques centaines de mètres de chez moi quand soudain sur le trottoir une femme s'affale de tout son long, je m'arrête descend une vraie patinoire je manque de m'affaler. Tant bien que mal je me rapproche et reconnais Murielle une femme du quartier qui à un certain âge. Elle ne bouge pas mais elle parle me dit j'ai glissé j'arrive pas à me relever, je lui demande si ça va elle me répond aide moi plutôt je vais pas rester là toute la journée. La tache s'annonce ardu car elle un peu ronde donc lourde et mes pieds patinent sur le verglas du trottoir. Après plusieurs essais infructueux je passe mes bras autour de sa taille sous les siens et doucement arrive à la relever, elle me regarde me dit heureusement que tu passe par là. Je lui réponds que je vais la raccompagner, Je la traîne comme je peux jusqu'à ma voiture la dépose dedans. Dans l'opération pas facile mes mains s'égarent sur sa poitrine, elle est plutôt bien équipé la Murielle. Je ramasse son sac avec son pain car elle venait du boulanger et la ramène devant chez elle deux cent mètres plus loin. Encore une galère pour la sortir de l'auto d'autant qu'elle se plaint de la jambe et de la cuisse. Alors même opération je l'empoigne comme je peux elle se tortille en ronflant qu'elle à mal,je la serre dans mes bras la soulève et arrive finalement à la hisser hors de l'auto mais le plus dur reste à faire vingt mètres sur la patinoire et entre les voitures. De ma main droite je porte le sac, l'autre bras au tour de sa taille je la maintiens et la porte doucement jusqu'à porte, trois marches à monter, elle pèse et j'ai de la peine à la tenir une, deux à la troisième elle flanche se couche contre moi je l'agrippe comme je peux et la elle gueule c'est pas là que j'ai mal mais à la jambe. Eh oui je tenais à pleine main un de ses nichons. Enfin dans l'ascenseur elle se cale contre le mur je reprends mon souffle. Elle me dit si je ne te connaissais pas je penserais que tu voulais me peloter, c'est pas ça quand même ? Et moi tout penaud je réponds parce que tu crois que je l'ai fait exprès, excuse moi. Elle sourit et continu : ton calvaire n'est pas fini il faut encore que tu me rentre chez moi. Enfin nous voilà dans le salon, je l'aide à enlever son manteau avant de l'asseoir dans un fauteuil. Elle reprends son souffle et ses esprits puis me dit je vais me déshabiller et aller m'allonger. Elle essaie de se lever doucement puis essaie de marcher tant bien que mal, je la soutien et l'accompagne jusqu'à sa chambre ou debout elle commence à dégrafer sa robe qui tombe sur le sol, elle se plaint de la jambe droite et de sa hanche, elle est devant moi en collant noir, elle me demande de l'aider à enlever son pull en laine puis elle s'allonge avec mon aide sur le lit. Elle essaie de plier sa jambe doucement, ça a l'air d'aller si ce n'est que c'est douloureux. Elle essaie d'enlever son collant sans se préoccuper le moins du monde de moi. Je dois encore l'aider. Je me retrouve avec une femme d'un âge en culotte et soutien-gorge devant moi. Elle me demande alors d'aller dans la salle de bain de prendre dans l'armoire a gauche un tube de pommade Voltarène pour masser son côté droit. Je lui donne le tube et lui dit que je vais partir que je repasserai plus tard. Elle répond non non tu me masse d'abord et après tu partira. Dans quelle galère je me suis mis. Je quitte mon blouson vais me laver les mains et me voilà improvisé masseur. Elle me montre ou elle à mal et je m'active depuis le genou, la cuisse et le flanc jusqu'à sous la poitrine. Parfois elle gueule parfois elle soupire et gémit, j'ai presque passé le tube quand elle me dit bon ça va aller maintenant, merci tu as été super. Si tu pouvais passer à la pharmacie pour en acheter un autre et me l'apporter dans l'après midi. Elle me donne sa clé. Je lui dit OK je l'aide à se couvrir et me sauve dormir car je suis crevé. Vers dix sept heures je vais acheter son tube et retourne chez elle, lorsque j'arrive devant la porte de la chambre je tape et entre. Elle me dit j'ai essayé de me lever mais j'y suis pas arrivé je veux aller aux toilettes. Je l'aide à y aller et la raccompagne sur le lit, je lui donne le tube et m'apprête à repartir quand elle me dit tu masse bien alors recommence. Je reprends le massage d'abord elle se met sur le dos, puis sur le côté et ensuite sur le ventre. Elle me demande de bien la masser au dessus des fesses et sur tout le dos, elle semble apprécier car elle ronronne doucement. Quand je vais m'arrêter elle se remet sur le dos et demande que je lui fasse aussi la cuisse et le côté. Avec mes deux mains je m'évertue sur cette cuisse grassouillette en remontant du genou à la lisière de la culotte. Les yeux fermés elle soupire doucement lâchant de temps en temps un petit cri quand je passe sur une zone un peu bleue. Une fois terminé elle me remercie me demande de l'accompagner à la cuisine car elle voudrait bien manger avant de se rallonger. Comme j'ai encore du temps avant d'embaucher, je reste avec elle pendant qu'elle grignote, on cause de choses et d'autres j'apprends que son mari travaille en ce moment dans le sud de la France qu'il ne rentrera que fin de semaine prochaine. Finalement je la trouve très sympa et lui propose de repasser demain matin quand je rentrerai. Puis je la raccompagne au lit et m'en vais travailler. Le lendemain vers huit heures je me pointe chez mon accidenté pour voir comment elle va. Je tape et entre dans la chambre elle à l'air un peu mieux. Elle me demande de l'aider à se lever et de l'accompagner à la salle de bains car elle veut se doucher avant le massage. Elle marche un petit peu mieux, une fois dans la douche je fais mine de m'en aller, elle me retient en disant reste on ne sait jamais, elle dégrafe le soutien gorge et laisse tomber deux énormes nichons tout blanc, jamais vu de si gros. Puis tombe la culotte je tourne un peu la tête par pudeur pour elle. Elle rit en disant t'a quand même déjà vu une femme nue, non ? L'eau coule. Je suis comme un benêt à attendre la fin ne sachant pas s'il faut regarder ou pas. Cela dure quelques minutes puis elle me demande la serviette et commence à s'essuyer, elle me la tend ensuite pour lui faire le dos. Maintenant cela commence à devenir chaud car voir cette femme nue devant moi. Mais bon je frotte le dos et les fesses puis les cuisses qu'elle écartent me faisant comprendre qu'il faut passer par la. Puis elle se retourne et entreprend de sortir de la douche. Je suis face à une paire de nichons énormes, une touffe de poils frisés, des cuisses bien rondes elle me regard en souriant. Je la soutien jusqu'à son lit ou elle se couche nue et me demande encore de la masser. Je ne sais plus si je dois le faire ou fuir à grands pas? Elle est là sur le dos cuisses écartées me tendant le tube de pommade. Je ne résiste pas. Je vais me laver les mains et je commence, elle n'a vraiment aucune gêne elle me regarde en souriant puis elle lance tes mains me font tellement de bien. Me revoilà dans le rôle du masseur mais avec en plus la trique car voir ses nichons, sa chatte entre ouverte et son âge une bonne soixantaine je bande comme un âne. Je m'applique sur la cuisse, une main à l'extérieure une à l'intérieure je monte et descends pour bien appliquer la pommade, elle se détend complètement, les yeux fermés elle soupire doucement, ses cuisses s'ouvrent un peu plus lorsque le dos de ma main touche ou effleure sa vulve, elle gémit et m'encourage. Elle est entrain d'y prendre goût je crois qu'elle va se mettre à jouir dans pas longtemps, je continu en m'occupant surtout du haut de la cuisse puis je passe à l'autre sans qu'elle ne dise mot et ne réagisse, ma queue me fait mal je crois que je vais tout envoyer. Est ce une transmission de pensée elle écarte encore plus les cuisses et sa main vient se poser sur ma braguette. Je l'entends dire tu bande mon coquin, tu te ferait bien la vieille ! La j'en peux plus je me lève baisse mon pantalon et mon slip et lui présente ma queue devant la bouche. Elle la prend dans une main le regarde et l'engouffre dans sa bouche, elle me pompe habillement pendant que je pétris ses deux nichons dont les tétons sont devenus durs. Il ne lui faut pas longtemps pour arriver à ses fins je lui explose dans la bouche en râlant comme un dingue. Je me redresse vais à la salle de bains me laver les mains et je reviens car je n'ai pas envie d'en rester là. Elle est toute souriante, elle se caresse les seins je vois sa fente luisante de mouille. Je m'installe entre ses cuisses et entreprend de la lécher, aussitôt elle dit oh oui j'aime ça bouffe moi bien la chatte fait moi jouir j'ai envie. Ma langue glisse sur la fente et joue avec son bouton pendant que mes doigts la fouillent par moment elle pousse des ah car sa cuisse lui fait mal mais elle mouille comme une fontaine et m'encourage pour continuer. Le la suce et la lèche jusqu'à ce qu'elle crie de plaisir, elle m'inonde la bouche avec son jus, sa chatte se colle à ma bouche, ses deux mains emprisonnent ma tête jusqu'à la fin de son orgasme.Tout de suite après elle me dit prends moi mais fait attention à ma jambe. Je m'installe comme je peux en faisant doucement, ma queue entre en elle, elle ohohohouiouioui elle est bonne oui baise moi bien. Je la pistonne doucement au début et de plus en plus vite et fort. Elle suit le mouvement et repart pour un deuxième tour encore plus fort que le premier. Elle crie ouiouiouioui arrose ma chatte salaud rempli la. Cela m'excite et je me vide en elle, ma queue tremble dans on intimité. Je me retire le plus doucement possible. Je lui lèche les tétons en tournant ma langue sur le bout. Elle me supplie d'arrêter pour aujourd'hui. Elle me roule une pelle puis me dit laisse en un peu pour demain, je suis sur que j'aurai encore envie. Le lendemain et les 10 jours suivants jusqu'au retour de son mari j'y suis retourné et l'ai baisé dans tous les sens et partout.

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Histoire envoyé par Thibault le 07 02 2021

Clarisse la copine de maman
A vingt deux ans, Thibault fils unique, toujours célibataire malgré de nombreuses conquêtes féminines, je vis toujours chez mes parents, j'y suis bien c'est la facilité, je travaille comme vendeur dans un centre commercial ou je gagne bien ma vie, cela me permet de mettre un peu d'argent de côté et puis je suis très fusionnel avec ma mère. C'est vrai je reconnais facilement que je suis plus attiré par les femmes matures que par celles de mon âge, je crois d'ailleurs que c'est uniquement la raison pour laquelle je n'ai pas de petite amie à titré. Je les trouve plates et sans attrait, elles sont sympa, belles et intelligentes mais elles n'ont rien de sensuelles. Moi j'aime les femmes qui savent ce qu'elles veulent, qui s'habillent sexy, qui ont des rondeurs et surtout qui me font voir qu'elles sont susceptibles de vouloir du sexe. De ce côté la j'ai depuis longtemps un fantasme, la copine de ma mère Clarisse qui malgré ses 50 ans bien entamés me mets dans tous les états chaque fois que je la voit. Elle vient souvent à la maison pour voir ma mère, elles sont copines depuis le lycée. Mais depuis plus d'un an maintenant je me suis aperçu qu'elle à changé d'attitude envers moi, elle s'arrange toujours pour venir quand je suis là, et toutes les occasions sont bonnes pour me toucher, se frotter quand on se fait la bise, elle me regarde droit dans les yeux en croisant et décroisant les jambes quand ma mère n'ai pas à côté. Enfin plein de petites choses qui me mettent en émoi. Cela dure depuis trop longtemps maintenant j'ai décidé de rentrer dans son jeu même si je pourrais être son fils, elle me plaît et j'ai envie d'elle, de sa belle poitrine opulente, ses belles jambes et ses petites rondeurs et puis j'ai eu l'occasion plusieurs fois de voir sous son tailleur des bas noirs ou blancs avec des porte-jarretelles et dans son décolleté des dentelles qui me rendent fou. Quand elle vient pour manger le dimanche elle s'arrange toujours pour être à côté de moi. Elle prend un malin plaisir à frotter sa cuisse contre la mienne sous la table, son pied joue avec le mien ou sa main s'égare sur ma cuisse en me regardant du coin de l’œil. Moi je bande sous la table m'imaginant plein de trucs. Mais l'histoire à vraiment commencé le soir de Noël dernier, comme elle vit seule ma mère l'a invité à passer la soirée avec nous, nous serons donc six car ma tante et mon oncle viennent aussi. Quand elle arrive je suis électrisé par sa beauté. Elle est habillé comme d'habitude, avec beaucoup de goût. Elle porte un tailleur gris composé d'une jupe courte et serrée qui mettait bien en valeur ses courbes, une veste assortie, un corsage écru avec en transparence un soutien gorge mauve violet, avec ses talons haut wouah elle est super. Elle me fait la bise et murmure à mon oreille comment va mon petit chéri ?Tout de suite ma température monte. Après quelques palabres au coin de la cuisine ma mère nous installe pour l'apéro, nous parlons tous gaiement autour de la table. Elle est à côté de moi comme d'habitude, j'ai l'impression qu'elle veut marquer Noël car très vite elle passe à l'action avec sa main, puis la cuisse contre la mienne, dès que nous sommes seul elle me caresse et me pose des bisous sur le coin des lèvres, sa main appuie sur ma braguette et me dit mais tu bande petit coquin ! Là je n'en peux plus ma main glisse entre ses cuisses qu'elle écarte, tout de suite je sens la démarcation des bas et de sa peau, je suis comme fou. Mes parents reviennent de la cuisine et ça coupe court à tout. A la fin du repas nous sommes tous gais, ça rigole bien. Elle est maintenant collé contre ma chaise, ma main à retrouvé le chemin de ses cuisses, sa jupe remonté au maxi, personne ne peut rien voir car mes parents sont en face de l'autre coté de la table, ma tante au bout à côté de ma mère et mon oncle à l'autre bout à côté de mon père ce qui fait qu'il parle souvent ensemble sans se préoccuper de nous. Soudain mes doigts découvrent son entrecuisse sans culotte, après un instant d'hésitation mes doigts cherchent et trouvent facilement la douce fente humide, elle serre les cuisses, je retire ma main car ma mère regarde en parlant à Clarisse. On en termine avec le repas on attaque le champagne et le gâteau.Tout le monde rigole l'ambiance est super. Elle s’approche de moi, collant ses gros seins généreux contre mon épaule et me murmure dans l’oreille qu’elle à envie de faire l'amour, qu’elle aime toujours à son âge faire l’amour. Sa main presse ma queue et se dandine dessus. Je n'en peux plus je me tortille, je sens soudain ma jouissance partir dans mon slip. Elle me sourit et reprend sa place en discutant avec ma mère et ma tante. Je me lève, vais dans la salle de bain pour me nettoyer. Quand je reviens elle est seule, elle me regarde me fait un clin d’œil et me dit en douce j'espère que ça t' a fait du bien, vient chez moi demain après midi, je suis comme toi j'en peux plus. Ici ce serait pas prudent. Nous finissons la soirée gentiment. Vers deux heures tout le monde s'en va. Je vais me coucher. La nuit fut difficile j'ai pensé à elle tout le temps regardant sans cesse l'heure, j'ai hâte d'y être. Après le repas de midi je me rends chez Clarisse en toute hâte. Lorsque la porte s'ouvre, mes yeux se sont écarquillés, elle est en nuisette transparente, elle est juste en string et soutien gorge. Elle ferme la porte, me prend dans ses bras en disant je te plaît comme ça ? puis elle m' embrasse comme aucune fille ne l'avait jamais fait. Je sens son opulente poitrine contre mon torse, son ventre contre ma queue déjà en érection. Très vite elle m'entraîne dans sa chambre et doucement me déshabille en m'embrassant partout à mesure qu'elle découvre mon corps, elle est s'assoit au bord du lit et me prend en bouche lentement en tournant sur mon gland, jamais ne n'avais ressenti pareille émotion. Mes mains courent sur son corps, je ne mets pas longtemps pour me débarrasser de cette pourtant belle nuisette devenu trop gênante, Je vois pour la première fois son corps presque nu, wouah qu'elle est belle, c'est une vraie femme, je m'attaque au soutien gorge qui tombe sur le sol, je caresse pour la première fois ses admirables globes de chaire qui m'ont tant fait fantasmé, mes mains caressent son dos et ses hanches, je suis dans un autre monde. Elle s'active sur ma queue, elle l'enfonce au fond de sa gorge je suis au bord de l'explosion quand d'une main elle titille un de mes tétons, je pousse un râle me raidis en nonononon et pour la première fois de ma vie je jouis dans la bouche d'une femme. Elle me garde en me tenant la tête avec ses mains? Sa langue court sur ma queue de partout puis elle se renverse sur le lit en disant depuis le temps que j'attends ce moment chéri, je t'ai vu un jour de l'été nu sous la douche, dès que j'ai vu ta queue j'ai eu envie de jouer avec. Vient embrasse moi. Elle est là nue ou presque, posée sur son lit, seule un mince tissus transparent cache encore un peu son intimité apparemment épilée. Après un baiser fougueux, elle me dit chéri je suis toute à toi fais ce que tu veux de moi. Je plonge entre ses cuisses, retire doucement le string pour lécher sa belle chatte épilée. Une délicieuse odeur envahit mon nez et ma bouche. Aussitôt elle se met à soupirer et murmure des oh chéri oh oui c'est bon mon chéri. Ma langue sous les encouragements jouent avec son intimité, lèche de haut en bas puis pénètre et fouille partout, elle ahane de bonheur, j'aperçois pour la première fois un clitoris assez volumineux droit et dur qui m'invite à le sucer. Dès que je le touche elle pousse de petits cris et se tortille, ses mains tiennent ma tête. Puis d'un coup tout s'emballe elle se secoue pousse un ahahahahahaha et importante liqueur envahit ma bouche. Elle me rend ce que je lui ai donné tout à l'heure. Elle me tire sur elle, je me retrouve vite entre ses cuisses, ma queue tendue bat contre son pubis cherchant l'entrée de la grotte magique, tel deux aimants attirés l'un vers l'autre je prends possession de cette chatte inconnue elle pousse un ohohohhohoui, elle se love contre moi, ses mains plaquées sur mon dos, je ne bouge plus profitant de l'instant présent, son bassin ondule doucement contre le mien, elle soupire et gémit doucement, chéri oh chéri c'est bon c'est trop bon de te sentir en moi. Je me mets en mouvement doucement pour bien ressentir ce qui m'arrive. Elle s'active me montrant qu'elle veut plus. J'accélère en faisant des mouvements circulaires dans son intimité. Elle ne se contient plus elle ahane comme une folle en criant oui oui chéri continu continu tu va m'avoir oui ouiouioui elle se cabre contre moi passant ses cuisses autour de ma taille jamais je n'ai ressenti une telle possession, elle s'agrippe,encore plus à moi pendant que j'accélère mes coups de reins, elle crie de plaisir quand je lui donne ma semence par saccades. Elle se cambre violemment contre moi en râlant puis retombe anéantie. Je m'allonge à côté d'elle et nous restons un moment sans rien dire. Seul nos mains communiquent. Quelques instants après elle prends l'initiative, se penche sur moi m'embrasse à pleine bouche puis descend sur ma queue qu'elle suce de nouveau. Elle monte et descends sur mon pieux redevenu opérationnel, elle masse bien mes bourses les sucent en les aspirant puis lorsqu'elle juge que ça lui convient elle me pose une bise sur les lèvres et me dit Recommençons, mais cette fois-ci, prends-moi par-derrière ! Et elle se place à genoux sur le lit juste devant moi, je vois ses belles fesses rondes et bien lisses, quel cul ! Non vraiment je ne peu pas lui refuser ça avec en plus la vue de son œillet fripé qui accapare toute mon attention, je pose mes deux mains sur ses jolies fesses bien charnues, je les écartent. Mes doigts passent sur sa fente trempée et la pénètre elle pousse un ohoh de surprise, s'attendait elle à autre chose ? Aussitôt mes doigts glissent du bas vers le haut atteignent le petit trou ou le premier entre comme dans un moulin elle ohohoh oui c'est bon chéri, un deuxième rejoint le premier et vont et viennent doucement, elle gémit en tendant son derrière contre moi comme pour en demander un peu plus. De ma main libre je guide ma queue tendu vers la fente et la pénètre, elle crie je la besogne maintenant des deux côtés à la fois elle aime ça elle se secoue dans tous les sens en criant tu va m'exploser putain c'est trop bon vas y vas y vas y encore défonce moi bien oh oui oui oui oui. Je retire mes doigts et continu de la pistonner à grand coups de reins, elle secoue la tête dans tous les sens elle crie oui je viens chéri je viens, je la cramponne par les hanches me redresse contre ses fesses et me vide dans son intimité en râlant. Après un repos bien mérité elle se love contre moi et me dit tu sais mon chéri je regrette pas du tout tu m'a donné beaucoup de plaisir, ça valait le coup d'attendre, j'espère que tu va venir me voir souvent moi je vais plus pouvoir me passer de toi.


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Histoire envoyé par Agnès le 04 02 2021

Le cambriolage.
Je suis Agnès j'ai 54 ans, je suis divorcé depuis huit ans, je vis dans l'Ariège près de Tarascon , ma maison est situé un peu à l'extérieur dans un petit village. Un après midi ou je rentre chez moi je trouve une vitre cassé la porte ouverte et ma maison sens dessus dessous. Je suis effaré je me mets à pleurer en regardant les dégâts, je me reprends et appelle la gendarmerie. Une heure plus tard ils arrivent pour faire le constat. Je les laisse faire, je m'installe dehors sous mon figuier et j'attends qu'il ai fini leur boulot. Je suis ravagé et triste en pensant à tout le boulot que je vais avoir pour tout ranger et nettoyer. Je suis plongé dans mes pensées quand surgit Guy le voisin qui habite à quelques centaines de mètres, surpris de voir la voiture des flics. Il me demande ce qui se passe , je lui explique. Il regarde les dégâts et me dit t'inquiète pas je te donnerai un coup de main pour ranger. Il me prends dans ses bras pour me consoler car je pleure. Je suis dévasté par cet acte gratuit. Je n'ai pas de valeurs, ni bijoux ni argent, mais tout est par terre ils ont vidés tous mes placards et penderie toute mes fringues renversées, mes petites culottes, mes soutiens gorges comme ça à la vue de tout le monde. Je ne m'en remettrai pas. Les gendarmes s'en vont. Ils m'ont volé la télé mon ordinateur et quelques babioles sans valeur. Je commence à ranger la salle à manger et la cuisine, Guy remet en place les choses renversées, chaises et divers. Une demie-heure plus tard je suis devant ma chambre quel capharnaüm, à genoux je trie et sépare tous mes sous vêtements qui jonchent le sol. Guy est dans l'embrasure de la porte il me regarde faire et me dit excuse moi là je ne peux rien faire pour toi, il paraît un peu gêné. Je lui dit c'est bon maintenant je vais me débrouiller merci pour tout. Il me tend la main que j'attrape pour m'aider à me relever. Il me fait la bise me murmure à l'oreille je passerai tout à l'heure. Il me serre à nouveau dans ses bras puis s'en va en me faisant un petit signe de la main. Ferme ma porte à clé car je ne me sens plus en sécurité. Je me remets au travail. Vers vingt heures on tape à la porte, c'est Guy qui revient. On boit un verre et on discute un peu, il semble préoccupé, me demande si j'ai besoin de quelque chose, il me réconforte, me rassure car je crois qu'il a vu que je ne suis pas bien. C'est vrai maintenant j'ai peur et je lui avoue, avant cette intrusion je fermais jamais la porte, je n'aurais jamais pensé que cela puisse m'arriver. Après un long moment à parler il se lève pour partir, il croise mon regard, il doit voir que j'ai peur car il me prend encore dans ses bras ma tête sur son épaule je pleure doucement, je me laisse aller, je me sens tellement en sécurité dans les bras de cet homme beaucoup plus jeune que moi.  Collé contre lui, je ne bouge plus de peur qu'il m'abandonne, je me serre un peu plus, je sens ses mains sur mes hanches qui m'étreignent un peu plus fort, son torse contre ma poitrine me fait un effet que j'avais oublier. Je ferme les yeux souhaitant que cet instant se s'arrête plus, je m'accroche à lui. Je sens tout à coup une grosseur contre mon ventre, cela me une drôle de sensation j'ai envie de fuir mais ne bouge pas bien au contraire je me serre encore un peu pour profiter de ce moment oublié. Ses mains descendent sur mes fesses, les massent. La je sursaute et cherche à échapper à l'étreinte, je lui dit non non non Guy c'est pas bien tu pourrais presque être mon fils.  Mais j'ai dit ça d'un ton qui ne la pas convaincu car il me resserre encore plus contre lui il m'embrasse dans le cou en murmurant chut ne dit rien calme toi ce n'est rien. Aussitôt je reprends ma place lové bien contre lui bien en sécurité entre ses bras. Ses mains montent et descendent sur mes flancs depuis mes hanches au côté de ma poitrine s'approchant de plus en plus de celle ci. Je me surprend à soupirer doucement lui faisant comprendre que j'accepte ses caresses. Ses mains sont maintenant sur mes seins et les malaxe doucement, la grosseur contre mon bas ventre est à son summum. Je suis entrain de perdre les pédales, ma chatte s'humidifie lentement, je suis à sa merci. J'ose glisse une main entre nous pour aller à la rencontre de la grosseur, il se redresse dès que je suis dessus, une de ses main glisse sous ma jupe et remonte entre mes cuisses. La ça en ai trop je me lâche, ma bouche cherche la sienne, ma main ouvre son jeans et glisse sous le caleçon pour sortir l'engin qui ma tourné la tête. Ses doigts farfouillent sous ma culotte entre en contact avec mon intimité et pénètrent doucement ma chatte, je pousse un petit cri. Nos bouches s'aspirent et se mélangent dans un long baiser fougueux. Je décide de rompre l'étreinte, je l'entraîne vers le canapé ou je déboutonne sa chemise et commence a titiller ses tétons avec ma langue son jeans tombe au sol ainsi que le caleçon. Lui me déshabille, lentement corsage, jupe puis soutien gorge. Je fais enfin connaissance avec l'objet qui s'est agité contre mon ventre, waouh quel bel instrument, je me laisse tomber à genoux et le prend en bouche je le lèche du gland jusqu'aux testicules, il gémit et se tend encore un peu puis j'avale à tour de rôle ses bourses en les faisant rouler comme un bonbon, puis je lèche j'aspire et accélère le rythme. Il se tortille et gémit, ses mains caressent mes épaules et mon dos puis soudain ses mains attrape ma tête il se raidit et il gicle dans ma bouche. J'ai du mal à tout avaler, mais qu'est ce que c'est bon j'avais oublié le goût. Je lèche tout jusqu'à la moindre goutte. Il me prend par la main m'aide à me lever et m'entraîne ver la chambre il me fait allonge sur le lit et se glisse entre mes cuisses, sa langue parcourt mes cuisses, ses mains courent sur mon corps, agrippent mes seins les malaxent, il écarte ma fine culotte, sa langue court sur ma fente trempée puis viole mes grandes lèvres et pénètre plus au fond, je gémit de bonheur, ses doigts jouent avec mes tétons, je pousse de petits cris en ondulant mon bassin, mes deux mains accrochées à sa tête je subis ses caresses bienveillantes. Il y a longtemps que je ne me suis pas si bien sentit. Soudain ses lèvres aspirent mon bouton et le mordille doucement, il m'emporte dans un orgasme terrible je crie hahahahahahahah, c'est bon très long, mon corps est prit de spasmes violents, sa bouche aspire ma jouissance je serre les cuisses autour de sa tête, mes mains tirent sa tête contre ma chatte. Je jouis. J'ai juste le temps de reprendre mon souffle qu'il à déjà retiré ma culotte, sa queue entre en moi jusqu'à la garde, il m'embrasse à pleine bouche et doucement me besogne, ses coups de reins me font un bien fou, mes cuisses autour de sa taille je subis ses assauts de plus en plus vigoureux, je suis vite traversé par un deuxième orgasme encore plus fort que le premier, je crie me secoue dans tous les sens mes mains agrippées à son cou ne ne suis plus qu'une poupée de chiffon. Je ne sais combien de temps l'assaut à duré mais il fut violent et bienfaiteur quand il s'est vidé en moi. Il s'allonge à côté de moi, me prend la main et me dit depuis le temps que j'attends ce moment, je te trouve encore plus belle après l'amour. Je lui serre la main sans rien dire, j'apprécie cet instant de folie, il a au moins quinze ans de moins que moi, bon c'est vrai il n'est pas marié, je suis libre et il est beau garçon. Je me retourne contre lui et lui rend son baiser, ma main cherche son sexe, dès que le le touche je le sens se tendre de nouveau. Je le lâche aussitôt et lui dit ça suffit tu es pas sérieux tu as déjà profiter de mon malheur, mais je ne regrette pas j'ai beaucoup apprécié, on verra le reste plus tard et je me suis levé et suis parti sous la douche ou il m'a rejoint quelques minutes plus tard. Ensuite nous nous sommes rhabillés et je l'ai laissé partir à contre cœur. Depuis il me rend visite tous les jours, très souvent nous faisons l'amour, nous sommes devenus des amants qui vivent chacun de leur côté, nous sommes bien comme ça depuis six mois.                                               Nous n'avons pas retrouvé les voleurs.


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Histoire envoyé par Colette le 22 01 2021

​Tout peut arriver.

Colette je suis une femme de 63 ans, je suis veuve depuis trois ans, mon mari est parti suite à une longue maladie qui a duré presque cinq ans. Je vis pas très loin de Rouen. Mon histoire à débuté grâce au pur hasard. J'étais hospitalisé depuis deux jours et je devais sortir le lendemain, lorsque me baladant dans le couloir je rencontre un jeune homme qui est le fils d'une amie qui habite le même village que moi. Je lui demande ce qu'il fait ici, il me répond qu'il est venu voir sa femme qui a eu un accident de voiture, qu'il vient tous les jours. Il me demande mon numéro de chambre, il passera me voir quand il s'en ira. Je suis bien contente de le voir car il y a très longtemps que je ne l'ai pas vu. Il à fréquenté ma fille pendant quelques temps. Je finis ma balade et je rentre dans ma chambre. Je m'installe dans le fauteuil et je regarde la télé. Soudain on tape à la porte c'est Benoît, je suis bien contente de le voir, ça me rappelle les bonnes années de ma vie, nous discutons de tout et de rien. Je remarque qu'il baisse son regard souvent, bien sur je m'étais pas rendu compte que ma robe de chambre est à demi ouverte et comme je suis nue dessous, je suis un peu nudiste sur les bords et j'aime pas dormir habillé. Au moment ou il s'en va je lui demande si il serait possible qu'il me ramène demain car il va falloir que je prenne un taxi. Il me répond en souriant qu'il ferait tout pour moi après ce qu'il a aperçu, puis il me fait la bise, me fait un clin d’œil et lance à demain même heure ? Je lui souris a demain ! Je trouve cette réflexion un peu cavalière mais d'un autre côté je suis sur un petit nuage, à mon âge je donnerai encore des idées a un jeune ? Machinalement je passe mes mains sur ma poitrine et je sens qu'ils sont toujours bien en chair et ferme. Je souris. Le lendemain je fais ma sortie au bureau, je prépare mes affaires, je me regarde dans la glace, malgré mes cheveux blancs et mon âge dans mon pull moulant et ma jupe plissée et mes petites bottines je me trouve encore pas mal. Après tous ses compliments, j'attends qu'il passe me prendre. Un moment plus tard il arrive me fait la bise en me serrant bien contre lui, il ajoute vous êtes superbe on dirait pas que vous sortez de l'Hôpital. Là je sens qu'il est toujours sur l'idée d'hier : me sauter ou alors mon âge m'a fait perdre le nord. Tout en marchant je me dis qu'il a vraiment du culot ce garçon. Sur la route nous discutons de l'accident de sa femme et des problèmes qui vont avec heureusement sa belle mère garde les deux enfants. Une demie heure plus tard nous sommes chez moi, je lui offre de boire l'apéro, il est 18 h30. Installés au salon face à face, il me dévisage ses yeux brillent. Moi même je ressens quelque chose, est-ce l'abstinence depuis sept ou huit ? Soudain il se lance, il attrape mes deux mains me regarde droit dans les yeux. J'ai envie de toi ! Tout d'abord je reste médusé puis lui répond : Voyons tu pourrais être mon fils, j´ai le même âge que ta mère. Tu as 40 ans certes, mais c'est pas raisonnable ?
Lui :J´ai envie de toi et je n´ai aucun préjugé. il est venu s'asseoir près de moi il a commencé à me palper les seins
à travers mon pull, sa bouche s'est posé sur la mienne, j'ai tenté pour la forme de le dissuader mais je crois que j'en avait autant envie que lui. Je lui murmure : Cela fait si longtemps que je n´ai pas ressenti !
Bientôt sa main courent entre mes cuisses ! l'autre s'active sur ma poitrine, j'étais complètement dépassé par les événements, prise entre le tu as pas honte de faire ça avec celui qui à l'age de ta fille et l'envie de m'envoyer en l'air. Il m'embrassa à pleine bouche, s'en était trop, ma chatte était en feu, ma culotte trempée, mon clitoris tout dur. Je devais passer outre. Je me levais l'entraîné à la chambre. Aussitôt la porte refermé il se jeta sur moi me déshabilla en me pelotant partout, je fis de même avec ses fringues, je me retrouvais bientôt avec un engin dans la main qui aurait fait envie à n'importe quelle nana.Il me bascula sur le lit, se mit à me titiller le clito d'une main pendant que l'autre pétrissait mon nichon. Je me mis à gémir de plaisir écartant et serrant les cuisses en fonction de la sensation, j'eus mon premier orgasme en trois minutes et ce n'était que le début. Il se mit à me sucer et lécher la chatte dans tous les sens. J'avais oublié tout ça, bon dieu que c'était bon, je mouillais en me tortillant de plaisir, mes tétons durs comme du bois sous les doigts agiles de cet homme. J'éclatais une seconde fois lorsqu'il serra mon clito entre ses lèvres en enfilant deux doigts dans ma chatte. J'étais au bord de l’évanouissement. Je gémissais de bonheur, mes cuisses serrées autour de son cou en appuyant sa tête contre va vulve, bien cambré contre sa bouche je lui donnait ma liqueur. Il se releva enfin pour me montrer ce que j'avais envie d'avoir en moi un truc de plus de vingt centimètres et gros comme une courgette. Je le pris en main le branla très fort pendant quelques secondes mais je ne pouvais plus attendre, j'ai écarté les jambes, il s'est glissé sur moi, son gland à touché ma fente et m'a pénétré d'un coup, j'ai hurlé un peu de peur qu'il ne me fasse mal puis le plaisir m'envahit, je me suis accroché à lui me donnant corps et âme, je ahané de plus en plus fort et je me suis surprise à crier oh oui défonce moi c'est trop bon oui c'est trop bon, je balançais mon ventre contre ce pieu qui me défonçais en criant mon plaisir. Le cochon était endurant il m'a pistonné pendant un long, très long moment j'ai bien cru m'effondrer à plusieurs reprise mais finalement j'ai hurlé quand il s'est déversé en moi. Il ne m'a pas laissé beaucoup de temps pour récupérer. Il m'a présenté son engin devenu un peu mou, j'ai compris ce qu'il voulait. Je l'ai pris en bouche et malgré que je n'étais pas une spécialiste de la pipe comme le disait mon mari, je me suis appliqué et apparemment je m'en suis bien sorti car très vie le cochon était prêt à remettre ça à ma plus grande stupéfaction. Sa queue bien droite me narguait. Il me fit mettre à genoux et se plaça derrière moi avant de me planter d'un coup jusqu'à la garde puis doucement il me besogna en accélérant de plus en plus, sa grosse queue dure me pourfendais la chatte, il m'expédia dans un orgasme pire que les autres, les yeux fermés je voyais des étoiles partout, j'avais de la peine à garder l'équilibre. J'étais à bout de force quand il se dressa contre moi en râlant. Je jouis avant de m'effondrer sur le lit. Quand je refis surface j'étais seule. Je pris une douche. En arrivant dans la cuisine j'ai trouvé un petit mot tu as été superbe j'ai bien aimé voilà mon tel si ça te dit appelle moi. Je mangeais heureuse de ce moment de folie. Puis je me suis couché et j'ai dormi comme un bébé. J'ai attendu deux jours avant de l'inviter à boire le café. Depuis ma vie monotone à bien changé car j'ai découvert la vraie sexualité. Même des choses que ne n'aurez jamais pensé. Nous nous voyons de temps en temps, je suis très épanouie.


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Histoire envoyé par Elsa le 15 01 2021.
Une soirée entre filles.
Je suis Elsa j'ai 48 ans fraîchement divorcé, je vis seule, j'habite du côté de Bourges, il est 20h00 un vendredi soir, je me rends chez une copine Arielle pour y passer la soirée, nous allons fêter un anniversaire, deux autres copines Michèle et Émilie doivent nous rejoindre. Lorsque j'arrive les autres sont déjà là et l'ambiance est bien parti. Nous avons toutes apporté de quoi boire et manger. La musique bat son plein et tout monde rigole en sirotant des cocktails. Deux heures plus tard nous sommes toutes très en forme. Bien évidemment la conversation tourne sur le sexe comme souvent entre nous et l'alcool aidant ça va plus loin que d'habitude, chacune raconte ses expériences, nos fantasmes, enfin tout sortes de choses que souvent il faut ne pas dire et moi peut être un peu plus alcoolisé, j’avoue à mes copines que j’ai le fantasme d'une relation avec une autre femme, je rougis quand je me rends compte de ce que je viens de dire. Arielle me demande en rigolant tu as déjà embrassé une autre femme ?. Je réponds bien sur que Non. À peine j’ai terminé de parler que Michèle la plus déluré d'entre nous m’attrape délicatement le visage et approche sa tête de la mienne et m'embrasse délicatement, instinctivement je ferme les yeux. Son baiser est délicat et langoureux, à tel point que j’en oublie le reste du monde et que le temps semble s’être arrêter. Lorsqu’elle arrête de m’embrasser, j’ouvre les yeux et la vois avec un grand sourire, ma tête est encore embrumée par la sensation de ses lèvres sur les miennes. Les deux autres rient à gorge déployée. Ce n’est que lorsque j’entends la voix d’Émilie que mon esprit reprend le contrôle. Elle dit en parlant de moi : mais elle a vraiment aimé ça la cochonne et bien Michèle toi aussi apparemment. Michèle lui répond : tu sais moi je marche à voile et a vapeur depuis déjà pas mal de temps et je dois dire que faire l'amour avec une femme c'est plutôt pas mal. Émilie et Arielle semblent un peu décontenancé. La soirée continue tranquillement mais Michèle ne me lâche plus, ses mains me caresse dès qu'elle peut, je sens monter en moi une fièvre, entre l'alcool et les caresses furtives je suis entrain d'humidifier ma culotte. Nous dansons entre filles, nous mangeons le gâteau d’Émilie qui fête son 38 ième anniversaire en picolant du champagne si bien que tard dans la soirée Émilie dort sur le canapé et je me retrouve à poil dans une chambre avec Michèle qui me broute le minou et Arielle qui au début regarde discrètement puis participe. Étant donné mon état je ne me rappelle qu'une chose c'est que nous avons baisés toutes les trois, que je me suis fait sucer et prit un pied monstrueux, j'en ai même eu un peu honte car avec des femmes je n'aurais jamais pensé ça de moi. Cela à fini en apothéose quand Michèle équipé d'un gode ceinture nous à baisé Arielle et moi. Je dois dire que le lendemain matin au réveil nous étions toutes trois dans le même lit, j'ai eu beaucoup de mal à réaliser. Après une douche et un petit déjeuner ensemble nous n'étions plus les mêmes. Mon fantasme s'était réalisé. Depuis je passe beaucoup de soirées avec Michèle chez elle ou chez moi. Je dois dire que j'apprécie beaucoup.

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Histoire envoyé par Odile le 10 01 2021.
Ma deuxième vie.
Je m'appelle Odile, j'ai 60 ans, 1m75 m, des cheveux courts qui sont plus blancs que blonds, je suis veuve depuis un an et je le vis pas très bien, j'ai fait une petite dépression et je commence juste à m'en remettre, j'habite en Provence Cotes d'azur dans un charmant village très connu des vacanciers. Bon j'ai la chance de ne manquer de rien, j'ai une belle maison dans la garrigue avec une piscine. En juin 2020, une de mes belle-sœur du côté de mon mari m'apprend lors d'une conversation téléphonique que le dernier de ses garçons Damien, à trouvé du boulot dans le var pour travailler dans une firme aéronautique de la région. Il doit commencer dans quinze jours. Aussitôt je lui propose de l'héberger s'il veut car j'adore ce garçon il a toujours été mon chouchou, je ne sais pas pourquoi, on s'entend bien tous les deux. En plus ma maison est grande et il me tiendra un peu compagnie, et puis un peu de jeunesse ça peu pas faire de mal. Je ne vois mes enfants que deux ou trois fois par an. Elle me dit qu'elle va lui en parler, qu'il me rappellera. Deux jours plus tard je l'ai au téléphone, il me confirme que comme ce n'est qu'à vingt kilomètres, il accepte la proposition et me promet d'être là fin de semaine. Le lundi après midi suivant il arrive à la maison, je suis toute joyeuse, nous nous faisons la bise, il me serre dans ses bras à n'en plus finir il me fait des bisous, me dit qu'il est heureux d'être là que je lui ai manqué, je lui montre sa chambre, je l'ai installé au fond de la maison dans un chambre avec salle d'eau réservé aux amis, comme ça il aura son intimité et sera tranquille, il déballe ses affaires. Nous nous retrouvons sur la terrasse pour l'apéro. Il me parle de son boulot, qu'il est content d'avoir quitté Grenoble et soudain il me dit en souriant je vais bien m'occuper de toi, tu sais, je t'aime bien. Sur le coup j'ai pas trop pigé. Les premiers jours ont passés tranquillement, comme lui n'attaquais pas son boulot avant le lundi suivant, il traînait à la maison, à la piscine enfin il faisait sa vie. Il fallait que je me mette à l'évidence ce grand garçon, ce beau jeune homme grand et sportif, de presque trente ans était un peu pressant envers moi. Chaque fois qu'il le pouvait il me câlinait un peu plus que la normal, moi je le voyait bien faire mais bon je ne voulais ou ne pouvais pas le repousser. Je me disais tant qu'il reste dans la norme. Je le voyais en maillot de bain torse nu au bord de la piscine avec souvent une bosse quand nous faisions bronzette. Il m'aguichait et moi je rentrais dans son jeu petit à petit, il me faisait rire. Puis il à commencé son travail en équipe soit du matin soit du soir, on se voyait moins mais, lorsque nous étions ensemble cela devenait intense, les discussions de plus en plus coquines, le contact de ses mains sur moi sans pour autant qu'il se passe quelque chose de malsain, jusqu'au jour ou nous bronzions sur la terrasse à l’abri des regards, lui en mini maillot de bain et moi en string et les seins nus comme nous le faisions souvent. Cet après midi là quelque chose se passait, j'étais un peu excité et j'avais envie de faire l'amour, c'était la première fois depuis la mort de mon mari que je ressentais cela, mes tétons étaient tout durs, ma chatte fourmillait et j'étais sous pression. Ce qui à fait déborder le vase c'est la grosse bosse qui déformait son slip. Je me suis aperçu qu'il me matait en douce, la je ne sais pas ce qui m'a poussé, je me suis levé j'ai posé ma main sur l'énorme engin qui me torturait, je l'ai massé doucement et lui est murmuré toi aussi tu as envie ? Il m'a répondu Oh oui depuis très longtemps déjà. Je lui ai prit la main et l'ai entraîné dans ma chambre. Nous nous sommes enlacés puis embrassés, ma à main fait glisser le slip à ses pieds j'ai empoigné l'engin et j'ai commencé à le masturber lentement, puis j'ai gobé le gland entre mes lèvres. Je faisais de longs va-et-vient sur cette queue qui me rendait folle. En même temps j'ai fais glisser ma culotte à mes pieds, je l'ai renversé sur le lit et j'ai repris ma fellation. Il gesticulait, il m'a fait comprendre qu'il me voulait aussi, nous nous sommes retrouvés en 69 lui sur moi, là ce fut le déchaînement sa langue m'a rendu folle, je me suis mise à mouiller et à jouir, a tel point que je ne pouvais plus le sucer. Il m'a donné un orgasme qui m'a fait voir les étoiles, j'étais foudroyé. Puis il m'a léché les tétons, à joué avec mes globes de chair, je ne savais plus ce qui m'arrivait, j'avais oublié que cela puisse être aussi bon. Ensuite j'ai repris ou je m'étais arrêté sa queue dans ma bouche, j'ai caressé ses bourses poilues tout en suçant, léchant et aspirant cet engin qui me rendait folle à mon âge. Je m'activais pour le faire exploser il appréciait car il ne tardait pas à ahaner et ses mains agrippaient ma tête, son bassin ondulait de plus en plus, le sentant au bord j'activais encore, il se cambra contre moi et des jets envahir ma bouche et ma gorge, j'avalais avec difficultés tellement c'était énorme. Un moment après il me prenait en levrette et me procura encore un orgasme long et puissant qui me transperça de la tête aux pieds. Après un bon bain dans la piscine. Le soir nous avons couchés ensemble ce fut comme une nuit de mariage, il était insatiable, m'a prise dans tous les sens. Le lendemain quand je me suis réveillé il était au travail, j'étais heureuse avec l'impression d'avoir rajeuni de 20 ans. Depuis nous couchons ensemble tous les jours, nous sommes comme de jeunes mariés.
Je suis de nouveau une femme.

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Histoire envoyé par Guillaume le 06 01 2021.

J'avais fait le mauvais choix.
J'ai 37 ans, je suis divorcé depuis 5 ans et ma femme s'est remariée et a quitté la région après notre séparation. Nos enfants passent souvent les vacances chez moi, ils sont aussi très contents de venir voir leur grand-mère qui habite en face de chez moi. Après le divorce je suis resté en bons termes avec mes beaux parents. Le grand père après sa retraite a fait un accident vasculaire cérébral et est devenu hémiplégique . J'ai continué à aller chez eux malgré les tensions que j'avais avec leur fille et ils me traitaient toujours comme si j'étais leur gendre surtout que j'ai toujours tout fait pour leur rendre service. Quand j'avais la garde des enfants mon ex les déposait chez eux pour m'éviter et à cette occasion je mangeais chez eux. Mamie cuisinait fort bien et c'était souvent la fête. Son mari n'arrivait plus à parler et se déplaçait péniblement avec ses béquilles. Il fumait beaucoup et il passait des journées entières devant la télé. A 65 ans, belle maman elle, était en pleine forme et faisait stoïquement la garde malade. Quand les enfants étaient là, elle profitait d'une ou deux heures de liberté pour venir nager dans ma piscine et tous les quatre on se payait de franches rigolades .Le temps passe vite, je travaillais beaucoup et je n'arrivais pas à remplacer mon épouse. Les aventures que j'avais de temps en temps ne menaient à rien. Alors j'avais retrouvé des habitudes naturelles toutes simples et à la portée de tous...HDS streaming est d'un excellent secours certains soirs et ne donne même pas de virus informatiques ! Donc je vivais peinard, certes un peu désabusé, mais aussi heureux qu'on peut l'être quand on a une bonne situation.
A la fin de l'été, les enfants ont repris l'école. Belle maman ayant le trousseau de clefs de sa fille pour pouvoir venir faire "trempette" librement. De temps en temps je trouve un bouquet dans l'entrée, finalement je finissais par m'entendre mieux avec mon ex belle mère qu'avec sa fille. Elle avait de l'humour et cultivait la bonne humeur quand nous étions ensemble. Ses petits enfants l'adoraient et moi je la trouvais de plus en plus sympathique en vieillissant. A l'automne son mari décéda...Comme les enfants et leur mère étaient au ski, je l'invitais à passer Noël avec moi. La soirée fut drôle et sympathique, jusqu'à ce que dans la conversation elle me demanda pourquoi je restais seul. La je ne sais pas pourquoi Je lui répondis assez crûment que je préférais une bonne branlette plutôt qu'une relation ennuyeuse! Et en plus, ajoutais je, je n'ai pas beaucoup de temps et puis depuis que j'ai trouvé de la lecture intéressante sur Internet, je ne m’ennuie plus ! Que voulez vous dire par là me demanda t'elle intriguée? Elle fit semblant d'être offusquée. Je lui proposais d'allumer l'ordinateur que je posais sur la table. Son regard se fit plus vif ses pommettes devinrent un peu rose. Elle me répondit :Vous savez, il me cachait des revues porno dans la remise du jardin alors je sais ce que c'est et à mon âge c'est un peu normal. Pas mal non ? ajouta -elle en se redressant en bombant la poitrine et en prenant une pose amusée avec un beau sourire. J'ouvris la pages des histoires érotiques et lui demande quel genre voulez vous lire car regardez il y a plus d'une dizaine de catégories. Elle regardait avec attention, je lui proposais de boire un café, pendant qu'elle zieutait je me rendis à cuisine pour le faire et quand je revins quelques minutes plus tard je la trouvait absorbé par un texte, ses yeux brillaient et les semblait ne pas s’apercevoir que j'étais là. Je fis mine de rien je m'assois doucement à côté d'elle sur la chaise et discrètement je lis le texte. Quelle surprise elle est plongé dans un histoire ou le gendre se tape la belle mère de façon très hard. Je souris et la laisse continuer pendant que je bois mon café, je la sens subitement en émoi elle se trémousse sur la chaise et sa main glisse entre ses cuisses,se frotte les cuisses puis l'entrecuisse. Je suis stupéfait par ce que je vois, je suis même émoustillé moi même je sens ma queue qui se réveille, je pose ma tasse et me colle contre elle pour lire en même temps elle sursaute et se colle encore plus en continuant de lire, je passe mon bras sur son épaule la serre contre moi, elle ne bronche pas, mon autre main glisse sur celle qui est posé sur sa cuisse, je lui pose un bisou sur la joue, ses jambes s'écartent sa main vient sur ma cuisse, elle ne quitte toujours pas la page. La je crois que belle maman à envie de quelque chose. Ma main posé à plat sur sa vulve monte et descend doucement ses cuisses s'écarte encore, je remonte doucement la robe et s'engouffre à l'intérieur. Elle pousse un oh non non en ondulant son ventre contre ma main, elle tourne sa tête vers moi et murmure c'est pas bien ça mais j'ai trop envie. Nos lèvres se joignent pendant que mes doigts passent sous le fin tissus et entre en contact avec son intimité, elle gémit ohohouiouioui c'est bon il y a si longtemps, fais moi l'amour. Elle ferme l'ordi se lève je jette dans mes bras en disant vient allons dans ta chambre. Je ne m'attendais pas à ça, mais comme noue en avons autant envie l'un que l'autre. Une fois dans la chambre elle me dit ton histoire m'a mis le feu j'espère que tu ne me prendra pas pour une. Je plaquais mes lèvres sur les siennes pour l'empêcher de terminer et en même temps je l'effeuillais lentement tout en l'embrassant. Elle fit de même avec moi et nous nous sommes vite retrouvés nus sur le lit sous la lumière tamisé de la petite lampe de chevet. Je m'empressais de la câliner d'abord avec des baisers partout et avec mes mains qui couraient sur son corps, elle soupirait doucement, je léchais ses tétons à tour de rôle puis descendis doucement sur son ventre, léchant au passage le mont de vénus proéminent qui s'offrait à moi, je léchais la touffe bien taillé et atteignis la fente luisante elle poussa un cri et se mit à caresser son opulente poitrine au rythme de mes coups de langue. Son bourgeon sortit très vite de son capuchon, ma langue tournait dessus, elle se tortillait en ahanant de plus en plus, lorsque que ma langue entra dans son intimité elle poussa un cri s'agrippa à moi et sa liqueur d'amour envahit sa grotte, je massais en même temps le bourgeon elle se cambra contre moi et jouit en serrant ma tête avec ses cuisses. Son orgasme dura un long moment car je ne lâchais pas sa chatte. Puis elle lâcha prise. Je me remontais sur elle l'embrassais à pleine bouche, elle se cramponna contre moi sentant ma queue tendue entre ses cuisses. Celle ci ne tarda pas à trouver l'ouverture intime. Elle poussa un ouiouiooh oui oh c'est bon et dès que je m'activais en elle elle repartit de plus belle, ouvrant ses cuisses au maximum, ses mains accrochées derrière ma tête elle participait au maximum à cet assaut. Elle marmonnait des choses incompréhensibles, mais pas de doute elle aimait ça. De plus en plus fort et vite je la besognait jusqu'à l'explosion, je me mis à râler sentant l'éruption très proche, elle se redressa conte moi en criant son plaisir. Je me vidais en elle avant de retomber sur le côté. Nous sommes restés un long moment sans rien dire nous tenant par la main. Puis elle s'est retourné vers moi m'a embrassé et m'a dit je sais que c'est pas bien, mais j'en avais envie et je crois que toi aussi, ce sera notre secret. Nous avons finis la nuit ensemble. Depuis nous vivons toujours chacun de notre côté mais nous dormons souvent ensemble. Elle comme moi sommes sur la même longueur d'onde sexuellement.


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Histoire envoyé par Sylvie 07 12 2020
J'aime le sexe 13.


Sylvie 60 ans, blondinette de 1,68m 65 kilos à la retraite de l'éducation nationale, marié deux fois, célibataire aujourd'hui enfin presque car j'ai une vie amoureuse très dissolu, je butine à droite à gauche sans arriver à me fixer, en ce moment je vis par intermittence chez Georges un homme qui comme moi est assez caractériel. Je connais depuis pas mal d'années, il est généreux et cela m'arrange bien car je n'ai jamais su gérer mon argent. Nous nous sommes rencontrés dans un club de danse car lui est très bon danseur comme moi et passionnés tous les deux de danses latino, ensuite le sexe nous à fixés un peu car comme moi il était très demandeur et passionné. Il est beaucoup plus âgé que moi plus de dix ans et depuis sa maladie l'étendard est plutôt en berne. Il faut donc que je trouve du carburant pour mon moteur car j'ai toujours envie de faire l'amour, mais quand je dis faire l'amour c'est pas seule, mais avec une bonne queue et un homme bien ardent. Je reste chez lui car il à souvent des gens qui viennent le voir dans sa grande maison avec piscine à débordement au milieu de la garrigue et des cigales dans le Lubéron. Là je peux bronzer et profiter des bienfaits du naturisme. L'histoire se passe en septembre dernier, je m'étais absenté pendant deux jours comme cela m'arrive souvent. Lors de mon retour je trouve installé dans la maison un couple de mon âge à peu près, elle même taille que moi un peu moins enveloppé, lui un peu plus grand cheveux grisonnant avec l'air très en forme. Ils reviennent comme tous les ans d'un voyage de plusieurs mois à l'étranger, d'ailleurs là ou ils ont connus Georges, ils ont l'air très copains. Tout de suite j'ai vu qu'avec Maxime je pouvoir calmer mes envies, il me regarde avec des yeux coquins et malicieux, ses regards dans mon corsage et sur mes cuisses en disent longs sur ses intentions. Sa femme Lolo est très sympa aussi, tous les deux parlent librement de sexe, ce qui me conforte. Mais d'un autre côté Georges devient jaloux depuis qu'il ne peux plus et je pense qu'il à déjà compris mon petit jeu. Le lendemain Georges va à un rendez vous chez son médecin. J'en profite pour aller faire un peu de bronzette, j'arrive à la piscine ils y sont déjà elle les seins nus, je fais donc comme elle. Mais avec mon mini slip qui ne cache tout juste que ma fente. Il me mate et je vois lentement la transformation de la grosseur de la bosse dans son maillot sous l'eau transparente. Ses yeux pétillent en reluquant mes tétons. Nous parlons de choses et d'autres, je comprend très vite qu'ils sont adeptes de l'échangisme car elle me dit t'inquiète pas ma chérie je ne suis pas jalouse, je te le prête si cela te dit. Maintenant on savait ou on allait. Il s'est approché de moi à soupesé mes seins, les a palpés avant de pincer les pointes entre son pouce et son index. J’ai senti mes tétons durcir et mon entrejambe s’enflammer. Doucement, il approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes d'abord doucement puis me donne un baiser profond, sa langue cherche la mienne, ses mains pétrissent ma poitrine. Elle s' approche de nous, elle regarde en se caressant le corps elle dit tu aime ça ma chérie !. Je suis adossé contre le mur de la piscine il baisse mon slip de bain, sa paume de main bien à plat sur ma vulve il va et vient, je sens ensuite sa queue bien dure contre mon ventre il cherche l'entrée de ma grotte, j'écarte un peu les cuisses, d'un coup il me plante je pousse un ohohoh je la sent, raide et énorme, conquérante et impitoyable, il me besogne avec un truc énorme et surtout dur comme du bois, il me pourfend. Je passe mes mains autour de son cou me suspend à lui en jetant mes cuisses autour de sa taille. Je ahane de plus en plus elle me caresse en même temps les fesses. Je jouis comme une folle quand elle me met un doigt dans le petit trou et me lime doucement. Je crie je jouis des deux côtés à la fois oh bon dieu que c'est bon ça. Puis il me redescend elle me pose un baiser sur la bouche et murmure on va bien s'entendre tous les trois. Elle se place dos contre le mur enlève sa culotte et lui se remet au travail il la fourre doucement, elle oh oui chéri c'est bon elle me prend la main qu'elle pose sur sa poitrine elle murmure caresse moi chérie. Moi mais c'est la première fois que je touche une fille, elle ajoute n'ai pas peur si ça te dit on jouera toutes les deux plus tard. Je titille ses tétons doucement sans trop insister. Elle part à son tour dans une jouissance qui augmente quand je pince un peu plus les pointes. Il s'épanche en elle pendant que j'assiste à la scène. Nous restons encore un moment dans l'eau tous à poil puis nos rentrons à la maison. Quand Georges rentre de chez son médecin nous sommes sur la terrasse. Il n'est pas loin de midi. Je me sens beaucoup mieux. J'espère qu'il vont rester quelques jours afin que je puisse en profiter un peu. Le soir après le repas Georges nous dit excusez moi je suis un peu fatigué je vais me coucher, je vous laisse vous débrouiller. Lui dort dans la petite maison qu'il affectionne tant. Nous les visiteurs nous dormons dans la grande qui est récente. Nos chambres sont l'une à côté de l'autre c'est ainsi que je suis nue sur le lit quand Lolo entre elle aussi toute nue. Elle referme la porte et s'allonge à côté de moi. Elle me pose un baiser sur les lèvres, ses mains courent sur mon corps, je suis pleine de frissons, je gémis, j'aime ça. Elle commence à m'embrasser partout dans le cou les épaules, les tétons, je me laisse faire en soupirant doucement. Je mouille je suis chaude comme la braise. Ses doigts entrent dans mon intimité doucement ils trouvent facilement mon point G qu'ils massent doucement pendant que sa langue excite mon clitoris. Je me tortille et pousse de petits ouiouiohohoouiooh oui qui n'en finissent pas je tiens sa tête à deux mains pendant qu'elle boit ma mouille de plus en plus abondante. Je suis au bord de l'extase quand sa langue pénètre profondément dans ma chatte je me cabre et jouis en me cramponnant à sa tête. Quand je rouvre les yeux. Elle est allongé à côté de moi Maxime debout à côté du lit la queue tendue comme un arc. Elle lui demande laquelle tu veux en premier chéri ? Il répond mettez vous à genoux je vous prends toutes les deux comme ça pas de jalouses mais honneur aux invités. Nous nous retrouvons côte à côte sur le lit en position de levrette. Il se place derrière moi et me prend en douceur, de sa main gauche il flatte les fesses de sa femme. Cet homme à un sexe dur incroyable je n'ai jamais connu ça pourtant j'en ai eu pas mal. Il me baise comme un dieu j'aime ça, mais il se retire et passe a Lolo et ainsi de suite pendant une heure au moins. De temps en temps il se retire, nous le suçons chacune à notre tour et c'est repartit jusqu'à ce qu'il m'envoie au ciel. J'ai des étoiles plein la tête. Je tombe à plat sur le lit pendant qu'il termine Lolo qui hurle son bonheur sans réserve, heureusement qu'il n'y a pas de voisin. Ensuite je le suce car j'ai encore envie de sentir ce pieu dans mon ventre. Lolo dit ah tu l'aime bien la queue de mon Jules et bien profite en bien il est infatigable. C'est vrai car il ne tarde pas a être au maximum. Il me regarde et murmure tu es prête pour le grand saut ? Je reste un peu dubitative car je ne vois pas immédiatement ou il veut en venir mais soudain je me rappelle le doigt de Lolo dan mon petit trou. Je me mets à genoux, elle lui enfile une capote il s'introduit dans ma chatte puis ressort et glisse le gland sur ma rondelle il le fait bien tourner et pousse doucement, il retourne dans ma chatte puis se représente et la je sens tout de suite que il me pénètre ça me brûle et me fait mal elle me caresse et murmure ça va vite passé chérie c'est ta première fois hein? Je pousse des cris de douleur puis le plaisir arrive et je pousse des oh ohohohohoh c'est bon oh c'est bon elle me malaxe les seins et m'embrasse dans le cou pendant qu'il me besogne je jouis très rapidement et il se redresse en moi je sens qu'il se vide. Il ressort je m'écroule épuisé. Lolo me retourne sur le dos et commence à me lécher la chatte, je repars aussitôt dans un autre orgasme qui m'emmène au septième ciel. Quand je refais surface il est deux heures du mat je suis seule dans ma chambre nue sur le lit anéantie par cette chevauchée. J'ai le derrière qui me fait mal. Je prends une douche et me recouche. Heureusement le lendemain Georges étant toujours avec nous il ne s'est rien passé et c'est tant mieux pour moi. La piscine et le soleil me fait du bien. Lolo et Maxime m'ont invités à aller passer un week-end chez eux dans la région de Lyon, ce que je ne manquerai pas de faire car ce couple me plaît bien.

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Histoire envoyé par Justin le 21 12 2020
La boulangère.


J’ ai quarante ans suis divorcé, j'habite un petit village de l'est de la France, et j’ai pris l’habitude d’aller chercher mon pain au bourg voisin, distant de quelques kilomètres. Le pain y est bon et les vendeuses sympathiques. Depuis quelque temps, j’ai remarqué un changement dans le comportement à mon égard de l'une d'entre elles, qui doit avoir la bonne cinquantaine. En effet, deux trois fois par semaine, elle est de plus en plus souriante, s’arrangeant pour me servir et faisant toujours traîner la conversation avec un beau sourire. Il s’avère en fait, que c’était la patronne de la boulangerie, puisque maintenant je la connais un peu mieux, c'est une femme blonde aux longs cheveux ondulés, toujours bien maquillé, et habillé classe : chemisier blanc, jupe stricte noire et chaussures à hauts talons. très bien proportionnée physiquement. C’est une femme assez discrète, très à l’aise avec la clientèle . A mon dernier passage je m’aperçois qu'en me rendant ma monnaie elle me glisse avec un petit papier, je sors du magasin pour reprendre ma voiture, garé à quelques centaines de mètres. Je m'installe et regarde le papier un numéro de tel et appelez moi. Je suis surpris mais emballé car la nana n'est pas mal du tout peut être un peu âgée, mais bon. En fin d'après midi je compose le 06 et la je reconnais tout de suite la voix de ma belle boulangère qui m'explique qu'elle aimerait bien me rencontrer en dehors de la boulangerie, si bien sur je n'y vois pas d'inconvénient. Je réponds que je suis charmé par cette invitation et elle me donne rendez vous dans deux jours à 15 heures dans le petit village voisin je note l'adresse. Le jour venu je sonne au numéro 46 personne ne répond, j'attends dans ma voiture quand soudain une grosse voiture se gare devant moi. Elle est au volant. Elle en sort, et là, c’est surprise elle est méconnaissable, vêtue d’un pull rouge très moulant, d’une jupe noire comme à son habitude, mais cette fois-ci beaucoup plus courte et d’une paire de cuissardes noir. Elle était vraiment magnifique et très désirable! Wouah je suis bluffé. Je descends pendant qu'elle ouvre la porte de l'immeuble Bonjour, je m’appelle Bernadette, et vous ? Jean Luc ! Elle me fait entrer dans un petit meublé très coquet. Nous nous asseyons face à face à la table elle s'excuse tout d'abord de m'avoir interpellé comme ça et puis me raconte un peu son existence et sa vie de couple, elle n'a pas eu d'enfant son mari n'est intéressé que par l'argent et ses trois commerces, qu'elle est malheureuse. Elle m'avoue de but en blanc que depuis la première fois ou elle m'a vu au magasin elle m'a trouvé sympa, agréable et bel homme et qu'il lui a aussi semblé que j'étais attiré par elle. Elle resta quelques instants sans rien dire, un peu dans le vague, puis elle continua: J’ai 59 ans, pas d’enfant, pas ou peu de distractions et puis, je suis un peu coincé, pour tout vous avouer. Mais je suis tombée amoureuse de vous! Heureusement que j’étais assis, car je m’attendais à tout sauf à cela! Je la regarde dans les yeux, elle est rayonnante de beauté. Son regard bleu clair, ses longs cheveux blonds me font perdre la tête. Je lui prends la main sur la table puis les deux, je me lève contourne la table et l'embrasse tendrement, elle se lève et nous nous nous enlaçons dans un baiser devenu fougueux, mes mains courent sur son corps sur ses cuisses bien galbées sous sa jupe. Je commence à bander comme un fou. Elle se met à me tutoyer Fais-moi l’amour,tout de suite depuis le temps que je t'attends, aime-moi comme un fou, fais-moi jouir! Baise moi. Nous sommes allés dans la chambre. Ma main écarta délicatement sa petite culotte afin de plonger mes doigts dans sa chatte brûlante et trempée. J’exerçais un lent va-et-vient mes doigts dans sa grotte, elle se mit à gémir et soupirer ce qui lui déclencha rapidement un orgasme.Je lui retirais son pull et son sou-tif je découvre alors, de jolis seins durs aux longs tétons turgescents, je les pétris et les sucent pendant qu'elle dégrafe mon jean afin de libérer ma queue tendu par le désir mon pantalon tombe ainsi que mon slip, je lui retire sa jupe puis son string je la renverse sur le lit et commence à lui lécher la fente et le bourgeon sortit de son capuchon, elle miaule et feule comme au rythme de mes coups de langue, ma langue joue avec son bourgeon elle pousse de petits cris et m'encourage avec ses deux mains sur ma tête et des oh oh ouiouiouioahah oh oui qui n'en finissent pas dès que j'enfonce en plus mes doigts dans sa chatte elle explose sa liqueur coule, je lape ce jus un peu salé elle crie ouiouiouiouiohohoouiiiiiiiiii et sa chatte se colle à ma bouche. Une fois remise elle me dit viens chéri Tu vas me pénétrer de toute ta belle longueur, tu vas me donner ce que j’attends de toi, tu vas m’aimer à me rendre folle. Elle prend dans son sac un préservatif qu'elle me déroule sur la queue puis me fait allongé sur le dos et elle s'empale sur mon pieu, c'est elle qui a pris la direction des opération assise à califourchon face à moi je peux malaxer ses seins pendant qu'elle monte et descend sur ma queue en ahanant de plus en plus fort, elle fit durer le plaisir au maximum puis décida de changer de position et de se mettre en levrette. Je la pilonnais de toutes mes forces. Elle râlait, gémissait d’extase m'en demandant toujours plus ! Au bout d’un très long moment, elle comme moi n’y tenant plus, j'accélérai encore la charge. Elle hurla en serrant les cuisses je me vidais dans le latex. Elle était maintenant allongé sur le ventre, les cuisses légèrement écartées, laissant apparaître cette jolie chatte blonde aux lèvres bien ouvertes elle était luisante de mouille. Puis elle se retourna et entrepris de me faire une fellation ce qui eu pour effet de me remettre en forme. Elle s'allongea sur le dos et attendit que je la prenne, dès que je rentré en elle elle murmura J’ai encore envie de toi, viens me pendre, fais moi l'amour chéri, baise-moi comme une bête j'ai trop envie de toi. La chevauchée repartit de plus belle ses jambes autour de ma taille cramponné à moi je la besognais aussi fort que je pouvais, ma queue la pourfendais elle criait de bonheur et de plaisir quand elle a jouit elle à crié oh oh oh c'est bon chéri c'est trop bon sans capote oh oui crache ton jus au fond de moi tu sera tout a moi. Je me vidais encore mais cette fois dans sa chatte en feu. Depuis nous nous voyons une fois par semaine nous passons des moments de baise inoubliables tous les deux. Elle qui était coincé est passé à la vitesse supérieur elle n'a plus aucun tabou même la sodomie n'est pour elle que de la sexualité normale. Nous nous entendons très bien tous les deux.

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Histoire envoyé par Sandrine le 12 12 2020.
​Drôle de rencontre.

Je suis Sandrine, j'ai 42 ans, je suis mariée depuis 15 ans, je vis dans le Périgord à la campagne dans un petit lotissement tranquille d'une dizaine de maisons. Et ce serait le paradis si depuis 6 mois nous n'avions pas à côté de chez nous de nouveaux voisins dont la femme, une grosse matrone est infernale, tout est prétexte pour faire des histoires. Moi je suis une femme qui justement n'aime pas les histoires. Je suis de tempérament assez cool mais il ne faut pas trop exagérer. Avec mes soixante dix kilos, pour un mètre soixante dix et mon ventre un peu arrondi, je n'aime pas trop me laisser monter sur les pieds. Ma voisine d’origine italienne Gina, est à peu près, du même gabarit. Elle à fait un petit coin jardin, ou elle cultive quelques légumes ce qui lui permet de tout surveiller chez moi. De temps en temps nous conversons mais je vois bien qu'elle ne cherche qu'une chose être la patronne du coin. Les autres maisons nous tournent le dos et non pas de vis à vis avec nous. Cette mégère à essayé de draguer mon Jean Paul mais comme il sait que je suis un tantinet jalouse, il se tient à l'écart. D'ailleurs son mari qui marche à la baguette, l' à même dit au mien qu'il traînait le plus longtemps possible avant de renter car elle est toujours prête à faire monter la pression. Cet après midi là j'étais de repos et je traînais dans ma cour quand soudain je suis apostrophé par la voisine : Tu pourrais dire à ton putain de chat qu'il ne faut pas qu'il vienne dans mon jardin, il chie et gratte partout. Et moi de répondre arrange toi avec lui ça ne me regarde pas. Elle - je vais le tuer s'il revient. Moi - t’as qu’à essayé, répondis-je, les mains sur les hanches. Elle - mais pour qui tu te prend connasse ? Qu'est ce qui m'a pris à ce moment là ? Je n'en sait rien. J'enjambe le petit muret qui nous sépare et lui fonce dessus bien décidé à lui faire entendre raison, mais arrivé à un mètre, elle bondit sur moi parvient à glisser une main sous ma blouse. Elle l'agrippe ainsi que ma culotte, elle tire furieusement vers le bas. Tous les boutons sont arrachés est déchirés ma culotte sur les genoux, en piteux état j'hurle pas ça, tu vas arracher ma touffe…aieeeee salope pétasse, elle me tient par la touffe sur laquelle elle tire comme une folle, je me débat, la bouscule, nous voilà toutes les deux dans l'herbe elle profite de ma position pour remonter ce qui reste de ma bouse par-dessus ma tête. J' essaie bien de me libérer mais je l'ai sous estimé, elle est costaude et lourde, ma culotte coincée à mes chevilles, m'empêche de me relever. Elle me tient par un bras, tout en me mettant des claques sur les fesses, qui sont en feu. -Aie…aie…ahou…ahou … nous roulons dans l'herbe. Je la gifle une ou deux fois . Elle hurle comme une folle. Je me débat ce qui a pour effet de déchirer ma culotte. Maintenant, je suis est entièrement nue du bas. Je réussis à prendre le dessus un court instant. Elle m'agrippe à nouveau en m'empoignant par la chatte enfin la grosse touffe, je crie - Moi -Aie…aie…arrêtes avec ma touffe…salope ça fait mal… Enfin après une grosse douleur sa main lâche prise Elle - Regarde tous les poils que j’ai dans ma main, tu en avais un peu trop. Allez, laisse toi faire j'en enlève encore un peu. Elle pèse de tout son poids sur moi. Allez vient, écarte tes cuisses…tu vas les écarter oui, ou j’arrache tout ce qui reste. Moi - Non…non arrête je t'en prie ça suffit. Sa main force le passage entre mes cuisses, je serre tout ce que je peux mais elle arrive sur ma fente et s'active dessus Moi - Oh non…pas ça salope, non non, ses doigts cherchent l'entrée, petit à petit je lâche prise, non non tu vas me faire jouir… Elle - tu n'aime pas qu'on te branle la chatte petite salope et là je desserre mes cuisses en gémissant, ses doigts sont dans la place, son pouce sur mon clito. Je serre les dents et jouis comme une folle. Elle m'embrasse sur la bouche. L’orgasme est si fort, que mon corps se soulève de terre, puis retombe au sol. J'ouvre la bouche, le baiser est maintenant fougueux. Puis elle se relève me tend la main m'aide à me relever et m'entraîne chez elle, elle ferme la porte. Me bloque contre le mur et elle reprend son assaut son genou entre mes cuisses branle mon clito pendant qu'elle fait sauter mon soutien gorge, elle me bouffe les tétons, je repars dans une jouissance incroyable, je mouille comme une fontaine. Je suis complètement à sa merci et j'aime ça, je gémis de plus belle entre les bras des cette furie. Elle m'entraîne ensuite dans une chambre ou je me retrouve les jambes en l’air, totalement écartées. Ses doigts pénètrent ma chatte débordante de mouille. Du pouce, elle excite mon clitoris, entièrement décalotté. Tout mon corps vibre sous les odieuses caresses, elle me regarde droit dans les yeux et dit Alors, petite garce, tu te régales…t’as pas honte, te faire branler par une femme. Moi - C’est tellement bon….vas-y…hou…hou…oh mon dieu, je jouis encore…ah…ah…oui…Elle revient avec dans sa main deux concombre du jardin, un plus petit que l'autre. Je pousse un non pas avec ça c'est pas bien. Elle colle le plus gros contre ma fente qui pleine de mouille, avale facilement ce gode improvisé. Elle s'active avec, je crie et ahane de plus belle, je prends un pied d'enfer, je n'ai jamais connu un tel plaisir. Cela dur un bon moment je suis complètement à sa merçi quand soudain je sens sur ma rondelle un truc dur, c'est le petit concombre qu'elle pousse dans mon petit trou. Je m'agrippe à elle pour l'empêcher, mais je crois que réellement j'en ai envie, je pousse un cri de douleur, c'est ma première double pénétration. Très vite la douleur s’estompe, et laisse la place à un moment de plaisir incroyable. Quand elle arrête ses mouvements, c’est moi qui la supplie de continuer. Moi - Oh oui…encore…encore…c’est trop bon de se faire prendre par les deux trous. Elle - Je savais que tu aimerai et te régalerai…salope. Maintenant qu'on se connaît bien tu reviendra me voir souvent car je veux aussi que tu me baise. Elle m'embrasse et me chuchote tu va voir on va devenir de vraies bonnes amies et elle me lèche les tétons et la chatte. Je suis tellement abasourdie par ce qui vient de m'arriver que je fais n'importe quoi, je la déshabille et me met à la baiser avec le même concombre qu'elle s'est servi pour moi, je m'aperçois vite qu'elle à le feu au cul car elle mouille, elle est comme moi très poilue brune, quelle chatte, je lui enfile le légume et la lime en lui triturant les bouts, elle ne tarde pas à jouir à son tour en criant prend mon cul prend mon cul, ce que je fais aussitôt avec l'autre légume. Elle à a son tour un violent orgasme. Quand j'arrête elle m'enlace et nous nous embrassons comme des amants normaux puis elle me claque les fesses à plusieurs reprise en disant comme ça tu pensera à moi. Je suis rentré chez moi complètement assommé par cette aventure, j'ai ramassé ma culotte dans le jardin, heureusement que personne ne m'a vu dans cet état. Depuis nous nous retrouvons chez elle au moins une fois par semaine pour entretenir notre discrète et sauvage relation.

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Histoire envoyé par Marina le 14 11 2020.
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Grâce à mon matou.
Bonjour à tous, je suis Marina je vais vous raconter l'histoire qui vient de m'arriver cet été. J'ai 45 ans suis mariée avec Claude qui en a 48. Pas de problème dans notre couple à part peut être que mon homme est souvent absent pour son travail, cadre formateur dans une grosse boite il navigue entre les agences du sud de la France. Je reste souvent seule toute une semaine et un peu en manque de sexe, surtout que j'ai une libido exacerbé que je calme en solitaire. Au mois de juillet je suis dans la première semaine de vacances, lui est à Marseille pour sa dernière semaine de travail, cet après midi là il fait très chaud au sud de Lyon je fais la sieste dans ma chambre nue sur mon lit comme à mon habitude. Après une petite gâterie solitaire dont je suis très friande, je me réveille, je prends une douche. J'enfile mon short et un petit sou-tif et descend au salon, la clim marche il fait bon je m'installe devant la télé. Au bout d'un moment je m'aperçois que Balthazar mon chat noir et blanc n'est pas là. J'appelle mais il ne vient pas, me voilà dans le jardin mais pas de chat j'appelle de nouveau rien personne lui qui ne s'éloigne jamais cela me surprend. Un peu plus tard je recommence car je me fais du souci, il ne sort jamais du jardin. Soudain je vois à la fenêtre du premier étage du voisin un mec qui tient dans ses bras mon chat. Il me lance c'est ça que vous cherchez ? Je réponds oui. Lui : il est la depuis au moins 2 ou 3 heures il dormait dans une chambre. Je vous le rapporte. Elle merci. Je sors j'ouvre mon portillon et laisse entrer le voisin que je ne connais pas du tout pourtant je suis ici depuis quelques années, je l'ai aperçu comme çi comme ça. Il est plutôt beau gosse grand athlétique cheveux courts en short léger et torse nu pas un poil de graisse, j'en ferais bien mon quatre heures. Il pose le miron à terre, me tend la main se présente Philippe. Je l'invite à entrer boire un verre, la discussion va bon train sur tout et rien et sur notre vie dans le lotissement j'apprends qu'il est en vacances, que sa femme travaille qu'il s'ennuie seul chez lui tout comme moi. Alors je passe la surmultipliée et la conversation tourne lentement vers la sexualité et notre manque respectif. Nous rigolons, après le troisième verre de porto et une heure de blabla nous sommes tous les deux assis dans le canapé côte à côte. A plusieurs reprises sa main s'est posé sur ma cuisse juste sous mon short très court, ses yeux brillent et je remarque un bosse sur son short. Je me colle un peu plus à lui il m'enlace et me roule une pelle mémorable ses mains courent sur mon corps, mon sou-tif se retrouve vite sur le carrelage ainsi que mon short. A la renverse sur le canapé il me bouffe la minette en malaxant mes seins. Une chaleur intense traverse mon corps je soupir et gémis comme une dingue, je mouille, sa langue s'active partout sur mon sexe, sur mon bouton qu'il mordille et dedans, je m'accroche à lui en criant mon bonheur. Arque bouté contre lui je jouis comme jamais. Quand j'ouvre les yeux il est debout devant moi nu la bitte pointé vers le ciel. Je la prend dans ma main et le tire vers moi, assise je commence à le lécher, ma langue tourne sur le gland avant de l'enfoncer jusqu'à la gorge. Il grogne doucement en tenant ma tête. Je vais et viens sur cette queue encore inconnue pour moi, elle est bonne longue mais pas très grosse, je sens qu'il arrive au bout car il se tortille de plus en plus. Je continue de plus belle une de mes mains passe autour de ses hanches pour qu'il se retire pas et j'accélère, il se cabre contre moi râle et je sens le liquide envahir ma bouche et ma gorge, je me retire un peu mais avale tout jusqu'à la dernière goutte. Puis je me lève l'embrasse avec la langue pour bien qu'il profite de ce qu'il m'a donné. Ma main caresse sa queue et la branle doucement. Il bande de nouveau. Je me mets à genoux sur le canapé et lui offre mon intimité, j'adore la levrette. Il me prend aussitôt et me pistonne comme un diable. Je repars très vite dans un orgasme puissant et violent. Ses deux mains agrippent mes hanches je crie des ohoho ouiouioui encore plus fort avant d'exploser. Il me tire contre lui se redresse contre mes fesses, je sens les jets dans ma chatte. Il me tient un instant comme ça sa queue dans ma chatte, je la sent de ramollir. Bon dieu que c'est bon de baiser comme ça. Il se retire. Je me retourne et me lève aussi. Je l'entraîne vers la salle de bain ou nous prenons ensemble une douche sans un mot, juste des caresses et des bisous. Puis de retour au salon, nous nous rhabillons. Après un dernier baiser nous nous séparons avec la promesse de nous revoir le lendemain dans l'après midi. Ce fut une journée mémorable pour moi. Il m'a fait l'amour comme aucun homme auparavant avec douceur gentillesse et endurance. Il m'a laissé pantelante, épuisé et calmé pour un bon moment. Merci à mon matou pour cette découverte. Je ne vois plus mon voisin de la même façon. 

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Histoire envoyé par Max le 10 12 2020

Le dépanneur.
Je Vais vous raconter l'aventure qui m'est arrivé au mois de Juillet de cette année 2020. J'ai quarante ans, je suis technicien en alarme de maison, je travaille sur le département de l'Isère pour une grosse société basé à Lyon. Début Juillet on m'à attribué pour remplacer des techniciens pendant les vacances deux autres départements l'Ardèche et la Drome. En principe la période est calme, donc pas de problème, nous ne faisons pas d'installation rien que de la maintenance. Un matin je me retrouve avec deux visites chez des particuliers. Le premier à 9 heures du matin à Privas ou tout se passe bien. Vers 14 heures je me rends dans la Drôme près de Die ou j'ai rendez vous. Heureusement j'ai la clim dans ma petite camionnette car il fait 40 degrés . Quand je sonne au portillon du pavillon une dame d'une cinquantaine d'années vient m'ouvrir, elle est habillé plutôt légèrement, une robe transparente qui laisse voir ses dessous, elle est pas très grande blonde et plutôt rondouillarde, elle est souriante et tout de suite se plaint de la chaleur, elle me fait entrer et m'explique son problème. Je lui demande de me montrer ou se trouve la centrale. Elle m'emmène au premier sur une mezzanine et me montre un petit placard, je l'ouvre sort de ma trousse à outils mon logiciel, ouvre la centrale et commence mon contrôle, elle me dit j'ai soif je descends je vous laisse faire, moi pas de souci madame, je la regarde partir on voit tout presque comme si elle était à poil. Au bout de trois minutes j'ai fait le point la carte maîtresse est morte, d'après le contrat d'entretien elle à dix ans donc rien, d'anormal. Je redescends pour aller à ma voiture, je la trouve allongé sur le canapé dans une position un peu olé olé, je souris et file à ma voiture. Quand je reviens pour lui dire que je n'ai malheureusement pas la bonne pièce dans mon véhicule que je dois appeler l'agence. Pendant que je téléphone assis sur le fauteuil en face je la vois jouer avec moi, elle écarte et croise les cuisses, son sourire en dit long. Je la trouve un peu grosse sinon elle est plutôt jolie de visage et à des formes je vous en parle pas. Je souris en douce me disant quand même tu va pas te la faire la grosse. Le magasinier me dit qu'il à la pièce que je peux passer ce soir. J'explique la dame que je vais devoir revenir demain pour changer la pièce. Elle m'invite à boire un verre de CoCa frais et profite pour me montrer encore un peu plus ses cuisses et sa culotte. Après un moment de discussion je m'en vais lui donnant rendez vous pour le lendemain, elle me dit en partant je vous attend avec impatience et en même temps elle se frotte la poitrine à deux mains avec un regard plutôt d'allumeuse. Le soir, je récupère les pièces à mon agence et mon emploi du temps pour le jour suivant, je rentre chez moi. On verra bien demain. Mon premier client est à 9 heures dans le sud de l'Isère, j'y passe et règle son problème, ensuite je me rends chez la dame que j'ai vu hier , j'espère qu'elle sera un peu plus calme. Elle me reçoit avec un grand sourire, elle n'est pas plus habillé que la veille et me dit de but en blanc j'ai beaucoup pensé à vous. Je ne m'éternise pas et monte quatre à quatre les escaliers pour changer la pièce défectueuse, elle est resté en bas, je la mate en douce elle se tortille sur le canapé en se massant les seins et l'entrecuisse, je me dis elle doit avoir le feu cette nana puis je fais les essais d'usage remplis le carnet d'entretien dans le salon quand elle s'approche de moi, je suis assis sur le coin de la chaise quand elle me met la main au paquet me masse à pleine main en disant j'ai faim occupe toi de moi, de l'autre main elle déboutonne sa robe qui tombe à ses pieds, elle est en slip et sou-tif devant moi sourire aux lèvres, je bande, elle rit tu vois toi aussi tu as envie, elle se met à genoux m'ouvre le pantalon et sort l'oiseau de sa cage, c'est vrai je l'ai un peu aidé. Elle m'engloutit aussitôt la bite et me pompe allégrement. Je malaxe ses gros nibards et ses fesses. Soudain elle se lève me montre un cendrier et dit choisit petit moyen ou gros et vient j'ai trop envie elle est déjà à genoux sur le canapé cuisses écartées, sa chatte est poilue. Le temps que je réalise et mette en place la capote je suis derrière elle et je la plante jusqu'à la garde elle pousse des cris dit qu'elle est ma chienne qui faut que la baise et pendant que je la besogne hardiment elle n'arrête pas de vociférer des gros mots, j'ai jamais entendu chose pareille mais ça m'excite et je la bourre sans ménagement. Elle crie pousse des râles et surtout m'encourage à aller toujours plus fort. Quand je jouis je m'accroche à ses nichons que je serre à pleines mains. Je me retire enlève la capote que je pose sur le coin de la table, elle se retourne s'assoit et me bouffe à nouveau la queue elle va et vient sur ma hampe sa langue tournoie sur mon gland, je bande de nouveau comme un taureau, elle sourit et dit aller vient prend mon cul encule moi j'aime ça baise en se remettant à genoux je remet une capote et après deux va et vient dans sa chatte je l'enfile dans le cul elle hurle des ohoho putain c'est bon encule moi bien j'aime ça vas y ramone bien moi la cheminée c'est trop bon oh salaud vas y vas y. Je lui pistonne le fourreau anal en me cramponnant à ses hanches elle jouit en poussant des râles de bêtes fauves jusqu'à ce que je vide le reste de mon jus, puis je me retire. Je reste un instant sans brocher surpris par ce que je viens de faire, elle s'est déjà retourné a enlevé le préservatif et elle me suce à nouveau. Jamais je n'ai connu un tel assaut mais bon dieu que c'est bon. Elle me lèche me nettoie le gland avec sa langue. Puis elle m'invite à me laver dans la salle de bain. Nous finissons les papiers elle me donne une carte avec son tel et me dit reviens quand tu veux mais avertis moi a l'avance que mon mari ne soit pas là. Quelle journée, mais les vacances ça a du bon. 
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Histoire envoyé par inconnue le 08 12 2020
Une envie de baise sauvage.

Je n’avais encore jamais écrit d’histoire érotique. Puis il m’est arrivé cette aventure. Elle m’apporta tellement de sensations fortes qu’il a fallu que je l’écrive. J’étais extrêmement excitée en l’écrivant et en me remémorant chaque minute de cette baise inoubliable.
J’ai 28 ans, je suis assez mince, j’ai des longs cheveux châtains, des yeux verts très clairs et, à en croire les commentaires que les hommes me font dans la rue, je suis plutôt canon. Seul petit défaut : je trouve mes seins trop petits. J’ai décidé de n’écrire que la vérité dans cette histoire, je ne mentirai donc pas sur la taille de mes seins. Je fais un petit 85B, ce qui ne me satisfait pas trop.
J’étais avec mon ami depuis 4 ans, et nous louions un appartement dans une vieille maison en centre-ville de Blois. Il y a un mois de cela, il m’a quittée et m’a laissé l’appartement. J’ai donc commencé une nouvelle vie, seule. Ou presque. Ce jour-là, je rentrais chez moi et, sur mon palier, j’ai croisé mon voisin du dessus qui descendait. Je l’avais croisé quelques fois mais je le connaissais très peu, si ce n’est pas les bruits de baise que j’entendais à travers les murs quand il s’y mettait. J’ai toujours supposé qu’en retour, il devait m’entendre aussi quand j’étais avec mon copain. Cette situation m’amusait beaucoup.
Bref, mon voisin devait avoir à peu près 35 ans, grand, musclé, cheveux noirs. Pas trop mon type d’homme a-priori, mais finalement assez sexy dans son genre. Lorsque je m’apprêtai à ouvrir ma porte, il me salua poliment. Je me retournai et, pour la première fois, remarquai son regard perçant. J’eus la nette impression qu’il était en train de me déshabiller du regard avec ses yeux vicieux et son petit sourire en coin. Je me sentis rougir lorsqu’il posa ses yeux ravageurs sur mon cul moulé dans mon petit short en jean. Il me demanda quelque nouvelle, par politesse, et je lui expliquai que mon ami m’avait quitté, que je vivais désormais seule. J’essaie donc de m’habituer à cette nouvelle vie de liberté et de solitude, lui dis-je en souriant. Je voulais clairement lui faire passer le message que j’étais dispos. Le message fut bien reçu : il me proposa de venir boire un verre chez lui le lendemain, pour “tromper la solitude entre voisins”. Je n’en revenais pas. Moi, qui avait toujours eu une vie sexuelle fidèle, classique et… ennuyeuse, je venais d’accepter ça ! Et puis je me résonnai. Je me faisais peut-être des idées. Au fond, il voulait peut-être tout simplement boire un verre. Trop tard, j’étais complètement excitée en imaginant sa grosse queue. Je m’engouffrai chez moi, plongeai sur mon lit, attrapai mon gode, et l’introduit sans peine dans ma chatte dégoulinante et frémissante de désir. Avec mon index, je jouai avec mon clitoris, lentement au début, puis n’y tenant plus, je le fis aller dans tous les sens et enfonçai mon gode le plus loin possible dans mon vagin. Je me tordis de plaisir, frissonnant, soupirant, puis me laissant aller à crier en jouissant. Mon voisin m’avait-il entendu ?
J’avais fait ça comme une grosse cochonne, j’en avais mis partout. J’en avais plein les doigts et mes draps étaient trempés. Je léchai alors un à un mes doigts, puis mon gode, pour ne pas perdre une goutte du jus de mon plaisir. Mais j’étais frustrée, mon gode ne valait pas une vraie baise. Ça faisait un mois que je n’avais plus été touchée, il m’en fallait plus, et le plus vite possible. J’avais une envie incontrôlable qu’une grosse queue me prenne, me pilonne la chatte, me fourre dans tous les sens. J’étais dans un état de transe, j’aurais bouffé sauvagement n’importe quelle bite qui se serait aventurée dans ma bouche de salope.
Le lendemain, au travail, j’eus du mal à me concentrer. Je ne pensais qu’à ça et, plusieurs fois sur la journée, je dus aller aux toilettes pour calmer ma chatte mouillée. Le soir, j’attendis d’entendre ses pas craquer sur le parquet au dessus de ma tête pour aller frapper à sa porte. Il m’accueillit avec un grand sourire et me servit un verre de vin. Mon excitation avait soudain disparut, faisant soudain place à la gêne. Finalement, il me paraissait plutôt froid, et je n’étais pas sûre que mes fantasmes seraient assouvis ce soir. Au fur et à mesure de la conversation et des verres de vin, je lui demandai l’air de rien s’il était célibataire. Autrement dit, dans ma tête, je pensai : “alors, tu serais prêt à me baiser ce soir ?” La réponse fut oui. Nous en vînre à parler du type de femme qu’il aimait, et des seins qu’il adorait toucher. Je lui dis en rigolant que moi, malheureusement, ce ne sont pas mes petits seins qui exciteraient un homme. Très sérieux, il me proposa, presque autoritaire : tu peux me les montrer ? Comme ça je pourrais évaluer.Je ne me fis pas prier et lui lançai en me déshabillant : OK, mais approche-toi. De là où tu es, tu ne verras rien. Il vint s’asseoir à côté de moi sur le divan, et écrasa mon sein dans sa grosse main musclée toute chaude. Il commença à les embrasser, les lécher, et les caresser fermement. C’était divin. Mes seins gonflaient sous ses lèvres et ses mains. J’attendais la suite avec impatience. Il se coucha sur moi, remonta très sensuellement ses lèvres et sa langue sur mon torse, mon cou, puis glissa à mon oreille : je peux te demander une faveur ? J'ai envie te sucer la chatte ? Je répondis, n’y tenant plus : c’est même urgent que tu me suces la chatte, elle est toute trempée pour toi. Je me tortillais déjà d’envie, le désir montait tellement, il fallait qu’il me soulage. J’enlevai mon petit short et mon string, me couchai, un pied sur le divan et l’autre par terre, pour écarter au maximum mes cuisses et lui offrir une vue parfaite de mon trésor dégoulinant. Il plongea sa langue sur mon clitoris gonflé et commença à le laper comme un vrai petit chien, à petits coups de langue bien durs et rapides. Il était déchaîné et moi je montais au ciel. Je me tordais dans tous les sens, me retenant pour ne pas hurler, mais le plaisir était tellement intense qu’il en était presque insupportable. Il glissa ensuite sa langue dans ma chatte, bien profondément et la fit tournoyer, de plus en plus loin. Il me maintenait fermement par les cuisses et me plaquait contre son visage, tout enfoncé en moi. Il me bouffait littéralement la chatte ! Et j’aimais ça ! Son nez était écrasé sur mon clitoris. Le plaisir venait de partout, je commençais à pousser des petits cris et finalement je jouis sur dans sa bouche. Il se releva, et ses yeux redevinrent les yeux pervers et vicieux de la veille. Sa langue, OK. Mais moi, je voulais de la bite. Et j’en voulais une grosse. J’espérais que je ne serais pas déçue.
Je me levai en lui disant, d’un ton aguicheur : tu as déjà baisé sur la table de ta cuisine ? Je me couchai sur la table, les fesses au bord, et les cuisses écartées au maximum vers lui pour le provoquer, pendant qu’il se déshabillait. Il ne dit pas un mot, me regarda froidement, attrapa mes cuisses et d’un coup sec, plongea violemment sa queue toute dure droit dans mon vagin. Je poussai un cri de surprise et de douleur. Il m’avait transpercée d’un coup ! Mon excitation tripla, et j’eus ce que je méritais. Il me baisa comme un malade, sauvagement, avec de grands coups violents et secs, qui enfonçaient chaque fois sa grosse bite très profondément dans ma chatte, comme pour me punir de l’avoir chauffé. Il alla de plus en plus rapidement, j’étais pilonnée, ramonée, j’avais le trou défoncé ! Ses grosses couilles claquaient contre mes fesses, qui s’écartaient pour les laisser passer. Je voulais de la bite, j’en avais, et pas n’importe laquelle. Son regard froid et condescendant me faisaient jouir pendant que, tout aussi brutalement, il se vida les couilles en moi. Il se retira lentement, et avec son prépuce encore enduit de semence, me caressa le clitoris, le pubis, et l’anus, pour me couvrir de foutre. Mon clitoris, brûlant d’excitation il y a quelques secondes, brûlait maintenant au contact de son sperme chaud. Il retourna s’asseoir sur le divan. Son énorme queue toute veineuse et trempée de ma cyprine, commençait à débander. Je m’approchai alors et me mit à 4 pattes sur le divan, les fesses en l’air et les jambes écartées, pour sentir encore le jus chaud qu’il avait giclé sur moi, et le voir couler lentement le long de mes cuisses. Je vis sur sa queue une goutte de sperme oubliée. J’entrepris de lui donner quelques coups de langue pour le nettoyer. Je le regardai dans les yeux et lui pris sa bite en bouche, en le suçant abondamment pour la réveiller. Il mit une main sur ma tête, une autre sur mon cul dégoulinant. Il me passa sa main entre les fesses, puis lentement sur ma chatte tendue en l’air pour constater que j’étais toujours excitée. Brutalement, il se leva, me forçant à me mettre à genoux par terre. Il me saisit la tête des deux mains, m’enfonça sa grosse queue gonflée d’un coup dans la gorge. Il m’avait encore surpris. Je mouillai encore une fois. Sa semence qui dégoulinait entre mes jambes, se mélangeait de nouveau à ma cyprine. Mon sexe était brûlant. Sa queue aussi. Il me maintenait la tête et commença à me baiser sauvagement la bouche. C’est lui qui donnait la cadence, je n’avais qu’à me taire et bouffer sa grosse queue, qui me défonçait la gueule aussi violemment qu’il m’avait explosé la chatte. Sa bite me remplissait la bouche tellement elle était gonflée et je la suçais comme je pouvais dans ce rythme effréné. J’avais l’impression d’être une petite pute, son jouet sexuel qu’il manipulait pour satisfaire son envie, et ça m’excitait encore plus. Je voulais qu’il profite de moi. Je sentis soudain son sperme chaud et onctueux couler dans ma gorge. J’aurais voulu lui dire : vas-y, gicle tout ce que tu as, envoie moi le jus de ta grosse queue, j’en boirais des litres ! Mais ma bouche était encore remplie, je me contentai donc d’avaler docilement. Il se rassit et je me couchai sur ses cuisses. Il passa tendrement une main dans mes cheveux et me dit : est-ce que ça te dirais qu’on se revoit… pour un plan à 3 ? J’eus une étincelle dans les yeux. Bien sûr que j’étais partante pour me faire prendre par deux bites à la fois !
Puis je lui demandai : tu veux dire, avec une fille ou avec un homme ?
Il se contenta de me répondre dans un sourire : tu verras, laisse-moi te préparer la surprise, tu vas adorer ça, petite salope !
Il n’avait pas tort, j’étais devenue une grosse salope, et j’en voulais encore !


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Histoire envoyé par Enora le 01 12 2020
Surprise Surprise !!!

Faîtes une surprise à votre mec. Il va aimer ! c'est sur.
Je m’appelle Enora, j’ai 31 ans, et cela fait maintenant six ans que je suis avec mon homme. On habite en Bretagne. On s’aime énormément, on adore faire l’amour, mais je dois avouer que le quotidien ne nous laisse pas beaucoup de temps pour des nuits très chaudes. Alors j’étais décidé, je voulais « re-séduire » mon chéri. J’ai donc programmé un super week-end, celui qui précède la fameuse Saint Valentin. Je n’avais qu’une seule idée en tête, « jouir », mais pas n’importe où ! J’ai réservé une cabane dans les arbres en Bretagne, isolée du reste du monde. Mon amoureux n’était bien sûr au courant de rien, le moment. La semaine de préparation fut longue, mon esprit et mes idées coquines me hantaient la tête. Je mouillais d’avance d’envie.
Le samedi est enfin arrivé. Nous avions rendez-vous à 17 h 30. Je me suis fait épiler intégralement la foufoune, puis je suis allée acheter une perruque brune, un porte-jarretelles, des bas et des sous-vêtements transparents car mon homme adore mes seins. Rien qu’à les toucher, il bande comme un taureau… J’ai également pris un tout petit pot de caviar, du champagne, des toasts et de la glace.
Quand je suis arrivée à la maison, mon chéri m’attendait. Je sentais l’excitation qui l’envahissait, il avait hâte de savoir ce qui je lui préparais en secret. Je me suis installée dans la chambre pour me transformer en femme fatale. Ma chatte toute douce était trempée. J’avais trop envie de me faire prendre, mais je résistais à la tentation. Mon imper noir par-dessus mes sous-vêtements, mes cuissardes et ma perruque brune en place, j’ai enfin ouvert la porte de la chambre. Et là, sous le regard ébahi de mon conjoint, j’ai vu la forme de son sexe à travers son pantalon…
Les bagages dans le coffre, on a pris la route pour un week-end magique. Alors que je conduisais, mon chéri s’était rendu compte que je n’avais pas mis de culotte et que j’étais presque nue sous mon manteau. Il a commencé par enfoncer ses gros doigts dans ma chatte qui n’attendait que cela. Ce n’était pas facile de me concentrer sur la route, mais cela m’excitait davantage. Il a ensuite détaché sa ceinture pour venir me lécher entre les jambes. Le week-end de sexe commençait très bien… J’avais de plus en plus de mal à me contrôler, je jouissais très fort, je n’arrivais pas à le repousser. Pendant quarante minutes, il s’est occupé de ma chatte qui était au bord de la folie.
Nous sommes enfin arrivés. Je suis descendue de la voiture avec la tête un peu dans les nuages. Mon chéri est resté assis à la place passager, se demandant toujours dans quoi je l’embarquais. Un homme m’a remis les clés de la cabane, tout en me regardant d’un air un peu mateur. Ensuite, il nous a emmenés, mon chéri et moi, dans notre cabane, à plusieurs mètres de haut dans un arbre. C’était magnifique, il y avait un grand lit avec des câbles, et j’imaginais déjà les positions qu’on allait pouvoir réaliser. Nous avons d’abord décidé d’explorer les bois tout autour. La nuit commençait à tomber, nous avions des lampes frontales. Nous étions tous les deux seuls au monde avec la nature. Une idée cochonne m’a traversé l’esprit ! J’avais envie de sucer mon homme en pleine forêt. J’ai baissé son jean, attrapé sa grosse queue que j’ai enfoncée au fond de ma gorge. Il gémissait… Il n’en fallait pas beaucoup plus avant qu’il ne craque ! Mais, comme je voulais la garder dure pour toute la soirée, j’ai arrêté. On est rentrés ensuite dans notre petite cabane. Je lui avais préparé un Scrabble coquin : dès que l’un de nous dépassait une dizaine de points, l’autre avait un gage. J’ai dû faire une pipe au caviar à mon homme, jouer à la fliquette avec des menottes. Moi, je lui ai demandé de me prendre par « l’entrée des artistes ». Sa queue dans ma bonne paire de fesses, c’en était trop pour lui et pour moi aussi. J’ai tellement hurlé de plaisir qu’il a laissé jaillir son jus en moi. On a fait trembler la cabane et gêné nos voisins qui sont partis à l’aube. On a remis ça dès le lendemain, en levrette sur le lit, pour le petit-déjeuner. Depuis ce week-end, notre vie sexuelle a pris un autre tournant. Sans télévision, coupé du quotidien, cela rapproche un couple, croyez-moi ! J’espère que mon récit vous plaira comme il m’a plu… J’aimerais gagner pour pouvoir m’offrir un autre week-end insolite grâce au salon de l’érotisme.


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Histoire envoyé par Eléonore le 29 11 2020
J'ai cocufié mon mari alors qu'il dormait à côté de moi !
​Mon prénom est Éléonore, j’ai 38 ans, je suis marié avec un homme qui lui est marié à son entreprise, il n'ai jamais là, trop prit par son travail soit disant. Je m’ennuie à mourir dans notre grande maison parce que monsieur ne veut pas que je travaille. Il y a quelques mois, lors d’un week-end, nous avions invités une vingtaine d'amis pour son anniversaire, en fin de soirée il avait beaucoup bu et il s’est écroulé, ivre mort. Il s’est mis alors à ronfler bruyamment. J’avais honte car ce n’était pas la première fois qu’il se conduisait de la sorte. Quand les derniers invités sont partis, je demande à Jean René, un ami de la famille de m’aider, et nous avons porté mon mari dans notre chambre pour le coucher. Alors que j’étais penché sur lui pour le déshabillé et le couvrir avec une couverture, Jean René s’est collé derrière moi, et m’a embrassé la nuque. Tout d’abord très surprise, je me suis un peu débattu car ce n'était pas vraiment le moment, mais la surprise passé et compte tenu de l'état de mon homme je l'ai totalement laissé faire. Constatant mon abandon, il est vite devenu très entreprenant. Il a soulevé ma jupe et a insinué sa main entre mes fesses, en insistant très longuement sur le sillon. Il m’a très habilement câliné l’anus, une caresse que ne m’avait jamais faite mon mari, très puritain en matière de sexe (avec lui, c’est la position du missionnaire, juste une fois par semaine, et point barre). il s'est vite aperçu que je mouillais car il sorti son sexe et m’a prise en levrette en écartant mon string. Cette situation était assez exceptionnelle pour la petite bourgeoise que je suis, un homme me pilonnait le sexe à un mètre de mon mari profondément endormi ! C’était totalement irréel et pervers, mais d’autant plus excitant ! Sa grosse bite me besognait avec force. Je jouissais, de la pure extase… Le sentant prêt à éclater, je me suis retiré. Je me suis assise sur le lit et je l’ai sucé avec délectation. Sa queue était exquise, bien meilleure que celle de mon époux, complètement avachi à mes côtés pendant que je pompais un de ses amis ! Il a fini par jouir longuement dans ma bouche, et j’ai tout avalé avec plaisir. Puis, il s’est agenouillé devant moi et a écarté mes cuisses. Sa langue s’est approchée lentement de ma fente, j’étais trempé de mouille, terriblement chaude. Il m’a léché l’intérieur des cuisses, puis sa langue s’est infiltrée dans mon intimité, d’abord en titillant mon clitoris, puis en s’enfonçant dans mon sexe comme un mini-pénis. Ce type était merveilleusement doué ! à peine m’avait-il pénétré que j’ai eu un orgasme foudroyant. je poussais de petits cris en me cramponnant aux draps, mon mari ronflait comme un sonore à côté.
Ce salaud m’a baisée longtemps, m’a caressée partout, son gland enfoncé dans mon petit trou. En gémissant de plaisir, j’ai remué mon cul comme une furie. J’ai joui à nouveau, à la limite de l’évanouissement. Mon mari dormait toujours à poings fermés.
Il m'a baisé partout même mon petit trou qui était encore vierge.
Depuis, nous nous rencontrons toutes les semaines. Je prends mon pied à chaque fois et quelque part, j’aimerais bien que mon mari l’apprenne. Peut-être aurai-je le courage de lui montrer ma lettre si jamais vous la publiez…


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Tout à basculé le jour ou mon mari m'annonça qu'il demandait le divorce.

Je suis Jocelyne 48 ans marié depuis 24 ans, mon fils unique vit dans le sud de l'Espagne et mon mari s'en va avec une autre femme bien évidemment plus jeune que moi. Je suis groggy par l'annonce subite de ce divorce, je n'ai rien vu venir, je me doutais de rien. Si bien sur nous ne faisions plus l'amour depuis longtemps, faisions chambre à part à sa demande pour motif qu'il rentrait tard et partait tôt. Moi avec mon petit job de secrétaire à la mairie je ne m'inquiétait pas le moins du monde. Une fois seule dans ma maison, car il me l'a laissé du jour au lendemain, je cherche à comprendre, me pose plein de questions, me regarde dans la glace et me dis tu es pourtant une belle femme, très brune, bien en chair, yeux marron, regard rieur, assez grande, poitrine ronde et ferme avec des fesses bien galbées. Je suis vraiment effondrée et assommée par cette décision sans discussion possible.
Heureusement que j'ai mon amie Colette qui me soutient beaucoup, elle m'aide à passer le cap du divorce. Elle vient souvent me voir passe des soirées avec moi car elle n'est pas marié à 50 ans, et puis j'ai mon travail et mon fils qui me téléphone très souvent pour prendre de mes nouvelles. Deux mois plus tard je me sens beaucoup mieux je reprends goût à la vie doucement. Un soir ou Colette mange avec moi nous regardions des photos que j'avais trié en prenant soin de bien enlever celles de mon mari j'éclate soudain en sanglot en voyant une photo que Colette avait apporté, se sentant responsable elle me prend dans ses bras et fait tout ce qu'elle peut pour me consoler, mais ni ses caresses ni ses paroles ne me calme. Au bout d'une heure elle me dit:je reste dormir avec toi ce soir, j'acquiesce et vais me coucher, elle m'aide et m'accompagne dans ma chambre elle dormira à côté dans la chambre d'ami. Dans la nuit je pique une crise, je me mets à pleurer à chaudes larmes, Colette entre en essayant de me calmer elle se met sur le lit à côté de moi et m'enlace tendrement, me parle me réconforte gentiment, petit à petit je me calme et me sent mieux peut être sa présence et son contact de plus en plus pressant contre moi. Elle se met sous les draps contre moi, je lui tourne le dos, elle m'embrasse sur la nuque les épaules, me murmure des mots gentils en se serrant contre moi, ses cuisses contre mes fesses dénudées sous ma petite nuisette, ses mains glissent sur mes hanches, mes bras et frôlent mes seins, je me calme et m’aperçois que ses caresses me font du bien, je me laisse aller, cela l'encourage sa main vient sur ma cuisse remonte doucement entre mes cuisses pendant qu'elle me bisouille dans le cou, petit à petit je me retourne sur le dos pour lui laisser plus de champs. Je suis bien mais je crois que je perds les pédales, je soupire doucement sous les caresses de plus en plus chaudes de mon amie, sa main va et vient sur ma fente qui s'humidifie lentement, j'écarte encore un peu les cuisses, ses doigts s'agitent sur mon clito qui durcit fortement je gémis et me tortille de plaisir, ah j'avais oublié ça que c'est bon, elle s'enhardit encore en rentrant deux doigts dans mon intimité, je pousse des ohohohoh oui c'est bon continue, ses doigts fouillent ma chatte en même temps que son pouce branle mon bouton, je gémis de plus en plus fort et jouis sous la caresse trop forte pour résister. Elle se relève quitte son soutif et sa culotte se glisse entre mes cuisses sa langue s'active sur mon bouton et je repars dans un deuxième orgasme encore plus fort, je libère une quantité de mouille incroyable, elle boit et lape comme un chien son lait, cabré contre elle je jouis comme une folle lui tenant la tête à deux mains. Nous nous endormons dans les bras l'une de l'autre. Quand mon réveille sonne je suis seule dans le lit, je ne comprends pas. Je me lève vais aux toilettes , j'entends du bruit à la cuisine, c'est Colette nue qui prépare le petit déjeuner, je m'approche elle me serre dans ses bras m'embrasse et me dit : depuis le temps que j'attends ça, je suis amoureuse de toi. Nous nous embrassons à pleine bouche puis nous déjeunons, nous riions ensemble, elle me dit : tu es radieuse ce matin et tellement belle ma chérie. Je me retrouve au boulot comme sur un nuage, complètement détendu et à la fois éberlué, j'ai fais l'amour avec ma meilleure amie et cela ne ma trouble même pas comme ci c'était normal. Je passe un bonne journée en espérant retrouver ce soir celle qui m'a libéré. Le soir pas de nouvelle de Colette quand soudain mon portable sonne c'est elle qui me dit qu'elle ne viendra pas avant 20 heures qu'elle fait des courses pour me faire une surprise. La je suis toute émoustillé en pensant qu'elle va venir et que je pourrais lui rendre les câlins qu'elle m'a donné.
Quand elle arrive elle est chaussé d'escarpins, des bas noirs gainent ses jambes et je peux mater sa croupe qu’elle a bien ferme et loucher sur son cul ou je vois la marque du string tellement sa jupe en cuir la serre ses seins arrogants déforment son corsage blanc et son soutien gorge noir m'excite je suis pleine de mouille à cause de cette salope qui m’excite, on s'embrasse à pleine bouche puis elle me dit tu aime ? Oui je t'adore. Elle j'ai voulu te faire plaisir viens voir elle s'assoit sur le canapé en rigolant puis croise et décroise ses jambes et je peux admirer ses jambes gainées son porte jarretelles et son string noir. Je suis très chaude j'ai envie de lui sauté dessus, je résiste ma chatte est trempée je devine ses nichons qu’elle a gros et fermes et je fixe ses tétons qui transpercent son corsage... hum... ma culotte est mouillé. Elle me mets le feu. Comment n'ai-je pas remarqué son jeu avant j'étais vraiment aveugle. Je vois ses nichons tendus, je suis ivre de désir. J’ai envie d'elle, sentir ses seins brûlants contre les miens, j’ai envie de mordiller ses tétons, de malaxer ses gros nichons, de branler son clitoris, d’enfoncer ma langue dans sa grotte en chaleur. je me sens fondre quand elle écarte les jambes et là je pus admirer ses beaux dessous... ses bas, string noir...sur ses cuisses blanches, elle ouvre son corsage et j’admire ses seins ronds et fermes qui débordent de son soutien gorge, elle toujours avec son air innocent et moi mouillant comme une vraie salope, excitée par le tableau, hum... c’est bon ! Elle à bouleverse ma vie. Elle me demande alors comment je la trouve je lui réponds carrément que je suis trempée et que j'ai la chatte en feu. Elle me fait un grand sourire, Je m’approche, sûre de moi, je la veux . Je lui arrache son string, elle a de beaux seins, fermes et volumineux que je touche pour la première fois, sa chatte est complètement rasée, ma main glisse sue sa vulve de haut en bas puis glisse un doigt puis deux, elle ondule, écarte les cuisses elle aime ça. Je dégrafe son soutif Je lèche et mordille ses tétons, je les malaxe en lui limant la chatte. Elle gémit et mouille de plus en plus. C’est bon... hum !... Elle pousse des soupirs et me regarde droit dans les yeux, son regard me trouble, j’ai envie d’elle de la baisser. Je me baisse et porte ma bouche à ses grandes lèvres, ma langue s’infiltre déjà dans sa fente, Elle mouille abondamment, j’avale tout, je lèche tout. Je ne me reconnais plus, je suis transformé voilà que j'aime baiser une femme maintenant. Elle soupire de plus en plus fort, je lui déguste la chatte, ma langue virevolte à l'intérieur pendant que mes mains malaxent ses nichons du gémissement elle passe aux cris de jouissance qui n'en finissent plus. Je bois et avale tout sa cyprine, quand je m'arrête c'est pour faire glisser ma langue sur sa rosette toute fripé. Ma langue glisse en tournant puis y pénètre doucement j’aime ça, je la besogne littéralement avec ma langue. Elle mouille et j’aime entendre le bruit que fait ma langue lorsque je lape sa chatte et son trou du cul. Je me relève enfin, elle reprends ses esprits pendant que je me déshabille, Je suis trempée comme jamais, je sens maintenant ses doigts qui jouent dans mon propre petit trou, ils me parcourent, me caressent, me pénètrent puis c’est sa langue qui vient les remplacer, elle est douce, mon corps est parcouru de frissons... La chérie! Elle me fait jouir ! Moi je deviens gouine j'aime ça! C’est tellement bon ! ! ! ! ! ! ! ! !l La garce elle s’est y faire... ! Elle cache bien son jeu ! c’est une vrai salope et j’adore ! Je découvre de nouvelles sensations !... elle me bouffe la raie... je sens ses nichons sur moi, hum... ils sont fermes... ! Jamais j’aurais cru... hum... elle bouffe ma chatte... je coule de mouille... oh... je prends mon pied... ! Fouille ma chatte t'arrête pas ! lui dis je.. défonce moi le trou avec ta langue salope... oh... putain que c'est bon chérie Continues... oh ma salope... j’adore ça! Soudain je sens quelque chose de dur entrer en moi elle à un gode et me besogne hardiment avec il est gros et comme un vrai je pars dans un orgasme qui ressemble à un tsunami je vois des étoiles et perd presque connaissance. Quand je reviens à moi elle est assise sur l'accoudoir du canapé cuisses écartées le gode dans la chatte elle de baise seule. Je lui prends de la main et c'est moi qui mène la danse. Sa chatte est inondé ça rentre tout seul... je la lime comme un mec ferait avec sa queue, je la défonce... elle gémit la garce... Elle hurle elle en veut encore, je mouille un doigt et lui glisse dans le cul et crie de plus belle pendant que je la baise dans les deux trous ma petite salope à moi ! Je ne retiens plus Je la traite de pétasse, de gouine, de sainte nitouche de salope... et elle mouille encore plus, je suis bien, je m’éclate avec une lesbienne... elle est vicieuse douce et j’adore ça ! Le pied !
Nous avons passés la nuit ensemble et depuis nous couchons ensemble au moins trois par semaines avec nos jouets intimes.


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Histoire envoyé par inconnue le 27 11 2020

​1° Expérience de libertinage.
Nous sommes un couple marié depuis 8 ans mon mari 37 ans moi 35. Cela faisait plusieurs années que je voulais découvrir les plaisirs entre femmes, mais je ne voulais pas le faire seule. Bien entendu, mon homme n’était pas contre, bien au contraire même ! Il voulait me voir partager des caresses, des baisers, des léchouilles et espérait aussi en profiter. Beaucoup d’hommes aimeraient assister à ce spectacle. Je vais donc vous raconter notre première expérience dans le milieu libertin. Tout a commencé sur internet. On a échangé avec plusieurs couples, avec l’un d’eux, le feeling est bien passé lors de nos discussions. Nous avons décidé en commun de nous rencontrer pour une soirée resto puis, après ?????????? on verra. Le soir venu nous sommes partis très excités mais quand même avec beaucoup d’appréhension. Dès notre rencontre au resto nous étions rassurés le couple me plaisait et ils étaient sympa et cela semblait réciproque. Pendant le repas, la conversation et les regards coquins que j'ai échangé avec ma nouvelle partenaire m'ont rassuré. Le désir montait peu à peu. Le charme a vite opéré. Après le resto, nous sommes décidé d'aller chez eux. Le désir était plus que palpable. On a partagé une coupe de champagne, et je me suis vite retrouvé avec elle sur le canapé, on a échangé des bisous, des baisers langoureux, des caresses on fait le reste. On s’est vite retrouvées en sous-vêtements. Et ma copine coquine avait un body qui me faisait déjà frémir de désir. On s’est embrassées en face à face avant de se tourner autour afin de se découvrir en petite tenue, d’admirer chacune les courbes de l’autre… Je ne tenais plus vraiment en place. J’avais de plus en plus envie de découvrir ce que cachait ce fin tissu. Malgré l’intensité de mon désir, c’est elle qui a pris les devants. Elle m’a allongé, m’a chevauché, m’a longuement embrassé sur la bouche. Puis, elle est doucement descendue sur ma poitrine, elle m’a léché les tétons qui ont pointé direct. Ensuite, elle a continué sa descente vers mon entrecuisse. Elle a longuement joué avec mon clito, m’a léché pendant un bon moment. Moi, j’étais aux anges, je lui caressais les cheveux j'étais bien, je mouillais et j'étais pleine de frissons. En tournant la tête je voyais nos hommes assis qui regardaient . Ils semblaient très excités et nous dans notre bulle, on partageait un délicieux moment de complicité et de plaisir, et c’était la seule chose qui importait. Ils nous ont confié par la suite qu’ils avaient adoré nous regarder vivre ce moment. Pendant ce temps, sa langue me fouillait, ses doigts s' immiscés en moi, c’était doux, sensuel, érotique ; j’ai adoré ! Mais maintenant, je voulais lui rendre ses caresses. Je l’ai donc invité à remonter. Elle était toujours au-dessus de moi. Tout en l’embrassant, je lui ai caressé tout le corps en insistant particulièrement sur une zone sensible : son sexe. Dans cette position, chacune pouvait toucher l’autre à sa guise sans quitter sa bouche. Mais le désir de son sexe était de plus en plus insoutenable. Alors, j’ai pris le dessus et je l’ai embrassé partout, j’ai enfin pu goûter au fruit de mon désir. Quel bonheur ! Je raffolais de son goût… Je devais avoir le minou dégoulinant. Je me suis appliqué à lui rendre son plaisir, c’était si bon de la sentir vibrer sous mes coups de langue, je ne voulais plus que ça s’arrête. On a repris une coupe et on a demandé, pour la première fois, comment ça se passait pour nos hommes. Vu leurs sourires et leurs têtes, ils appréciaient le spectacle et ils nous l’ont confirmé. Nous avons entamé un 69 endiablé. C’est tellement bon de se donner mutuellement du plaisir de cette façon ! Suite à ça, nos hommes nous ont rejoint. Chacun a récupéré sa compagne pour reprendre une partie des caresses et a apporté une touche de virilité dans l’échange. De temps en temps, nous revenions l’une vers l’autre… C’est très excitant de se faire embrasser par un homme et lécher par une femme en même temps. Finalement, nous n’avons pas pratiqué le mélangisme enfin, juste entre femmes ! À un moment, nous avons fait un 69, et nos hommes nous pénétraient en même temps. La position n’était pas facile à tenir, mais la vue restait intéressante. Nous avons continué à faire l’amour les uns à côté des autres. Entre les va-et-vient de nos hommes et les baisers échangés entre femmes, les trois heures de plaisir ont finalement eu raison de nous. Après une dernière jouissance bien méritée, nous avons discuté encore un peu pour finalement aller nous coucher le jour se levait. Nous nous sommes dit au revoir le lendemain en fin de matinée. Depuis ce jour, nous nous revoyons régulièrement et partageons beaucoup de plaisir. Maintenant nous faisons l'amour à quatre c'est super. Notre couple est repartit pour un long chemin.​

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Histoire envoyé par Sibille le 22 11 2020
​Mon aventure au supermarché
Mariée depuis 20 ans et exemplaire jusqu'à ce jour j'ai craquée pour un jeune minet. Sibille 47 ans j'ai deux enfants. Cet après midi là dans mon supermarché toujours en travaux je flânais au rayon biscuits et pâtisserie quand j’ai remarqué un jeune homme qui me fixait et suivait le moindre de mes mouvements. Il était bien habillé, et avait fière allure, ce qui n’était pas pour me déplaire. Il m’a souri, et je lui ai rendu son sourire. Il a continué de fouiller parmi les chips et divers crackers, tandis qu’ayant terminé avec ce rayon je me dirigeais vers les yaourts. Sans penser davantage à lui je faisais mes achats, je l’avais totalement oublié. Il n'y avait pas grand monde dans le magasin. Deux allées plus alors que j'étais occupé à faire un choix dans les paquets de pâtes, j'ai senti une main me frôler, en me retournant j’ai vu le type près de moi. Sans s’arrêter il a tourné la tête pour m’adresser un sourire plus ravageur encore et s’est posté à quelques mètres de moi, devant le riz. Il me regardais droit dans les yeux, je lui sourit Il se rapprocha. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai senti durcir mes tétons et j’ai vite remarqué que les yeux de mon admirateur ne les lâchaient pas. Me cambrant, je n’ai pu résister au plaisir d’améliorer un peu le spectacle en rejetant ma poitrine en avant. Une de ses mains passait sur sa braguette j’ai remarqué qu’il bandait. Il s'est rapproché encore plus de moi, et se plaquant sur ma gauche il a posé une main ferme sur ma fesse droite. Le contact de sa main sur ma peau à travers le tissu m’a électrisé, des frissons traversèrent mon corps. Ses doigts ont lentement dévié vers mon entrecuisse, et se sont arrêtés sur l’élastique de mon slip. J'étais tétanisé. Ses yeux brillaient sa main allait et venait. Je sentais ma foufoune s'humidifier. Jamais j'aurais penser me faire peloter par un inconnu dans un rayon de supermarché.Le bruit d'un caddie nous a séparés. Celle qui nous a dérangés était planté la devant nous. Lui a disparu vers le fond du magasin. J'étais mortifié je voulais aller plus loin, la chatte en feu.
comme on est excité par toute aventure sexuelle impromptue, je sentais mon bas ventre envahi par une vague impression de désir, non encore trop virulente, mais délicieusement insistante néanmoins. Je savais que ma chatte était chaude et trempée, et repensant à la rapide caresse que le jeune homme m’avait faite je songeais combien elle aurait été meilleure encore si il avait pu se laisser aller librement à toutes sortes d’inquisition. 
Deux rayons rayon plus loin j’ai été prise d’une inspiration subite, après vérification qu'il n'y avait personne j’ai vivement retiré ma culotte et mise dans mon sac à main. Elle était aussi mouillée que je le pensais. J’ai avancé le long du rayon, et j’ai entendu un bruit derrière moi. Jetant un œil, j’ai reconnu le jeune homme qui avançait vers moi, l’air de rien. j’ai relevé légèrement ma jupe, pour montrer que j’avais saisi son message et que j'étais ok. Nous avons repris un pose complice j'ai posé tranquillement ma main sur sa bosse.
Elle avait l’air d’une taille imposante, et la sentir ainsi sous ma paume n’a fait qu’augmenter mon excitation. Je mouillais de plus en plus, sans savoir comment satisfaire en un tel lieu mes instincts devenus pervers. M’attrapant la main mon compagnon m’a entraîné vers un recoin désert du magasin, ou hormis quelques bâches et escabeaux. Il m'a plaqué contre le mur posé sa main sur ma cuisse et l’a lentement remontée vers ma chatte palpitante, avant d’y enfoncer soudain deux doigts énergiques. Sous l’intensité de l’attouchement j’ai failli gémir, mais j’ai réussi à me retenir en me mordant nerveusement la lèvre. Ne voulant pas être en reste là j’ai fébrilement ouvert sa braguette, dévoilant un caleçon de soie du plus bel effet. Je l’ai déboutonné et en ai sorti une queue énorme, bien droite et bien veinée. Ses doigts en moi ont remués légèrement, en une caresse étrange au commencement puis de plus en plus excitante. Cette sensation de bouillonnement m’a arraché des soupirs, et j’ai lentement commencé à le branler, ne quittant pas des yeux cette masse imposante de chair, offerte à mes caresses avides le temps d’une étreinte volée. Ajoutant encore un doigt afin de me remplir bien à fond, le jeune homme a commencé un mouvement régulier et puissant de va-et-vient qui me donnait l’impression de me faire baiser par une grosse queue à la morphologie un peu bizarre. J’ai un peu fléchi les jambes afin de pouvoir écarter les cuisses; j’avais envie de m’ouvrir, de m’écarter, de recevoir en moi tout ce qu’il voudrait me donner moi je le branlais et lui me doigtait avec art. très excitée j’ai empoigné la bite bien dure de l’homme. Me tournant de façon à lui montrer mon dos, j’ai caressé mon clitoris de son gland recouvert de salive et de mouille puis je l’ai dirigé vers ma chatte qui attendait depuis un moment déjà. Il a commencé à me prendre très lentement, pénétrant centimètre par centimètre dans mon fourreau, je n’ai pas tardé de jouir, et j’ai porté mon poing à ma bouche pour étouffer mes cris. Il ne semblait pas avoir envie d’arrêter de me limer et continuait ses mouvements, imperturbable. Au bout de quelques minutes, j’ai joui à nouveau, et j’ai senti aux mouvements de mon étalon qu’il allait jouir lui aussi. Ensuite je l’ai léché consciencieusement, ne laissant plus une seule goutte de sperme, me délectant du nectar tiède. Puis je me suis relevée et, sans remettre ma culotte, je l'ai abandonné là pressé de terminer mes courses et de rentrer chez moi pour vous raconter cette histoire.

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Envoyé par Cédric le 20 11 2020
​Quelle aventure avec la femme de ménage.
Cédric j’ai 40 ans divorcé depuis un an j'ai décidé de changer de région par opportunité et pour oublier. Je me retrouve près de Nantes à 10 kms au sud ou j'ai trouvé une petite maison à acheté dans la campagne. Cadre commercial je travaille sur mon ordi et je visite des clients dans un secteur de 250 kms. Au bout de quelques semaines je me trouve dépassé par la lessive et tout le bazar de la maison. Je demande à ma boulangère si par hasard elle connaît une personne sérieuse pour venir faire le ménage chez moi quelques heures par semaine. La semaine suivante elle me donne le numéro d'une dame qui est d'un âge mais sérieuse, discrète et efficace
Après une conversation téléphonique elle se présente chez moi à l’heure convenue

le lendemain. Tout d'abord surpris par son âge une soixantaine, brune cheveux assez longs, habillé stricte avec une poitrine opulente, sa robe noire met en valeur sa taille et son cul rebondi ne me laissait pas indifférent. Je lui est proposé de s'installer au salon, je lui ai expliqué la situation et ce que je voulais et lui ai laissé champs libre pour s'organiser. Elle est très souriante et joviale. Moi j’adore les femmes un peu rondes avec de beaux seins. Cela à donc facilité mon choix. On s'est mis d'accord pour 2 demi journée par semaine. Les semaines ont passées. Quand je suis à la maison elle est discrète à peine si je la remarque,Je sais qu'une chose elle est efficace. Un jour je suis rentré à l'improviste et par le garage et je la aperçu dans le couloir qu'elle lavait. Je m’arrête net et prends le temps de l'observer enfin surtout ses fesses puisqu'elle me tourne le dos. Je bande comme un fou, c'est vrai elle m'excite beaucoup. Au bout de deux minutes je me fais remarquer, elle me sourit et continu son train train moi dans mon bureau je la matais car ses seins et ses fesses ont déclenché une envie. Je me masturbe en pensant a elle, je l'imagine sur moi me chevauchant. Vu son âge je n'ose pas lui proposé la botte. Et puis petit on a fait connaissance, elle aime discuter avec moi pendant qu’elle travaille et comme ça je peux la mater sans me faire repérer. Dans l'été un jour il fait particulièrement chaud, elle arrivé avec une robe à fleurs très légère, transparente et suffisamment courte pour que je vois enfin ses jambes. Elle travaille, ses gros seins paraissent libres sous le tissu, je bande. Quand elle passe devant ma porte ouverte elle me regarde et sourit. Je fais tout pour la regarder j’aperçois quelques fois le haut de ses cuisses, je suis tellement excité, j' ai envie de faire l'amour avec elle, je lui ai proposé de boire un thé,glacé avant qu'elle ne reparte elle accepte. Elle s’assoit dans le fauteuil et moi sur le canapé face à elle. Je vois ses seins moulés par le tissu qui bougent à chacun de ses mouvements. Je suis sur maintenant qu’elle n’a pas de soutien gorge j'ai cru deviner ses tétons à travers le tissu, à un moment elle décroise les jambes pour prendre sa tasse, comme sa robe est courte j’ai aperçu sa culotte noire. On continue de discuter, elle m’excite ses cuisses paraissent douces, j’essaye bien de me calmer mais c’est dur il y à plusieurs mois que je n'ai pas baisé.Dans la conversation Elle me dit qu’elle est séparé depuis 10 ans et vit seule. Les ménages lui donnent non seulement un revenu mais aussi une façon de rester en contact avec la société. Je lui dit que j’en reviens pas de son âge, que je trouve qu’elle est très belle, très sexy et désirable et qu'elle ne fait pas son âge. La dessus elle me répond que je ne suis pas mal non plus que je suis un patron vraiment différent des autres pour qui elle travaille, qu’elle aime bien venir chez moi car elle à remarqué depuis longtemps que je la désirais et que cela ne la laissait pas indifférente. Elle se lève vient devant moi soulève sa robe et s'assoit sur mes genoux pose ses lèvres sur les miennes, sa langue cherche la mienne, elle se colle contre moi mon sexe en érection frotte contre sa culotte elle se trémousse, mes mains cherchent ses seins sous la robe que j'ai ouverte. Elle gémit sous mes caresses, je les lèchent et les mordillent, la tête en arrière elle balbutie, gémit ahane. Ma queue et dure, il faut que je la sorte. Je me lève finis de lui enlever sa robe, elle est nue devant moi, ses seins me rendent fou juste sa culotte noire me sépare de mon obsession. Elle me déshabille, me regarde droit dans les yeux et murmure j'ai cru que tu n'oserais jamais. Sa main s'agite sur ma queue je m'agenouille à ses pieds, pose mes mains sur ses jambes et remonte le long de ses cuisses. Je caresse ses fesses, elle poussé un petit cri. Mes doigts passent sous la culotte glissent sur la fente, elle écarte ses cuisses, mes doigts entrent doucement dans la grotte, elle pousse de petits miaulements en tendant son ventre en avant. Mon autre main fait glisser la culotte vers le bas jusqu'aux chevilles. Elle se libère en faisant un pas en arrière. Je l'a fait asseoir dans le canapé et glisse ma tête entre ses cuisses, ma langue entre en action partout, je lèche le gros bouton qui émerge du capuchon. Elle se tortille en poussant des cris de plaisirs elle soulève ses cuisses sur mes épaules et m'encourage avec ses mains sur ma tête; Elle ne tarde pas à jouir dans ma bouche en articulant de nononono oh c'est bon et la liqueur m'envahit. Ensuite elle s'est levé moi dans le canapé elle à genoux ma sucé comme une reine. Elle ne mit pas longtemps à me faire éjaculer dans sa gorge. Elle se couche ensuite sur le canapé et me dit vas y baise moi j’ai envie de te sentir dans ma
chatte. Je me mis entre ses cuisses et la pénètre bien profond et je l’ai limé comme elle voulait autant qu'elle à voulu, elle malaxe ses seins avec ardeur en gémissant, sa chatte étroite, bouillante c’est trop bon de la baiser. Puis après elle s'est mise à genoux les fesses en l'air sur la carpette et moi je l'ai pris en levrette debout pliant les genoux. Quand j'explose dans sa chatte elle hurle de bonheur. Ensuite nous prenons une douche, elle se rhabille et rentre chez elle après avoir refusé mon invitation au restaurant. En franchissant la porte elle me lance monsieur votre queue est trop bonne, j'espère qu'elle me revisitera encore. Autant que vous voudrez. Depuis nous faisons régulièrement l'amour.


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Histoire envoyé par Amandine le 18 11 2020
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Nous avons profité de la situation.
Martine et moi Amandine sommes deux copines de lycée, toutes les deux mariées sur la fin de la quarantaine, très complices depuis notre adolescence, nous avons même eu quelques fois des aventures olé olé à quatre ou cinq . Cela ne nous gênez pas. Nous parlons librement de notre sexualité et de nos fantasmes. Nous sommes cet après midi là de septembre en balade dans une magnifique forêt du centre de la France. Nous sommes assises toutes les deux sur une couverture dans l'herbe et discutons comme à notre habitude. Comme il fait très chaud nous avons relevés nos jupes jusqu'à mi cuisses, nos corsages largement ouverts car personne à l'horizon. Nous sommes bien, soudain j'ai l'impression que quelqu'un nous épie devant nous à une dizaine de mètres dans un fourré. Je fais mine de rien et cherche discrètement de coin de l’œil si oui ou non. Au bout de quelques minutes j'entrevois comme une forme dans le taillis, je comprends vite qu'il doit s'agir d'un voyeur et le lui en montre un peu plus en relevant mes jambes et en les écartant, en douce je regarde Martine et lui fait un petit signe. Elle comprend tout de suite rit et fait de même. Là au moins on est sur qu'il se rince bien l’œil. Comme ça pendant un long moment nous l'allumons à fond chacune à notre tour. Cela nous excite et nous décidons de profiter du coquin. Je me lève et sous prétexte d'aller faire un petit besoin je m'esquive par la gauche. Martine elle en montre plus pour qu'il ne remarque rien. Je contourne le taillis doucement sans faire de bruit. Là un trou en bas permet aux gens d'entrer comme dans une cabane. L'homme est couché à plat ventre et mate avec des jumelles. Je lance alors coco tu mate les nanas, viens plutôt avec nous voir de plus près. L'homme surpris sursaute se retourne et là un jeune homme d'une vingtaine d'années sort doucement de sa cachette. Je le sermonne et lui demande quel âge as tu ? Et dit moi la vérité. Il bafouille euh euh 19. Tu viens souvent par là. Lui quelques fois. Tu viens mater et te branler hein voyou ? Martine lui lance viens ici et fais nous voir ta queue on va s'occuper de toi. Tu ne sera pas venu pour rien. Nous nous installons à l'abri des regards et elle commence à lui dégrafer son short et baisser son slip. Lui je débat un peu mai a deux il se laisse faire. Une minute plus tard nous sommes toutes les deux à genoux devant lui, nous le suçons chacune à notre tour. Il s'habitue vite car il gémit et bande dur. Sa bite change de bouche sans arrêt. Moi je l'enfourne jusqu'au fond il se tortille tout se qu'il peut, balbutie en râlant j'ai juste le temps de me retirer qu'il nous crache sur la figure à toutes deux. Le salaud qu'est ce qu'il nous à mit. Nous nous essuyons, nous rions comme deux folles. Lui est hébété par ce qu'il vient de lui arrivé. Je le vois qui remonte ses fringues. Je lui dit non mon garçon on a pas fini avec toi. Je relève ma robe et dit Martine fait comme moi et nous voilà toutes les deux à genoux les fesses à l'air, nous avons quittés nos culottes. Martine lui dit aller mets nous là chacune à notre tour tu va voir comme c'est bon. Il commence par moi c'est plutôt hésitant et maladroit, c'est pas possible il ne la jamais fait mais au bout de quelques secondes il est en moi et se secoue à l'intérieur. Je l'encourage en lui disant va y c'est bon tu me bais e bien et cela dur quelques minutes quand Martine le tire vers elle en disant oh et moi tu m'oublie il se colle à ses fesses et reprend sa besogne. Je me masturbe le clito en écoutant ahaner Martine. Et cela de l'une à l'autre pendant un long moment jusqu'à ce qu'il se vide dans la chatte de ma copine. Le pauvre garçon était tout rouge sa queue regardait le pré. Martine et moi nous regardions l'homme que nous venions de dépuceler. Je lui ai donné mon numéro de tel en lui disant que s'il voulait remettre le couvert nous étions à sa disposition. Puis nous nous sommes rajustées et sommes rentrées en rigolant.


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Histoire envoyé par Marina le 14 11 2020
​Grâce à mon matou.
Bonjour à tous, je suis Marina je vais vous raconter l'histoire qui vient de m'arriver cet été. J'ai 45 ans suis mariée avec Claude qui en a 48. Pas de problème dans notre couple à part peut être que mon homme est souvent absent pour son travail, cadre formateur dans une grosse boite il navigue entre les agences du sud de la France. Je reste souvent seule toute une semaine et un peu en manque de sexe, surtout que j'ai une libido exacerbé que je calme en solitaire. Au mois de juillet je suis dans la première semaine de vacances, lui est à Marseille pour sa dernière semaine de travail, cet après midi là il fait très chaud au sud de Lyon je fais la sieste dans ma chambre nue sur mon lit comme à mon habitude. Après une petite gâterie solitaire dont je suis très friande je me réveille, je prends une douche. J'enfile mon short et un petit sou-tif et descend au salon, la clim marche il fait bon je m'installe devant la télé. Au bout d'un moment je m'aperçois que Balthazar mon chat noir et blanc n'est pas là. J'appelle mais il ne vient pas, me voilà dans le jardin mais pas de chat j'appelle de nouveau rien personne lui qui ne s'éloigne jamais cela me surprend. Un peu plus tard je recommence car je me fais du souci, il ne sort jamais du jardin. Soudain je vois à la fenêtre du premier étage du voisin un mec qui tient dans ses bras mon chat. Il me lance c'est ça que vous cherchez ? Je réponds oui. Lui : il est la depuis au moins 2 ou 3 heures il dormait dans une chambre. Je vous le rapporte. Elle merci. Je sors j'ouvre mon portillon et laisse entrer le voisin que je ne connais pas du tout pourtant je suis ici depuis quelques années, je l'ai aperçu comme çi comme ça. Il est plutôt beau gosse grand athlétique cheveux courts en short léger et torse nu pas un poil de graisse, j'en ferais bien mon quatre heures. Il pose le miron à terre, me tend la main se présente Philippe. Je l'invite à entrer boire un verre, la discussion va bon train sur tout et rien et sur notre vie dans le lotissement j'apprends qu'il est en vacances, que sa femme travaille qu'il s'ennuie seul chez lui tout comme moi. Alors je passe la surmultipliée et la conversation tourne lentement vers la sexualité et notre manque respectif. Nous rigolons, après le troisième verre de porto et une heure de blabla nous sommes tous les deux assis dans le canapé côte à côte. A plusieurs reprises sa main s'est posé sur ma cuisse juste sous mon short très court, ses yeux brillent et je remarque un bosse sur son short. Je me colle un peu plus à lui il m'enlace et me roule une pelle mémorable ses mains courent sur mon corps, mon sou-tif se retrouve vite sur le carrelage ainsi que mon short. A la renverse sur le canapé il me bouffe la minette en malaxant mes seins. Une chaleur intense traverse mon corps je soupir et gémis comme une dingue, je mouille, sa langue s'active partout sur mon sexe, sur mon bouton qu'il mordille et dedans, je m'accroche à lui en criant mon bonheur. Arque bouté contre lui je jouis comme jamais. Quand j'ouvre les yeux il est debout devant moi nu la bitte pointé vers le ciel. Je la prend dans ma main et le tire vers moi, assise je commence à le lécher, ma langue tourne sur le gland avant de l'enfoncer jusqu'à la gorge. Il grogne doucement en tenant ma tête. Je vais et viens sur cette queue encore inconnue pour moi, elle est bonne longue mais pas très grosse, je sens qu'il arrive au bout car il se tortille de plus en plus. Je continue de plus belle une de mes mains passe autour de ses hanches pour qu'il se retire pas et j'accélère, il se cabre contre moi râle et je sens le liquide envahir ma bouche et ma gorge, je me retire un peu mais avale tout jusqu'à la dernière goutte. Puis je me lève l'embrasse avec la langue pour bien qu'il profite de ce qu'il m'a donné. Ma main caresse sa queue et la branle doucement. Il bande de nouveau. Je me mets à genoux sur le canapé et lui offre mon intimité, j'adore la levrette. Il me prend aussitôt et me pistonne comme un diable. Je repars très vite dans un orgasme puissant et violent. Ses deux mains agrippent mes hanches je crie des ohoho ouiouioui encore plus fort avant d'exploser. Il me tire contre lui se redresse contre mes fesses, je sens les jets dans ma chatte. Il me tient un instant comme ça sa queue dans ma chatte, je la sent de ramollir. Bon dieu que c'est bon de baiser comme ça. Il se retire. Je me retourne et me lève aussi. Je l'entraîne vers la salle de bain ou nous prenons ensemble une douche sans un mot, juste des caresses et des bisous. Puis de retour au salon, nous nous rhabillons. Après un dernier baiser nous nous séparons avec la promesse de nous revoir le lendemain dans l'après midi. Ce fut une journée mémorable pour moi. Il m'a fait l'amour comme aucun homme auparavant avec douceur gentillesse et endurance. Il m'a laissé pantelante, épuisé et calmé pour un bon moment. Merci à mon matou pour cette découverte. Je ne vois plus mon voisin de la même façon.

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  Histoire envoyé par Fred le 01 11 2020
Mon divorce et ma rencontre avec Chris

Avant d'être avec Chris depuis deux ans maintenant, j'ai été marié pendant 25 ans à Laurence 48 ans avec des seins pas énorme, mais pas un 95D comme Chris, nous avons eu deux enfants et question sexe c'était le top presque tout les jours sauf les week-end car je suis musicien pro, je pars souvent deux jours. Mais une chose que j'aimais pas c'était sa lingerie qui était banale elle l'achetait au supermarché. Pas sexy du tout. Je lui disait pourquoi tu vas pas en boutique ? Elle répondait cela sert à rien pour baiser tu enlève tout à chaque fois. Alors moi qui suis fou de lingerie j'allais sur les sites de belles lingeries et je m'imaginais ma Laurence dedans, mais je l'aimais tellement. Elle était bien roulé taillé de bonnes pipes et sa chatte poilue m'excitait fortement donc sexuellement rien à redire pendant 25 ans. Des nuits de sexe très longues des positions de folies gorge profonde branlette espagnole etc etc, malgré avec son 85B elle avait tout pour qu'un homme soit heureux. Je me souviens que je l'avais sodomisé quelques mois après qu'on sortait ensemble depuis ce temps elle aimait cela, elle n'avait jamais été sodomisé avant, puis pendant 25 ans elle en à redemandé. Une vraie coquine et cochonne. Et un soir en rentrant de travailler en mars 2018 de but en blanc elle m'annonce qu'elle me quitte pour un plus jeune que moi il avait 35 ans, rencontré depuis quelques mois dans son boulot, qu'elle veux divorcer, j'étais sur le cul le matin même nous avions fait l'amour deux fois et là j'y comprenais rien à cela, Fred je veux un divorce rapide j'ai essayé de la retenir nous avons parlés elle me dit je sais mais je ressens plus rien depuis des mois et je t'aime plus voilà, elle fit sa valise rendez-vous pour le divorce, attend tu m'aimes plus et tu m'énerve quand tu me parles de lingerie sexy et fine, celui que j'ai trouvé s'en fou tu vois avec lui je revis. Salut puis elle partit en claquant la porte j'étais abasourdi. Je me mis à pleurer comme un petit garçon puis j'appelle Chris une amie à nous depuis longtemps elle était témoin de notre mariage, amie de Laurence elle m'a toujours plu elle venait souvent à la maison j'apercevais sa lingerie vue la grosseur de ses seins, j'allais dans ma pièce de musique pour me branler tellement elle me faisait bander, j'aurais voulu la baiser dans sa lingerie avec Laurence toutes les deux mais bon.. j'aurais voulu que Laurence en porte de la même lingerie.
Allo Chris oui Fred comment vas tu ? Je répondis en pleurant mal très mal Laurence vient de me quitter. Elle oh mon dieu c'est pas vrai pas toi et si bon. je viens te voir tout à l'heure je suis là t'inquiète pas j'arrive je raccroche mais je pleurais pourquoi elle me faisait cela 27 ans de vie heureuse 25 de mariage couple et famille et question sexe c'était le top je me disais quelle salope au final de me faire cela, surtout de partir avec un plus jeune, pourtant je lui en ai donné de sacré coup de bite je l'ai faite jouir et jouir pendant 27 ans elle en redemandait toujours. Puis une heure plus tard Chris frappa à la porte je lui ouvre et je me suis effondré dans ses bras, ses gros nichons contre mon torse dans un décolleté de malade. Fred raconte moi ce qui c'est passé on s'installe chacun dans un fauteuil, et bien voilà elle vient m'annoncer qu'elle me quittait pour un plus jeune, environ 35 ans qu'il baisait mieux que moi, j'étais en larme mais c'est pas possible Fred je n'en revient pas.... mon pauvre, et qu'elle ressentait plus rien pour moi depuis des mois et qu'elle demandait le divorce voilà tu sais tout, moi il y a deux ans et vous maintenant je suis perdu Chris oui je sais mais je vais pas te laisser seul Chris et là comme vous l'avez été pour moi. Et crois moi elle va m'entendre cette salope. Je me disais j'ai toujours étais attirer par Chris sa beauté son corps et quel paire de seins je me disais mais là c'était pas moment, tu es un ami et t'inquiète ça va aller, mais j'avais envie d'elle mais j'ai rien tenté, puis nous avons dîner parler du passé et de mon mariage qui venait de tombé en miette. Durant 1 mois Chris et moi on c'est vu 3 ou 4 fois par semaine, on se téléphonais presque tous les jours des restos, des sorties sympas et elle remontait le moral doucement j'allais mieux. Je me branlais souvent en pensant à elle à ses gros seins sa lingerie sexy qu'elle me montrait dans son décolleté ou quand elle croisait ses belles jambes, je rêvais des nuits à elle , je la baisé en rêve. J'essayais des approches, des petites caresses, elle devait s'en rendre compte, peut être qu'elle n'osait pas aller plus loin. Quelques jours tard elle me dit Fred je me suis fâché avec Laurence je lui est dit ce que je pensais d'elle. Moi tu as bien fait, et je l'embrasse tendrement sur les lèvres sans qu'elle me repousse au contraire, mais cela n'a pas été bien plus loin que deux caresses sur ses fesses et ses nichons. Le divorce fut prononcé deux mois après à 10h du matin. Chris m'attendais dans le hall du palais de justice, nous sommes sortis ensemble bras dessus bras dessous, Laurence de son côté nous regardait, son regard en disait long. Voilà Fred tu es divorcé oui tu es libre oui tu es comme moi libre toi aussi tu es seule Chris oui et depuis qu'on a échangé ce baisé Fred je pense qu'à toi le jour là nuit Fred moi aussi Chris tu m'as toujours plu Chris. Moi aussi depuis le premier jour où Laurence, ma présenté à moi je sais je l'ai toujours su on était marié chacun de son coté. J'ai tellement envie de toi oui moi aussi et une chose que j'ai toujours aimé Chris quoi dit moi c'est la lingerie de femme j'ai jamais vu de la belle lingerie la Laurence n'aimait pas ça je sais elle me l'avais dit alors j'ai une idée Fred moi j'adore cela et j'en porte de la belle, dentelle wonderbra portes jarretelles soutien gorge dentelles body sexy etc, etc. Tu vois je suis seule j'ai une idée je t'emmène dans un endroit cette après midi. Vers 14h Chris passe à la maison, nous étions dans mon salon et tout à coup je l'a serre contre moi et on s'embrasse longuement, nos langues jouent ensemble, je bandais, je lui caresse ses gros seins hummmm hummm oui caresse les bien chéri, elle défait la braguette de mon jeans puis dit tu as une grosse queue ! dit moi oui tu aimes ohh oui ohhh quel queue elle se met à me caresser la queue en disant tu as une bite et elle l'avala. Moi oh oui suce moi Chris j'en rêve depuis si longtemps oh oui c'est bon oh Chris ce fut le début d'une nouvelle vie. 
Les jours et les semaines passent et nous vivons Chris et moi une passion sexuelle dévorante. Du moment que nous sommes ensemble nous faisons l'amour tout est prétexte, la salle de bains, la cuisine , le salon, la chambre ma queue dans sa bouche, elle me branle, me suce et je fais de même. Quand elle rentre de son travail sur le canapé elle enlève sa robe me montre un magnifique soutien gorge noir tu aimes dis moi et mes seins quand penses tu ? Elle fait glisser son string en disant regarde ma chatte elle est toute mouillé. Je vois une chatte bien poilue un beau triangle bien fourni. Elle prend moi je veux ta queue dans ma chatte baise moi Fred on en a tellement envie on verra les préliminaires une autre fois et nous n'avons pas le temps, moi vite a poil je présente ma bite et l' enfonce dans sa fente luisante ohhh ouiii. Oh ta queue me fait du bien ouiiiii encore Fred elle malaxe ses gros seins oh ouiii c'est bon je suis folle de toi, je l'a pistonne, elle m'excite, j'accélère la cadence ohhh ouii défonce moi bien la chatte, elle crie son plaisir. Puis on change de position cette fois en levrette elle caresse son clito je la pistonne de plus belle ses gros seins se virevoltent elle crie ouiiiiiiiiiiiiiie Fredddd oh oui encore je vais jouir. oui chéri vient donne moi ton jus. Elle hurle pendant que je me déverse dans sa chatte. Elle m'embrasse à pleine bouche. Le lendemain comme prévu elle m'emmène pour une surprise. Nous nous retrouvons devant une boutique de lingerie. Moi waouh. Elle pousse la porte Bjr Chantal, oh Chris cela fait un moment que tu n'ai pas venu je te présente Fred un ami bonjour madame ici tout le monde m'appelle Chantal entendu Chantal. Merci je te laisse regarder, elle te tutoie ? oui on ce connaît depuis des années et nous sommes amies. Moi c'est une très belle femme et de gros seins ! Elle t'es un sacré coquin toi oui regarde comme c'est beau Fred oui je n'ai jamais vu ce genre de lingerie avant Chris choisi quelques ensemble de plusieurs couleurs, taille 95 bonnet D et oui j'ai des gros seins 100% naturel. C'est vrai je me projetais avec elle vu ce qui c'était passé avant de partir, elle essaya plusieurs lingeries elle commentait Fred tu aimes Moi oui j'adore c'est très joli. Chantal s’approche et me dit faudrait en offrir à votre femme pendant que vous êtes là, tu sais dit Chris il vient de divorcer ! Chris lui lance tu te souvient l'amie qui était venue avec moi ici qui n'avait rien voulu acheté ah oui je me souvient et bien c'était sa femme. oui je m'en souvient qu'elle avait pas besoin de ça pour son couple, Chris me souris je vais essayer quelques lingeries de mon coté je regardais j'étais émerveillé de voir cela. Fred oui vient voir, je m'approche je regarde ébahi cela m'excite Elle me demande alors comment tu trouves sur moi, c'est sublime j'adore Chris tu aimes oui elle essaie plusieurs autres, nuisettes, sou-tif, strings, porte jarretelle mon regard sur elle tu es vraiment sexy, merci Fred la vendeuse me regarde dans les yeux en passant sa main sur ses fesses. J'étais en feu, je bandais comme un fou. Chris prit tous ses articles et paya. L'après midi fut promenade dans les rues. Puis elle me dit soirée chez moi cela te dit Fred je ne peux pas refuser merci et puis toi et moi on s'entend bien. Une fois chez elle m'emmena dans la chambre j'ai quelque chose à te montrer elle ouvre sa commode regarde oui toute ma lingerie c'est beau. Puis elle soulève un tissu d’où émerge des godes et sex-toys, elle rit et dit Femme seule obligé d'avoir des désirs. Je lui caresse les cuisses et les fesses, elle m'embrasse si tu mettais une de c'est belle lingerie, j'aimerais te faire l'amour. Tu veux laquelle ? Je lui montre un Wonderbra bleu foncé un tanga assorti. Pendant qu'elle se changé Je me mis en slip. Alors que penses tu de ça ? je crois que j'en suis fou collé derrière elle en lui caressant les nichons par dessus le soutien gorge je suis fou de lingerie. Enfin un homme qui aime cela c'est rare même avec des seins moins gros cela n'aurait rien changé oui Fred tu es le premier qui aime cela j'ai eu deux mecs après mon mari, aucun n'a aimé la tirant vers moi hum ton corps je suis fou de tes gros nichons et surtout de ta lingerie en lui suçant son soutien gorge. Elle me tire vers son lit. Faisons l'amour pas comme cette après midi je veux être désiré par toi, Chris je veux pas une histoire d'un jour c'est toi que je veux et personne d'autre dans ma vie moi aussi fait moi l'amour Je plonge ma tête dans son soutien gorge que je caresse ohhh Fred ma langue hume son soutien gorge ma main passe dessous pour attraper ses deux gros obus de vrais obus. Elle hum je sens ta grosse queue à travers ton slip je lèche son soutien gorge le malaxe, elle me caresse ma tête ouiiii encore mes seins ohhh tu aimes ça oui tu dégrafes et tu l'enlèves, je me mets à les sucer ses larges auréoles et les lécher titiller les tétons qui durcissent. Elle tu sais t'occuper d'une femme toi ma culotte est trempé ma langue court de ses deux gros seins jusqu'à la culotte que je renifle et que j'embrasse puis j'enlève la culotte, me voilà face à sa chatte , ma langue glisse sur la fente mouillé je suce les poils pendant qu'elle se caresse les seins en gémissant j’écarte ses lèvres pour sucer encore et encore plus. Elle couine de plus belle, sa liqueur d'amour coule je la suce je lèche elle gémit, ahane pousse de petits cris ses mains caresses mes cheveux je lui met 2 doigts en même temps ohhh ahhhh purée comme c'est bon encore je jouis elle explose dans ma bouche. Je quitte mon slip je remonte entre ses cuisses en l'embrassant elle lèche sa mouille. Un 69 Fred oui Chris donne moi ta belle queue maintenant que je te suce ta grosse queue elle l'enfourne pendant ce temps je lui lèche la chatte et sa raie. Elle me suce comme une reine. Je bande comme un cerf. Je bouffe sa chatte et son clito ma langue fouille sa fente, c'est l'explosion elle inonde ma bouche et moi la sienne. Quel pied. Deux minutes de repos puis elle me suce à nouveau pour me faire bander et elle écarte les cuisses sa toute chatte ma queue je me glisse entre ses cuisses et la plante d'un coup, je la besogne elle relève ses jambes et les replient comme ça c'est bon elle ahane gémis sous les coups de boutoirs. Elle oh chéri tu me fais jouir, c'est le moment que je choisis pour basculer sur le côté et je la prends en petite cuillère mes mains agrippent ses seins et le pistonnage reprend de plus belle, elle soulève un peu la jambe pour faciliter la pénétration toujours en malaxant un sein elle pousse des cris, gémis fort balbutie tu m'excites trop Fred mais là avec toi c'est au dessus de tout ce que j'ai connu.Elle part dans un orgasme sa chatte coule encore de plus belle c'est une vraie fontaine. Elle jouit puis crie : Fred prend mon cul maintenant encule moi envoie moi au ciel je frotte mon gland sur l'orifice et pousse doucement elle pousse un cri de douleur puis oh c'est bon c'est bon oui vas y continue. Moi : tu aimes ça n'est ce pas cochonne ? Elle : oui surtout avec une bonne queue. Je la défonce elle crie de plus belle en jouissant son deuxième orgasme. Je me vide dans ses entrailles. Après une bonne douche et un peu de repos. Je décide de la prendre en levrette, elle à genoux, moi derrière elle, ma queue monte et descend entre ses fesses rondes puis je la glisse dans sa fente et la besogne. Elle hurle son plaisir. Mes mains agrippent ses seins et les serrent. Elle baise moi encore je veux jouir encore c'est tellement bon avec toi. Moi oui je vais cracher mon foutre au fond de ma chatte oui je vais jouir moi aussi ouiiiii ouii Chriiiiis Freeeeed ahhhhh ahhhh ouiii. On s'effondre sur le lit l'un sur l'autre épuisés. Après le dîner on s'installe dans le canapé en cuir noir. Fred j'ai envie de vendre cette grande maison et aller vivre chez toi si tu le veux. Moi bien sur ma chérie et puis à la campagne nous serons bien tous les deux. Je lui caresse les seins l'embrasse je t'aime Chris oh oui moi aussi. Je reviens dans 5mn, elle revient avec une robe de chambre sexy noir en dentelles alors et cela ça te plaît en dessous un beau soutien gorge noir et violet en dentelles et culotte porte jarretelles noir ouiiiii beaucoup elle vient sur moi s'assoit sur moi et m'embrasse j'adore c'est sublime magnifique chérie oh merci Fred je caresse sa robe de soie noire elle colle ses gros seins sur ma chemise et on s'embrasse mais je tarde pas à bander je dénoue le nœuds de sa robe et la faitb tomber. ses seins bien remontés grâce à son soutien gorge me rendent fou. Elle se relève. Je me mets à poil elle s'assoit sur moi et frottes ta culotte sur ma bite, je lèche son soutien gorge je bande dur, elle écarte sa culotte et s'empale sur ma queue, elle monte est descend dessus à son rythme, c'est elle qui me baise oh oui Fred c'est bon comme ça je te sens bien, bien enfoncé dans le canapé je la laisse faire soumis elle me caresse le torse en faisant l'ascenseur, elle se pénètre bien en profondeur ohhh je la tient par les hanches ha han han ha ouiiii elle renverse sa tête en arrière c'est bon tu me baise bien ta queue me fait du bien ahhh ahhhh hummm ohhh Freeeeed ahhhhh. Nous jouissons ensemble et restons collés l'un à l'autre pendant de longues minutes. Elle me dit en souriant : quelle journée tu m'a baisé partout oui ça fait du bien une bonne partie de jambes en l'air. Tu m'a baisé comme jamais une homme l'a fait. Tu es doux et en plus tu aimes ma lingerie et j'en ai encore plein à te montrer. Mais la soirée n'était pas fini une heure après nous sommes allés dans sa chambre et nous avons encore baisés.
Les jours qui suivirent je me suis acheté de beaux boxers on c'est vu tout les jours soit chez moi ou chez elle avec toujours une belle lingerie ou plusieurs. On baise tout les soirs.
Notre aventure commençait bien

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Histoire envoyé par inconnu le 27 10 2020
Mais le confinement à aussi du bon.


Au mois de mars à l'heure du confinement je me retrouve bloqué chez moi au sixième étage d'un immeuble de Chartres, ma femme est infirmière à domicile donc elle continu à travailler avec une autorisation moi par contre je reste à la maison car ma boîte est fermé. Passer les journées seul dans un petit appart c'est pas vraiment la joie compte tenu des programmes de la télé. Heureusement dans mon malheur j'ai la chance d'avoir sur mon pallier une voisine qui vit seule car divorcé, jusque là nous n'avions échangé que quelques mots sans intérêt, elle à la cinquantaine blonde frisée, rondelette pas très grande mais très sympathique. Depuis ces trois dernières semaines nous avons papoté pas mal. Donc quand je m'ennuie je vais taper à sa porte et nous avons appris à nous connaître, nous passons de plus en plus de temps ensemble, nous discutons de tout et de rien. Au fur et à mesure des jours une complicité s'est développé entre nous. Nous passons beaucoup de temps dans le canapé l'un à côté de l'autre à se raconter nos vies et ainsi les jours passent. Un matin je vais frapper chez elle personne ne répond, un peu inquiet pensant qu'elle avait pu avoir un problème je tourne la poignée, j'entre je fais deux pas dans le couloir et avant que crie son nom : Liliane ! la porte de la salle de bain s'ouvre, elle apparaît dans une tenue un peu légère une robe de chambre très échancré qui laisse transparaître la couleur noire de son sou-tif et de sa culotte. Elle me regarde surprise et dit mais comment es tu entré je réponds que j'ai tapé que la porte était ouverte, j'ai rien entendu répond elle j'étais sous la douche. Elle s’aperçoit vite de mon émoi et lance en riant : je te fais tant d'effet. Je suis gêné car mon pantalon trahi mon émotion et je balbutie excuse moi c'est la surprise. Elle : allé viens boire un café ça te remettra. Je la suis à la au salon ou je m'installe dans le canapé, elle va à la cuisine revient avec la cafetière et deux tasses puis les posent sur la table basse. Comme d'habitude elle se me met à côté de moi. Elle me pose aussitôt la main sur la cuisse en disant tu sais il y a déjà quelques années que je n'ai pas fait d'effet à un homme, elle sourit pendant que sa main s'agite doucement sur ma cuisse. Elle me regarde droit dans les yeux et se penche contre moi sa bouche prend la mienne et là je me lâche sans réfléchir, j'ouvre la robe de chambre et commence à la caresser, elle se dégage enlève la robe, je dégrafe son sou-tif d'ou sort deux obus tout blanc auréolé d'une rondelle sombre je les suce et les lèche, elle gémit, ahane en se tortillant. Elle essaie mais en vain d'ouvrir mon pantalon, je me lève me fout à poil directement et le jette sur elle, mes doigts fouillent son entre jambes par dessus et par le côté de la culotte, elle couine de plus belle, mes doigts cherchent la fente et roulent sur le gros bouton tout dur au dessus puis entrent dans son intimité et jouent dedans, sa respiration s'accélère elle s'ouvre encore en gémissant de plus belle elle malaxe ses seins par dessus le tissu et jouit en silence les yeux fermés son ventre se pousse contre ma main. Elle se relève regarde ma queue quitte son sou-tif et sa culotte se met à genoux sur le canapé et entame un pipe magistrale elle m'avale complètement la bite en massant mes bourses, je gémis de plaisir, je suis raide comme un pieu. Elle joue avec moi accélère ralentit puis juste le bout puis au fond. Elle doit sentir que je suis au bout de ma résistance elle pince mes tétons et les triture je pousse un râle et gicle dans sa bouche. Elle avale tout jusqu'à la dernière goutte puis lèche mon gland et se relève en disant oh que c'est bon j'avais oublié. Elle s'allonge sur le canapé en écartant bien les cuisses et avec son doigt me montre de venir sur sa chatte. Viens suce moi et fais moi encore jouir. Sa fente n'ai pas très poilu j'y pointe ma langue et commence à lécher de haut en bas et de bas en haut en malaxant ses seins lourds et mous. Je plante ma langue dans sa chatte et la fouille elle pousse de petits à peine audible ses mains m'agrippe les épaules, elle mouille en jouissant de plus belle. Ma queue est tendu quand je me relève m'installe entres ses cuisses et la fourre comme une bête, à la missionnaire, arc-bouté contre moi elle ahane en subissant mes assauts. Elle m'a rendu folle je suis excité à bloc et en rien de temps nous prenons tous les deux un pied d'enfer. Une fois cette gymnastique terminé elle me dit je vais réchauffé le café et s'en va à la cuisine à poil comme si de rien n'était. J'ai la queue toute poisseuse je vais à la salle de bain me laver. Quand je reviens elle est là assise elle me dit ça m'a fait un putain de bien, je devais avoir des toiles d'araignées depuis le temps et elle éclate de rire. Nous buvons le café et je file. En franchissant la porte je l'entends dire si tu veux cet après midi on remet ça. Je rentre chez moi en souriant. Eh oui je suis comme ça j'ai baisé Liliane pendant tout le confinement et ni elle ni moi n'avons prit le covid.​

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Histoire envoyé par Maxime le 23 10 2020
Ma soirée chez des canduliste.

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Cette histoire s'est passé l'an dernier en août, je profite du bordel organisé à cause du confinement pour vous la raconter. J'ai quarante ans divorcé depuis un an, après quelques mois de galère morale j'ai décidé de sortir et de voir du monde. Je retrouve par hasard un copain de vieille date que j'avais perdu de vue. Il vit près d'Avignon, son surnom Nounours et moi dans l'Isère près de Grenoble. Il est un peu plus âgé que moi et aussi célibataire. Notre point commun les clubs libertins donc nous parlons pratiquement que de ça devant l'apéro et l'apéro à duré ce jour là et il me dit tu devrait venir passer le week-end chez moi j'ai une copine pas sauvage on pourrait se faire un plan cul si ça te dit. Je lui réponds que ça me va et que je peux même amener quelqu'un avec moi. On en reste là. Le samedi après midi je débarque chez lui avec une vieille copine de 35 ans, Céline que j'ai connu dans un club et avec qui j'ai fais les 400 coups à poil. Dès notre arrivée il m'annonce que sa copine ne viendra pas mais que par contre il nous à trouvé une bonne soirée pour remplacer. Il nous emmène chez un couple d'une quarantaine dont le mari aime voir baiser sa femme. Céline et moi restons un peu baba car c'est la première fois que cela nous arrive. Cela ne nous gène pas. Nous devons donc aller dans un célèbre village réputé pour son côtes du Rhône à une trentaine de kilomètres d'Avignon. Nous discutons autour de la piscine et dedans jusqu'à 18 heures. Il semble charmé par ma copine Céline avec qui il a déjà un peu tâté le terrain même un peu plus, elle n'a pas eu l'air contre donc tout s'annonce bien pour le soir. Vers heures nous arrivons dans un lotissement assez luxueux. Nous sommes accueilli par un couple elle Adeline, lui Philippe, des gens à l'air très sympa. On se retrouve vite dans le salon avec l'apéro et de quoi grignoter. Nous sommes quatre autour de la table car Philippe lui se tient un peu à l'écart. L'ambiance monte très vite car Nounours attaque à déshabiller et bécoter Adeline qui paraît très à l'aise et très entreprenante. Notre hôte s'absente un moment puis revient habillé en soubrette nu sous un tablier blanc, il regarde tout ce qui se passe, se caresse et se masturbe quand sa dame gémit. Au bout d'un moment nous sommes tous les quatre à poil Nounours s'occupe de Céline et moi de notre hôtesse, elle à l'air de bien aimer le cuni car elle ahane tout ce qu'elle peu quand ma langue fouille son intimité et que je joue avec son clitoris. Je suis surpris car savoir un mec seul à l'arrière qui mate me perturbe un peu mais lui par contre est bien à l'aise il se masturbe tout ce qu'il peut dès qu' Adeline gémit ou ahane. Voyant ma gène elle me dit t'inquiète pas il prend son pied il aime me voir baiser avec d'autres. C'est vrai c'est un peu exigu car il n'y a que le canapé et un gros tapis à même le sol mais bon pour baiser on est prêt à tout. Pendant que Céline s'envoie en l'air avec Nounours notre hôtesse chevauche ma bite au grand galop en criant des oui oui encore oh oui. Je remarque que plus elle est heureuse plus il se branle dans son coin, c'est assez fantastique. Après un long moment de plaisir notre hôtesse se lève et va parler à l'oreille de son mari qui pars aussitôt . Nous discutons en grignotant quand il revient avec saucisson vin et divers victuailles froides. Puis il disparaît à nouveau. Il reviendra que lorsqu'il entend à nouveau sa femme crié son plaisir. Nous avons changé de partenaire plusieurs fois. Céline a essayé d'entreprendre Adeline qui l'a rabroué vivement. Nous l'avons baisé dans tous les sens on a même fini a deux sur elle ce fut l'apothéose. Nous sommes partis vers trois heures du matin. Nos hôtes étaient heureux. Adeline nous à même dit qu'elle allait passer encore à la casserole car il a beaucoup apprécié. Ils nous ont même invité à retourner.

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Histoire envoyé par Fred le 20 10 2020
​Belle soirée à quatre avec la nouvelle vendeuse et Chantal.
Je suis Fred le musicien professionnel, fétichiste de lingerie féminine. Christelle et moi avions hâte de revoir Chantal la patronne du magasin de lingerie et bien sûr Nathalie la nouvelle vendeuse avec qui nous avions folâtre lors de notre dernier achat. Cette Nathalie m'a tapé dans l’œil avec sa grosse poitrine et ses fesses rondes. Mais Chris ma compagne l'a remarqué aussi et m'a même dit il faut qu'on l'invite à la maison avec Chantal. Ce matin là nous ne savons toujours pas si elle est célibataire marié ou divorcé mais bon peu importe l'idée est que Chantal et Nathalie vienne nous livrer ce qui n'était pas disponible quand nous sommes passés. En plus j'ai hâte de voir la lingerie que Chris à commandé car ce rouge push up est sublime nous l'avons choisis ensemble, quand tu la mettra ma chérie je te ferais jouir comme une folle dans ta lingerie. Nous étions entrain de déjeuner Chris me dit quel coquin tu fais je n'ai jamais rencontrer un mec aussi coquin que toi, mais je l'aime tellement et puis tu es le seul qui me fasse jouir comme ça on se mit à rire en prenant notre petit déjeuner. Nous parlons surtout de notre copine Chantal avec qui nous avons déjà fait des soirées plutôt chaudes et nous pensons que Nathalie doit être aussi une bonne affaire car au vu de notre discussion au magasin elle n'avait pas l'air d'avoir froid aux yeux et avec son regard de braise. Je bandais rien en y pensant je caresse les fesses et un sein de Christelle à travers sa robe de chambre en soie bleue nuit, un cadeau de la dernière St Valentin. Elle oh Fred j'ai un peu de temps avant de partir au boulot si tu me prenais sans préliminaire comme ça ici sur la table je vois que tu bandes la bosse dans ton jeans tu veux me baiser direct sur le plan de travail oh ouiii chérie je veux bien. J'enlève mon jean ma queue est dure dans mon caleçon. Ma chérie tu m'excites, allez viens que je te prenne par derrière tu te cale contre le plan travail je caresse ses fesses avec ma queue, en soulevant sa robe de chambre huhum ohhhh, ma queue glisse toute seule dans son intimité et je glisse mes mains sous sa robe pour prendre ses seins à pleine mains. Elle : hum oui je la sent ta queue va y ouiiii oui comme ça bien profonde dans ma chatte elle se cramponne des deux mains, une de mes mains descend et caresse en même temps son clito elle ahane et pousse des cris en se tortillant ouiii encore encore ohhh ouiii ta queue est bonne mon chéri. Mes couilles claquent contre ses fesses, Elle :oui tu aimes mon cul dit moi chéri ?ouii je l'aime comme ta chatte tes seins et ta bouche de suceuse mon amour ohhhh ahhhh ahhh ouiii comme ça baise moi tu va me faire exploser. Je la retourne la soulève et la dépose sur le bord de la table je l'embrasses et enroule mes bras autour de son cou. Ma queue très dure entre ses cuisses cherche l'entrée de sa grotte et y pénètre d'un coup elle se soulève en criant de bonheur, deux ou trois allers retours, elle me repousse et redescend de son perchoir : je vais te sucer avant, Moi OH ouiii suce moi tu me suce en gorge profonde mes deux mains agrippent ses cheveux. Elle m'avale complètement la bite. J'ai des frissons dans le dos ça chérie c'est de la bonne pipe ohhh oui, elle gobe et masse mes couilles pleines puis se dégage et se remet sur la table en écartant les cuisses je les soulèvent ma queue recherche la fente puis si engouffre elle pousse un humhumm ouiiiiouiii hahhh je caresse ses gros seins qui balancent à chaque coup de queue ohhhhohhh, elle dépose ses jambes sur mes épaules, je là sent beaucoup mieux elle crie et hurle de plaisir ma grosse queue la baise fort ohhhhhahhh ouiiiiiiouiiii elle ahane de plus en plus fort, elle jouit elle est en transe s'accroche à mon cou se redresse contre moi FreedFredd ahhhh Freeed Freeed c'est trop bon encore plus fort Freeeeed. J'accelère mes mouvements ses cris remplissent toute la maison ouiiiouiii encoooore jouit en moi ouiii je vais jouir je pousse des râles en éjaculant mon foutre gicle au fond de sa chatte hannn ouiiiii je vais me doucher et me préparer. Quand elle revient toute habillé elle me fait un long baiser en se lovant contre moi puis elle s'en va au boulot. Au cours de la journée je reçois un message sur mon tel une photo de Chris en lingerie bleue l'une des première que je lui avais acheté avec un petit message alors tu aimes ma lingerie cela m'a fait bander immédiatement. Je réponds hum ouiii j'adore et je lui envoie une photo de ma bite bien dure. elle me répond hummmm merci chéri surtout te branle pas garde moi tout ça au chaud pour ce soir, et rajoute ma lingerie est arrivé, elles viennent demain soir super on va passer une bonne soirée tout les quatre. Le soir nous avons fait l'amour avec douceur après de longs préliminaires en écartant juste le léger tissus sa culotte en dentelle noire pour lui sucer la chatte et la pénétrer. Te faire l'amour avec ta lingerie c'est en plus excitant. Oui je sais et je porte de la belle lingerie pour toi mon amour. Je serai là midi car je travaille pas cet après midi. Après le repas nous avons fait une petite sieste crapuleuse et avons discutés de notre soirée avec nos deux copines et comment Chris allait s'habiller pour ce soir et bien prend la rouge foncé Wonderbra , avec un porte jarretelles oui c'est une bonne idée une fois qu'on aura préparé le dîner j'irai prendre ma douche et me préparer je mettrais la lingerie avec une robe bleue chéri d'accord ? Moi oui ça me plaît bien. Chris rajoute je veux que tu sois en forme pour nous trois on se mit à rire, tu mettra un beau boxer rouge que j'ai acheté la semaine dernière oui il te va bien. Le samedi vers 20 heures on frappe la porte, c'est Chantal et Nathalie comment allez vous ? bien nous avons fermé un peu plus tôt ce soir, tu es en beauté ma belle Chris dit Chantal en lui posant un baiser sur les lèvres, oui tu as pas vu ce que je porte dessous Waouh et moi aussi tu verras, et bien Nathalie me fait la bise en se collant cotre moi je pelote ses fesses, ça commence bien et toi Fred comment tu vas hein je suis en pleine forme mes yeux plongé dans le décolleté de Nathalie. Je pensais quel cul et quelle poitrine j'ai hâte de m'occuper d'elle. Entrez au salon asseyez vous. Vous avez belle maison dit Nathalie merci répondit Chris. Nathalie tendit un paquet et dit ta lingerie je t'ai mis un petit supplément un body noir. Chris oh merci ma chérie et elle l'embrassa sur la bouche. Alors quoi de neuf toutes les deux ? bof pas grand chose. Champagne ou apéro? Réponse générale champagne je vais préparer. Je laisse les trois nanas ensemble. Quand je reviens avec le plateau et le champagne les filles regardent la lingerie, Chris est en petite tenue et essaye. La soirée promet. Elles sont toutes les trois en train de se peloter et de se bécoter. Je mate sans faire de bruit, j'adore voir ce spectacle. Voilà le champagnes les filles. Un oui collectif monte dans l'air pendant que Chris se rhabille. Dites moi tous les deux dit Nathalie depuis combien de temps êtes vous ensemble ?. je réponds Chris et moi nous vivons ensemble depuis deux ans, Chris répond j'étais la meilleure amie de sa femme, et témoin de leur mariage. Mais quand ils ont divorcés on s'est vu plus souvent et on à couché ensemble et comme il est bon étalon je l'ai gardé et me suis installé car tous les deux nous sommes fada de sexe. Nous avons chacun deux enfants, ensuite je l'ai emmené dans votre boutique de lingerie et vous connaissez la suite. ok je comprend mieux dit Nathalie. Je lance: et toi Nathalie ? Elle répond j'ai 45 ans, et encore marié mais avec un homme qui s'occupe plus de moi, qui me trompe, depuis 6 mois et deux enfants et c'est pas la joie, comme Chantal cherchait une employée pour la boutique j'ai postulé. Oui dit Chantal elle est très bonne vendeuse ! on a vu cela dit Chris, bon si nous passions à table oui. Mais durant le repas mes yeux était rivés sur le décolleté de Nathalie. Chantal et Chris l'avaient remarqué et rigolaient en se faisant des papouilles. Nathalie lance le sexe entre vous deux il parait que c'est top niveau d'après ce que m'a dit Chantal, il parait que ton Fred et un sacré coup ? Réponse de Chris oui demande à Chantal. oui je sais elle m'a tout raconté Oh oui dit Chris, il m'a pris hier matin sur le plan de travail dans la cuisine, et ensuite sur cette table direct. Nathalie ouahhhh vous me faites mouiller les chris moi je suis en manque. Oui et hier soir juste avec la lingerie minimum. une fois par jour mini voir trois fois. et bien t'es endurant ! oui dit Chantal, tu vas pas être déçu Nathalie si tu a envie?, dit Chantal. Chris rit au éclats en disant mes chéries je vous le prête. Oh oh oui répond Nathalie moi qui ne fait plus l'amour depuis des mois. Chris : t'inquiète pas ma belle Fred va bien s'occuper de toi n'est ce pas mon amour. Et puis nous aussi. Oui chérie !!! Mais dit moi lance Nathalie à Chris et toi tu vois d'autres mec ? Non et jamais de la vie ah oui et tu autorises ton mec à baiser d'autres femmes oui et même pour de dire jamais un homme m'a fait l'amour comme lui. Plus encore j'aime faire l'amour rien qu'avec lui et d'autres femmes ohhhh et toi ensuite si tu es d'accord et bien là soirée promet. Chantal caressait déjà les seins de Chris. Alors ceçi étant dit, pourquoi pas. Si tu me prêtes ton homme. Bien sûr que je te prête. Nous finissons de dîner dans une ambiance très très chaude. Chris et Chantal se roule des pelles à moitié nues et moi je déshabille Nath. tu veux mes gros seins coquin. Moi oh oui. Elle dégrafe son sous-tif et laisse bondir deux nichons énormes que je lèche et suce avidement. Les deux autres sont déjà à poils sur le canapé entrain de se bouffer la chatte en gémissant. Je prends Nath par la main et l'entraîne vers la chambre des plaisirs, une chambre immense avec un grand lit fait sur mesure 2,40 par 2,40 avec au plafond une immense glace. Quand j'ouvre la porte elle pousse un wouah quelle chambre elle me regarde, vous devez en faire de bonnes parties oh oui Je l'a regarde et pose ma main sur de ses seins hum Ouiiiiouiiiiouiiii tu les aimes mes gros seins mon 95 F bien sûr que oui. Je fais glisser la robe en regardant ses dessous Ouahh cette lingerie noir et rouge. J'espère que tu n'ai pas déçu ? Pendant que je l'admire elle s'occupe de mon jeans et mon boxer rouge, ma bite en droite en l'air pendant que j'admire cette touffe de polis qui sort de tous les côtés de la culotte brésilienne, c'est la première fois que je vois une nana aussi poilue, c'est beau sa toison est bien préparé et nickel. Elle me dit ça te paît ? Je réponds oh oui. Elle je sais que tu aimes les chattes bien poilue. Moi ouiiii je vais bien te bouffer la chatte tes seins et bien te ramoner ta chatte, même ton cul ohhhhhh tu me plaît, ta queue dois être très bonne . Je la renverse sur le lit et je commence à caresser ses gros seins, wouah ils sont si gros. Oh Fred ohhhh ouiiiiii je sens ta bite contre ma culotte je malaxe sa poitrine elle à de larges auréoles foncées hummmmm ahhh ohoh Fred .Je lèche et suce ses gros seins en oubliant pas ses tétons qui deviennent vite très durs elle enfonce ma tête entre tes gros nichons hum Oui suce ouiiiiii c'est bon hum tes seins je titille ses tétons qui pointent ohhhhh hannnn Je descends doucement en léchant sa peau, je suis sur la culotte, elle pousse de petits cris en écartant bien les cuisses. Ma langue court de haut en bas sur le tissus qui s'humidifie très rapidement. J'entends au lion Chris et Chantal qui jouissent comme des folles j'enlève la culotte et ma langue se fraie un passage dans cette forêt. Elle écarte encore les cuisses sa fente rose apparaît toute luisante de mouille, je lèche les poils ohhhhh ouiiiii ma langue entre et sort de cette grotte inconnue court partout trouve un énorme bouton déjà tout érigé qui l'a fait hurler dès que je le touche elle commente comme c'est bon de se faire sucer la chatte comme ça des mois que j'en ai envie comme c'est bon ça ouiiii encore Fred Fred, en même temps que je m'occupe du clito je lui enfonce deux doigts et la fouille ohhhhhhahhhh en moins de dix secondes elle me gicle à la figure sa jouissance que je bois et lape comme un dingue, c'est un peu salé et âpre j'aime ça. Tu es une salope ahhhhhh ouiiiii une salope en manque je remonte sur elle et l'embrasse à pleine bouche, je suce ses gros tétons que je mordille doucement ahhhhh oui mes tétons Fred ouiiii c'est trop bon Puis je l'enjambe à genoux, ma queue est tendu devant sa bouche elle Wouah ça c'est une belle bite bien grosse, elle m'avale la queue et me suce j'entendais au loin Chris et Chantal qui hurlent leur bonheur, ça m'excite oh oh ta queue est bonne Fred. Moi pompe moi bien la queue encore plus profond une bonne gorge profonde oh oui je la tient à deux mains par les cheveux sa salive coule sur ma queue Oh putain que c'est bon, suce moi bien les couilles en même temps ma queue va et vient dans bouche quel pied Nathalie. J'entends Chris et Chantal baiser comme des folles au salon. Je sens que je vais cracher, elle me dit prend moi en levrette j'adore par derrière je me retire, elle se met à genoux sur le lit j'admire une seconde son beau postérieur sa fente dégouline de mouille, elle à des poils partout je suis prêt , je plonge dans sa fente d'un coup, elle crie oh oui ta bonne bite ouiii putain qu'elle est grosse et je commence à la pistonner elle pousse des hum hum et ahane en secouant la tête comme c'est bon ohhhhhohhhh salaud tu me défonce je vois ses seins baloter dans tous les sens je m'agrippe à ses gros nichons ohhh ouii salaud tu me baise trop bien vas y continue elle hurle ouiouiouiouiouioui j'entends ses cris qui remplissent toute la maison, oui oui ahhhhhh puis elle s'affale à plat ventre groggy. Je suis en train de me reprendre quand je vois à la porte Chantal et Chris qui entrent dans la chambre en lingerie Chantal collants et porte jarretelles noir Chris équipé de son gode ceinture, je ris et comprends pourquoi j'entendais hurler au salon. Nath ouvre les yeux et regarde stupéfaite le harnachement de Chris qui s'approche et lui met le gode devant la bouche en disant suce la mouille de Chantal, ce qu'elle fait immédiatement puis elle lance qu'est ce qu'il m'a mise le salaud, il y à longtemps que j'en avais pas pris comme ça, puis elle écarte les cuisses et lance aller enfile le moi je suis prête, Chris s'installe sur elle et la besogne, Chantal me suce? Nath crie ramone moi bien la encore la chatte, je suis chaude j'ai trop envie. Quelques minutes plus tard après avoir encore jouit Chris abandonne Nath et enlève son harnais et se met à genoux entre les cuisses de Chantal pour la sucer, son fessier en l'air avec sa fente ouverte donne des idées à Chris qui se met à genoux pour sucer Chantal . Quel beau petit train.Je me mets derrière et accroche les wagons je plante Chris et la pistonne accroché à ses hanches. Deux minutes plus tard c'est une cacophonie de cris et de ahanements qui emplit la chambre. L'ambiance est explosive ça gémit de tous les côtés. Moi je suis au bout de rouleau j'accélère encore et je me vide dans la chatte de ma Chris chérie. Les corps se sépare et tous les un contre les autres nous reprenons nos esprits. A près quelques repos bien mérité je décide de boire un coup et manger un bout de gâteau. Nous sommes de retour au salon pour nous restaurer un peu. Mais cet instant n'est que de courte durée Car Nath se met à genoux devant moi et m'avale la queue qui reprend très vite de la vigueur. Les deux autres ris Chris dit a Chantal et bien dis elle est plutôt chaude ta vendeuse ! Quand je suis bien raide elle me fait signe de prendre Chantal en levrette ce que je fais sans ma faire prier. Je la plante et m'active en elle. Pendant ce temps je vois Nath qui suce Chris. Chris roule une pelle à Nathalie et joue avec ses tétons, le spectacle m'excite fortement. Je n'en peux plus je l'attrape par les nichons la tire à moi et jouis en râlant dans sa chatte. Elle tombe à plat ventre sur Nathalie qui l'embrasse à pleine bouche. Ma bite est retombé quand Chris décide de me sucer à nouveau. Elle assise et moi debout. Les deux autres sont collées l'une à l'autre en 69 et se bouffent encore la chatte comme des folles. Quand j'ai retrouvé une forme olympique Chris me dit attends je vais mettre mon attirail, elle s' harnache et quand Chantal se relève de Nathalie, celle çi lance j'aimerai bien encore quelque chose quelque part. Alors Chris lui dit viens ma chérie on va te baptiser viens la debout devant Fred face à face accroche toi à son cou soulève toi et place des cuisses autour de sa taille. Elle pousse un Wouah je vais adorer. A mesure qu'elle monte je la pénètre elle crie se cramponne à mon cou. Chris passe derrière elle lui mouille bien son petit trou et le gode l'autre crie non pas là nononon mais déjà le gode forçait le passage elle hurlait c'est bon oh oui bon c'est bon nous la limons à deux en même temps et Chantal l'embrasse sur la bouche. Pour moi c'est aussi la première fois quel pied, fatiguant mais très jouissif je sens à travers la paroi vaginale le gode sur ma queue. Elle hurle de plaisir et moi en peu de temps je me vide en elle, je la repose doucement elle se penche en avant prenant appui sur le lit pour permettre à Chris de continuer de la sodomiser. Chantal me suce et je repars de plus belle car j'ai dans l'idée de la sodomiser aussi, elle aime ça la salope. Je fais signe à Chris qui se retire et je prends sa place, elle pousse un Ohoh c'est plus gros nonononon mais je suis déjà dans la place je commence à lui bourrer le derrière. Chris lui demande ça va chérie, tu aime mieux celle ci ou mon gode ? Elle répond vous êtes deux pervers mais ton Fred me prend bien le cul c'est trop bon. Chantal se masturbe la chatte, elle se glisse sur le lit et présente sa chatte à la bouche de Nath qui n'a qu'a se baisser pour en profiter. Cramponné aux hanches de Nath je pistonne ce derrière qui m'excite et me fait bander. Soudain je me raidis contre son cul elle pousse un cri et je jouis en râlant dans ses entrailles.Son sphincter se resserre et m'éjecte la bite toute molle. Je m'en vais à la salle de bain faire une toilette. Quand je reviens un long moment plus tard elles sont allongées toutes les trois, elles se tiennent la main. Je m'allonge Chris me demande veux tu nous faire encore un petit plaisir Chantal va te faire une bonne pipe et tu crachera sur les nichons de Nathalie et toutes les trois nous profiterons de ton foutre. Je fais un peu grise mine car elles m'ont déjà passablement épuisé, mais bon ! Subitement Chantal dit non mets toi debout nous assises allons te sucer tour à tour c'est Chantal qui commence ensuite Chris et Nath. Là je dois dire c'est le summum de la pipe trois en une en plus trois virtuoses. Je me suis retenu temps que j'ai pu car vraiment c'est super j'étais dans la bouche de Nath cette salope à vu que je n'irai pas bien loin elle m' à tillé le petit trou avec son doigt j'ai lâché la purée sur sa poitrine. Toutes les trois se sont mises à lécher et récupérer avec les doigts. Quel beau spectacle et quelle soirée. Chris lance vous savez les filles il est presque 4 heures du matin nous sommes épuisés. Ma queue est molle de chez molle. On a décidés de dormir tous ici on verra demain.


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Histoire envoyé par Fred et Chris le 06 10 2020
Nous sommes fétichistes de lingerie


Les deux mois de confinements avec mon amour de Christelle avait été au top, nous avons fait l'amour tout les jours jusqu'à trois fois par jour, elle faisait du télétravail à la maison et moi comme je suis musicien professionnel j'étais bloqué chez moi comme beaucoup donc on fait l'amour très souvent souvent dans une belle lingerie.
Donc une fois que le confinement fut lever nous avions décidé de faire les boutiques car deux mois à la maison sans sortir cela faisait long, même si on baisait bcp,et qu'on aimait ça . Donc ce samedi du mois de Mai, Nous faisions l'amour ce matin là avant partir, ouiii à quatre pattes hum, attend que je te suce encore tu te mis à me faire une bonne gorge profonde ouiiiii c'est bon Chris baise moi en levrette moi défonce ma chatte tes seins ballotes bien ouiiiii humm hum ouiii hannn hann encore encoore ta queue est trop bonne oiiiiii encore on était en transe je vais jouir chéri remplis moi de ton jus bien chaud on ce mis à jouir tous les deux mon jus gicla au fond de sa chatte oh humm tu m'a encore bien baiser chéri. Mais tu sais tu es tellement excitante belle ma Chris, et ce soir on baisera dans mes nouvelles lingeries humm ouiii chérie en l'embrassant sur les lèvres dans une belle nuisette ou un beau soutien gorge et une belle culotte dentelle ouiiiiii, mais j'ai hâte de revoir Chantal elle nous manque oui c'est sur tu aimais la baiser n'est ce pas et Fabienne ? oui cette salope elle on l'a voit plus faudra que je lui téléphone. En fin de matinée nous sommes partis à Bordeaux et surtout dans notre boutique préférée. Nous sommes rentrés puis à notre grande surprise on ne vit pas Chantal, une autre vendeuse elle s'avança vers nous, une très belle femme bien roulée un bon 95C les cheveux mi long au moins la quarantaine. Chris lui demande Chantal n'est pas là ? et bien non qu'elle répond elle s'occupe du site internet et des commandes cela à bien marché pendant le confinement .Vous vouliez la voir ?elle doit venir toute à l'heure.Si vous avez besoin n'hésitez pas. Je connais très bien la boutique je viens depuis des années. Elle ah bon vous êtes une habitué dit elle. Oui répondis Chris. Chéri comment tu l'a trouve la nouvelle humm mon amour tu as vu comment elle est roulé oui un bon 95C ou E je dirais, vu son décolleté mais elle te fait bander petit salaud. oui chérie en me mettant derrière elle pour ne pas que la vendeuse se rende compte de mon érection. oh regarde chérie c'est joli ce rouge push up ouiii en plus il y a ma taille regarde avec la culotte assortie oh et ce violet et noir oui dit la nouvelle vendeuse c'est très jolie c'est une nouvelle collection Chris vous avez ma taille?je fait du 95D. Elle repris je me doutais et moi du E je dois avoir cela en réserve et elle disparaît,chéri faudrait qu'on l'invite à la maison j'ai très envie d'elle et toi ? moi aussi j'aime ses formes oh tu es très coquin mon amour, quand elle revient oh non!!! je suis navrée je ne l'ai plus je l'aurais en début de semaine prochaine. C'est a ce moment là qu' arrive Chantal oh quel surprise de vous voir tout les deux comment allez vous. Vous avez fait connaissance de Nathalie je vois, et toi ma Chris et toi Fred toujours aussi coquin ?la vendeuse n'en croyait pas ses oreilles il est en pleine forme et pendant le confinement on a pas chômé ma chérie, tu nous as manqué oh je m'en doute. Nathalie elle me seconde maintenant,.Nathalie répond je vois que vous vous connaissez très bien même très très bien, on passe de bonnes soirées ensemble. N'est ce pas Fred en me regardant oui il baise toujours aussi bien ton Fred oh ouii si tu savais pendant le confinement trois fois par jour et même ce matin. Nathalie répond et bien,c'est un sacré bon coup tu devrais me le prêter un peu

s'il te plaît car moi aussi j'ai ses envies. Mais il arrive du monde à la boutique donc nous devons en rester là. Chantal nous dit si vous voulez nous viendrons toutes les deux un soir et j'apporterais ton ensemble rouge, entendu répondis Chris puis Chantal glisse un mot dans l'oreille de Chris et celle -ci me fit un clin d’œil. Nous payons et nous sommes repartis, alors elle t'a dit quoi et bien Nathalie va beaucoup te plaire chéri en m'embrassant sur les lèvres, et elle me dit elle aime notre idée . Le soir même à la maison dans notre chambre vers 23h30 tu sais Nathalie ou quoi elle te regardait oui je sais après ce qu'a m'a dit que Nathalie est encore plus poilue qu'elle, tu va adorer chéri. Le soir allongé sur le lit en jean tee shirt je regardais Chris mettre sa lingerie son beau soutien gorge sa culotte et son porte jarretelles, déjà ma queue ce tendait. Alors comment tu trouves ta Chris elle te plaît en s'approchant de moi, et tu t'assoies sur le lit hummm ouiii mon amour tu es tellement belle et bandante dans cette lingerie je caresse sa belle lingerie hum Fred tu m'excite puis on s'embrasse à pleine bouche oh c'est bon, humm tes gros seins chérie oui tu les aimes mes gros nichons Oh ouiiii beaucoup! Elle alors bouffe les moi reste en soutien gorge je me met à les sucer à travers son wonderbra ohhh ouiiiouiouioui ses tétons commencent à se durcir, je malaxe ses gros seins humm chérie je suis fou de ton soutien gorge je suis fou de toi, ta queue est bien dur dans ton boxer oh ouii je bande pour toi très dur mon amour. Elle je veux que tu me baise comme un fou chéri je commence à sucer son soutien gorge et l' embrasse aussi ohh ohhh hannn vas y bouffe moi les tétons, je la retourne sur le dos lui enlèves ton wonderbra, je prends un sein que je suce à pleine bouche je lèche sa large auréole titille ton téton puis l'autre j' appuis ma tête sur ses seins oh ouiiii mon chéri, je continue à bouffer ses nichons puis son corps jusqu'à ta culotte que je suce et lèche, elle gémit et ondule du bassin sa chatte est trempée je descends la culotte,et plonge ma langue entre ses cuisses, sa fente ruisselle je commence à lécher ses poils puis les petites et grandes lèvres , elle pousse de petits cris ouiiii chéri suce moi bien la chatte, elle gémit et se tortille de plaisir gémir hummmmmmm hummmmmmm hannn hannn Fred Fred ohhh Chris ta chatte est bonne oohhh ohhhh ouiii c'est bon vas y surtout arrête pas, en même temps je malaxe ses gros seins huummm hummmm ohhh ouiii!! ma langue bien raide fouille toute son intimité, elle glousse crie écarte les cuisses me prends la tête à deux mains et explose dans ma bouche. Je remonte le long de son corps, mets ma queue entre ses seins. Elle les serrent avec ses mains ma queue va et vient coincé entre ses mamelons ohhhh ahhhh elle est chaude entre mes seins quelle branlette espagnole donne moi ton jus chéri quelle cochonne que tu es mon amour, oui tu aimes ça donne moi ta queue puis tu me branle assez fort je vais jouir. Elle oui donne le moi ton jus va s y chéri dans sa bouche et sur ma figure. Je râle en lâchant ma liqueur, elle avec ses doigts étale la sauce en caressant ses seins avec mon jus chaud. Deux ans qu'on est ensemble et je n'ai jamais été si heureuse avec toi, mon amour moi aussi même avec Laurence mon ex cela n'a jamais été comme cela, comme moi avec Paul, nous sommes tellement complices tous les deux,oh que je t'aime chérie. Tu mets ta nouvelle nuisette sexy rouge et tu viens à coté de moi tu es sublime. Une heure plus tard ma queue était à nouveau prête, humm hum, très en forme oui comme tu vois, baise moi avec ma nuisette prend moi en levrette tu te positionne à quatre pattes sur le lit, mon amour j'aime ton cul oui prend moi je veux sentir ta queue bien profonde, je te prend en levrette oh ohhh oui comme ça baise moi bien baise moi, je caresses son clito en même temps, mes bourses claquent contre ses fesses hannn hahhh hannn hannnn Fred ouiiiiii je là regarde dans la grande glace, elle gémit comme une folle ses gros seins bougent dans tout les sens ouiii ta queue est trop bonne ouiiii cointinue j'agrippe mes mains à ses seins, à travers ta nuisette et la pistonne à grands coups de reins ouiiiiii ohhh ohhh ahhhh défonce moi oui tu aimes ça chérie ohhh ouioui oui, ahhhh ouiiii tu me fais jouir oh oui je jouis chéri ouiouioui. Puis elle crie prend mon cul maintenant, je la sodomise directement j'enfonce ma queue dans ton trou après l'avoir bien mouillé et en levrette, ohhhh ohhhhh hu humm oui ça c'est bon ouiii encoore chéri ta queue queue dans mon cul tu me défonce chéri ohhh ouii t'arrête pas j'aime ça j'accélère encore ahhhhh ahhhh ohhhh Fred. Elle tombe à plat ventre sur le lit. Je m'allonge sur le dos elle vient s'empaler sur ma queue comme une cavalière enfourche son cheval, elle commence à monter et descendre sur mon pieu, je malaxe ses gros seins ouyiiiii chérie ouiii hannnn hannn ohhhhhh mes mains caresse son corps ses gémissements sont de plus en plus fort nous sommes en sueur je vais jouir encore une fois ohoh ouioui Chris Chris. Oh oh ouiouioui Fred Fred moi aussi je viens Chris ouiiiiii ouiiii humm Fred ahhhh tout mon foutre gicle au fond de sa chatte, elle s'écroule sur moi en m'embrassant. oh mon amour c'était merveilleux j'enroule mes mains autour de son dos oui tu es une femme tellement excitante en lingerie quand on baise toi aussi Fred on s'embrasse encore. Fred j'ai hâte que Chantal et Nathalie viennent à la maison pour m'apporter ma nouvelle lingerie...

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Histoire envoyé par Sophie le 25 09 2020
​Drôle de ménage à trois
Sophie 27 ans Je vis depuis un an une histoire d’amour avec Carine 25 ans. Il y a trois semaines nous avons passés un week-end, chez sa mère, Julie, une jolie femme de 52 ans qui vit seule. Elle m’a tout de suite plu, dans son tailleur qui la rend encore plus sexy , son sourire, et aussi ses très belles formes. Tout le contraire de Carine qui est plutôt sportive et s’habille toujours en jeans. Le courant est tout de suite passé entre nous. En fin de soirée avant d'aller nous coucher elle nous à dit d'un air coquin bonne nuit les filles et est resté devant la télé. Une fois dans la chambre, nous nous sommes jetés l'une sur l'autre, nous dévorant de baisers sur la bouche et tout le corps, agenouillée devant moi, la tête plongée entre mes cuisses grandes ouvertes elle me dévorait la chatte et lapait ma liqueur d'amour qui coulait abondamment. Nos nous sommes vite retrouvé en 69 et nous avons jouis toutes les deux comme si nous étions seules à la maison. Lovés l'une contre l'autre sans rien dire nous avons entendu au bout de quelques minutes des gémissements de plaisir, juste derrière la cloison. Carine s'est mise à rire : C’est ma mère elle est chaude, elle se caresse souvent dès fois nous jouissons ensemble chacune dans notre chambre, tu sais ma mère est bi. J’espère que ça ne te gêne pas, elle est très libre, tu sais. Moi de répondre tu sais cela ne me gêne et puis elle est encore très belle et attirante. Elle m'embrasse goulûment puis me dit dit donc cochonne tu ne va pas te faire aussi ma mère. Moi de répliquer ça ne me gênerait pas. Elle se jette entre mes cuisses et recommence à me brouter le minou, je gémis et mouille comme une fontaine quand elle joue avec mes tétons et mon clito je gémis et pousse de petits cris, quand elle s'arrête je suis groggy après deux orgasmes explosifs. Nous entendons à côté qu'elle jouit aussi de plus belle. Nous nous endormons dans les bras l'une de l'autre.Le lendemain matin Carine part faire son footing de bonne heure comme d'habitude moi je prépare le petit déjeuner. Je repense à Julie et à sa séance en solitaire hier soir, c'est vrai j'ai envie d'elle. Au bout de quelques minutes n'y tenant plus je prends un plateau et lui porte le petit déjeuner, je frappe, j'entends entre, j'ouvre la porte elle est assise sur le lit elle me regarde en souriant et dit je croyais que c'était Carine mais finalement je préfère que ce soit toi, elle me fait signe de m'asseoir à côté d'elle, je pose le plateau. Elle dit vous m'avez rendu folle hier soir j'ai du me contenter seule. Je m'assois à côté d'elle elle m'enlace et me murmure à l'oreille fais moi l'amour j'ai envie de toi elle soulève le drap et guider ma tête vers sa toison brune. J’ai fourré ma langue entre ses lèvres. Je l’ai lapé, sucé, aspiré, avec volupté et frénésie. Elle roulait des hanches en criant son bonheur, son jus salé coulait à flots. Son goût était bien plus fort que celui de sa fille. J’étais dans un état second. Je m’éclatais sans culpabilité avec la mère de ma copine. Après plusieurs orgasmes elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit. J’ai senti deux doigts se poser sur mon sexe en feu. C’était doux et tendre, elle m’a fait couler en me frottant langoureusement. J’ai senti sa langue glisser le long de mes fesses jusqu’à mon anus. J’ai cru que mon cœur allait exploser de ce trop plein de sensations !elle commentait en même temps Oh ton petit cul tout frais, ton petit trou tout chaud… N’aie pas peur, tu vas adorer. Je me laissais faire, prise d’un désir nouveau. Elle a léché ma rondelle en me tenant par les hanches puis, écartant délicatement mes fesses, elle a enfoncé sa langue dans mon derrière. C’était trop bon ! Elle me fouillait l’anus, faisait tourner sa langue à l’intérieur, le long des parois. J’ai mouillé encore plus quand elle a glissé un doigt dedans. Elle m’a longuement branlée avec des va-et-vient tout doux. J’ai joui en hurlant. Quand je me suis retournée vers elle, j'ai vu Carine qui nous regardé dans le coin de la porte, elle m'a sourit puis elle est entré s'est déshabillé et c'est jointe à nous. Nous avons baisés à trois jusqu'à midi Quel pied !Depuis ce jour nous faisons souvent ménage à trois le week-end et j'adore ma belle-mère.

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Histoire envoyé par Rémi le 19 09 2020
Ah la campagne quelle merveille !


Bonjour à tous, je m'appelle Rémi j'ai 48 ans, suis divorcé, je vis dans la la région Bourgogne Franche Conté, j'ai un boulot de nuit qui consiste à de la surveillance sur ordinateur, ce qui me laisse beaucoup de temps pour me balader dans les forets et la campagne. Je suis fana de la campagne je n'ai jamais vécu en ville ville enfin pas plus d'un jour. Cette histoire s'est passé en début d'été en plein cauchemar dans les villes. Moi jamais rien changé dans mes habitudes tous les après midi marche de 10 à 12 kilomètres ou ne ne rencontre pas grand monde, à part des vaches des chevaux dans les prés. Je suis heureux, je respire à plein poumons, c'est la belle vie. Mais je ne suis pas non plus un moine, je sors et j'ai une copine avec qui je batifole beaucoup car cette nana que je ne vois qu'une fois par semaine cause mariée et une dévoreuse de sexe. Bon ce jour là il faisait très chaud je me trouvais dans un petit chemin de terre au sommet d'une petite colline quand soudain j'aperçois une cavalière sur un très beau cheval, c'est pas la première fois qu'on se rencontre, nous arrivons face à face et là contrairement aux autres fois elle met pieds à terre et nous engageons la conversation, elle me dit aujourd'hui je vais faire une petite halte à l'ombre car il fait chaud et j'ai envie de parler un peu à quelqu'un, le cheval broute tranquillement pendant qu'on assoient sur un petit muret du château d'eau à l'ombre et discutons surtout de son boulot, elle m'explique qu'elle travaille dans le centre équestre qui entraîne des chevaux de propriétaires pour des concours hippiques, car pas très loin il y a un autre centre qui apprend au jeunes à monter. Je lui répond que moi j'habite pas très loin d’où elle travaille et lui explique ou. Elle me raconte qu'elle est d'origine de Camargue et qu'elle est ici parce qu''elle à trouver un très bon salaire mais que la mer lui manque, je lui réponds qu'elle peut venir à la piscine chez moi pour remplacer. Elle rit en disant ça sera pas pareille mais j'accepte volontiers, je lui dit qu'elle peut même venir à cheval il y a de la place pour lui aussi. Après avoir discuté un long moment elle me promet de venir. Je lui donne mon 06 et lui demande de m'envoyer un message avant. Nous reprenons chacun notre chemin mais je ne peux m'empêcher de penser qu'elle est bien mignonne elle ne doit pas avoir plus de trente ans et que surtout elle est bien roulé. Les jours passent, je ne peux m'empêcher de penser à elle chaque fois que je passe à proximité du château d'eau. Mais bon la vie continue. Quelques semaines plus tard un SMS de la cavalière m'annonce sa venue le soir vers 17 ou 18 heures. A l'heure dite elle se pointe sur un VTT. Cette fois ci nous faisons les présentations elle se nomme Estelle me demande si elle dérange pas, je réponds non que je vis seul. Je l'accompagne à la piscine et lui ajoute qu'elle peut venir quand elle veut le portillon du jardin étant toujours ouvert. Elle me remercie, je retourne chez moi la laissant se débrouiller seule. Une heure plus tard je vais la voir, elle semble bien apprécier la piscine et l'endroit et me dit que je risque de la voir souvent. Je réponds pas de problème c'est quand elle veut. En maillot elle est canon et son beau petit sourire ne me laisse pas de glace. A 19 heures elle s'en va. Je retourne à mes occupations. Quelle ne fut pas ma surprise à la suite de ça de la voir presque tous les jours, un soir elle m'apporte une bouteille de rosé de Provence, je lui demande si elle veut rester pour la boire je ferais un barbecue. Elle accepte et va se baigner. Je file au village pour acheter le nécessaire et une heure plus tard nous faisons l'apéro et mangeons en discutant, elle est toujours en maillot moi en short torse nu. J'apprends qu'elle fais du nudisme qu'elle adore ça. Qu'elle à un petit ami là bas mais que ce n'ai pas vraiment sérieux. Là si je n'ai pas compris pas le message. Nous riions et nous sommes de plus en plus près l'un de l'autre, au cours de la conversation elle lâche si on prenaient un bain de minuit elle me fixe et ses mains commencent à dénouer le nœud de son soutien gorge qui vole par terre, ne voulant pas être en reste je quitte mon short sous lequel je suis nu, elle fait de même et nous courons à la piscine. Dix minutes plus tard elle est à cheval sur moi cramponné à mon cou ses cuisses autour de mes hanches, moi debout dans la piscine de l''eau jusqu'aux épaules elle monte et descend sur ma queue comme un ascenseur, elle sait y faire elle serre et relâche ses cuisses, elle me rends fou et elle à l'air d'aimer ça, elle a compris que c'est elle qui mène la danse. Soudain elle se met à gémir balance sa tête en arrière et se cabre contre moi juste au moment ou je me vide en elle. Elle reste sur moi m'embrasse à pleine bouche et me susurre à l'oreille si tu veux je reste avec toi. Je suis dans l'obligation de refuser car à partir de 22 heures je dois prendre le contrôle de poste de sécurité, mais lui dit qu'on a encore du temps devant nous et je l'entraîne hors de l'eau sur un matelas de place ou là blottis entre ses cuisses je m'occupe à lui faire un broute minou qui la fait partir au septième ciel, puis je la prend en levrette jusqu'à ce qu'elle crie que c'est bon que c'est bon et que j'explose encore en elle. Ensuite elle retourne dans l'eau, je lui dis que si elle veut rester pas de problème, elle peut s'installer dans ma chambre, que peut être je lui rendrais visite plus tard. Quelques heures plus tard  elle me retrouve dans mon bureau, je suis toujours à poil, elle se met à genoux et me suce goulûment jusqu'à ce qu'elle obtienne ce qu'elle veut, puis elle retourne se coucher. Vers 5 heures la nuit de surveillance touche à sa fin je vais dans la chambre et la réveille par des caresses et des coups de langues qui la mettent tout de suite en état de chauffe, je mordille son clito et ma langue fouille sa chatte elle mouille abondamment et crie comme une folle avant de me lâcher sa liqueur dans la bouche. Elle me retourne sur le dos et s'assoit sur ma queue face à moi, on voit que c'est une cavalière elle galope sur mon sexe, je joue avec ses seins. Elle secoue la tête de tous les côtés en haletant ahanant de toutes ses forces. Soudain elle accélère et crie oh ouiouiouioui viens je t'en prie j'en peux plus je l'a prend par les hanches la tire à moi en jouissant dans sa chatte en feu. Puis elle retombe à côté de moi et se rendors. A 7 heures son tel sonne elle éteint et se lève, elle lance il faut que j'aille au boulot j'ai bien aimé et elle à disparu. Depuis nous nous revoyons régulièrement. J'apprécie la campagne c'est tellement bon.​

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Histoire envoyé par Véronique le 08 092020
​Un accident de la route.

Voila l'histoire qui nous est arrivé un samedi soir de l'hiver dernier, je suis Véronique, nous rentrions mon mari et moi d'une soirée chez des amis, il était près de minuit à quelques kilomètres de chez nous sur une petite route de campagne nous avons vus dans le fossé une voiture avec une femme seule à côté. Nous nous sommes arrêtés. La femme d'une soixantaine d'années nous à expliqué qu'elle à heurté un sanglier, effectivement la voiture était salement amoché. Nous avons appelé un ami garagiste qui habite pas loin pour qu'il récupère la voiture et nous avons emmené la naufragé de la route à la maison car elle n'est pas de la région et vu l'heure tardive l'avons invité à dormir. Une fois à la maison je suis vite tombé sous le charme de cette belle femme plutôt grande, svelte, au corps gracieux et au sourire ravageur avec une poitrine plus que respectable. Nous avons pris un verre au salon, j'ai fais un clin d’œil à mon mari, nous sommes malgré notre cinquantaine des libertins depuis une bonne dizaine d'années. Nous sommes un couple qui nos aimons très fort, nous aimons tous les deux le libertinage. Je suis femme blonde à la taille fine très gourmande de sexe. C’est ce qui doit nous maintenir en forme ! Nous n’avons jusqu’alors jamais eu de femme en dehors d'un club. Au bout d'une heure après la visite de sa chambre et lui avoir prêté des affaires pour la nuit, je savais qu'elle se nommait Viviane, qu'elle vivait seule, dormait toujours nue et qu'elle m'enviait d'avoir un homme à la maison ce qui nous à fait beaucoup rire elle est moi, mon mari Jacques était au salon. Nous avons parlé un peu de nos vies respectives et lui ai souhaité une bonne nuit, elle m'a serré dans ses bras et nous nous sommes embrassées sur la bouche mais un baiser gentil qui laissait beaucoup d'espoir pour la suite. J'ai retrouvé mon mari tout émoustillé et lui ai raconté. Il à rit et ajouté elle me plaît beaucoup aussi. Nous sommes allés nous coucher nous coucher et avons fait l'amour comme des fous. Le lendemain matin j'étais debout de bonne heure, je n'avais qu'une pensée aller la retrouver dans son lit. J'ai préparé le déjeuner et suis allé le plus doucement possible la retrouver, lorsque j'ai ouvert la porte elle m'a regardé et me dit avec son beau sourire je t'attendais. J'ai posé le plateau sur la petite table me suis approché d'elle et lui répondit que j'avais envie de lui donner un peu de tendresse, je me suis blottis contre elle après avoir enlevé ma nuisette, nous nous sommes embrassées comme des folles, je mouillais intensément, ses seins contre les miens me faisaient frisonner j'étais complètement en rut. Nos langues se mélangeaient chacune leur tour. Je me suis mise à lui brouter le minou sous des gémissements de plaisir, elle me caressait la tête et se masser les seins en même temps, j'étais comme folle mon ventre me brûlait, je n'en pouvais plus. Ma langue jouait avec son intimité les cuisses bien écartées, elle gémissait en me donnant sa liqueur, je buvais et lapais sa jouissance quand la porte s'ouvrit doucement Jacques debout nu nus regardais il bandait de nous voir, deux femmes occupées à se faire du bien il adorait ça mon chéri. Viviane le regarda et lui dit oh enfin je vais avoir une queue depuis le temps que j'attends ça. Je me suis mise à genoux continuant de jouer avec la chatte de ma nouvelle amie pendant que mon Jacques me prenait en levrette. Quelques minutes plus tard nous jouissions de concert. Ensuite j'ai sucé Jacques pour qu'il reprenne de la vigueur et l'ai laissé prendre Viviane qui hurlait de plaisir pendant que je la caressais. Oh quel bonheur de faire l'amour à trois quand il y a le feeling. Il l'a prise plusieurs fois dans des positions différentes et j'ai jouis aussi à chaque fois avec mes doigts. Ensuite nous avons fait un 69 elle et moi et après une bonne douche avons pu enfin déjeuner tous les trois à la cuisine. Finalement nous avons passés le dimanche à faire l'amour et avons décidés de la ramener chez elle à trente kilomètres que le lundi matin. Depuis nous sommes inséparables elle passe tous les week-end chez nous et nous avons tous les trois rajeunis de 20 ans.

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histoire envoyé par Cédric le 20 07 2020

​Ma première fois avec une vieille dame.

Je me nomme Cédric, j’ai 31 ans et je suis employé par une entreprise qui conçoit des repas pour les personnes âgées, je vais donc tous les jours à domicile pour livrer les repas dans un périmètre de 25 kms. C’est un milieu rural où il y a beaucoup de personnes seules hommes ou femmes. Chaque jour, je me fais un peu draguer par des petites vieilles qui sont toutes plus adorables les unes que les autres, mais je garde mes distances. Et puis il y a Liliane un cas particulier qui n'a pas froid au yeux et beaucoup plus délure. Certaines jouaient sur la séduction autant Liliane voulait vraiment du sexe. C’était une femme de 70 ans, c’était encore une belle femme pour son age, mais qui a quand même des heures de vol qui chaque fois faisait tout pour que je m'attarde un peu plus. Au fil des mois, elle a tout essayé pour me séduire en étant très insistante. Souvent elle me recevait en petite tenue, essayait de prendre des poses suggestives, etc. et un langage sans équivoque. Et puis un jour lorsque je suis entré dans le salon comme a mon habitude sans frappe, elle était allongée sur le dos dans une tenue très légère. Elle sentait très bon je devinais qu’elle sortait de la douche. Après les discussions habituelles, elle a relevé sa jupe légère et j’ai découvert qu'elle n'avait pas de culotte. Naturellement et sans aucune gène, elle a pris son doigt et m’a montré sa fente en rigolant et d’un air coquin m'a dit allez fait moi ce petit plaisir j'ai trop envie de baiser. Je la regardais un peu éberlue mais fascine par ce sexe poilu et ride. J’ai longuement regardé son sexe et j’ai naturellement avancé la main pour le toucher, J’ai touché sa peau qui était toute fine. Elle a écarté les cuisses et a guidé ma main vers sa vulve. Je l’ai senti humide et très moelleuse. Elle soupirais. Je me suis surpris à avoir une érection et j’ai commencé à caresser de manière plus insistante son sexe. Elle m’a attrapé par le t-shirt et m’a fait m’a attire a elle. Elle m’a mis la main au paquet ce qui a renforcé mon érection. Mes doigts se sont enfoncés très naturellement dans son sexe et j’avais l’impression que je pouvais y rentrer la main sans forcer. Le temps que je m’en aperçoive, elle avait défait la ceinture de mon pantalon et avait extrait mon sexe du caleçon. Avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle était a genoux, avait mis mon sexe dans sa bouche pour le sucer. J’ai fermé les yeux et j’appréciais la fellation sur ma queue pendant que je lui doigtais de quatre doigts maintenant . Elle a ralenti tout d’un coup et j’ai senti les soubresauts sous ses doigts. Je devinais qu’elle venait de jouir. Le temps que je me ressaisisse, à mon tour j’avais un orgasme et j’éjaculais sur son visage. Elle a frotté mon sexe sur sa peau pour en récupérer chaque goutte. Elle s’est tranquillement assise au bord du canapé, sa mouille lui coulait le long des cuisses. Elle s'est renverse sur le canapé écartant ses cuisses. J’ai présenté mon sexe devant son vagin et je l’ai pénétré le plus doucement possible. J’ai pris énormément de précautions, car elle venait de m’avouer qu’il y avait plus de 20 ans qu’elle n’avait pas eu de relations sexuelles. Mais très vite nous nous sommes emballés tous les deux, elle s'est mise à grogner se cramponnant a moi. Elle s'est mise a crier quand j'ai explosé dans sa chatte. Ensuite elle m'a sucer et j'ai repris ma tournée comme si de rien n'était. Depuis de temps en temps elle me demande de lui faire l'amour. 

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envoyé le  30 07 2020
​L'accident de mes parents.
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Voilà l'histoire qui m'est arrivé il y a quelques mois, j'ai 32 ans je vis à Montélimar. Je reçois un coup de téléphone d'un hôpital de Toulouse ou habitent mes parents qui me prévient qu'ils ont eu ont eu un accident de voiture et se trouvent tous les deux hospitalisés avec des blessures assez importantes. Dans l'heure qui suit je dis à ma femme que je vais a Toulouse et y resterait certainement plusieurs jours. A l’hôpital effectivement leur cas est assez grave pour nécessiter des jours d’hôpital. Je décide donc de rester sur place, je récupère la clé de leur petite maison ou je vais dormir pendant qu'ils seront absents. Le soir après ma visite je rentre au domicile et m'installe. A peine suis-je rentré que quelqu'un tape a la porte, j'ouvre et me trouve face a une femme de cinquante ans brune, pas très grande rondelette avec une grosse paire de nibard, elle me demande ce que je fais la et pourquoi. J'explique la situation elle est abasourdie elle me dit qu'elle connaît bien mes parents et qu'elle est souvent chez eux car elle habite la maison d’à cote, après de longues palabres elle me dit vient manger chez moi ce soir, je suis seule mon mari est en déplacement et je m'ennuie un peu. J'accepte bien volontiers car je n'ai rien acheté et le frigo est vide. Elle m'offre l’apéro et nous passons une soirée sympa dans la cuisine. Nous parlons de choses et d'autres de nos vies et de mes parents. Je me suis vite aperçu qu'elle cherchait plutôt une aventure qu'autre chose. Elle portait un petit haut près du corps qui mettait bien en évidence sa belle grosse poitrine avec une robe qui laissait apparaître de belles jambes bien proportionnées, elle mettait tout en œuvre pour me montrer ses formes et ses fesses quand elle se levait. Je commençais à sentir ma queue qui se réveillait. A la fin du repas, la bouteille était vide et les choses ont pris une autre tournure. Elle me dit viens boire le café dans le salon en effet, la télé marchait dans le salon, un film banal. Nous nous installons dans le canapé en buvant notre café et discutant quand soudain dans le film une scène d'amour très chaude. Nous nous sommes regardes elle écartait ses cuisses et moi je bandais comme un âne elle a tout de suite remarqué mon érection on s'est regardé en souriant, elle mit sa main sur ma cuisse et m'a caresse jusqu'à mon sexe et là, je perdis pieds elle me demanda de me détendre puis me défroqua en engloutissant ma bite dans sa bouche, elle accompagnait ses sucions par un petit râle qui m'excitait terriblement mon sexe était dur comme du roc, elle allait et venait sur ma tige comme une excité. Je me laissais faire je sentais le plaisir monter a toute vitesse quand elle sentit que j'allais tout lâcher elle accéléra encore et m’empêcha de me retirer. J'explosais dans sa gorge, elle avala tout sans brocher puis se leva se mit à poil et m'enjamba sans vergogne se plantant sur ma queue elle était mouille et on pouvait entendre des bruits de succion, je pris ses seins dans mes mains, ils étaient énormes, elle avait l'air d'apprécier elle couinait en s'activant sur moi, cramponné a mon cou elle se faisait jouir. Je me levais la renversais sur le canapé et la prenais en missionnaire elle se mit à crier en soulevant ses jambes, elle hurlait et gémissait de plaisir sous mes coups de bite. Nous avons pris un pied d'enfer. J'ai inonde sa chatte. Puis elle m'a offert à boire et m'a demandé de la prendre en levrette chose que j'ai faite immédiatement, elle a prit encore un orgasme pendant que je la besognait comme un fou. J'ai finalement passe la nuit chez elle et il en fut de même plusieurs autres fois pendant la semaine ou je suis resté chez mes parents avant que ma mère ne sorte de l'hôpital et que je ne rentre chez moi. 

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Histoire envoyé le 27 07 2020
J'ai surpris mon voisin


Nous sommes en plein été, je suis en vacances, je suis divorce et seule depuis un an, j'ai 50 ans je vis dans un village du Périgord dans une ancienne ferme réhabilite avec une petite cour, j'ai comme voisin un jeune couple a qui je loue un appartement a cote du mien. Je viens de me lever je préparais mon petit déjeuner quand la bouteille de lait m'a échappe et s'est brisé sur le carrelage. Après le nettoyage je décide d'aller taper chez Isa la voisine pour lui demander un peu de lait. J'enfile un peignoir par dessus ma nuisette, et sors de chez moi, et me dirige vers la porte d'à côté , je ne sais pas pourquoi je regarde machinalement par la porte fenêtre qui est entre baillée la, je vois mon jeune voisin assis dans son canapé, je réalise qu'il se branle en regardant un film porno. Surprise je reste à regarder sa main aller et venir le long de sa queue dressé.Je comprends alors que sa femme n'est pas la. Je sens des picotements dans mon bas ventre, mes tétons se dressent, je n'ai pas eu de relation intimes depuis mon divorce et voir ce mec jouer avec sa bite me fait mouiller, je passe ma main entre mes cuisses trouve mes lèvres humides, je m'imagine à la place de sa femme sa belle tige glissant en moi, je l'entends soupirer. Je n'en peux plus je décide d'entrer sans faire de bruit. Me voilà à la porte du salon il me voit se redresse puis lance et bien tu tombe à pic, je m'approche, j'ouvre mon peignoir, il me regarde, sa bite est tendu comme un arc. Je bégaye un je voulais du lait. Il répond tu aura ma queue. Sa main est déjà entre mes cuisses, je lève une jambe et pose mon pied sur le bord du canapé son membre est passé entre mes cuisses, je sens son gland contre les lèvres de ma chatte, je ne peux lui résister et j'écarte un peu, il passe sur mon clito.je pousse un petit cri
LuiTu la veux ? Moi Oui...prends moi ! Il revient entre mes lèvres et me pénètre sans mal.
Oh c'est bon..oui oui oui!
sa bite est de belle taille, je lui caresse ses boules, elle sont parfaitement épilé, je les sens taper contre mes fesses, je sens que je vais jouir très vite, cramponné à son cou
- Humm...oui..c'est... ahhh..b..bon !- T'étais en manque... hein... petite salope !
- Oui...en...core oh oui baise moi bien j'ai trop envie
- Je vais te faire crier coquine !
Je sens l'orgasme me submerger, d'autant qu' il est endurant,
- Ahh...je...hummmm...Ouuuuuiiiiii ! Il se vide en moi par saccades je suis comme folle
Quel orgasme, il ne bouge plus, se retire et lance - Suce moi !
Sa tige est brillante de nos jus, je la lèche et l'essuie, puis la gobe, il caresse à nouveau ma chatte et rentre un doigt puis le passe sur mon petit trou, et l'enfonce dans mes fesses.
- Je vais t'enculer ! dit il. - moi oh Non ! Je dégage sa main. Lui Tu n'aimes pas !
- Il n'y a que mon mari qui m'est prise par là...
Je suis divorcé depuis 1 ans, et sa queue était plus fine quelle endurance, je n'arrête pas de le pomper et il ne jouit toujours pas ! Lui - Je vais te la remettre tu veux !
Sans attendre la réponse il me plante son dard entre les cuisses, cette fois je vois sa tige aller et venir entre mes lèvres, ça me rend folle, il soulève mes fesses il me met un doigt dans l'anus et va et viens en moi. Il me baise par les deux trous je suis au bord de l'explosion - Je vais te la mettre dans ton cul ! Moi – moi inconsciente Oui.. encule moi... je veux la sentir...là ! Je profite qu'il s'est retiré pour me retourner, saisi sa tige et la passe sur mon œillet.
- Prends mes fesses...mais doucement !- Oui.. encule moi bien mon salaud !
- Ah... oui tu sais que je vais adorer de prendre ton petit cul salope !
- Oh Oh doucement vas y doucement il entre finalement sans problème je commence à jouir du cul ...oui défonce moi ! Ne va pas plus loin...ouh...
C'est à la fois bon et douloureux. il accélère Tiens je vais jouir dans ton cul ma salope !
Il me caresse en même temps, je sens que je vais jouir à nouveau Oh oh ouiouiouiouioui il se raidit en moi et déverse un flot de semence dans mes entrailles. Il se retire je tombe a plat ventre sur le canapé. Il me dit au fait que vouait tu ? Je réponds un peu de lait pour déjeuner. Il me le donne et je rentre chez moi satisfaite. 


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Histoire envoyé par Pauline le  26 07 2020
L'enterrement de la vie de fille de ma copine.
Je suis Pauline, j'ai 42 ans suis marie et j'ai deux enfants, je vis du cote de Saint Saint-Nazaire. Dernièrement j'ai été invite à l'enterrement de la vie de jeune fille d'une de mes copines beaucoup plus jeune que moi. Après le repas rapide dans un resto nous nous sommes rendus dans une boite. L'ambiance était plutôt chaude et jeune je me suis vite senti a l'aise d'autant que moi aussi j’étais très chaude.En dansant j'ai vite remarque un groupe de jeunes garçons parmi lequel un blond qui me regardait sans arrêt. En dansant je me suis approché doucement puis lui est fait signe de venir danser, ce qu'il fit immédiatement en me souriant. Des que la musique fut plus propice il se colla a moi et me caressa avec de plus en plus d’insistance à travers ma petite robe légère. Je devinais maintenant très bien sa queue raide contre mon bas ventre, puis il a pris mes seins en main et m’a titillé les tétons. j’ai donc laissé jouer avec mes nichons. Ça a dû le surprendre ! Il m’a embrasse, Je savourais l’instant . Bien sur. J’avais un peu picolé mais je n’avais plus ressenti quelque chose de si intense depuis longtemps. Ma petite culotte toute trempée. Je devinais un membre de grande taille. J’ai décidé de le prendre en main à travers la toile du pantalon, il bandait comme un âne, j'ai sentis le feu monter en moi ! Nous avons à peine échangé quelques banalités puis il m'a pris le main et m'a entraîné dehors il devait avoir vingt ans et j’étais bien plus âgée que lui mais je n'avais qu'une envie me faire prendre Il me désirait, et je voulais en profiter au maximum. Nous nous sommes retrouves dans ma voiture son doigt s’est glissé dans ma culotte trempée, entre mes grandes lèvres, et j’ai poussé un gémissement de satisfaction. Pour ajouter à mon trouble, ce petit coquin m’a pincé un téton. Je n’en pouvais plus d’attendre ! Quel délice de sentir un autre homme que le mien s’approcher de mon intimité. Je me suis moi aussi mise à fouiller dans le caleçon du garçon pour reprendre sa queue en main. En cinq minutes nous étions nus. Il m’embrassait avec fougue et me tripotait la chatte. Je massais doucement sa bite qui devait faire bien plus de 20 cm ! Et très épaisse, en plus! Rien que de penser que j’allais me le prendre au fond de moi, ça me rendait folle. Je n’en avais jamais vu de telle. J’ai commence à le sucer en allant d’avant en arrière sur son généreux gourdin. Je mouillais de plus en plus. Le garçon m’a d’ailleurs avoué plus tard que c’était la première fois qu’une femme le suçait aussi bien. Puis il s'est mis à me sucer la minette comme un dingue, je mouillais plus j'inondais. J’ai joui très fort sous les coups de langue de mon amant. Je ne pouvais plus me détacher de cette nouvelle et adorable bite. Nous avons ensuite changé de position. Mon degré d’excitation était à son comble. J’étais engourdie d’appréhension, mon vagin était comme un trou béant, prêt à engloutir cette énorme queue.. Il s'est enfoncé en moi d’un seul coup, j'ai pousse un cri un vrai bonheur. Puis, il m’a pistonne avec fougue, je ne savais même plus où j’étais. Son engin était si conséquent dans ma chatte que j’en ai joui d’un plaisir interminable sous ses assauts sauvages. Les secousses envahissaient mon corps et ma tête. J’étais devenue une poupée de chair entre ses cuisses. Il ne s’arrêtait plus les orgasmes se succèdent tous plus forts les uns que les autres. Il m'a laisse pantelante et meurtrie. Je me suis assoupie quand je suis revenu à moi il avait disparu. J'ai retrouve mes copines et nous avons terminé notre nuit. 

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Histoire envoyé le 13 07 2020
​Mon complexe a disparu.

Depuis mon adolescence je suis complexé par mes rondeurs, 1m60 et 70 kilos. A l'école les garçons se moquaient de moi. A 28 ans toujours pas marié, je ne me sens pas bien dans mon corps, bien sur il m'arrive d'avoir des aventures mais cela ne dure jamais, peut être suis-je un peu trop pudique je ne trouve mon plaisir que dans la masturbation avec des sextoy ou autre que j' achète sur internet. Mais heureusement tout à basculé le jour ou je suis allé au mariage d'un de mes cousin en Isère près de Grenoble. Le jour du mariage, j'ai rencontré un homme de 45 ans patron d'une petite entreprise, il était plein d'humour et m'a charmé toute la journée par des compliments sur mon sourire et ma beauté, au début un peu méfiante mais je me suis vite senti en confiance avec lui. Il était veuf et cherchait une secrétaire qui soit capable de faire du secrétariat, de la comptabilité et recevoir les clients.Moi je travaillais comme assistante de direction à Dijon. Le salaire était motivant et changer de région me plaisait beaucoup. En plus avec cet homme le courant passait bien, aucun homme ne m'avait jamais parlé comme lui. Il me regardait avec un œil différent des autres, Il me demanda de réfléchir et de le rappeler rapidement. Nous avons échangés nos tel et sommes partis chacun de notre côté. Le lendemain il me rappela et me demande de passer chez lui pour le café. Lorsque j'arrive il me reçoit courtoisement il est seul la maison est au milieu de l'entreprise. Il m'invite à entrer dans son bureau ou il ouvre son ordinateur, il me parle des femmes rondes et me montre un site spécialisé pour ces femmes, tu vois tu n'a pas à rougir tu as un beau visage, tu as de beaux yeux et ta longue chevelure ondulée est magnifique. Il suffit simplement que tu t'habille en femme et non avec un jeans, en tailleur ou en jupe tu serait parfaite et ton oncle m'a dit que tu avait de bonnes références au niveau boulot. Je suis prêt à te donner une chance, j'ai besoin de quelqu'un de confiance. Un mois plus tard j'avais changé de région et travaillais avec Gino mon nouveau patron. En quelques semaines j'ai pris mes marques, et nous sommes devenu très complices. Je le trouvais très beau, très doux et très attentionné. Un soir ou je travaillais sur un dossier qu'il devait donner à un client le lendemain il m'a retrouvé dans le bureau après quelques mots sa main s'est posé sur la mienne, ses yeux noirs ont fait le reste. Nous nous sommes embrassés. N’ayant pas fait l’amour avec un homme depuis deux ans, ce fut vite très chaud. J'ai sentis que quelque chose se passé dans mon corps et il m'a fait jouir plusieurs fois sur le bureau avec sa langue et ses doigts puis avec son sexe. Il m'a sucé et baisé comme un dieu. Je sortis de cet assaut totalement libéré, j'étais désiré, cela me plaisait beaucoup. Je me mis à m'habiller sexy porter des strings, des bas et des dentelles. Certains clients me draguaient ouvertement. A plusieurs reprises je suis même sorti avec certains. Je suis devenu une femme libéré mes rondeurs ne me gêne plus et je n'ai aucun complexe côté sexe. Petit à petit Gino s'est rapproché de moi, il me complimente tout le temps sur ma beauté mes seins et mes fesses. Nous faisons toujours l'amour au bureau ou dans le salon, dès qu'il me touche je mouille comme une fontaine Que tu es belle! me dit-il laisse-moi t’admirer. Depuis je vis un conte fée, je n'ai plus de tabou j'ai même accepté la sodomie. Il me fait découvrir les plaisirs du sexe.

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 Histoire envoyé le 04 07 2020

​La voisine m'a fait une surprise.

J'ai quarante deux ans suis marié et je vis en Normandie dans un petit village ou je suis commerçant. Bien sur je vois du monde toute la journée et quelques fois je me fais draguer par des femmes plus ou moins belles ou vieilles, j'y répond toujours en rigolant. Mais la cette fois je n'ai rien vu venir, je me suis fait piéger comme un débutant. J'ai comme cliente très régulière une dame d'une cinquantaine d'années pas très grande un peu ronde, blonde qui me paraissait plutôt timide et réservé. Je n'ai jamais été attiré par elle. L'histoire à débuté de la façon suivante. Le téléphone sonne à la boutique, ma femme répond puis vient vers moi et me dit écoute Mme xx à un problème de fuite d'eau importante chez elle, elle n'arrive pas à joindre le plombier veux tu aller chez elle pour voir si tu peux faire quelque chose. Moi toujours prêt à rendre service je m'y rends à toute vitesse. J'entre dans la cour la porte de la maison est ouverte j'entre en appelant on répond par ici je suis le couloir et j'entends suis dans la salle de bains, je pousse la porte et la la dame est nue dans la baignoire, elle me sourit et dit depuis le temps que j'attends cet instant, je suis folle de toi je veux que tu me fasse l'amour. Je suis tout d'abord interloqué, je la regarde sans rien dire la surprise les mots ne sortent pas. Elle est cuisses écartées je vois sa fente et sa légère toison blonde, ses seins sont opulents. Elle me dit vient caresse moi j'ai trop envie et moi comme un zombie je marche, je m'avance et commence à caresser ce corps tout blanc qui à ma grande surprise me fait bander j'empoigne ses seins les presse et les malaxe, elle gémit et balbutie oh c'est bon oh oui vas y, ses mains œuvrent sur ma ceinture et mon pantalon tombe puis mon slip. Elle lance un oh oh qu'elle est belle tu va me la mettre et commence à me sucer comme une folle elle m'engloutit le sexe et me pompe jusqu'à l'explosion. Elle avale tout puis se lèche les lèvres, sort de la baignoire s'essuie et m'entraîne dans une chambre ou elle finit de le mettre à poil me renverse sur le lit et me grimpe dessus en disant laisse toi faire c'est moi qui va te baiser. Elle ajuster ma queue à l'entrée de sa chatte et commence à monter et descendre dessus. Putain c'est bon il y a longtemps que je n'ai pas ressentis une chose pareille. Je n'ai toujours pas dit une parole je bande comme un beau diable et suis prêt à à lui donner un orgasme, elle grogne comme une bête. J'ai ses deux nichons dans mes mains elle fait l'ascenseur sur moi en poussant de petits cris oh oh oh salaud tu me baise bien oh oui défonce moi bien j'aime ça ohohohohoh et elle part dans un orgasme démentiel, elle crie gesticule comme une hystérique puis tombe à côté de moi sur le lit.  Je la retourne la fait mettre à genoux me positionne derrière elle et la prend en levrette. Elle pousse des jurons et comme je la besogne de toutes mes forces elle ne tarde pas à jouir de nouveau pendant que je m'épanche en elle en grognant comme une bête. Elle s'affale sur le lit . Je reprends mes esprits sur le dos à côté. Une minute plus tard elle se retourne et recommence à me sucer. Elle me lèche et me fait rebander de plus belle. Je lui dit non c'est fini je dois rentrer ma femme va se douter de quelque chose si je reste trop longtemps. Je me lève me rhabille et rentre à la maison ou j'invente une fausse fuite d'eau et une réparation provisoire, puis en douce je fais un brin de toilette. Maintenant je ne vois plus cette femme du même œil et j'avoue que je l'ai revue plusieurs fois. C'est une vraie bombe, comme quoi il faut se méfier des apparences.

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​Histoire envoyé le 25 06 2020​
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Une amie de ma mère.

J'ai 32 ans, suis divorcé sans enfant, je vis dans le Jura ou j'exerce la profession d'artisan au service des particuliers( je peux tout faire dans la maison et je jardin) Je vais tous les samedis chez ma mère qui vit seule pour l'aider à entretenir sa maison, c'est la qu'un jour j'y ai rencontré Florence une de ses amies. Une cinquantenaire grande châtain clair plutôt bien roulé souriante et pleine d'humour. Quelques semaines plus tard ma mère me demande si ça me gênerait pas d' aller chez Florence pour lui faire une bricole dans sa maison car son mari lui n'est pas bricoleur du tout. Elle me passe son numéro de tel et quelques jours plus tard je l'appelle, je lui donne rendez vous et deux jours plus tard dans la matinée je suis chez elle. Elle me reçoit avec son beau sourire et un café, j'apprécie. Elle m'explique qu'elle voudrait remplacer quatre vitres dans la réserve, je prends donc les mesures et lui propose de revenir dans quelques jours. En sirotant mon café je la regarde et la trouve très belle, très féminine, habillé avec goût et son décolleté la bien en valeur avec ses longues jambes et ses talons. Quand je m'en vais je dois dire qu'elle me fait de l'effet cette dame. Deux jours plus tard je reviens poser mes vitres, elle ne me lâche pas d'une semelle nous parlons de tout et de rien. Elle est très sympathique mais je vois bien qu'il y a derrière tout ça autre chose. Comme c'est la copine de ma mère je garde les distances afin de ne pas créer de problème au cas ou je me tromperais. Quand j'ai terminé elle me règle et malgré l'envie d'aller plus loin qui me tenaille je m'esquive gentiment. Une quinzaine de jours plus tard, elle m'appelle pour que je lui fasse un devis pour refaire la peinture d'une de ses chambres. Je passe deux jours plus tard vers dix huit heures après mon dernier client justement dans le coin. Je suis reçu par un monsieur plutôt bougon qui me fait entrer et dit vient voir c'est l'artisan et il disparaît . Elle me regarde et me dit faites pas attention il est toujours comme ça à la maison c'est moi qui doit lui faire cet effet et elle rit. Elle m'explique qu'elle veut refaire un peu la maison qui commence à être vieillotte. Elle me montre la pièce à repeindre plafond compris. Je prends les mesures et lui donne le prix avec des échantillons de couleur. Ensuite elle m'offre l'apéritif que nous prenons tous les deux car monsieur est invisible. Nous parlons de ses travaux, assise en face de moi les jambes croisées je peux admirer ses belle jambes et un peu ses cuisses. J'ai de plus en plus envie de me la faire, je crois même qu'elle a comprit le message car elle me sourit en décroisant ses jambes me permettant d'en voir un peu plus. Je suis conquis je bande. Je finis par m'en aller en lui disant j'attends votre appel. Elle me tend la main me regarde droit dans les yeux et lance demain promis. Je file , je suis comme un fou. J'ai envie de cette femme même si elle a l'age de ma mère. Le lendemain je travaille toute la journée en pensant à son corps et à son sourire. Le surlendemain elle me dit qu'elle est d'accord avec ma proposition, nous réglons tous les détails et décidons de commencer les travaux dans quinze jours le premier juillet cela lui laissera le temps de déménager la pièce. Le jour venu je suis à pieds d’œuvre, nettoyage, grattage, lavage des murs elle passe beaucoup de temps avec moi nous parlons de choses et d'autres, j'apprends qu'avec son mari c'est plus la belle histoire d'avant le mariage, qu'ils vivent chacun de leur côté mais comme c'est elle qui à l'argent et que lui n'est que le directeur de l'entreprise de son père il ne peut pas partir. Et puis on parle de de plus en plus de chose ayant rapport au sexe. Elle rit et paraît bien à son aise..
Le troisième jour il fait une chaleur épouvantable, je travaille en short et elle vient souvent m'apporter de l'eau fraîche, cet après midi là, elle est vêtu d'une robe légère transparence qui à contre jour laisse voir sa culotte enfin plutôt mini. Cela m'excite et la fait sourire car elle regarde avec instance la partie plus gonflé de mon bas ventre, je fais celui qui est gêné en souriant. Elle me dit je vois qu'au lieu de vous fatiguer la peinture vous met en forme et rajoute si vous voulez prendre une douche vous pouvez sans problème. Je lui réponds que c'est certainement elle qui est responsable de ça plutôt que la peinture. Elle s'exclame oh coquin !! tu sais j'ai passé l'âge de faire tourner la tête des jeunes hommes. Je lui réponds peut être mais pour moi c'est pas le cas regardez si vous ne me croyez pas et je place mon ventre en avant pour qu'elle se rende bien compte. Il fixe mon anatomie et s'approche doucement tend la main et empoigne la grosseur en poussant un ouah me regarde droit dans les yeux en me masturbant doucement, puis baisse mon short, se met à genoux et introduit lentement mon sexe dans sa bouche, ma queue durcit encore elle me pompe avec vigueur et efficacité, j'ai vite senti que j'allais cracher, je veux me retirer mais elle me tient fermement par la taille avec ses deux mains en accélérant le rythme
jusqu'à ce qu'elle arrive à ses fins. Ensuite elle se relève essuie les lèvres et m’entraîne dans une chambre puis retire sa jupe, son chemisier, son soutien gorge, enlève son string et s'allonge sur le lit, elle écarte ses cuisses elle me dit depuis la première minute ou je t'ai vu j'ai su que tu étais un bon coup, regarde tu me fait mouiller coquin, je m'installe entre ses cuisses et lui fait un broute minou qui l'a met dans tous ses états elle couine et mouille comme une hystérique puis elle se met à crier oh oui prend moi prend moi Je l'ai écouté et j'ai planté ma queue tendu dans sa chatte, je l'ai besogné pendant un long moment et me suis vidé en elle sous ses cris de plaisir. J'ai pris une douche et je suis reparti au labeur. Ensuite j'ai fini ma journée, une des meilleures depuis bien longtemps. Le lendemain après midi elle me rejoint dans la pièce ou je travaille elle est juste en slip et soutien gorge elle me roule une pelle et me dit baise moi j'ai envie de sentir ta queue. Mes mains caressent son corps nos langues jouent entre elles. Elle gémit à la fois du baiser et de la caresse. Je sens sous mes mains les beaux globes charnus et élastiques, là où se niche la féminité la plus totale. Je la pousse dans sa chambre, J’arrache son soutien-gorge pour dégager ses seins. Elle se laisse faire en gémissant, la bouche ouverte, folle de désir. Je bouffe son sexe à travers le petit slip. Une agréable odeur de femme m’emplit la bouche. 
Le gémissement qu’elle pousse quand je m’enfonce en elle trahit le désir qu’elle a d’être possédé. Je la baise doucement puis je lui fais sentir toute la longueur de mon sexe et elle réagit en lançant de petits cris. Puis de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un grand cri. Ensuite je l'ai retourné et prise en levrette pour un deuxième orgasme encore plus fort que le précédent. Le manège à durer pendant tout la durée des travaux. Je la baise beaucoup, elle à califourchon sur moi, en levrette, sur le côté, par derrière, debout. Elle aime tout. A un moment elle m’a dit : «J’ai toujours envie de jouir». Je m’y emploie. je veux la sodomiser. Je la prépare donc comme d’habitude, je lui mange la chatte sans se méfier, ronronnant de plaisir, écartant ses jambes pour mieux s’offrir. Quand je l’estime prête, l’anus humide et tendre, je me redresse, la fait mettre à genoux, me colle derrière elle ma queue glisse de la fente au petit trou. Elle dit: Non non non pas la, mon gland pèse sur son orifice délicat, le dilate et, tandis qu’elle pousse un petit cri, je force. Peu à peu mon gland trouve sa place et s’enfonce dans les entrailles elle se mets à jouir pendant que je la lime et dans un sursaut de bête fauve je crache mon jus dans son cul. Elle tombe groggy sur le lit après cette chevauchée inattendue.

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