Nos articles.
Sur cette page vous allez retrouver des articles concernant la sexualité, le libertinage, les clubs, vos questions. Vous pourrez nous envoyer vos questions ou vos autres demandes sur tous les problèmes qui vous intéresse. Nous les publierons et vous enverrons des réponses. Courriel : lejournaldesfemmessexy.fr
Article posé le le 07 04 2021
Faire l'amour est bon pour la santé.
Certains médecins, sexologue et autres spécialistes de la médecine disent que faire l'amour peur apporter un regain d’énergie générale, une sensation de rajeunir, une meilleure santé car le plaisir sexuel agit comme un remède naturel et la libido prolonge la vie. De nombreuses études le confirment : le désir, cette pulsion de vie contribue à notre longévité. Tout simplement parce que le plaisir de faire l’amour rend heureux, et que l’état de félicité est excellent pour le système immunitaire. Le plaisir physique, source d’énergie, favorise un meilleur équilibre hormonal. L’explosion des endorphines dans le cerveau au moment de l’orgasme crée cette sensation d’euphorie, puis de bien-être : calme, réduction du stress et de l’anxiété et sommeil récupérateur à la clé.
Un médecin explique que L’hormone qui nous met dans cet état et nous rend accro l’un à l’autre, c’est l’ocytocine. Boostée par les caresses et les baisers, elle atteint son maximum dans le sang au moment de l’orgasme. Bien connue pour déclencher l’accouchement et développer l’attachement mère enfant, l’ocytocine joue également un rôle dans la protection contre le cancer du sein. Libérée par la stimulation des mamelons lors des échanges sexuels, elle aiderait à éliminer les éléments carcinogènes des glandes mammaires. Une étude a démontré que les femmes dont la poitrine est régulièrement caressée pendant les échanges sexuels sont mieux protégées du cancer du sein, explique notre, gynécologue, et sexothérapeute. Faire l’amour booste la circulation générale et locale. Des relations sexuelles régulières abaissent ainsi les risques de phénomènes inflammatoires qui font le lit des cancers et des maladies cardio-vasculaires. En cas d’abstinence, il est donc conseillé de se caresser.
Pour les hommes, une étude américaine, réalisée sur 30 000 hommes et confirmée par une étude australienne, montre que des éjaculations fréquentes abaissent le risque du cancer de la prostate », explique Frédéric Saldmann, cardiologue, nutritionniste et auteur de La Vie et le temps (J’ai lu, “Poche”). Les statistiques sont plus que précises : à partir de douze éjaculations mensuelles la prévention devient significative et vingt et une éjaculations par mois réduisent ce risque d’un tiers. En effet, le massage prostatique effectué lors du rapport et l’émission de sperme contribueraient à éliminer les cellules carcinogènes. Et il réduirait aussi les micro calcifications qui s’accumulent dans la prostate. Là encore, les études soulignent qu’en l’absence de rapports sexuels, la masturbation protège la prostate.
Excellent pour le cœur
Jetons à la poubelle l’idée que l’activité sexuelle est dangereuse pour le cœur, bien au contraire. Chez les femmes c’est l’abstinence, mais aussi l’insatisfaction qui augmenterait les risques d’infarctus du myocarde. Chez les hommes, selon une étude de l’université de Bristol, le risque de mortalité cardio-vasculaire est divisé par deux pour les amateurs de plaisir sexuel. Excellent exercice physique, l’activité sexuelle augmente la fréquence cardiaque, élimine les toxines par la sueur et tonifie les muscles.
Mais faut-il vraiment comptabiliser les échanges sexuels, pour s’assurer santé et longévité ? « On peut avoir l’orgasme triste, purement électrique, sans aucun sentiment de plénitude et de réalisation, déplore Alain Héril, psychothérapeute et sexothérapeute. Ce qui fait l’alchimie d’une sexualité épanouie, ce n’est pas la quantité, mais la qualité de nos échanges. » La sexualité qui équilibre corps et esprit est avant tout affaire de désir. « Et c’est ce désir, sexuel ou non, qui est fondamentalement réparateur », insiste le psychothérapeute.
Comment entretenir son désir quand on est seul ? En prenant du plaisir à ressentir, tout simplement ! En se plongeant dans des lectures sensuelles. Frissons érotiques garantis promet un célèbre thérapeute holistique et auteur de Pratique du massage taoïste. Alors n'hésitez pas à retrouver nos histoires coquines sur notre site http://www.journaldesfemmessexy.fr/la-librairie-coquine.html
On n’hésite pas non plus à s’épancher entre amis sur le sujet. Enfin, on joue en permanence avec sa sensualité, en se masturbant, en se faisant masser ou en se massant. L’idée est d’extravertir ses sens, en se parfumant, en se délectant à table, en roucoulant quand on chante, en faisant la fête sensorielle avec la nature, le vent sur la peau, le sable sous les pieds, les bras autour des arbres…
Faire l'amour est bon pour la santé.
Certains médecins, sexologue et autres spécialistes de la médecine disent que faire l'amour peur apporter un regain d’énergie générale, une sensation de rajeunir, une meilleure santé car le plaisir sexuel agit comme un remède naturel et la libido prolonge la vie. De nombreuses études le confirment : le désir, cette pulsion de vie contribue à notre longévité. Tout simplement parce que le plaisir de faire l’amour rend heureux, et que l’état de félicité est excellent pour le système immunitaire. Le plaisir physique, source d’énergie, favorise un meilleur équilibre hormonal. L’explosion des endorphines dans le cerveau au moment de l’orgasme crée cette sensation d’euphorie, puis de bien-être : calme, réduction du stress et de l’anxiété et sommeil récupérateur à la clé.
Un médecin explique que L’hormone qui nous met dans cet état et nous rend accro l’un à l’autre, c’est l’ocytocine. Boostée par les caresses et les baisers, elle atteint son maximum dans le sang au moment de l’orgasme. Bien connue pour déclencher l’accouchement et développer l’attachement mère enfant, l’ocytocine joue également un rôle dans la protection contre le cancer du sein. Libérée par la stimulation des mamelons lors des échanges sexuels, elle aiderait à éliminer les éléments carcinogènes des glandes mammaires. Une étude a démontré que les femmes dont la poitrine est régulièrement caressée pendant les échanges sexuels sont mieux protégées du cancer du sein, explique notre, gynécologue, et sexothérapeute. Faire l’amour booste la circulation générale et locale. Des relations sexuelles régulières abaissent ainsi les risques de phénomènes inflammatoires qui font le lit des cancers et des maladies cardio-vasculaires. En cas d’abstinence, il est donc conseillé de se caresser.
Pour les hommes, une étude américaine, réalisée sur 30 000 hommes et confirmée par une étude australienne, montre que des éjaculations fréquentes abaissent le risque du cancer de la prostate », explique Frédéric Saldmann, cardiologue, nutritionniste et auteur de La Vie et le temps (J’ai lu, “Poche”). Les statistiques sont plus que précises : à partir de douze éjaculations mensuelles la prévention devient significative et vingt et une éjaculations par mois réduisent ce risque d’un tiers. En effet, le massage prostatique effectué lors du rapport et l’émission de sperme contribueraient à éliminer les cellules carcinogènes. Et il réduirait aussi les micro calcifications qui s’accumulent dans la prostate. Là encore, les études soulignent qu’en l’absence de rapports sexuels, la masturbation protège la prostate.
Excellent pour le cœur
Jetons à la poubelle l’idée que l’activité sexuelle est dangereuse pour le cœur, bien au contraire. Chez les femmes c’est l’abstinence, mais aussi l’insatisfaction qui augmenterait les risques d’infarctus du myocarde. Chez les hommes, selon une étude de l’université de Bristol, le risque de mortalité cardio-vasculaire est divisé par deux pour les amateurs de plaisir sexuel. Excellent exercice physique, l’activité sexuelle augmente la fréquence cardiaque, élimine les toxines par la sueur et tonifie les muscles.
Mais faut-il vraiment comptabiliser les échanges sexuels, pour s’assurer santé et longévité ? « On peut avoir l’orgasme triste, purement électrique, sans aucun sentiment de plénitude et de réalisation, déplore Alain Héril, psychothérapeute et sexothérapeute. Ce qui fait l’alchimie d’une sexualité épanouie, ce n’est pas la quantité, mais la qualité de nos échanges. » La sexualité qui équilibre corps et esprit est avant tout affaire de désir. « Et c’est ce désir, sexuel ou non, qui est fondamentalement réparateur », insiste le psychothérapeute.
Comment entretenir son désir quand on est seul ? En prenant du plaisir à ressentir, tout simplement ! En se plongeant dans des lectures sensuelles. Frissons érotiques garantis promet un célèbre thérapeute holistique et auteur de Pratique du massage taoïste. Alors n'hésitez pas à retrouver nos histoires coquines sur notre site http://www.journaldesfemmessexy.fr/la-librairie-coquine.html
On n’hésite pas non plus à s’épancher entre amis sur le sujet. Enfin, on joue en permanence avec sa sensualité, en se masturbant, en se faisant masser ou en se massant. L’idée est d’extravertir ses sens, en se parfumant, en se délectant à table, en roucoulant quand on chante, en faisant la fête sensorielle avec la nature, le vent sur la peau, le sable sous les pieds, les bras autour des arbres…
Article posé le 07 04 2021
Pas de tabou avec le sexe et l'amour.
“Ne te touche pas, c’est sale”, “Fais plaisir” : ces mots ont marqué mon éducation.
Adulte et amoureuse, j’étais toujours tournée vers l’autre et coupée de moi-même, raconte Nathalie Giraud, sexothérapeute et fondatrice du site Piment Rose. C’est l’auto-érotisme qui m’a permis de défricher cette partie de moi à l’abandon. J’ai découvert les sex-toys avec des amies américaines à l’aise dans leur sexualité. Elles m’ont offert mon premier vibro et la bible américaine de la masturbation féminine. Je suis passée aux travaux pratiques. Je me sentais ridicule, mais je percevais une pulsion de vie qui m’attirait et me faisait peur. Pratiquer régulièrement m’a permis d’avoir mon premier orgasme à 38 ans. Il faut de la douceur et du temps pour apprivoiser son corps. Parce que j’ai appris à me connaître, j’ai pu me connecter à l’autre en toute conscience. »
Pas de tabou avec le sexe et l'amour.
“Ne te touche pas, c’est sale”, “Fais plaisir” : ces mots ont marqué mon éducation.
Adulte et amoureuse, j’étais toujours tournée vers l’autre et coupée de moi-même, raconte Nathalie Giraud, sexothérapeute et fondatrice du site Piment Rose. C’est l’auto-érotisme qui m’a permis de défricher cette partie de moi à l’abandon. J’ai découvert les sex-toys avec des amies américaines à l’aise dans leur sexualité. Elles m’ont offert mon premier vibro et la bible américaine de la masturbation féminine. Je suis passée aux travaux pratiques. Je me sentais ridicule, mais je percevais une pulsion de vie qui m’attirait et me faisait peur. Pratiquer régulièrement m’a permis d’avoir mon premier orgasme à 38 ans. Il faut de la douceur et du temps pour apprivoiser son corps. Parce que j’ai appris à me connaître, j’ai pu me connecter à l’autre en toute conscience. »
Article déposé le 02 04 2021
Qu'est-ce que la masturbation ?
La masturbation est considéré comme une pratique sexuelle utilisée pour provoquer du plaisir sexuel grâce à la stimulation des zones érogènes et des parties génitales. La masturbation peut se faire avec les mains ou une autre partie du corps, mais également avec des objets, des sex-toys ou autres. Elle peut être pratiqué sans tabou par les hommes et les femmes, elle est bonne pour la santé
Que faut-il savoir sur la masturbation féminine ? Une femme sur deux se masturbe
Parmi les Françaises adeptes de l'onanisme, 56 % se masturbent seules et 38 % en couple. Une enquête Harris Interative pour la chaîne féminine Teva dévoile la sexualité des Françaises en quelques chiffres.
La pratique de la masturbation chez les femmes reste extrêmement tabou et honteuse, pourtant, de nombreuses études montrent qu'elle est utilisée par la majorité des femmes, qu'elles soient célibataires ou en couple elle fait partie de la vie, elle aide à réduire le stress, à mieux s'endormir et de mieux connaître son corps ainsi que ses zones les plus érogènes, mais également d'atteindre l'orgasme car certaines femmes ne parviennent à l'orgasme qu'en se masturbant. Autrement dit, ces petits plaisirs solitaires permettent aux femmes d'avoir une vie sexuelle plus épanouie et active. Privilégiez la masturbation consciente en vous amusant simplement avec les mains, écartez tout objet. Créez un niveau d'intimité avec vous même explorez votre corps en ne vous concentrant pas seulement sur votre vulve et votre clitoris, mais aussi sur les autres zones que vous ressentez comme érogènes, par exemple les oreilles, le cou, les mains le bout des doigts, Les plis des coudes, derrière les genoux, le creux des aisselles et bien sur le pubis et les seins. Vous en avez peut être d'autres a vous de les découvrir. Soyez curieuse et laissez-vous ressentir chaque sensation. Ne soyez pas pressé, faites durer relâché la pression pour bien vous détendre. N'hésitez pas à changer de position
Que faut-il savoir sur la masturbation masculine ?
La masturbation chez l'homme n'est pas soumise au tabou. Pour lui, la masturbation est une pratique courante. L'homme se masturbe afin de se relaxer, de prendre du plaisir, d'atteindre l'orgasme... et ce, qu'il soit célibataire ou en couple. Dans cette dernière situation, cela ne veut absolument pas dire que sa femme ne le satisfait pas, mais qu'il a simplement besoin de se retrouver et de prendre soin de lui. Pour arriver à son but il peut comme la femme jouer sur ses zones érogènes avant de passer au plat principal. Celles ci sont aussi nombreuses que chez la femme en rajouter une plus tabou l'anus. Beaucoup d'hommes pratiquent devant un film porno ou un imaginaire.
Qu'est-ce que la masturbation ?
La masturbation est considéré comme une pratique sexuelle utilisée pour provoquer du plaisir sexuel grâce à la stimulation des zones érogènes et des parties génitales. La masturbation peut se faire avec les mains ou une autre partie du corps, mais également avec des objets, des sex-toys ou autres. Elle peut être pratiqué sans tabou par les hommes et les femmes, elle est bonne pour la santé
Que faut-il savoir sur la masturbation féminine ? Une femme sur deux se masturbe
Parmi les Françaises adeptes de l'onanisme, 56 % se masturbent seules et 38 % en couple. Une enquête Harris Interative pour la chaîne féminine Teva dévoile la sexualité des Françaises en quelques chiffres.
La pratique de la masturbation chez les femmes reste extrêmement tabou et honteuse, pourtant, de nombreuses études montrent qu'elle est utilisée par la majorité des femmes, qu'elles soient célibataires ou en couple elle fait partie de la vie, elle aide à réduire le stress, à mieux s'endormir et de mieux connaître son corps ainsi que ses zones les plus érogènes, mais également d'atteindre l'orgasme car certaines femmes ne parviennent à l'orgasme qu'en se masturbant. Autrement dit, ces petits plaisirs solitaires permettent aux femmes d'avoir une vie sexuelle plus épanouie et active. Privilégiez la masturbation consciente en vous amusant simplement avec les mains, écartez tout objet. Créez un niveau d'intimité avec vous même explorez votre corps en ne vous concentrant pas seulement sur votre vulve et votre clitoris, mais aussi sur les autres zones que vous ressentez comme érogènes, par exemple les oreilles, le cou, les mains le bout des doigts, Les plis des coudes, derrière les genoux, le creux des aisselles et bien sur le pubis et les seins. Vous en avez peut être d'autres a vous de les découvrir. Soyez curieuse et laissez-vous ressentir chaque sensation. Ne soyez pas pressé, faites durer relâché la pression pour bien vous détendre. N'hésitez pas à changer de position
Que faut-il savoir sur la masturbation masculine ?
La masturbation chez l'homme n'est pas soumise au tabou. Pour lui, la masturbation est une pratique courante. L'homme se masturbe afin de se relaxer, de prendre du plaisir, d'atteindre l'orgasme... et ce, qu'il soit célibataire ou en couple. Dans cette dernière situation, cela ne veut absolument pas dire que sa femme ne le satisfait pas, mais qu'il a simplement besoin de se retrouver et de prendre soin de lui. Pour arriver à son but il peut comme la femme jouer sur ses zones érogènes avant de passer au plat principal. Celles ci sont aussi nombreuses que chez la femme en rajouter une plus tabou l'anus. Beaucoup d'hommes pratiquent devant un film porno ou un imaginaire.
Article déposé le 01 04 2021
La fellation
Les hommes l'apprécient beaucoup, les femmes souvent un peu moins.
Pourquoi cette pratique du sexe oral divise-t-elle autant ?
D'après un sondage les premières fellations ont lieu statistiquement entre 19 ans et 25 ans représentent 30 % des réponses.
la fellation pour la femme est comme étant un passage obligé dans la sexualité comme le cunnilingus pour l'homme.
Les hommes pensent beaucoup, beaucoup plus souvent à la pipe que les femmes, peut être parce qu'ils y voient un peu de domination sur le partenaire?
Certaines femmes disent pas de cunnilingus, pas de pipe.
Pour certains hommes La pipe est la pratique favorite, préféré à la pénétration les sensations sont plus variées
témoignage de Sophie 40 ans : Je pratique la fellation spontanément. Moitié en préliminaires, moitié en plat de résistance ! La pipe, ça doit toujours venir de moi : ça ne se demande pas, ça s’accueille !Je ne conçois pas de rapport sexuel sans fellation ! Ce qui signifie que c’est davantage en préliminaires qu’en pratique seule. Je le fais avec plaisir et pour lui faire plaisir, gratuitement bien sûr, mais le lit est le seul domaine de notre vie où on partage les tâches à 50/50 ! J’avoue que je ne comprends pas trop les femmes qui n’aiment pas ça, puisque ça nous donne tous les pouvoirs : celui de le garder, de nous réconcilier, de le rendre fou... Alors oui, j’en joue ! Pour notre couple, la fellation est indispensable. Je la pratique souvent, en allant au bout ou pas ; cela se joue en un regard avec lui, c’est une complicité joyeuse. J’ai beaucoup d’appétit pour le sexe, rien ne me dégoûte. Je ne demande jamais rien en retour, les choses viennent spontanément. Comme toute chose, la fellation a les avantages de ses inconvénients. Mais avec mon homme je sais que lorsqu'il est content il sait me contenter avec un bon cunnilingus qui dure jusqu'à l'extase. Cela fait vingt ans que ça dure sans accroc.
Ce qui pourrait être les intérêts et avantages de la fellation
Le fait de donner du plaisir à quelqu’un, ce qui n’est pas rien, sans compter celui qu’on peut prendre à le faire, d’avoir le sentiment qu’on embrasse l’autre dans sa totalité et dans son intimité (pour celui qui l’offre),
ou de recevoir ce cadeau et de s’abandonner totalement (pour l’autre).
Qui plus est, la fellation se pratique dans bien des positions et permet donc de varier les plaisirs.
A la fin.
On va jusqu’au bout ? ou pas - On avale ? Ou pas - On se protège ? Ou pas
A partir de là c'est le plaisir et la responsabilité de chacun.
La fellation
Les hommes l'apprécient beaucoup, les femmes souvent un peu moins.
Pourquoi cette pratique du sexe oral divise-t-elle autant ?
D'après un sondage les premières fellations ont lieu statistiquement entre 19 ans et 25 ans représentent 30 % des réponses.
la fellation pour la femme est comme étant un passage obligé dans la sexualité comme le cunnilingus pour l'homme.
Les hommes pensent beaucoup, beaucoup plus souvent à la pipe que les femmes, peut être parce qu'ils y voient un peu de domination sur le partenaire?
Certaines femmes disent pas de cunnilingus, pas de pipe.
Pour certains hommes La pipe est la pratique favorite, préféré à la pénétration les sensations sont plus variées
témoignage de Sophie 40 ans : Je pratique la fellation spontanément. Moitié en préliminaires, moitié en plat de résistance ! La pipe, ça doit toujours venir de moi : ça ne se demande pas, ça s’accueille !Je ne conçois pas de rapport sexuel sans fellation ! Ce qui signifie que c’est davantage en préliminaires qu’en pratique seule. Je le fais avec plaisir et pour lui faire plaisir, gratuitement bien sûr, mais le lit est le seul domaine de notre vie où on partage les tâches à 50/50 ! J’avoue que je ne comprends pas trop les femmes qui n’aiment pas ça, puisque ça nous donne tous les pouvoirs : celui de le garder, de nous réconcilier, de le rendre fou... Alors oui, j’en joue ! Pour notre couple, la fellation est indispensable. Je la pratique souvent, en allant au bout ou pas ; cela se joue en un regard avec lui, c’est une complicité joyeuse. J’ai beaucoup d’appétit pour le sexe, rien ne me dégoûte. Je ne demande jamais rien en retour, les choses viennent spontanément. Comme toute chose, la fellation a les avantages de ses inconvénients. Mais avec mon homme je sais que lorsqu'il est content il sait me contenter avec un bon cunnilingus qui dure jusqu'à l'extase. Cela fait vingt ans que ça dure sans accroc.
Ce qui pourrait être les intérêts et avantages de la fellation
Le fait de donner du plaisir à quelqu’un, ce qui n’est pas rien, sans compter celui qu’on peut prendre à le faire, d’avoir le sentiment qu’on embrasse l’autre dans sa totalité et dans son intimité (pour celui qui l’offre),
ou de recevoir ce cadeau et de s’abandonner totalement (pour l’autre).
Qui plus est, la fellation se pratique dans bien des positions et permet donc de varier les plaisirs.
A la fin.
On va jusqu’au bout ? ou pas - On avale ? Ou pas - On se protège ? Ou pas
A partir de là c'est le plaisir et la responsabilité de chacun.
Article déposé le 26 03 2021
Plaisir solo pour elle
Demandez-vous si vous préférez une stimulation clitoridienne, vaginale ou complète, c'est à vous de voir !
Les vibromasseurs : d'aspect phallique ou non, ils permettent une stimulation clitoridienne ou vaginale (en simultané parfois), et ont pour point commun d'être vibrants. Ils peuvent être rechargeables ou fonctionnent avec des piles. Ils disposent d'un variateur d'intensité permettant de moduler la puissance des vibrations. Enfin, la mention « waterproof », c'est-à-dire étanche, permet une utilisation dans le bain, sous la douche...
Les godemichés : contrairement aux vibromasseurs, ils ne vibrent pas. Ils sont de forme phallique pour la plupart et entièrement manuels. Malgré l'absence de vibrations, ils offrent cependant des possibilités variées.
Plaisir solo pour lui
Stimulateur ou développeur ?
Le premier, aussi appelé masturbateur, permet de recréer les sensations d'une pénétration pour apporter des sensations plus agréables pendant le plaisir solo masculin. Les vagins artificiels sont un orifice réaliste dans lequel l'homme introduit et stimule son pénis. Les poupées gonflables, plus figuratives, ont plusieurs orifices, et sont de différentes couleurs et de tailles humaines.
Le développeur a pour objectif de maximiser la puissance de l'érection, ainsi que d'optimiser la taille de la verge. La taille de l'érection sera un peu plus importante le temps d'un rapport. Ce dispositif augmente le flux sanguin vers le pénis par une pression négative (le manque d'air). Une bague en plastique permet de fixer la pompe et maintient le flux sanguin dans le pénis. La pompe augmente le volume du pénis, non sa longueur.
Enfin, le cockring est un anneau en métal ou en plastique, il permet de conserver plus longtemps son érection en maintenant la pression sanguine dans les corps caverneux. Il prolonge l'activité sexuelle en retardant l'éjaculation. Cet accessoire enserre la base du pénis et les testicules. Il convient de le placer lorsque le pénis n'est pas en érection, en insérant dans la bague les testicules, puis le pénis.
Pour le couple
La plupart des sex-toys peuvent être utilisés en couple pour pimenter les préliminaires ou l'acte sexuel en lui-même (stimulation clitoridienne, vaginale ou anale).
Il existe également des sex-toys spécifiquement conçus pour stimuler les deux partenaires à la fois : le We Vibe est un gadget révolutionnaire à utiliser pendant l'amour, il procure du plaisir simultanément aux deux partenaires. L'anneau vibrant permet de renforcer l'érection et de stimuler le clitoris à chaque mouvement. L'œuf vibrant télécommandé (sans fil) permet la réalisation de scénarios très coquins (au cinéma, au restaurant...) : l'homme active à distance l'œuf inséré dans le vagin de sa partenaire.
Entretien
Avant et après utilisation, lavez votre sex-toy avec du savon et de l'eau chaude et séchez-le avec une serviette de bain (en particulier la cyberpeau qui doit être rigoureusement essuyée après lavage).
Après toute utilisation anale, ne pas employer le même jouet pour une pénétration vaginale sans l'avoir au préalable lavé, en raison d'un grand risque d'infection des muqueuses. Pour les appareils à pile, veillez à les retirer après usage.
Choisir un sex-toy ? Pas forcément évident : mais pour se faire du bien, pas de casse-tête ! Se poser les bonnes questions et prendre en compte les bons critères, voilà la garantie d'un achat 100 % plaisir !
Pour retrouver tous ces articles
Plaisir solo pour elle
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Les vibromasseurs : d'aspect phallique ou non, ils permettent une stimulation clitoridienne ou vaginale (en simultané parfois), et ont pour point commun d'être vibrants. Ils peuvent être rechargeables ou fonctionnent avec des piles. Ils disposent d'un variateur d'intensité permettant de moduler la puissance des vibrations. Enfin, la mention « waterproof », c'est-à-dire étanche, permet une utilisation dans le bain, sous la douche...
Les godemichés : contrairement aux vibromasseurs, ils ne vibrent pas. Ils sont de forme phallique pour la plupart et entièrement manuels. Malgré l'absence de vibrations, ils offrent cependant des possibilités variées.
Plaisir solo pour lui
Stimulateur ou développeur ?
Le premier, aussi appelé masturbateur, permet de recréer les sensations d'une pénétration pour apporter des sensations plus agréables pendant le plaisir solo masculin. Les vagins artificiels sont un orifice réaliste dans lequel l'homme introduit et stimule son pénis. Les poupées gonflables, plus figuratives, ont plusieurs orifices, et sont de différentes couleurs et de tailles humaines.
Le développeur a pour objectif de maximiser la puissance de l'érection, ainsi que d'optimiser la taille de la verge. La taille de l'érection sera un peu plus importante le temps d'un rapport. Ce dispositif augmente le flux sanguin vers le pénis par une pression négative (le manque d'air). Une bague en plastique permet de fixer la pompe et maintient le flux sanguin dans le pénis. La pompe augmente le volume du pénis, non sa longueur.
Enfin, le cockring est un anneau en métal ou en plastique, il permet de conserver plus longtemps son érection en maintenant la pression sanguine dans les corps caverneux. Il prolonge l'activité sexuelle en retardant l'éjaculation. Cet accessoire enserre la base du pénis et les testicules. Il convient de le placer lorsque le pénis n'est pas en érection, en insérant dans la bague les testicules, puis le pénis.
Pour le couple
La plupart des sex-toys peuvent être utilisés en couple pour pimenter les préliminaires ou l'acte sexuel en lui-même (stimulation clitoridienne, vaginale ou anale).
Il existe également des sex-toys spécifiquement conçus pour stimuler les deux partenaires à la fois : le We Vibe est un gadget révolutionnaire à utiliser pendant l'amour, il procure du plaisir simultanément aux deux partenaires. L'anneau vibrant permet de renforcer l'érection et de stimuler le clitoris à chaque mouvement. L'œuf vibrant télécommandé (sans fil) permet la réalisation de scénarios très coquins (au cinéma, au restaurant...) : l'homme active à distance l'œuf inséré dans le vagin de sa partenaire.
Entretien
Avant et après utilisation, lavez votre sex-toy avec du savon et de l'eau chaude et séchez-le avec une serviette de bain (en particulier la cyberpeau qui doit être rigoureusement essuyée après lavage).
Après toute utilisation anale, ne pas employer le même jouet pour une pénétration vaginale sans l'avoir au préalable lavé, en raison d'un grand risque d'infection des muqueuses. Pour les appareils à pile, veillez à les retirer après usage.
Choisir un sex-toy ? Pas forcément évident : mais pour se faire du bien, pas de casse-tête ! Se poser les bonnes questions et prendre en compte les bons critères, voilà la garantie d'un achat 100 % plaisir !
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Témoignage de Mathilde le 25 03 2021
A 56 ans je vous affirme que je suis libertine et l'assume pleinement depuis maintenant 30 ans. Quand j'ai rencontré mon mari j'avais 25 ans, j'avais bien sur eu quelques hommes mais je n'avais jamais penser au libertinage, j'étais une fille sage. Avec Jacques j'ai vite compris que la sexualité c'était autre chose que ce que j'avais connu jusque là. Il m'a fait découvrir le monde secret des clubs et des rendez vous chez des adeptes du libertinage. Je me suis vite rendu compte que l'on y rencontrait des hommes et des femmes de tous âges, de tous physiques, des grands, des petits des gros des maigres sans complexe qui se retrouvent pour s'éclater point à la ligne. On s'y fait parfois des amis que l'on revoit toujours 20 ans après. Il n'y a pas plus tolérant et démocratique que le libertinage. Jamais personne ne te force tu reste toujours maître de tes choix.
Je suis mariée et partage la vie de mon cher et tendre amour depuis déjà, 30 ans, aucune érosion, aucune lassitude, je suis encore et toujours amoureuse. Couple normal, banal, ayant eu des enfants, un métier respectable, des joies, des peines, ni tordu, ni bizarre. Bref nous sommes madame et monsieur tout le monde, avec une auréole secrète qui est notre jardin coloré, le libertinage. Mon mari et moi avons toujours abusé, adoré faire l’amour, cela va vous faire sourire c’est sûr, mais tant pis, nous faisons l’amour encore et toujours! Pas tout à fait comme à l’apogée de nos ébats car nous avons changés, nos corps ont changés, nos corps à corps n'est plus le même, mais faire l’amour reste pour nous éternel. A présent, je sais bien ce vous trotte dans la tête, comment peut on accepter, regarder, et tolérer que l'autre partage une grande intimité et du plaisir charnel avec souvent des inconnus. Pour nous nous nous sommes jamais posé la question. Nous passons du bon temps ensemble même si souvent nous sommes séparés dans l'acte charnel. Quand nous nous retrouvons seul c'est un plaisir intense qui s'empare de nous et nous emporte vers le plaisir.
Le libertinage, c'est quelque chose que l'on fait à 2 en couple, on en parle, on en rit, on s’en excite, un peu, beaucoup parfois, pas toujours, mais ce qui est certain c’est qu’il n’est pas entre nous, il est en nous. Pour moi chaque fois que nous avons fait des rencontres je m'imaginais que c’était un cadeau que je lui faisais et qu’il me faisait, car mesdames, vous ne serez pas en reste ! Vous lui offrirez du plaisir, un autre corps, de la pluralité, des sensations différentes. Il vous écoutera feuler sous les assauts de votre partenaire du moment et vous l'entendrait râler de plaisir entre les cuisses d'une autre. Enfin pour nous le libertinage aura été une grande passion pour nous, nous y avons trouvé la curiosité, le plaisir, la sensualité, la jouissance, l'amitié, il a enrichit notre vie de couple.
A 56 ans je vous affirme que je suis libertine et l'assume pleinement depuis maintenant 30 ans. Quand j'ai rencontré mon mari j'avais 25 ans, j'avais bien sur eu quelques hommes mais je n'avais jamais penser au libertinage, j'étais une fille sage. Avec Jacques j'ai vite compris que la sexualité c'était autre chose que ce que j'avais connu jusque là. Il m'a fait découvrir le monde secret des clubs et des rendez vous chez des adeptes du libertinage. Je me suis vite rendu compte que l'on y rencontrait des hommes et des femmes de tous âges, de tous physiques, des grands, des petits des gros des maigres sans complexe qui se retrouvent pour s'éclater point à la ligne. On s'y fait parfois des amis que l'on revoit toujours 20 ans après. Il n'y a pas plus tolérant et démocratique que le libertinage. Jamais personne ne te force tu reste toujours maître de tes choix.
Je suis mariée et partage la vie de mon cher et tendre amour depuis déjà, 30 ans, aucune érosion, aucune lassitude, je suis encore et toujours amoureuse. Couple normal, banal, ayant eu des enfants, un métier respectable, des joies, des peines, ni tordu, ni bizarre. Bref nous sommes madame et monsieur tout le monde, avec une auréole secrète qui est notre jardin coloré, le libertinage. Mon mari et moi avons toujours abusé, adoré faire l’amour, cela va vous faire sourire c’est sûr, mais tant pis, nous faisons l’amour encore et toujours! Pas tout à fait comme à l’apogée de nos ébats car nous avons changés, nos corps ont changés, nos corps à corps n'est plus le même, mais faire l’amour reste pour nous éternel. A présent, je sais bien ce vous trotte dans la tête, comment peut on accepter, regarder, et tolérer que l'autre partage une grande intimité et du plaisir charnel avec souvent des inconnus. Pour nous nous nous sommes jamais posé la question. Nous passons du bon temps ensemble même si souvent nous sommes séparés dans l'acte charnel. Quand nous nous retrouvons seul c'est un plaisir intense qui s'empare de nous et nous emporte vers le plaisir.
Le libertinage, c'est quelque chose que l'on fait à 2 en couple, on en parle, on en rit, on s’en excite, un peu, beaucoup parfois, pas toujours, mais ce qui est certain c’est qu’il n’est pas entre nous, il est en nous. Pour moi chaque fois que nous avons fait des rencontres je m'imaginais que c’était un cadeau que je lui faisais et qu’il me faisait, car mesdames, vous ne serez pas en reste ! Vous lui offrirez du plaisir, un autre corps, de la pluralité, des sensations différentes. Il vous écoutera feuler sous les assauts de votre partenaire du moment et vous l'entendrait râler de plaisir entre les cuisses d'une autre. Enfin pour nous le libertinage aura été une grande passion pour nous, nous y avons trouvé la curiosité, le plaisir, la sensualité, la jouissance, l'amitié, il a enrichit notre vie de couple.
Article posé le 24 03 2021
Le témoignage d'un inconnu à propos des femmes fontaines.
Surprenant et étonnant, généralement les hommes sont fiers de ça !
Je me souviendrais toujours de ma première fois avec Katie. Une belle et jeune femme de 24 ans que j’avais rencontré par le biais d’amis en commun. Elle m’avait tapé dans l’œil et rien que sa présence à mes côtés me rendait toute chose ! Elle le remarqua rapidement et fît le premier pas et c’est à ce moment qu’à commencé le rêve. En effet au départ ce fût quelques baisers puis quelques caresses et enfin on se retrouva dans un lit commun. Cette nuit fût inoubliable!
Nos baisers étaient torrides et nos caresses de plus en plus directives et dirigées. Mes mains avaient glissé sous son pull afin de lui dégrafer son soutien gorge et libérer ses gros seins. Je les malaxais de plus en plus vite et de plus en plus fermement. L’excitation était à son apogée et on déshabilla l’un l’autre afin de passer à la vitesse supérieure ! Mes lèvres caressèrent son corps dans sa totalité et ma langue insista au creux de son intimité. Elle gémissait de plaisir sous mes caresses buccales. Hors d’elle, elle empoigna mon sexe déjà raide afin de le masturber et le rendre encore plus dur ! Cette branlette s’accompagna rapidement de baisers et de léchage sur le bout du gland puis d’une bonne fellation au plus profond de sa gorge. J’étais au bord de l’explosion mais je devais me retenir afin qu’elle connaisse elle aussi un orgasme. C’est ainsi que je suis retourné vers sa chatte dégoulinante afin de la lécher jusqu’au septième ciel ! Ma langue fouillait entre ses cuisses, un coup sur les lèvres suivi d’un coup sur le clito puis d’un bon suçon ! Elle ne pût résister longtemps et elle jouit !!!! Et là ce fût la surprise, en effet accompagner de spasmes orgasmiques, de longs jets de cyprine jaillirent de sa chatte et me couvrît le visage. Je n'avais jamais vu ce phénomène. J’étais désormais tout poisseux et mon envie de sexe était retombée après cette explosion de mouille. Je n'ai plus cherché à la revoir. Je déteste les femmes fontaines.
Réponse d'Aurélie.
Ah les femmes fontaines, elles ont fait couler beaucoup d'encre ! Mais aujourd’hui, on le sait, ce n’est pas un mythe, mais bien une réalité. Quand elles font l’amour, au moment clé du plaisir, celui de l’orgasme donc, si le lâcher prise est là, ces femmes émettent un liquide en quantité importante. Comme les hommes lorsqu’ils éjaculent en somme… On parle d’ailleurs d’éjaculation féminine. Un phénomène qui n’a rien à voir avec la lubrification vaginale ! On sait aujourd’hui, que les tissus situés entre le vagin et l’urètre sont des tissus prostatiques. Bref, les femmes comme les hommes auraient une prostate ! Le liquide serait émis par les glandes de Skènes situées de part et d’autre de l’orifice urinaire et qui sont plus ou moins développées selon les femmes. Compte tenu toutefois du volume parfois expulsé, cela n’explique pas tout. Mais dans tous les cas, que l’on se rassure, il s’agit d’un liquide incolore et inodore.
Le témoignage d'un inconnu à propos des femmes fontaines.
Surprenant et étonnant, généralement les hommes sont fiers de ça !
Je me souviendrais toujours de ma première fois avec Katie. Une belle et jeune femme de 24 ans que j’avais rencontré par le biais d’amis en commun. Elle m’avait tapé dans l’œil et rien que sa présence à mes côtés me rendait toute chose ! Elle le remarqua rapidement et fît le premier pas et c’est à ce moment qu’à commencé le rêve. En effet au départ ce fût quelques baisers puis quelques caresses et enfin on se retrouva dans un lit commun. Cette nuit fût inoubliable!
Nos baisers étaient torrides et nos caresses de plus en plus directives et dirigées. Mes mains avaient glissé sous son pull afin de lui dégrafer son soutien gorge et libérer ses gros seins. Je les malaxais de plus en plus vite et de plus en plus fermement. L’excitation était à son apogée et on déshabilla l’un l’autre afin de passer à la vitesse supérieure ! Mes lèvres caressèrent son corps dans sa totalité et ma langue insista au creux de son intimité. Elle gémissait de plaisir sous mes caresses buccales. Hors d’elle, elle empoigna mon sexe déjà raide afin de le masturber et le rendre encore plus dur ! Cette branlette s’accompagna rapidement de baisers et de léchage sur le bout du gland puis d’une bonne fellation au plus profond de sa gorge. J’étais au bord de l’explosion mais je devais me retenir afin qu’elle connaisse elle aussi un orgasme. C’est ainsi que je suis retourné vers sa chatte dégoulinante afin de la lécher jusqu’au septième ciel ! Ma langue fouillait entre ses cuisses, un coup sur les lèvres suivi d’un coup sur le clito puis d’un bon suçon ! Elle ne pût résister longtemps et elle jouit !!!! Et là ce fût la surprise, en effet accompagner de spasmes orgasmiques, de longs jets de cyprine jaillirent de sa chatte et me couvrît le visage. Je n'avais jamais vu ce phénomène. J’étais désormais tout poisseux et mon envie de sexe était retombée après cette explosion de mouille. Je n'ai plus cherché à la revoir. Je déteste les femmes fontaines.
Réponse d'Aurélie.
Ah les femmes fontaines, elles ont fait couler beaucoup d'encre ! Mais aujourd’hui, on le sait, ce n’est pas un mythe, mais bien une réalité. Quand elles font l’amour, au moment clé du plaisir, celui de l’orgasme donc, si le lâcher prise est là, ces femmes émettent un liquide en quantité importante. Comme les hommes lorsqu’ils éjaculent en somme… On parle d’ailleurs d’éjaculation féminine. Un phénomène qui n’a rien à voir avec la lubrification vaginale ! On sait aujourd’hui, que les tissus situés entre le vagin et l’urètre sont des tissus prostatiques. Bref, les femmes comme les hommes auraient une prostate ! Le liquide serait émis par les glandes de Skènes situées de part et d’autre de l’orifice urinaire et qui sont plus ou moins développées selon les femmes. Compte tenu toutefois du volume parfois expulsé, cela n’explique pas tout. Mais dans tous les cas, que l’on se rassure, il s’agit d’un liquide incolore et inodore.
Article posé le 20 03 2021
L'orgasme ce bien précieux.
Malheureusement il y a aujourd'hui beaucoup de femmes en souffrance à cause de ce problème.
Des femmes de tous âges pour qui faire l'amour n'est pas toujours la voie du plaisir.
Voici les témoignages de trois d'entre elles.
Jessica 35 ans, je n’ai pas d’orgasme en faisant l'amour, je peux jouir que seule
J’ai eu mon premier orgasme dans mon adolescence, grâce à la masturbation. Aujourd’hui, je connais mon corps et je n’ai aucune difficulté à me faire du bien. En revanche, je n’ai jamais joui en faisant l’amour, ni pendant les préliminaires. J’ai eu une dizaine de partenaires et je ne pense pas qu’ils soient en cause. J’aime faire l’amour, mais le rapport n’aboutit jamais à un orgasme car j’ai l’impression d’être la seule à savoir ce qu’il faut faire exactement. Comme si ma jouissance était aujourd’hui conditionnée à certains gestes précis, et que personne d’autre que moi ne pouvait les reproduire. Je connais d'autres femmes qui ont le même problème, j'ai le sentiment de ne pas être normale et de ne pas pouvoir partager ce plaisir ça avec l’homme que j’aime.
Sophie 38 ans. Je n’arrive pas à atteindre la jouissance avec mon nouveau partenaire
j’ai eu une vie sexuelle intense depuis une quinzaine d’année et elle a toujours été satisfaisante. J'ai vécu une dizaine d'années avec le même homme et tout se passait très bien au lit. Je l’ai quitté pour l’homme avec qui je vis aujourd’hui, un véritable coup de foudre. Il m’attire énormément, j’ai envie de lui souvent, je prends beaucoup de plaisir mais niveau orgasme, rien, nada. Je sais qu’il a eu beaucoup de femmes avant moi, et peut-être par peur de le décevoir j’ai l’impression d’être plus axée sur son plaisir que le mien. Il fait pourtant tout pour me contenter et on teste plein de choses: endroits insolites, sex-toys, positions et pratiques que je n’avais jamais tentées auparavant. Mais rien n'y fait je suis désespérée. Avant je pouvais avoir un orgasme formidable simplement dans la position du missionnaire. J'hallucine, que vais-je bien pouvoir faire?
Élisabeth 35 ans, je simule car je n'arrive pas à jouir.
Pendant des années, j’ai eu l’impression d’être anormale : je n’ai jamais joui. Aujourd’hui, je sens que les langues se délient un peu et que je ne suis pas la seule dans ce cas, mais malgré tout je déteste l’image que j'ai de moi. Je ne suis pas particulièrement prude, le sexe ne me dégoûte pas, loin de là, je peux ressentir du désir et de l’excitation, mais c’est tout. Et surtout, j’ai l’impression d’être rentré dans un cercle vicieux : la première fois que j’ai simulé, c’était pour faire plaisir à mon partenaire qui se donnait beaucoup de mal. La fois d’après, pour ne pas passer pour une femme frigide, etc. Aujourd’hui, je vis depuis presque un an avec un homme et je continue le même processus, je n'arrive pas à lâcher prise. Pourtant j'ai envie d'en finir avec cette comédie, mais n'arrive pas à m'en sortir, je voudrais en parler à quelqu'un mais c'est impossible pour moi j'ai trop honte.
L'orgasme ce bien précieux.
Malheureusement il y a aujourd'hui beaucoup de femmes en souffrance à cause de ce problème.
Des femmes de tous âges pour qui faire l'amour n'est pas toujours la voie du plaisir.
Voici les témoignages de trois d'entre elles.
Jessica 35 ans, je n’ai pas d’orgasme en faisant l'amour, je peux jouir que seule
J’ai eu mon premier orgasme dans mon adolescence, grâce à la masturbation. Aujourd’hui, je connais mon corps et je n’ai aucune difficulté à me faire du bien. En revanche, je n’ai jamais joui en faisant l’amour, ni pendant les préliminaires. J’ai eu une dizaine de partenaires et je ne pense pas qu’ils soient en cause. J’aime faire l’amour, mais le rapport n’aboutit jamais à un orgasme car j’ai l’impression d’être la seule à savoir ce qu’il faut faire exactement. Comme si ma jouissance était aujourd’hui conditionnée à certains gestes précis, et que personne d’autre que moi ne pouvait les reproduire. Je connais d'autres femmes qui ont le même problème, j'ai le sentiment de ne pas être normale et de ne pas pouvoir partager ce plaisir ça avec l’homme que j’aime.
Sophie 38 ans. Je n’arrive pas à atteindre la jouissance avec mon nouveau partenaire
j’ai eu une vie sexuelle intense depuis une quinzaine d’année et elle a toujours été satisfaisante. J'ai vécu une dizaine d'années avec le même homme et tout se passait très bien au lit. Je l’ai quitté pour l’homme avec qui je vis aujourd’hui, un véritable coup de foudre. Il m’attire énormément, j’ai envie de lui souvent, je prends beaucoup de plaisir mais niveau orgasme, rien, nada. Je sais qu’il a eu beaucoup de femmes avant moi, et peut-être par peur de le décevoir j’ai l’impression d’être plus axée sur son plaisir que le mien. Il fait pourtant tout pour me contenter et on teste plein de choses: endroits insolites, sex-toys, positions et pratiques que je n’avais jamais tentées auparavant. Mais rien n'y fait je suis désespérée. Avant je pouvais avoir un orgasme formidable simplement dans la position du missionnaire. J'hallucine, que vais-je bien pouvoir faire?
Élisabeth 35 ans, je simule car je n'arrive pas à jouir.
Pendant des années, j’ai eu l’impression d’être anormale : je n’ai jamais joui. Aujourd’hui, je sens que les langues se délient un peu et que je ne suis pas la seule dans ce cas, mais malgré tout je déteste l’image que j'ai de moi. Je ne suis pas particulièrement prude, le sexe ne me dégoûte pas, loin de là, je peux ressentir du désir et de l’excitation, mais c’est tout. Et surtout, j’ai l’impression d’être rentré dans un cercle vicieux : la première fois que j’ai simulé, c’était pour faire plaisir à mon partenaire qui se donnait beaucoup de mal. La fois d’après, pour ne pas passer pour une femme frigide, etc. Aujourd’hui, je vis depuis presque un an avec un homme et je continue le même processus, je n'arrive pas à lâcher prise. Pourtant j'ai envie d'en finir avec cette comédie, mais n'arrive pas à m'en sortir, je voudrais en parler à quelqu'un mais c'est impossible pour moi j'ai trop honte.
Article déposé le 19 03 2021
La sodomie
Depuis quelque années, la sodomie est devenu une pratique de plus en plus courante aussi bien chez les hommes. On connaît tous des pratiquants autour de soi et même des jeunes filles de 20 ans qui la pratique dès le premier soir. C'est devenu presque une chose normale pour certains et certaines. Des femmes matures en font leur quatre heures.
Et ce ne sont pas les chiffres qui vont démentir ces constats subjectifs : une enquête en 2016, révélait que 51% d'hommes et de femmes ont déjà essayé le sexe anal. Ce serait chez les jeunes que la progression serait la plus flagrante.
Voici cinq raisons pouvant expliquer cette évolution des pratiques sexuelles.
Pour du renouveau: l'envie personnelle d'éprouver des sensations nouvelles ou le besoin commun d'un couple de booster sa libido grâce à une pratique mystérieuse inusitée et pleine de tabou.
Pour plus de sensations: le sphincter étant plus serré que le vagin, on ressent davantage le pénis à cet endroit-là (ce qui déplaît à d'autres qui n'y trouvent pas de plaisir mais juste de la douleur).
Par plaisir : en ce qui concerne les hommes, le plaisir vient de la glande sexuelle nommée prostate. Quant aux femmes, elles peuvent ressentir le plaisir grâce à leur vagin car il est connecté à l'anus par de petits nerfs et vaisseaux sanguins.
Pour faire plaisir : s’il est possible pour les femmes de prendre du plaisir physique dans cette pratique, 5% d'entre elles interrogées dans le cadre de l’enquête sur la sexualité des Français déclarent pratiquer la sodomie uniquement pour faire plaisir à leur partenaire, contre 1,5% des hommes.
Pratiquer le sexe anal pour la première foisSi vous voulez essayer, voici quelques conseils avisés (dans l'ordre):
Soyez en confiance : l'amour n'est pas un prérequis, mais le respect oui ! Il faut être avec quelqu'un qui vous mette en confiance.
Préparez-vous mentalement et physiquement : l'anus, comme chacun sait, c'est aussi l'endroit par lequel sont expulsées les selles (désolée d'être aussi triviale, mais c'est pour la bonne cause : votre plaisir). Donc, prenez une bonne douche avant de vous lancer...
Capotez : le risque de transmission d'IST (infection sexuellement transmissible) ou de MST est plus important avec le sexe anal, donc, si vous n'avez pas fait de test avec votre partenaire il faut impérativement mettre un préservatif.
Lubrifiez: allez-y gaiement il faut que ça glisse... Et oui, la salive ça marche aussi
Détendez vous: si la personne passive est tendue aussi bien mentalement que physiquement, cela peut être douloureux. Donc, il faut la ou le détendre, aussi bien avec des mots qui rassurent qu'avec des caresses sur l'anus. Vous pouvez aussi commencer par insérer un doigt ou deux, ou seulement le gland du phallus, histoire de préparer son corps. Celui-ci a besoin de quelques minutes pour s'acclimater. Prenez-les !
Sachez dire stop à tout moment et bien sûr non tout court si vous n'en avez pas ou plus envie. Il n'y a pas de honte.
La sodomie
Depuis quelque années, la sodomie est devenu une pratique de plus en plus courante aussi bien chez les hommes. On connaît tous des pratiquants autour de soi et même des jeunes filles de 20 ans qui la pratique dès le premier soir. C'est devenu presque une chose normale pour certains et certaines. Des femmes matures en font leur quatre heures.
Et ce ne sont pas les chiffres qui vont démentir ces constats subjectifs : une enquête en 2016, révélait que 51% d'hommes et de femmes ont déjà essayé le sexe anal. Ce serait chez les jeunes que la progression serait la plus flagrante.
Voici cinq raisons pouvant expliquer cette évolution des pratiques sexuelles.
Pour du renouveau: l'envie personnelle d'éprouver des sensations nouvelles ou le besoin commun d'un couple de booster sa libido grâce à une pratique mystérieuse inusitée et pleine de tabou.
Pour plus de sensations: le sphincter étant plus serré que le vagin, on ressent davantage le pénis à cet endroit-là (ce qui déplaît à d'autres qui n'y trouvent pas de plaisir mais juste de la douleur).
Par plaisir : en ce qui concerne les hommes, le plaisir vient de la glande sexuelle nommée prostate. Quant aux femmes, elles peuvent ressentir le plaisir grâce à leur vagin car il est connecté à l'anus par de petits nerfs et vaisseaux sanguins.
Pour faire plaisir : s’il est possible pour les femmes de prendre du plaisir physique dans cette pratique, 5% d'entre elles interrogées dans le cadre de l’enquête sur la sexualité des Français déclarent pratiquer la sodomie uniquement pour faire plaisir à leur partenaire, contre 1,5% des hommes.
Pratiquer le sexe anal pour la première foisSi vous voulez essayer, voici quelques conseils avisés (dans l'ordre):
Soyez en confiance : l'amour n'est pas un prérequis, mais le respect oui ! Il faut être avec quelqu'un qui vous mette en confiance.
Préparez-vous mentalement et physiquement : l'anus, comme chacun sait, c'est aussi l'endroit par lequel sont expulsées les selles (désolée d'être aussi triviale, mais c'est pour la bonne cause : votre plaisir). Donc, prenez une bonne douche avant de vous lancer...
Capotez : le risque de transmission d'IST (infection sexuellement transmissible) ou de MST est plus important avec le sexe anal, donc, si vous n'avez pas fait de test avec votre partenaire il faut impérativement mettre un préservatif.
Lubrifiez: allez-y gaiement il faut que ça glisse... Et oui, la salive ça marche aussi
Détendez vous: si la personne passive est tendue aussi bien mentalement que physiquement, cela peut être douloureux. Donc, il faut la ou le détendre, aussi bien avec des mots qui rassurent qu'avec des caresses sur l'anus. Vous pouvez aussi commencer par insérer un doigt ou deux, ou seulement le gland du phallus, histoire de préparer son corps. Celui-ci a besoin de quelques minutes pour s'acclimater. Prenez-les !
Sachez dire stop à tout moment et bien sûr non tout court si vous n'en avez pas ou plus envie. Il n'y a pas de honte.
Article posé le 13 03 2021
C'est un peu la même histoire qu'avec le pénis.
Le petit-vagin-très-serré est à la femme ce que le gros-pénis-tout-dur est à l’homme : un générateur de complexes. Or, ces mythes ne font pas le poids face à la réalité, et c’est cette dernière qui devrait faire foi, car elle permet de voir, au contraire des stéréotypes, l’immense variété de formes et de tailles de sexe qui existe. Alors, en vrai, la taille compte-t-elle ou pas ?
Quelle est la taille d'un vagin ? Généralement, on considère que la largeur d'un vagin peut se situer entre 3 cm et 6 cm pour une longueur de 6-8 cm. La profondeur moyenne est elle aussi de 6 à 8 cm repos, mais elle s'élève à 11 cm ou 12 cm après stimulation sexuelle et pourrait atteindre jusqu’à 15 cm chez certaines femmes.
La sensation d'avoir un vagin trop large Lorsqu’on a la sensation que le sexe de son partenaire flotte dans le sien, on pense avoir un vagin trop large de façon immuable. Pourtant la taille du vagin varie non seulement d’une femme à l’autre mais aussi chez une seule et même femme : selon les périodes de la vie (avant ou après enfants), ou les rapports sexuels (certaines positions favorisant ou non la dilatation). Bref, vous pouvez très bien être large un jour et étroite un autre.
En outre, il est normal pour un pénis d’être moins serré dans un vagin que lors de la masturbation. Les vrais hommes le savent et ne vous tiendront donc pas rigueur d’une grande élasticité qui marque souvent aussi une grande excitation ! Notez que dans ces cas-là les hommes auront tendance à penser que le problème vient d’eux : s’ils avaient un gros pénis, ils se sentiraient serrés partout. Et le fait est que c’est vrai : il n’y a pas de bons ou de mauvais vagins ou pénis, il n’y a que des sexes qui s’adaptent bien l’un à l’autre… Ou pas. La sensation d’avoir un vagin trop petit
Cela correspond à l’impression d’avoir un sexe contracté et tendu, qui provoque des difficultés et douleurs lors de la pénétration (ou même avant). Or, comme l’explique une gynécologue, cette sensation est souvent un réflexe lié à la peur ou l’appréhension. En cas d’inquiétude ou de conflit intérieur, une femme peut contracter involontairement son vagin, ressentir des douleurs, etc. Ce qu’il faut savoir
C'est un peu la même histoire qu'avec le pénis.
Le petit-vagin-très-serré est à la femme ce que le gros-pénis-tout-dur est à l’homme : un générateur de complexes. Or, ces mythes ne font pas le poids face à la réalité, et c’est cette dernière qui devrait faire foi, car elle permet de voir, au contraire des stéréotypes, l’immense variété de formes et de tailles de sexe qui existe. Alors, en vrai, la taille compte-t-elle ou pas ?
Quelle est la taille d'un vagin ? Généralement, on considère que la largeur d'un vagin peut se situer entre 3 cm et 6 cm pour une longueur de 6-8 cm. La profondeur moyenne est elle aussi de 6 à 8 cm repos, mais elle s'élève à 11 cm ou 12 cm après stimulation sexuelle et pourrait atteindre jusqu’à 15 cm chez certaines femmes.
La sensation d'avoir un vagin trop large Lorsqu’on a la sensation que le sexe de son partenaire flotte dans le sien, on pense avoir un vagin trop large de façon immuable. Pourtant la taille du vagin varie non seulement d’une femme à l’autre mais aussi chez une seule et même femme : selon les périodes de la vie (avant ou après enfants), ou les rapports sexuels (certaines positions favorisant ou non la dilatation). Bref, vous pouvez très bien être large un jour et étroite un autre.
En outre, il est normal pour un pénis d’être moins serré dans un vagin que lors de la masturbation. Les vrais hommes le savent et ne vous tiendront donc pas rigueur d’une grande élasticité qui marque souvent aussi une grande excitation ! Notez que dans ces cas-là les hommes auront tendance à penser que le problème vient d’eux : s’ils avaient un gros pénis, ils se sentiraient serrés partout. Et le fait est que c’est vrai : il n’y a pas de bons ou de mauvais vagins ou pénis, il n’y a que des sexes qui s’adaptent bien l’un à l’autre… Ou pas. La sensation d’avoir un vagin trop petit
Cela correspond à l’impression d’avoir un sexe contracté et tendu, qui provoque des difficultés et douleurs lors de la pénétration (ou même avant). Or, comme l’explique une gynécologue, cette sensation est souvent un réflexe lié à la peur ou l’appréhension. En cas d’inquiétude ou de conflit intérieur, une femme peut contracter involontairement son vagin, ressentir des douleurs, etc. Ce qu’il faut savoir
- Dans la plupart des cas ce sont des facteurs psychologiques qui engendrent ces sensations de sexe trop petit ou trop grand : les sexologues expliquent qu’il s’agit rarement d'un problème anatomique, c’est plutôt la force du mental qui s’exerce : on a telle image de notre sexe et notre corps se plie à nos pensées.
- Le vagin s’adapte au pénis : le vagin est modulable, il épouse les formes de son hôte. Contrairement au pénis et au clitoris, le vagin n’est pas en érection, il se dilate ou se resserre, on ne peut donc pas vraiment parler de taille mais plutôt de souplesse ou d’élasticité.
- Vous pouvez jouer des positions quand vous faites l’amour : si vous voulez sentir davantage votre partenaire, optez pour la levrette, qui favorise les sensations fortes. Si, au contraire, le souci vient du fait que le vagin semble trop serré, faites de longs préliminaires et préférez des positions plus douces : cavalière, cuillère, etc. Adaptez vos pirouettes à votre corps et à celui de votre partenaire.
- Le vagin se travaille : et il existe justement de simples exercices pour muscler ou détendre votre périnée, et donc tonifier ou au contraire assouplir votre vagin. Dans tous les cas, les gynécologues invitent à explorer son corps, à apprendre à le connaître sur le bout des doigts.
- Cela reste un complexe mineur pour la plupart des femmes : comme le vagin n’est pas apparent, il ne constitue pas un critère de désirabilité. Les femmes complexent davantage sur la taille de leurs seins ou celle de leurs lèvres.
Article posé le 03 03 2021
Éloge aux femmes rondes
Je voudrais aujourd'hui parler des femmes rondes car je reçois beaucoup de courrier de celles qui ont des complexes qui se sentent rejetées car souvent les regards que certaines personnes jettent sur elles sont plutôt négatifs. Si l'on en croit de nombreux sondages les femmes aux courbes généreuses ont autant et quelques fois plus de partenaires que les autres. Si l'on en croit les médias de tous types seules les femmes longilignes seraient belles et plus regardées que les autres. Détrompez vous cette image est complètement fausse et démodée.
Une vie sexuelle épanouie c'est une question de confiance en soi !
Selon les dire des hommes, plus de 80% préfèrent avoir une relation sexuelle avec une femme bien en chaire plutôt qu'avec une femme trop mince.
Allez mesdames laissez votre timidité à la maison car vous êtes pleine de sensualité de douceur et vous êtes capable de donner beaucoup de plaisir car vous aimez le sexe autant que les autres. Vous devez réveiller la tigresse qui dort en vous il vous faut reprendre confiance en vous et renouer avec la belle image de votre corps. Bien sur quelques fois vos rondeurs perturbent un peu les ébats mais en sachant utiliser les positions adéquat pour atteindre le nirvana, vous saurez pimenter la séance et ferez rugir de plaisir le tigre qui partage ce moment.
Alors choisissez plutôt la levrette puisque vos fesses rondes sont l'un de vos atouts, offrez les en cambrant les reins.
Ou la cowgirl en chevauchant votre partenaire en vous appuyant sur vos pieds. Vos mouvements seront ainsi libérés et votre poids mieux réparti. Vous soulagerez votre partenaire et la pénétration sera optimum.
Ou la cuillère qui sera idéale, ainsi allongée sur le flanc, il vous pénétrera par derrière comme dans la position précédente et pourra ainsi jouer avec votre opulente poitrine.
Ou le missionnaire qui malgré son classicisme reste l'une des préférées pour une pénétration bien agréable quelque soit votre poids et taille.
Ou la cravate de notaire ou espagnole qui permet à toutes celles qui ont une opulente poitrine de sortir des sentiers battus en alternant la fellation et le massage entre vos seins je vous garantis qu'il ne saura plus à quel seins se vouer.
Pour finir quelque soit votre taille et votre poids pensez qu'à une seule chose le plaisir du moment.
Éloge aux femmes rondes
Je voudrais aujourd'hui parler des femmes rondes car je reçois beaucoup de courrier de celles qui ont des complexes qui se sentent rejetées car souvent les regards que certaines personnes jettent sur elles sont plutôt négatifs. Si l'on en croit de nombreux sondages les femmes aux courbes généreuses ont autant et quelques fois plus de partenaires que les autres. Si l'on en croit les médias de tous types seules les femmes longilignes seraient belles et plus regardées que les autres. Détrompez vous cette image est complètement fausse et démodée.
Une vie sexuelle épanouie c'est une question de confiance en soi !
Selon les dire des hommes, plus de 80% préfèrent avoir une relation sexuelle avec une femme bien en chaire plutôt qu'avec une femme trop mince.
Allez mesdames laissez votre timidité à la maison car vous êtes pleine de sensualité de douceur et vous êtes capable de donner beaucoup de plaisir car vous aimez le sexe autant que les autres. Vous devez réveiller la tigresse qui dort en vous il vous faut reprendre confiance en vous et renouer avec la belle image de votre corps. Bien sur quelques fois vos rondeurs perturbent un peu les ébats mais en sachant utiliser les positions adéquat pour atteindre le nirvana, vous saurez pimenter la séance et ferez rugir de plaisir le tigre qui partage ce moment.
Alors choisissez plutôt la levrette puisque vos fesses rondes sont l'un de vos atouts, offrez les en cambrant les reins.
Ou la cowgirl en chevauchant votre partenaire en vous appuyant sur vos pieds. Vos mouvements seront ainsi libérés et votre poids mieux réparti. Vous soulagerez votre partenaire et la pénétration sera optimum.
Ou la cuillère qui sera idéale, ainsi allongée sur le flanc, il vous pénétrera par derrière comme dans la position précédente et pourra ainsi jouer avec votre opulente poitrine.
Ou le missionnaire qui malgré son classicisme reste l'une des préférées pour une pénétration bien agréable quelque soit votre poids et taille.
Ou la cravate de notaire ou espagnole qui permet à toutes celles qui ont une opulente poitrine de sortir des sentiers battus en alternant la fellation et le massage entre vos seins je vous garantis qu'il ne saura plus à quel seins se vouer.
Pour finir quelque soit votre taille et votre poids pensez qu'à une seule chose le plaisir du moment.
Article posé le 03 03 2021
La masturbation féminine vu par 8 lectrices
La masturbation, c’est tout un rituel et chacune à sa façon : certaines femmes ouvrent la bouche, d’autres ferment les yeux, le font en silence ou bruyamment, d'autres dans le noir dans le salon, ou n'importe ou. A chacune ses préférences et ses habitudes !
8 lectrices nous confient leurs petits secrets, parfois décalé, parfois plus commun, mais toujours très personnel.
Élisabeth 34 ans marié, je me masturbe toujours à la va-vite. Je n'aime pas que ça traîne peut être par honte ! Moi, je baisse mon pantalon ou remonte ma robe, ma main s'active, je me touche, cela va très vite l'orgasme me gagne. Je me rhabille et vaque à mes occupations. Je peux le faire n'importe ou. C’est juste un moment de détente, une pause pour décompresser.
Marie Paule célibataire 27 ans. Ce moment de liberté n'est que pour moi, c’est en travers du lit la tête dans pendante au bord du lit sur le ventre. Ma main glisse sous mon ventre et j'astique mon clito jusqu'à l'explosion. J'adore ce moment et cette position ou je m'éclate à chaque fois
Géraldine 42 ans divorcée. Quand je me masturbe, je pense toujours à un homme que j'ai rencontré au hasard mais avec qui je n'ai rien fait. Cela m’évoque le plaisir, le lâcher-prise, et ça me fait jouir très fort. Je peux le faire nue dans ma salle de bain, sur mon lit
ou sur un fauteuil ou le canapé mais uniquement chez moi seule tranquille.
Catherine 32 ans mariée. J’aime beaucoup me toucher debout, face à mon miroir. J'ai besoin de me regarder dans cet instant magique et tellement bon. Je joue avec mes seins et mon intimité en réalité, je ne sais pas trop pourquoi. Quand je suis dans mon lit je jouis beaucoup moins fort et n'éprouve pas du tout le même plaisir.
Sandrine 38 ans mariée. Je suis restée bloquée sur une phrase que j'ai entendu quand j'étais adolescente. Si on se masturbe de la main gauche, c’était un peu le moyen de se faire croire que c'est une autre personne. J’ai commencé à me masturber comme ça, et même si ça ne change pas grand-chose et en même temps je fantasme !
Apolline 44 ans mariée. Depuis mon adolescence, j’ai plutôt tendance à me caresser par dessus ma culotte. Le contact du tissu, de la dentelle qui parfois accroche, du coton tout doux ou du synthétique qui m’électrise m'excite beaucoup et m'aide à trouver l'orgasme car avec mon mari c'est très difficile. Souvent à la fin je la retire.
Liliane 50 ans mariée. Je ne suis pas vaginale, je n'éprouve pas beaucoup de plaisir par la pénétration. Je serre toujours les cuisses, il faut que ma main et de la peine à arriver sur ma vulve, je me caresse le clitoris le roule sous mes doigts de l'autre main je titille mes tétons. C’est comme si je l’enfermais entre mes lèvres. Je pense que c’est le moyen de contrer la pénétration qui me laisse toujours sur ma faim.
Marjolaine 37 ans divorcée. Je me mets sur le ventre et jambes écartées. Je me frotte, glisse ma main. Mes doigts jouent avec mon clitoris et fouille mon intimité cherchant mon point G. J’évite de mettre un oreiller sous mon ventre car je cherche le contact, il faut que je force un peu. Je ne veux pas que ce soit trop facile ou évident, sinon je trouve ça moins bon !
La masturbation féminine vu par 8 lectrices
La masturbation, c’est tout un rituel et chacune à sa façon : certaines femmes ouvrent la bouche, d’autres ferment les yeux, le font en silence ou bruyamment, d'autres dans le noir dans le salon, ou n'importe ou. A chacune ses préférences et ses habitudes !
8 lectrices nous confient leurs petits secrets, parfois décalé, parfois plus commun, mais toujours très personnel.
Élisabeth 34 ans marié, je me masturbe toujours à la va-vite. Je n'aime pas que ça traîne peut être par honte ! Moi, je baisse mon pantalon ou remonte ma robe, ma main s'active, je me touche, cela va très vite l'orgasme me gagne. Je me rhabille et vaque à mes occupations. Je peux le faire n'importe ou. C’est juste un moment de détente, une pause pour décompresser.
Marie Paule célibataire 27 ans. Ce moment de liberté n'est que pour moi, c’est en travers du lit la tête dans pendante au bord du lit sur le ventre. Ma main glisse sous mon ventre et j'astique mon clito jusqu'à l'explosion. J'adore ce moment et cette position ou je m'éclate à chaque fois
Géraldine 42 ans divorcée. Quand je me masturbe, je pense toujours à un homme que j'ai rencontré au hasard mais avec qui je n'ai rien fait. Cela m’évoque le plaisir, le lâcher-prise, et ça me fait jouir très fort. Je peux le faire nue dans ma salle de bain, sur mon lit
ou sur un fauteuil ou le canapé mais uniquement chez moi seule tranquille.
Catherine 32 ans mariée. J’aime beaucoup me toucher debout, face à mon miroir. J'ai besoin de me regarder dans cet instant magique et tellement bon. Je joue avec mes seins et mon intimité en réalité, je ne sais pas trop pourquoi. Quand je suis dans mon lit je jouis beaucoup moins fort et n'éprouve pas du tout le même plaisir.
Sandrine 38 ans mariée. Je suis restée bloquée sur une phrase que j'ai entendu quand j'étais adolescente. Si on se masturbe de la main gauche, c’était un peu le moyen de se faire croire que c'est une autre personne. J’ai commencé à me masturber comme ça, et même si ça ne change pas grand-chose et en même temps je fantasme !
Apolline 44 ans mariée. Depuis mon adolescence, j’ai plutôt tendance à me caresser par dessus ma culotte. Le contact du tissu, de la dentelle qui parfois accroche, du coton tout doux ou du synthétique qui m’électrise m'excite beaucoup et m'aide à trouver l'orgasme car avec mon mari c'est très difficile. Souvent à la fin je la retire.
Liliane 50 ans mariée. Je ne suis pas vaginale, je n'éprouve pas beaucoup de plaisir par la pénétration. Je serre toujours les cuisses, il faut que ma main et de la peine à arriver sur ma vulve, je me caresse le clitoris le roule sous mes doigts de l'autre main je titille mes tétons. C’est comme si je l’enfermais entre mes lèvres. Je pense que c’est le moyen de contrer la pénétration qui me laisse toujours sur ma faim.
Marjolaine 37 ans divorcée. Je me mets sur le ventre et jambes écartées. Je me frotte, glisse ma main. Mes doigts jouent avec mon clitoris et fouille mon intimité cherchant mon point G. J’évite de mettre un oreiller sous mon ventre car je cherche le contact, il faut que je force un peu. Je ne veux pas que ce soit trop facile ou évident, sinon je trouve ça moins bon !
Fantasme envoyé par Hortense de Paris le 01 03 2021
Oui mais ce n'est que mon fantasme !
Je m’appelle, Hortense, brune de 50 ans, encore et malgré mon âge avancé, je suis plutôt sexy. Je pense même ne rien avoir à envier aux petites minettes de 20 ans ! Mon fantasme serait que mon mari me propose de faire l’amour avec un petit jeune devant lui. Me faire culbuter et baiser partout pendant qu’il se masturberait devant nos ébats. Je rêve de baiser avec un jeunot du quartier, de préférence avec un black au caleçon bien rempli. Oui je sais ce n'est qu'un fantasme car mon époux n'est pas prêt à me faire un coup comme ça. Mais en attendant : Un soir 20 heures je rentre du travail, je suis vendeuse dans un magasin de fringues, j’ouvre la porte, la devant moi un beau black dans le canapé qui boit une bière avec mon mari. Après les présentations je bois un coup avec eux et de plaisanteries en plaisanteries je me retrouve avec deux mecs à poil devant moi, je sens ma chatte qui s'enflamme. Je m’approche du black qui bande comme un âne, je me mets à genoux et gobe sa belle queue très épaisse et très longue, je la lèche et la suce jusqu’à ce qu’il ait une érection maximale. Mon mari lui se masturbe doucement à côté. Je l'aspire le suce en massant ses grosses couilles jusqu'à l'explosion finale dans ma bouche, oh putain quelle purée je manque m'étrangler. Je quitte mes fringues, mon string est trempé, je m'empale sur cette bite qui regarde le plafond en poussant un râle de plaisir, il me ramone la chatte comme un dieu, cramponné à mes deux seins je prends deux orgasmes à la suite tandis que mon mari éjacule sur mes nichons, mon partenaire jouit à son tour dans mon intimité en râlant comme un fauve. Dès que je descends de mon perchoir, mon mari lui dit sodomise la elle en crève d'envie cette salope. Ils me font mettre à genoux sur le canapé et le black debout derrière moi me pénètre en levrette pendant que mon mari prépare ma rondelle avec de la salive puis l'autre présente sa grosse queue contre ma rosette et doucement me sodomise jusqu'à l'orgasme et se vide dans mon cul. Quelle moment extraordinaire mais ce n’est qu’un fantasme malheureusement.
Oui mais ce n'est que mon fantasme !
Je m’appelle, Hortense, brune de 50 ans, encore et malgré mon âge avancé, je suis plutôt sexy. Je pense même ne rien avoir à envier aux petites minettes de 20 ans ! Mon fantasme serait que mon mari me propose de faire l’amour avec un petit jeune devant lui. Me faire culbuter et baiser partout pendant qu’il se masturberait devant nos ébats. Je rêve de baiser avec un jeunot du quartier, de préférence avec un black au caleçon bien rempli. Oui je sais ce n'est qu'un fantasme car mon époux n'est pas prêt à me faire un coup comme ça. Mais en attendant : Un soir 20 heures je rentre du travail, je suis vendeuse dans un magasin de fringues, j’ouvre la porte, la devant moi un beau black dans le canapé qui boit une bière avec mon mari. Après les présentations je bois un coup avec eux et de plaisanteries en plaisanteries je me retrouve avec deux mecs à poil devant moi, je sens ma chatte qui s'enflamme. Je m’approche du black qui bande comme un âne, je me mets à genoux et gobe sa belle queue très épaisse et très longue, je la lèche et la suce jusqu’à ce qu’il ait une érection maximale. Mon mari lui se masturbe doucement à côté. Je l'aspire le suce en massant ses grosses couilles jusqu'à l'explosion finale dans ma bouche, oh putain quelle purée je manque m'étrangler. Je quitte mes fringues, mon string est trempé, je m'empale sur cette bite qui regarde le plafond en poussant un râle de plaisir, il me ramone la chatte comme un dieu, cramponné à mes deux seins je prends deux orgasmes à la suite tandis que mon mari éjacule sur mes nichons, mon partenaire jouit à son tour dans mon intimité en râlant comme un fauve. Dès que je descends de mon perchoir, mon mari lui dit sodomise la elle en crève d'envie cette salope. Ils me font mettre à genoux sur le canapé et le black debout derrière moi me pénètre en levrette pendant que mon mari prépare ma rondelle avec de la salive puis l'autre présente sa grosse queue contre ma rosette et doucement me sodomise jusqu'à l'orgasme et se vide dans mon cul. Quelle moment extraordinaire mais ce n’est qu’un fantasme malheureusement.
Témoignage de Emma posé le 02 03 2021
Je suis accroc au sexe
Je m’appelle Emma, je vis dans le sud ouest du pays, j’ai 32 ans, je suis divorcé sans enfant, mon mari m'a quitté car il me reprochait d'être une nympho, d'avoir toujours envie de baiser, à la fin il s'enfermait dans la chambre d'ami pour dormir, je suis d'accord avec lui, je suis accroc mais je n'y peux rien je suis comme ça, depuis ma première branlette et mon premier orgasme à 15 ans je suis folle de sexe, à 20 ans j'ai passé une soirée avec deux mecs et depuis j'ai toujours le feu. Je sens mal dès que je ne fais pas l'amour au moins deux fois par jour et quand c'est le cas je peux sauter sur tout ce qui à une queue vieux ou jeune rien ne m'arrête, j'ai besoin de sentir un membre qui s'active en moi. Quand je n'ai rien sous la main je me baise avec des accessoires ou tout ce qui peut remplacer. Quand je trouve un mec à la hauteur il reste avec moi quelques jours puis il disparaît, je suis insatiable. J'aime jouir comme une dingue par tous les trous, mais je n'aime pas le cunnilingus il me faut de l'action et de la puissance. Le summum pour moi à été le soir ou ils m'ont prise à deux en même temps, j'ai pris un pied d'enfer. A la fin d'une soirée anniversaire je me suis retrouvé avec quatre mecs ce fut un feu d'artifice pendant deux heures. J'ai essayé des soirées avec des couples mais les femmes ne me branche pas sauf si une d'entre elle à un vrai bon gode ceinture et peut me bourrer comme un mec.
J'ai souvent pensé à voir un addictologue mais je n'ose pas, j'espère pourtant trouver une solution car je sais bien qu'il va falloir que je trouve une solution car si je continu comme ça je ne sais pas comment je vais finir.
Je suis accroc au sexe
Je m’appelle Emma, je vis dans le sud ouest du pays, j’ai 32 ans, je suis divorcé sans enfant, mon mari m'a quitté car il me reprochait d'être une nympho, d'avoir toujours envie de baiser, à la fin il s'enfermait dans la chambre d'ami pour dormir, je suis d'accord avec lui, je suis accroc mais je n'y peux rien je suis comme ça, depuis ma première branlette et mon premier orgasme à 15 ans je suis folle de sexe, à 20 ans j'ai passé une soirée avec deux mecs et depuis j'ai toujours le feu. Je sens mal dès que je ne fais pas l'amour au moins deux fois par jour et quand c'est le cas je peux sauter sur tout ce qui à une queue vieux ou jeune rien ne m'arrête, j'ai besoin de sentir un membre qui s'active en moi. Quand je n'ai rien sous la main je me baise avec des accessoires ou tout ce qui peut remplacer. Quand je trouve un mec à la hauteur il reste avec moi quelques jours puis il disparaît, je suis insatiable. J'aime jouir comme une dingue par tous les trous, mais je n'aime pas le cunnilingus il me faut de l'action et de la puissance. Le summum pour moi à été le soir ou ils m'ont prise à deux en même temps, j'ai pris un pied d'enfer. A la fin d'une soirée anniversaire je me suis retrouvé avec quatre mecs ce fut un feu d'artifice pendant deux heures. J'ai essayé des soirées avec des couples mais les femmes ne me branche pas sauf si une d'entre elle à un vrai bon gode ceinture et peut me bourrer comme un mec.
J'ai souvent pensé à voir un addictologue mais je n'ose pas, j'espère pourtant trouver une solution car je sais bien qu'il va falloir que je trouve une solution car si je continu comme ça je ne sais pas comment je vais finir.
Article posé le 26 02 2021
Pourquoi les préliminaires sont importants.
Les préliminaires sont une phase de l'acte sexuel mais ne sont pas indispensables pour faire jouir la femme, ils servent avant tout à faire monter le désir, mais quand le désir est déjà là et que cela presse vraiment ! On passe directement au plat de résistance. Mais en règle générale comme la femme est plus lente dans sa réponse sexuelle que l'homme c'est pour cette raison que beaucoup de femmes préfèrent de longs préliminaires afin que la pénétration se fasse attendre, comme on le dit souvent plus c'est long plus c'est bon. Et puis il y a tellement à faire dans la parade amoureuse. Celle qui précède le rapprochement amoureux. Elle passe par la parole, le regard, les caresses, le baiser. La vraie définition c’est ça. Et dans la pratique, dans les couples bien souvent, cela n’existe plus. On passe du dîner au lit sans se regarder, sans rien dire. Or les femmes sont très sensibles à la parole et aux gestes. Que les hommes le sachent, le cœur d’une femme, peut se conquérir par la parole. Ensuite, bien sûr, le rapprochement des corps, les caresses sexuelles, vont aussi faire la différence. Pour la femme plus que pour l’homme, les préliminaires sont essentiels. Parce que, tout simplement, l’excitation féminine monte beaucoup plus lentement, pour l'homme l'érection est immédiate ou presque, on peut dire que les hommes sont des lièvres, et les femmes des tortues. C'est certainement la base de la réussite car pour que la pénétration soit agréable, il faut qu’il y ait une lubrification du vagin, et une excitation du corps clitoridien. C'est pourquoi les préliminaires sont importants, les femmes ont besoin d'être détendues et en confiance. Avec de bons préliminaires, elles se sentent objet d’attention et non plus de simple objet du plaisir masculin. Grâce à quoi, la relation sexuelle se passe bien. En faisant l’amour trop vite, sans préliminaires, un homme aura du plaisir, mais ne le partagera pas. Or le partage, c’est le but d’une relation sexuelle, non? Alors messieurs un peu d'attention et cessez de penser qu'à vous pour faire l'amour il faut être deux.
Pourquoi les préliminaires sont importants.
Les préliminaires sont une phase de l'acte sexuel mais ne sont pas indispensables pour faire jouir la femme, ils servent avant tout à faire monter le désir, mais quand le désir est déjà là et que cela presse vraiment ! On passe directement au plat de résistance. Mais en règle générale comme la femme est plus lente dans sa réponse sexuelle que l'homme c'est pour cette raison que beaucoup de femmes préfèrent de longs préliminaires afin que la pénétration se fasse attendre, comme on le dit souvent plus c'est long plus c'est bon. Et puis il y a tellement à faire dans la parade amoureuse. Celle qui précède le rapprochement amoureux. Elle passe par la parole, le regard, les caresses, le baiser. La vraie définition c’est ça. Et dans la pratique, dans les couples bien souvent, cela n’existe plus. On passe du dîner au lit sans se regarder, sans rien dire. Or les femmes sont très sensibles à la parole et aux gestes. Que les hommes le sachent, le cœur d’une femme, peut se conquérir par la parole. Ensuite, bien sûr, le rapprochement des corps, les caresses sexuelles, vont aussi faire la différence. Pour la femme plus que pour l’homme, les préliminaires sont essentiels. Parce que, tout simplement, l’excitation féminine monte beaucoup plus lentement, pour l'homme l'érection est immédiate ou presque, on peut dire que les hommes sont des lièvres, et les femmes des tortues. C'est certainement la base de la réussite car pour que la pénétration soit agréable, il faut qu’il y ait une lubrification du vagin, et une excitation du corps clitoridien. C'est pourquoi les préliminaires sont importants, les femmes ont besoin d'être détendues et en confiance. Avec de bons préliminaires, elles se sentent objet d’attention et non plus de simple objet du plaisir masculin. Grâce à quoi, la relation sexuelle se passe bien. En faisant l’amour trop vite, sans préliminaires, un homme aura du plaisir, mais ne le partagera pas. Or le partage, c’est le but d’une relation sexuelle, non? Alors messieurs un peu d'attention et cessez de penser qu'à vous pour faire l'amour il faut être deux.
Article posé le 25 02 2021
Plein feu sur les femmes fontaines et l'éjaculation féminine!
Saviez-vous que 75% des femmes éjaculent lors de l’orgasme, mais que la plupart du temps, la quantité est trop petite pour s’en rendre compte?!
Qu’est-ce que l’éjaculation féminine et d’où provient-elle?
L’éjaculation féminine est composée d’un liquide expulsé par l’urètre quand la femme est sur le point d’avoir un orgasme ou qu’elle en a un. La plupart des femmes éjaculent sans s’en rendre compte parce que l’émission de liquide est très faible. Toutefois, chez d’autres, le liquide est vraiment abondant. On les appelle les femmes fontaines. Les femmes peuvent éjaculer avec la stimulation vaginale, mais également par la stimulation du clitoris seule.
Les chercheurs ne s’entendent pas sur la composition du liquide libérer par les femmes lors de l’éjaculation. Plusieurs croient qu’il est principalement composé d’urine très diluée et d’autres pensent que c’est un mélange d’urine diluée et de sécrétions des glandes de Skene, qu’on appelle aussi la prostate féminine. Ce liquide s’apparente au liquide pré-éjaculatoire chez les hommes.
Est-ce que toutes les femmes peuvent éjaculer? Oui, non, pourquoi?
On dit que toutes les femmes peuvent éjaculer, que le mental y est pour beaucoup, mais que le physique joue également un rôle important. Il est possible d’obtenir et de maîtriser l’éjaculation avec des exercices de relaxation, car cela demande un lâcher-prise physique et mental. Il faut être à l’écoute de ses sensations physiques et érotiques et bien connaître son propre sexe pour y parvenir. Évidemment, une confiance en son partenaire est également primordiale pour expérimenter le phénomène femme fontaine.
Comment fait-on pour éjaculer comme les femmes fontaines?
Le meilleur conseil qu’on puisse donner à une femme qui désire tenter l’expérience, c’est de ne pas chercher à y arriver! L’éjaculation féminine survient surtout quand on ne s’y attend pas et qu’on vit pleinement le moment présent.
Un truc pour augmenter la capacité à éjaculer plus fort est de muscler son plancher pelvien avec les exercices de Kegel. Ces exercices préviennent l’incontinence urinaire et augmentent aussi les sensations érotiques. C’est à cela que servent les fameuses boules de geisha.
En gros, il s’agit de localiser le muscle de votre périnée et de faire des exercices. Pour le localiser, pensez au muscle que vous utilisez si vous désirez arrêter de faire pipi et effectuez ces exercices n’importe quand, même dans l’autobus en vous rendant au travail. Notez qu’il est contre-indiqué d’effectuer cet exercice au moment où vous urinez puisque vous risqueriez ainsi de développer une infection urinaire.
Plein feu sur les femmes fontaines et l'éjaculation féminine!
Saviez-vous que 75% des femmes éjaculent lors de l’orgasme, mais que la plupart du temps, la quantité est trop petite pour s’en rendre compte?!
Qu’est-ce que l’éjaculation féminine et d’où provient-elle?
L’éjaculation féminine est composée d’un liquide expulsé par l’urètre quand la femme est sur le point d’avoir un orgasme ou qu’elle en a un. La plupart des femmes éjaculent sans s’en rendre compte parce que l’émission de liquide est très faible. Toutefois, chez d’autres, le liquide est vraiment abondant. On les appelle les femmes fontaines. Les femmes peuvent éjaculer avec la stimulation vaginale, mais également par la stimulation du clitoris seule.
Les chercheurs ne s’entendent pas sur la composition du liquide libérer par les femmes lors de l’éjaculation. Plusieurs croient qu’il est principalement composé d’urine très diluée et d’autres pensent que c’est un mélange d’urine diluée et de sécrétions des glandes de Skene, qu’on appelle aussi la prostate féminine. Ce liquide s’apparente au liquide pré-éjaculatoire chez les hommes.
Est-ce que toutes les femmes peuvent éjaculer? Oui, non, pourquoi?
On dit que toutes les femmes peuvent éjaculer, que le mental y est pour beaucoup, mais que le physique joue également un rôle important. Il est possible d’obtenir et de maîtriser l’éjaculation avec des exercices de relaxation, car cela demande un lâcher-prise physique et mental. Il faut être à l’écoute de ses sensations physiques et érotiques et bien connaître son propre sexe pour y parvenir. Évidemment, une confiance en son partenaire est également primordiale pour expérimenter le phénomène femme fontaine.
Comment fait-on pour éjaculer comme les femmes fontaines?
Le meilleur conseil qu’on puisse donner à une femme qui désire tenter l’expérience, c’est de ne pas chercher à y arriver! L’éjaculation féminine survient surtout quand on ne s’y attend pas et qu’on vit pleinement le moment présent.
Un truc pour augmenter la capacité à éjaculer plus fort est de muscler son plancher pelvien avec les exercices de Kegel. Ces exercices préviennent l’incontinence urinaire et augmentent aussi les sensations érotiques. C’est à cela que servent les fameuses boules de geisha.
En gros, il s’agit de localiser le muscle de votre périnée et de faire des exercices. Pour le localiser, pensez au muscle que vous utilisez si vous désirez arrêter de faire pipi et effectuez ces exercices n’importe quand, même dans l’autobus en vous rendant au travail. Notez qu’il est contre-indiqué d’effectuer cet exercice au moment où vous urinez puisque vous risqueriez ainsi de développer une infection urinaire.
Article posé le 19 02 2021
Un grand écrivain Alfred de Musset (1810 à 1852) le disait.
Le cœur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.
Une pratique qui, aujourd’hui, est entourée d’idées reçues souvent très fausses.
On traite souvent les libertins de dépravés ayant une sexualité sale, incorrecte et violente alors que les libertins ont une sexualité tout à fait normale. Depuis 20 ans que je pratique le libertinage avec mon mari, je peux dire que la grande majorité des gens rencontrés applique, l'hygiène, la protection, le respect des autres. Après je ne sais pas ce qui se passe dans le SM ou d'autres catégories dont je tairais les noms car je pense qu'il ne s'agit plus de libertinage. Il n'y a pas que les hommes qui entraînent les femmes vers le libertinage, je suis à peu près sur qu'il y a autant de femmes que d'hommes car aujourd'hui les femmes veulent aussi profiter de leur corps et du plaisir qu'elles en retire. J'ai remarqué que par rapport à ce qui se raconte les libertins ne sont pas tous bisexuel bien au contraire. Chez les hommes une grande majorité reste hétéro alors que chez les femmes beaucoup sont bi.
J'ai remarqué aussi que certains couples fréquentent les clubs ou les soirées sans jamais pratiquer avec d'autres personnes ou ne pratiquent qu'ensemble. Ils m'ont raconté qu'ils ne viennent d'ailleurs que pour regarder ce qui s'y passe et pour s'imprégner de l'ambiance, cela suffit à les exciter et se retrouvent chez eux pour faire l'amour cela les excitent. Ils disent aussi qu'ils viennent en club parce qu'il n'y a pas d'obligation, que l'ambiance y est très bonne et les gens sympa. En résumé on peut dire que pour la plupart les libertins sont des personnes qui font une grande différence entre sexe et l'amour. Beaucoup de couples libertins vont en soirée libertine ensemble et ne se considèrent pas comme infidèles pour autant. Ils ont simplement préalablement défini un cadre, des règles et des limites qui conviennent à chacun. La fidélité se situe pour eux au niveau des sentiments et de certaines pratiques qu'ils se réservent, mais pas au niveau de la sexualité en tant que telle.
Contrairement à ce que peuvent penser beaucoup de gens qui critique le libertinage, celui çi peut être compatible avec une vie de famille, à condition évidemment de protéger ses enfants, de les garder hors de cette pratique. Des couples qui reçoivent chez eux le font lorsque les enfants sont absents. En aucun cas et même ceux en âge de comprendre ne doivent être mêlés à la vie sexuelle des parents. Pour mon cas, aujourd'hui mes enfants sont grands, ils n'ont jamais rien su de ce qui se passait avec mon mari dans notre vie sexuelle de couple.
Un grand écrivain Alfred de Musset (1810 à 1852) le disait.
Le cœur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.
Une pratique qui, aujourd’hui, est entourée d’idées reçues souvent très fausses.
On traite souvent les libertins de dépravés ayant une sexualité sale, incorrecte et violente alors que les libertins ont une sexualité tout à fait normale. Depuis 20 ans que je pratique le libertinage avec mon mari, je peux dire que la grande majorité des gens rencontrés applique, l'hygiène, la protection, le respect des autres. Après je ne sais pas ce qui se passe dans le SM ou d'autres catégories dont je tairais les noms car je pense qu'il ne s'agit plus de libertinage. Il n'y a pas que les hommes qui entraînent les femmes vers le libertinage, je suis à peu près sur qu'il y a autant de femmes que d'hommes car aujourd'hui les femmes veulent aussi profiter de leur corps et du plaisir qu'elles en retire. J'ai remarqué que par rapport à ce qui se raconte les libertins ne sont pas tous bisexuel bien au contraire. Chez les hommes une grande majorité reste hétéro alors que chez les femmes beaucoup sont bi.
J'ai remarqué aussi que certains couples fréquentent les clubs ou les soirées sans jamais pratiquer avec d'autres personnes ou ne pratiquent qu'ensemble. Ils m'ont raconté qu'ils ne viennent d'ailleurs que pour regarder ce qui s'y passe et pour s'imprégner de l'ambiance, cela suffit à les exciter et se retrouvent chez eux pour faire l'amour cela les excitent. Ils disent aussi qu'ils viennent en club parce qu'il n'y a pas d'obligation, que l'ambiance y est très bonne et les gens sympa. En résumé on peut dire que pour la plupart les libertins sont des personnes qui font une grande différence entre sexe et l'amour. Beaucoup de couples libertins vont en soirée libertine ensemble et ne se considèrent pas comme infidèles pour autant. Ils ont simplement préalablement défini un cadre, des règles et des limites qui conviennent à chacun. La fidélité se situe pour eux au niveau des sentiments et de certaines pratiques qu'ils se réservent, mais pas au niveau de la sexualité en tant que telle.
Contrairement à ce que peuvent penser beaucoup de gens qui critique le libertinage, celui çi peut être compatible avec une vie de famille, à condition évidemment de protéger ses enfants, de les garder hors de cette pratique. Des couples qui reçoivent chez eux le font lorsque les enfants sont absents. En aucun cas et même ceux en âge de comprendre ne doivent être mêlés à la vie sexuelle des parents. Pour mon cas, aujourd'hui mes enfants sont grands, ils n'ont jamais rien su de ce qui se passait avec mon mari dans notre vie sexuelle de couple.
Article posé le 17 02 2021
Témoignage de mon envie de libertinage.
Marie 38 ans, j’étais marié depuis 10 ans quand j’ai commencé à avoir envie d’explorer d’autres horizons pour ma sexualité. En parlant avec des copines de travail je me suis rendu compte qu'il y avait autre chose dans la sexualité que le sexe à la maison toujours avec le même partenaire, au même endroit, de la même façon le même jour à la même heure. Connaissant Jacques mon mari sur ce sujet, je savais que c'était pas gagné, pourtant moi je voulais ardemment tenter l'expérience. Donc doucement j'ai abordé le sujet un dimanche matin après que nous ayons fait l'amour et la réponse ne c'est pas faite attendre mais tu es complètement folle pourquoi veux tu aller voir ailleurs tu n'a pas ce que tu veux avec moi. Et moi du tac au tac NON ! Après son coup de colère passé, une discussion d'une heure après je n'étais pas plus avancé. J'ai tenté de renouveler la discussion pendant un mois sans résultat. Pour lui tout allait bien il était heureux sexuellement et ça lui suffisait. Pendant toute cette période je parlais beaucoup avec Sophie une copine de travail qui est libertine et avec qui j'ai beaucoup parlé libertinage, nous sommes devenues complices, elle connaissait bien Jacques pour être venu souvent à la maison. Toutes les deux nous avons décidé de monter un piège à mon mari le jour de son anniversaire un mois plus tard. En attendant le jour, Sophie est venu souvent à la maison le week-end avec pour objectif de chauffer doucement mon époux en restant toutefois discrète. Avec des tenues un peu sexy et des regards chauds elle su l'émoustiller et elle à rempli le contrat car au bout de trois semaines j'ai remarqué qu'il avait changé un peu. Par exemple après le départ de Sophie il me sautait dessus et me faisait l'amour comme jamais, nous étions sur le bon chemin. J'avais prévu de fêter son anniversaire en deux fois, une en tête à tête à la maison ou je lui offrirais Sophie en cadeau, et une autre la semaine d'après avec nos amis. Donc le soir venu nous étions à la maison tous les deux j'avais organisé une belle table avec des chandelles, un repas spécial. Je m'étais habillé sexy même un peu plus que d'habitude. L'ambiance était bonne, moi j'étais fébrile car j'attendais ce moment depuis un mois et j'avais un peu peur qu'il pique une colère et foute tout par terre. A neuf heures comme prévu la sonnette retentit. Il me regarde avec surprise et me demande qui c'est, je réponds je vais voir. Je vais jusqu'à la porte l'ouvre la fait entrer et je crie c'est Sophie ! Elle à mit une tenue qu'elle met quand elle va chasser en club libertin. Nous débarquons dans le salon elle devant, moi un peu à l'écart derrière. Elle se jette dans ses bras moi je crie bonne anniversaire chéri. Il est là médusé, il nous regarde d'un air ahuri il ne sait pas très bien ce qui lui arrive. Je lui confirme c'est ton cadeau chéri ! Il la tient dans ses bras, elle l'embrasse et je me joins à eux. Coincé entre nous deux il se laisse faire et mon dieu à plutôt l'air d'apprécier car il ne bronche pas ses mains caressent les fesses de ma copine. A tour de rôle nous l'embrassons sur la bouche. Sophie lové bien contre lui, et moi qui enlace les deux. Puis une fois qu'apparemment il a bien prit la chose je lance si nous mangions le cadeau ? Tous les trois à table nous rigolons de ce moment agréable que nous venons de passer quand Jacques me demande tu es sérieuse quand tu m'offre Sophie en cadeau. Moi bien sur chéri et en plus je m'offre en prime car tu sais que je t'aime. Puis le champagne, la musique et un moment plus tard nous étions les deux femmes nues sur le canapé entrain de déshabiller mon mari qui souriait et avait l'air content du cadeau. Il nous à prise toutes les deux, j'ai fait l'amour avec ma copine pour la première fois sous le regard de mon mari qui nous à baisées toute la nuit. Ce fut le déclenchement de notre vie libertine. Nous avons fait ensuite plusieurs soirées avec Sophie avant de commencer à fréquenter les clubs libertins mais toujours tous les trois.
Il y a beaucoup changé dans sa façon de voir la sexualité et je dois dire que notre couple c'est jamais si bien porté.
Témoignage de mon envie de libertinage.
Marie 38 ans, j’étais marié depuis 10 ans quand j’ai commencé à avoir envie d’explorer d’autres horizons pour ma sexualité. En parlant avec des copines de travail je me suis rendu compte qu'il y avait autre chose dans la sexualité que le sexe à la maison toujours avec le même partenaire, au même endroit, de la même façon le même jour à la même heure. Connaissant Jacques mon mari sur ce sujet, je savais que c'était pas gagné, pourtant moi je voulais ardemment tenter l'expérience. Donc doucement j'ai abordé le sujet un dimanche matin après que nous ayons fait l'amour et la réponse ne c'est pas faite attendre mais tu es complètement folle pourquoi veux tu aller voir ailleurs tu n'a pas ce que tu veux avec moi. Et moi du tac au tac NON ! Après son coup de colère passé, une discussion d'une heure après je n'étais pas plus avancé. J'ai tenté de renouveler la discussion pendant un mois sans résultat. Pour lui tout allait bien il était heureux sexuellement et ça lui suffisait. Pendant toute cette période je parlais beaucoup avec Sophie une copine de travail qui est libertine et avec qui j'ai beaucoup parlé libertinage, nous sommes devenues complices, elle connaissait bien Jacques pour être venu souvent à la maison. Toutes les deux nous avons décidé de monter un piège à mon mari le jour de son anniversaire un mois plus tard. En attendant le jour, Sophie est venu souvent à la maison le week-end avec pour objectif de chauffer doucement mon époux en restant toutefois discrète. Avec des tenues un peu sexy et des regards chauds elle su l'émoustiller et elle à rempli le contrat car au bout de trois semaines j'ai remarqué qu'il avait changé un peu. Par exemple après le départ de Sophie il me sautait dessus et me faisait l'amour comme jamais, nous étions sur le bon chemin. J'avais prévu de fêter son anniversaire en deux fois, une en tête à tête à la maison ou je lui offrirais Sophie en cadeau, et une autre la semaine d'après avec nos amis. Donc le soir venu nous étions à la maison tous les deux j'avais organisé une belle table avec des chandelles, un repas spécial. Je m'étais habillé sexy même un peu plus que d'habitude. L'ambiance était bonne, moi j'étais fébrile car j'attendais ce moment depuis un mois et j'avais un peu peur qu'il pique une colère et foute tout par terre. A neuf heures comme prévu la sonnette retentit. Il me regarde avec surprise et me demande qui c'est, je réponds je vais voir. Je vais jusqu'à la porte l'ouvre la fait entrer et je crie c'est Sophie ! Elle à mit une tenue qu'elle met quand elle va chasser en club libertin. Nous débarquons dans le salon elle devant, moi un peu à l'écart derrière. Elle se jette dans ses bras moi je crie bonne anniversaire chéri. Il est là médusé, il nous regarde d'un air ahuri il ne sait pas très bien ce qui lui arrive. Je lui confirme c'est ton cadeau chéri ! Il la tient dans ses bras, elle l'embrasse et je me joins à eux. Coincé entre nous deux il se laisse faire et mon dieu à plutôt l'air d'apprécier car il ne bronche pas ses mains caressent les fesses de ma copine. A tour de rôle nous l'embrassons sur la bouche. Sophie lové bien contre lui, et moi qui enlace les deux. Puis une fois qu'apparemment il a bien prit la chose je lance si nous mangions le cadeau ? Tous les trois à table nous rigolons de ce moment agréable que nous venons de passer quand Jacques me demande tu es sérieuse quand tu m'offre Sophie en cadeau. Moi bien sur chéri et en plus je m'offre en prime car tu sais que je t'aime. Puis le champagne, la musique et un moment plus tard nous étions les deux femmes nues sur le canapé entrain de déshabiller mon mari qui souriait et avait l'air content du cadeau. Il nous à prise toutes les deux, j'ai fait l'amour avec ma copine pour la première fois sous le regard de mon mari qui nous à baisées toute la nuit. Ce fut le déclenchement de notre vie libertine. Nous avons fait ensuite plusieurs soirées avec Sophie avant de commencer à fréquenter les clubs libertins mais toujours tous les trois.
Il y a beaucoup changé dans sa façon de voir la sexualité et je dois dire que notre couple c'est jamais si bien porté.
Article posé le 16 02 2021
Pour ceux et celles qui voient leur vie sexuelle uniquement dans le cadre homme femme du couple pour toujours, pas de problème et rien à y redire.
Pour les autres c'est plus compliqué et plus risqué, même si tous les libertins disent que c' est essentiel à l’épanouissement sexuel…Nombreux sont ceux et celles qui disent je ne pourrai pas vivre sans changement de partenaires. Depuis les années 70 et 80 l’évolution des pratiques amoureuses : libertinage, échangisme, triolisme etc, etc à progressé beaucoup plus vite que les salaires. Au début des maisons clandestines et des rendez vous sauvages avec le minitel. Aujourd'hui les choses ont beaucoup évoluées. Pourquoi se contenter d’un seul partenaire et de relations traditionnelles quand on peut varier les plaisirs ? C’est sans doute ce que se disent les adeptes du libertinage. Le libertinage pour un couple ne pose finalement pas de problèmes tant que les règles établies à l'avance sont respectées et que les choix de chacun ne se font pas sous la contrainte…
Le libertinage, une façon de pimenter les relations
Souvent, les couples qui s’adonnent au libertinage et qui fréquentent les clubs échangistes sont ensemble depuis déjà un bon moment. Expérimenter des rapports avec plusieurs personnes en même temps ou pratiquer l’échangisme est un moyen de remettre un peu de piment dans une relation un peu trop routinière. Quand on vit ensemble depuis 10 ans, avec l'arrivée des enfants la monotonie s'installe et avec les occupations, sports, pêche , foot ou autres. On fait l'amour de moins en moins et de plus en plus vite. Pourtant l'un comme l'autre on se rend bien compte qu'il se passe plus rien ou pas grand chose et l'on aimerait bien remettre en route ce qui pimente le plus la vie du couple. Alors on parle un peu de ça, on entend dire, les amis pratiquent. Alors on se dit pourquoi pas essayer ?
Attention au passage à l’acte
Souvent, entre l’idée qu’on se fait de la pratique du libertinage et la réalité, il y a un pas que certains regrettent vite d’avoir franchi. La confrontation au réel peut être très excitante ou être un désastre. Ce qui paraissait merveilleux dans ce contexte festif apparaît glauque le lendemain. D’où la nécessité de bien réfléchir avant de se lancer et d’y aller pas à pas . Par exemple, dans le cas d’un plan à trois, mieux vaut commencer par dîner ensemble. Ou prendre un verre, pour voir si le contact est bon et si chacun des trois protagonistes est d’accord pour aller plus loin. Idem pour ceux qui sont tentés d’aller dans une soirée échangiste. Se renseigner en amont sur la possibilité ou non de pouvoir être là en qualité d’observateur et ne rien faire. Bien discuter aussi auparavant avec son partenaire sur ce qu’on est prêt à accepter ou pas. Jusqu’où on souhaite aller trop loin !
Parce que c’est une chose d’avoir envie d’échanger son partenaire. C’en est une autre que de le voir en action avec un ou une autre. Ou de se laisser toucher par un homme ou une femme qu’on ne connaît pas, sous les yeux de son conjoint !
Croire que le libertinage en pensant que l’on va résoudre son problème de couple, c’est voué à l’échec . Il est impératif de parler d'abord de tout avant de passer à l'acte.
Attention le libertinage pour un couple c'est extra quand on s'entend bien et que l'on respecte les règles, mais c'est le divorce assuré si l'un transgresse les règles
Pour ceux et celles qui voient leur vie sexuelle uniquement dans le cadre homme femme du couple pour toujours, pas de problème et rien à y redire.
Pour les autres c'est plus compliqué et plus risqué, même si tous les libertins disent que c' est essentiel à l’épanouissement sexuel…Nombreux sont ceux et celles qui disent je ne pourrai pas vivre sans changement de partenaires. Depuis les années 70 et 80 l’évolution des pratiques amoureuses : libertinage, échangisme, triolisme etc, etc à progressé beaucoup plus vite que les salaires. Au début des maisons clandestines et des rendez vous sauvages avec le minitel. Aujourd'hui les choses ont beaucoup évoluées. Pourquoi se contenter d’un seul partenaire et de relations traditionnelles quand on peut varier les plaisirs ? C’est sans doute ce que se disent les adeptes du libertinage. Le libertinage pour un couple ne pose finalement pas de problèmes tant que les règles établies à l'avance sont respectées et que les choix de chacun ne se font pas sous la contrainte…
Le libertinage, une façon de pimenter les relations
Souvent, les couples qui s’adonnent au libertinage et qui fréquentent les clubs échangistes sont ensemble depuis déjà un bon moment. Expérimenter des rapports avec plusieurs personnes en même temps ou pratiquer l’échangisme est un moyen de remettre un peu de piment dans une relation un peu trop routinière. Quand on vit ensemble depuis 10 ans, avec l'arrivée des enfants la monotonie s'installe et avec les occupations, sports, pêche , foot ou autres. On fait l'amour de moins en moins et de plus en plus vite. Pourtant l'un comme l'autre on se rend bien compte qu'il se passe plus rien ou pas grand chose et l'on aimerait bien remettre en route ce qui pimente le plus la vie du couple. Alors on parle un peu de ça, on entend dire, les amis pratiquent. Alors on se dit pourquoi pas essayer ?
Attention au passage à l’acte
Souvent, entre l’idée qu’on se fait de la pratique du libertinage et la réalité, il y a un pas que certains regrettent vite d’avoir franchi. La confrontation au réel peut être très excitante ou être un désastre. Ce qui paraissait merveilleux dans ce contexte festif apparaît glauque le lendemain. D’où la nécessité de bien réfléchir avant de se lancer et d’y aller pas à pas . Par exemple, dans le cas d’un plan à trois, mieux vaut commencer par dîner ensemble. Ou prendre un verre, pour voir si le contact est bon et si chacun des trois protagonistes est d’accord pour aller plus loin. Idem pour ceux qui sont tentés d’aller dans une soirée échangiste. Se renseigner en amont sur la possibilité ou non de pouvoir être là en qualité d’observateur et ne rien faire. Bien discuter aussi auparavant avec son partenaire sur ce qu’on est prêt à accepter ou pas. Jusqu’où on souhaite aller trop loin !
Parce que c’est une chose d’avoir envie d’échanger son partenaire. C’en est une autre que de le voir en action avec un ou une autre. Ou de se laisser toucher par un homme ou une femme qu’on ne connaît pas, sous les yeux de son conjoint !
Croire que le libertinage en pensant que l’on va résoudre son problème de couple, c’est voué à l’échec . Il est impératif de parler d'abord de tout avant de passer à l'acte.
Attention le libertinage pour un couple c'est extra quand on s'entend bien et que l'on respecte les règles, mais c'est le divorce assuré si l'un transgresse les règles
Article posé le 15 02 2021.
Que dire du libertinage
Quelle est la réalité des chiffres du libertinage en France et en Europe ? En sachant que ces chiffres sont certainement pas très justes car beaucoup de gens qui libertine reste en mode cachés. Quel succès ou non connaît ce phénomène ? Combien de gens cela touche-t-il ? Quels sont les nombres des lieux concernés ou des pratiques existantes ? Nous vous livrons toute une série de statistiques sur les libertins qui traduit l’ampleur qu’ils prennent dans notre communauté sexuelle.
Les champions du libertinage en Europe : les Belges
Les Belges sont incontestablement les champions d’Europe de l’échangisme : près d’un sur dix (9 %) a déjà fréquenté un lieu échangiste (contre 6 % en moyenne dans les autres pays) et 7 % d’entre eux ont déjà pratiqué l’échange de partenaires entre couples (contre 4 à 6 % dans les autres pays étudiés). Les Belges sont aussi ceux qui font le plus l’amour en présence d’autres partenaires sexuels (avec un chiffre record de 17 % contre seulement en moyenne 10 à 13 % dans les autres pays !). Et, à égalité avec toujours nos amis belges, les Britanniques sont ceux qui s’adonnent le plus à la pratique très gourmande de l’orgie (12 %).
Et les Français, on est ou ?
En moyenne, nous nous classons en 2ième ou 3ième position dans le nombre de rapports à plusieurs et donc libertins. Mais nous progressons vite, car nous sommes deux fois plus nombreux qu’il y a 20 ans à pratiquer et aimer grandement l’échange de partenaires. Nous sommes aussi le pays qui compte le plus de lieux libertins en Europe et donc au monde. Ce qui induit une hausse significative de la fréquentation de lieux libertins comme les clubs et les saunas, puisqu’on observe une nette progression du nombre de personnes ayant connu ce type de lieux coquins (ils étaient 7 % en 2014 contre 2,6 % en 2006).
La France est la capitale européenne avec le cap d'Agde.
Les libertins rajeunissent !
En effet, nous constatons par ailleurs, grâce à l’enquête de l’Ifop pour le compte de Wyylde, que c’est parmi nos jeunes de 25 à 34 ans (6 %) et non plus de ceux âgés de 35 à 49 ans (5 %) que l’on trouve aujourd’hui le plus d’adeptes, les jeunes de moins de 25 ans (4 %) étant quant à eux plus nombreux que les plus de 50 ans (3 %) à avoir fait les coquins !
Combien y a-t-il de pratiques libertines connues ?
Même si le chiffre n’est pas réellement exhaustif, on compte globalement 10 grandes tendances : – le voyeurisme : regarder des couples faire l’amour, ensemble ou à plusieurs, – l’exhibitionnisme : faire l’amour devant d’autres, – le côte-à-côtisme : faire l’amour en couple à côté d’un ou de plusieurs autres couples, – le mélangisme : faire l’amour à côté d’un couple en le touchant, – le triolisme : faire l’amour à trois, – l’échangisme : échanger ses partenaires avec d’autres couples, – le candaulisme : l’un des partenaires regarde l’autre faire l’amour sans participer, – le fétichisme : regarder, toucher ou porter des objets ou vêtements, – la domination/soumission ou sadomasochisme : dominer ou être dominé par son partenaire sexuel, – le travestissement : se grimer en quelqu’un du sexe opposé avec des accessoires et en adopter le comportement.
Combien y a-t-il de clubs en France ?
Comme nous l’avons vu plus haut, nous sommes de plus en plus nombreux en France à fréquenter des lieux libertins. Principalement sous forme de clubs, voire de bars, ou de saunas, nous comptons aujourd’hui, selon le site France Coquine et plusieurs autres qui les référence tous, entre de 260 et 280 clubs libertins.
Mais à ces lieux connus, il faut ajouter :
– tous les lieux libertins extérieurs comme les parkings, les plages, les toilettes publiques, les forêts… Et là, on peut étendre à 150 le nombre d’espaces où les couples se rencontrent en toute discrétion !
– les maisons d’hôtes, ou guesthouses, tenues par des couples qui vous accueillent dans un environnement protégé et propice au libertinage. On en compte une quinzaine qui sont durables.
Quelles sont les régions les plus libertines ?
Pour établir ce classement, nous sommes restés sur les anciennes dénominations des grandes régions :
1 – Auvergne-Rhône-Alpes, avec plus de 75 lieux recensés,
2 – Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, avec près de 67 endroits libertins,
3 – L’Île-de-France, avec plus de 45 lieux, ce qui, ramené à la taille de celle-ci, en fait la région la plus active en matière de libertinage.
La bonne dernière est : les Pays de la Loire, avec seulement 17 clubs recensés.
Article déposé le 09 02 2021
Témoignage d'une femme ronde devenu libertine.
Je m'appelle Colette j'ai 35 ans, je suis célibataire sans enfant. Je faisais partie des femmes complexées par leurs kilos en trop et le regard goguenard de certains hommes. Je m'habillais toujours en pantalon ? Enfin pour faire vite, j'étais une grosse que les hommes fuient. Une copine qui me voyait malheureuse m'a faite entrer avec elle dans une association caritative ou là j'ai rencontré un garçon pas comme les autres, bien plus grand que moi sportif et pas mal du tout. Dès les premiers jours il est devenu mon ami, il me traité comme une femme pas comme une grosse, nous parlions souvent de cul, il était très gentil avec moi me complimentait souvent, me conseillait pour m'habiller. Ah ce fut long mais il était tenace, grâce à lui je me suis aperçu que j'aimais le sexe même si je n'avais pas beaucoup pratiqué, au bout de quatre mois je couchais avec lui, j'osais me mettre nue devant lui, me promener nue dans l'appartement. Il m'a fait découvrir les sex-toys, la lingerie sexy. Je me suis mis à faire du sport avec lui, après avoir perdu quelques kilos il m'a habitué à m'habiller en femme et m'a demandé d'aller avec lui en club libertin ce que j'ai fini par accepter. Et puis ce fut notre première expérience en club libertin, cela nous à vite plu le mélange des corps, l’absence totale de jugement, pouvoir observer et être observés sans que ce soit malsain ou étrange. Il m'a toujours dit il n'y a rien d'obligatoire si tu veux tu le fait sinon tu laisse il n'y a aucune obligation. Je me suis vite aperçu que beaucoup d'hommes s’intéressaient à moi et même quelques femmes. Cela m'a donné beaucoup d'assurance, maintenant je ne crains plus rien. Je fais aisément l'amour nu devant plusieurs personnes hommes ou femmes sans me poser la moindre question sur les kilos en trop que j'ai toujours et sur mes énormes seins.
Nous y avons trouvé beaucoup de beauté, de sensualité, un monde où les barrières tombent. J'aime maintenant le libertinage et j'en profite au maximum mais toujours avec mon chouchou.
Témoignage d'une femme ronde devenu libertine.
Je m'appelle Colette j'ai 35 ans, je suis célibataire sans enfant. Je faisais partie des femmes complexées par leurs kilos en trop et le regard goguenard de certains hommes. Je m'habillais toujours en pantalon ? Enfin pour faire vite, j'étais une grosse que les hommes fuient. Une copine qui me voyait malheureuse m'a faite entrer avec elle dans une association caritative ou là j'ai rencontré un garçon pas comme les autres, bien plus grand que moi sportif et pas mal du tout. Dès les premiers jours il est devenu mon ami, il me traité comme une femme pas comme une grosse, nous parlions souvent de cul, il était très gentil avec moi me complimentait souvent, me conseillait pour m'habiller. Ah ce fut long mais il était tenace, grâce à lui je me suis aperçu que j'aimais le sexe même si je n'avais pas beaucoup pratiqué, au bout de quatre mois je couchais avec lui, j'osais me mettre nue devant lui, me promener nue dans l'appartement. Il m'a fait découvrir les sex-toys, la lingerie sexy. Je me suis mis à faire du sport avec lui, après avoir perdu quelques kilos il m'a habitué à m'habiller en femme et m'a demandé d'aller avec lui en club libertin ce que j'ai fini par accepter. Et puis ce fut notre première expérience en club libertin, cela nous à vite plu le mélange des corps, l’absence totale de jugement, pouvoir observer et être observés sans que ce soit malsain ou étrange. Il m'a toujours dit il n'y a rien d'obligatoire si tu veux tu le fait sinon tu laisse il n'y a aucune obligation. Je me suis vite aperçu que beaucoup d'hommes s’intéressaient à moi et même quelques femmes. Cela m'a donné beaucoup d'assurance, maintenant je ne crains plus rien. Je fais aisément l'amour nu devant plusieurs personnes hommes ou femmes sans me poser la moindre question sur les kilos en trop que j'ai toujours et sur mes énormes seins.
Nous y avons trouvé beaucoup de beauté, de sensualité, un monde où les barrières tombent. J'aime maintenant le libertinage et j'en profite au maximum mais toujours avec mon chouchou.
Article posé le 06 02 2021
C'est quoi la bisexualité ?
La bisexualité est le fait d'éprouver de l'attirance sexuelle ou des sentiments amoureux pour plus d'un sexe ou genre. Plus largement, la bisexualité est le fait d'avoir des relations amoureuses ou sexuelles aussi bien avec des personnes du même genre qu'avec des personnes d'un autre genre.
Un bisexuel ou une bisexuelle est une personne dont l'orientation sexuelle est la bisexualité. La bisexualité ne représente pas nécessairement une tendance à être attiré autant par un genre que par l'autre, le degré d'attirance envers les deux genres pouvant très largement varier sur l'échelle de KinseyMS 1. Si le mot bisexualité n'a été forgé qu'au début du xxe siècle, la bisexualité a une histoire bien plus ancienne. Dans le règne animal, nombre d'animaux, en particulier les dauphins ou les bonobos sont activement bisexuels. La perception binaire de la sexualité humaine, soit la conception selon laquelle on ne peut être qu'hétérosexuel ou homosexuel, généralisée dans la culture populaire et présente dans nombre de travaux universitaires, a conduit à une occultation de la bisexualité comme phénomène spécifique, en particulier dans les sciences humaines des xixe et xxe siècles. Lorsque cette occultation est intériorisée, elle conduit des personnes de fait bisexuelles à se présenter comme « hétérosexuelles » ou « homosexuelles », participant ainsi à une invisibilité de la bisexualité dans la société en général et même parfois au sein des mouvements LGBT (ainsi, seule une part marginale de la population étudiée dans des recherches sexologiques se déclare bisexuelle). Toutefois, après les approches psychanalytiques de la sexualité humaine (notamment celles de Freud, avec le concept de « bisexualité innée »), les études éthologiques et neuroscientifiques des hominidés, ainsi que l'histoire mondiale de la bisexualité, un débat contemporain s'est instauré sur le fait de savoir si la bisexualité serait l'orientation sexuelle naturelle de l'être humain. Les femmes auraient plus de tendances à la bisexualité que les hommes, ou auraient une approche plus « fluide » de leur sexualité. Elles sont non seulement en proportion plus nombreuses à déclarer leur bisexualité par rapport aux hommes, mais elles sont également plus enclines à faire évoluer la manière dont elles s'identifient. Une étude de l'université Columbia en 2016 pointe la stigmatisation associée à la bisexualité masculine comme raison de ne pas s'identifier comme tel.
Témoignage d'un homme : Julien 42 ans, très vite dans mon adolescence je me suis aperçu que j'étais attiré par les filles mais aussi par les garçons. J'ai donc eu des conquêtes et aventures féminines en plein jour mais aussi des aventures avec des garçons dans le plus grand secret et oui le qu'en dira t'on. Et puis j'ai rencontré celle avec qui je me suis marié et eu des enfants. 15 ans plus tard les vieux démons sont revenus lorsque que j'ai rencontré un homme de mon âge avec qui ce fut le coup de foudre. Mais comment géré une situation qui vous dépasse? J'aime énormément ma femme et mes enfants et incroyable j'aime aussi cet homme. Un lourd fardeau à porter. A quarante ans j'ai décidé à en parler à ma femme car je ne voulais plus lui mentir. Ce fut long et douloureux pour elle mais par amour pour moi elle à toléré ma bisexualité plutôt que de divorcer, et petit a petit nous avons repris une vie à peu près normale.
Témoignage d'une femme : Marielle Mon histoire est simple et à la fois je suis un peu perdue. J'ai 36 ans, je vis avec mon mari depuis 16 ans, je lui est toujours été fidèle. Nous avons eu une fille ensemble. Pourtant, j'ai toujours été attiré par les femmes depuis mon adolescence, j'ai toujours flirté et fait l'amour avec des filles avant mon mariage. J'ai fais la connaissance il y a deux mois d'une femme sur mon lieu de travail avec qui j'ai une aventure très forte. Je suis folle amoureuse d'elle et je ne sais plus comment faire. Jouer sur les deux côtés ou faire exploser mon couple. J'ai décidé d'informer mon mari sur ma bisexualité depuis mon plus jeune âge, que je l'ai trompé avec une femme, à ma grande surprise il a pas trop mal pris cette nouvelle, m'a remercié de lui avoir dit la vérité et de lui avoir fait confiance. Puis quelques jours plus tard après avoir fait l'amour ensemble il m'a prise dans ses bras et m'a dit chérie nous nous aimons trop pour tout foutre par terre maintenant si tu me promet que notre relation n'en pâtira pas, que tu restera discrète, et que ce ne soit pas avec un homme je ferme les yeux. Mon problème, je suis malheureuse parce que je crois qu'il pense que j'ai eu cette aventure uniquement pour le sexe. En réalité je très amoureuse de cette femme, je pense même que je pourrais le quitter pour elle. Je l'aime comme mon mari, un amant. Mais il me manque une femme dans ma vie. Je suis perdue entre mon envie de rester avec la femme de ma vie et continuer à vivre avec un homme que j'adore.
C'est quoi la bisexualité ?
La bisexualité est le fait d'éprouver de l'attirance sexuelle ou des sentiments amoureux pour plus d'un sexe ou genre. Plus largement, la bisexualité est le fait d'avoir des relations amoureuses ou sexuelles aussi bien avec des personnes du même genre qu'avec des personnes d'un autre genre.
Un bisexuel ou une bisexuelle est une personne dont l'orientation sexuelle est la bisexualité. La bisexualité ne représente pas nécessairement une tendance à être attiré autant par un genre que par l'autre, le degré d'attirance envers les deux genres pouvant très largement varier sur l'échelle de KinseyMS 1. Si le mot bisexualité n'a été forgé qu'au début du xxe siècle, la bisexualité a une histoire bien plus ancienne. Dans le règne animal, nombre d'animaux, en particulier les dauphins ou les bonobos sont activement bisexuels. La perception binaire de la sexualité humaine, soit la conception selon laquelle on ne peut être qu'hétérosexuel ou homosexuel, généralisée dans la culture populaire et présente dans nombre de travaux universitaires, a conduit à une occultation de la bisexualité comme phénomène spécifique, en particulier dans les sciences humaines des xixe et xxe siècles. Lorsque cette occultation est intériorisée, elle conduit des personnes de fait bisexuelles à se présenter comme « hétérosexuelles » ou « homosexuelles », participant ainsi à une invisibilité de la bisexualité dans la société en général et même parfois au sein des mouvements LGBT (ainsi, seule une part marginale de la population étudiée dans des recherches sexologiques se déclare bisexuelle). Toutefois, après les approches psychanalytiques de la sexualité humaine (notamment celles de Freud, avec le concept de « bisexualité innée »), les études éthologiques et neuroscientifiques des hominidés, ainsi que l'histoire mondiale de la bisexualité, un débat contemporain s'est instauré sur le fait de savoir si la bisexualité serait l'orientation sexuelle naturelle de l'être humain. Les femmes auraient plus de tendances à la bisexualité que les hommes, ou auraient une approche plus « fluide » de leur sexualité. Elles sont non seulement en proportion plus nombreuses à déclarer leur bisexualité par rapport aux hommes, mais elles sont également plus enclines à faire évoluer la manière dont elles s'identifient. Une étude de l'université Columbia en 2016 pointe la stigmatisation associée à la bisexualité masculine comme raison de ne pas s'identifier comme tel.
Témoignage d'un homme : Julien 42 ans, très vite dans mon adolescence je me suis aperçu que j'étais attiré par les filles mais aussi par les garçons. J'ai donc eu des conquêtes et aventures féminines en plein jour mais aussi des aventures avec des garçons dans le plus grand secret et oui le qu'en dira t'on. Et puis j'ai rencontré celle avec qui je me suis marié et eu des enfants. 15 ans plus tard les vieux démons sont revenus lorsque que j'ai rencontré un homme de mon âge avec qui ce fut le coup de foudre. Mais comment géré une situation qui vous dépasse? J'aime énormément ma femme et mes enfants et incroyable j'aime aussi cet homme. Un lourd fardeau à porter. A quarante ans j'ai décidé à en parler à ma femme car je ne voulais plus lui mentir. Ce fut long et douloureux pour elle mais par amour pour moi elle à toléré ma bisexualité plutôt que de divorcer, et petit a petit nous avons repris une vie à peu près normale.
Témoignage d'une femme : Marielle Mon histoire est simple et à la fois je suis un peu perdue. J'ai 36 ans, je vis avec mon mari depuis 16 ans, je lui est toujours été fidèle. Nous avons eu une fille ensemble. Pourtant, j'ai toujours été attiré par les femmes depuis mon adolescence, j'ai toujours flirté et fait l'amour avec des filles avant mon mariage. J'ai fais la connaissance il y a deux mois d'une femme sur mon lieu de travail avec qui j'ai une aventure très forte. Je suis folle amoureuse d'elle et je ne sais plus comment faire. Jouer sur les deux côtés ou faire exploser mon couple. J'ai décidé d'informer mon mari sur ma bisexualité depuis mon plus jeune âge, que je l'ai trompé avec une femme, à ma grande surprise il a pas trop mal pris cette nouvelle, m'a remercié de lui avoir dit la vérité et de lui avoir fait confiance. Puis quelques jours plus tard après avoir fait l'amour ensemble il m'a prise dans ses bras et m'a dit chérie nous nous aimons trop pour tout foutre par terre maintenant si tu me promet que notre relation n'en pâtira pas, que tu restera discrète, et que ce ne soit pas avec un homme je ferme les yeux. Mon problème, je suis malheureuse parce que je crois qu'il pense que j'ai eu cette aventure uniquement pour le sexe. En réalité je très amoureuse de cette femme, je pense même que je pourrais le quitter pour elle. Je l'aime comme mon mari, un amant. Mais il me manque une femme dans ma vie. Je suis perdue entre mon envie de rester avec la femme de ma vie et continuer à vivre avec un homme que j'adore.
Article Posé le 04 02 2021.
Je ne sais plus ou j'en suis ?
Je suis une femme de 38 ans, mariée depuis 12 ans, deux enfants, vivant avec mon mari une vie de couple un peu monotone certes, mais sans problème particulier. Dans ma jeunesse, j'ai eu une vie sexuelle très active et variée , amour à plusieurs, entre filles, etc. Je ne m'en suis jamais caché auprès de mon mari, mais j'ai l'impression qu'il ressent comme une jalousie vis à vis de mon parcours, lui n'ayant eu que peu d'histoires et toujours sans extra. Depuis que nous parlons beaucoup de sexualité ensemble, il commence à admettre qu'il aimerait beaucoup connaître d'autres sensations mais il à aussi un peu peur. Nous avons toujours dit que si l'occasion se présentait, on pourrait faire quelque chose avec une autre personne ou avec un couple sans que ce soit de la tromperie à partir du moment où chacun est d'accord sur le principe et à la condition qu’on le fasse ensemble. Nous fantasmions beaucoup sur un couple d'amis qui nous semblait partant aussi. L'été dernier ce qui devait arrivé s'est produit pendant que nous étions en vacances ensemble. Sauf que dans notre scénario, nous couchions tous ensemble. Mais en réalité, lui l'a fait avec l'autre femme, mais moi j'ai simplement regardé, car l'ami en question n'était pas à l'aise et n'a pas voulu franchir le pas. En fin de soirée nous avons fini à trois et il m'a fait l'amour après, notre ami restant de côté. Personnellement, cette expérience m'a beaucoup excité. Mais je suis soucieuse de la facilité avec laquelle mon homme à couché avec cette femme alors qu'il voyait qu'il ne se passait rien de mon côté. Certes, nous étions d'accord et je ne lui reproche rien mais Je crois qu'au fond de moi, je le croyais pas capable et cela me perturbe. J’ai jouer avec le feu, et je me suis brûlé. Depuis nous continuons l'expérience avec d'autres mais nous n'échangeons jamais nous faisons l'amour côte à côte. Je suis devenu jalouse et j'ai peur que cela lui donne envie de me tromper vraiment. Je suis totalement perdue, je l'aime et je voudrais qu'il n'ait envie que de moi. Pourtant j'ai toujours envie de rencontrer d'autres couples.
Je ne sais plus ou j'en suis ?
Je suis une femme de 38 ans, mariée depuis 12 ans, deux enfants, vivant avec mon mari une vie de couple un peu monotone certes, mais sans problème particulier. Dans ma jeunesse, j'ai eu une vie sexuelle très active et variée , amour à plusieurs, entre filles, etc. Je ne m'en suis jamais caché auprès de mon mari, mais j'ai l'impression qu'il ressent comme une jalousie vis à vis de mon parcours, lui n'ayant eu que peu d'histoires et toujours sans extra. Depuis que nous parlons beaucoup de sexualité ensemble, il commence à admettre qu'il aimerait beaucoup connaître d'autres sensations mais il à aussi un peu peur. Nous avons toujours dit que si l'occasion se présentait, on pourrait faire quelque chose avec une autre personne ou avec un couple sans que ce soit de la tromperie à partir du moment où chacun est d'accord sur le principe et à la condition qu’on le fasse ensemble. Nous fantasmions beaucoup sur un couple d'amis qui nous semblait partant aussi. L'été dernier ce qui devait arrivé s'est produit pendant que nous étions en vacances ensemble. Sauf que dans notre scénario, nous couchions tous ensemble. Mais en réalité, lui l'a fait avec l'autre femme, mais moi j'ai simplement regardé, car l'ami en question n'était pas à l'aise et n'a pas voulu franchir le pas. En fin de soirée nous avons fini à trois et il m'a fait l'amour après, notre ami restant de côté. Personnellement, cette expérience m'a beaucoup excité. Mais je suis soucieuse de la facilité avec laquelle mon homme à couché avec cette femme alors qu'il voyait qu'il ne se passait rien de mon côté. Certes, nous étions d'accord et je ne lui reproche rien mais Je crois qu'au fond de moi, je le croyais pas capable et cela me perturbe. J’ai jouer avec le feu, et je me suis brûlé. Depuis nous continuons l'expérience avec d'autres mais nous n'échangeons jamais nous faisons l'amour côte à côte. Je suis devenu jalouse et j'ai peur que cela lui donne envie de me tromper vraiment. Je suis totalement perdue, je l'aime et je voudrais qu'il n'ait envie que de moi. Pourtant j'ai toujours envie de rencontrer d'autres couples.
Article posé le 03 02 2021
Ménage à trois.
Suite à un article lu dans un mensuel à grands tirage sur le sujet du ménage à trois, j'ai décidé de vous raconter en quelques lignes mon histoire.
Audrey, j'ai 48 ans je suis marié depuis 25 ans avec Xavier, j'ai eu deux enfants de 25 et 23 ans. Mon mari et moi avions une vie de couple normale tous les deux, nos enfants avaient leur vie au dehors. Un jour ou par le plus grand des hasards dans une galerie marchande j'ai retrouvé une copine d'enfance Béatrice que je n'avais pas vu depuis 20 ans. Elle revenait d'Angleterre ou elle à passé 12 ans. Ce fut pour moi un chamboulement complet, tout de suite nous ne pouvions plus nous passer l'une de l'autre nous avions retrouvé notre complicité de gamine et nous sommes tombé amoureuse l'une de l'autre. Béatrice n'ayant jamais été marié, m'a vite avoué qu'elle avait toujours été attiré par moi. Après cette déclaration et ma stupéfaction passé, nous nous sommes rapprochés petit à petit et nous avons fini au lit toutes les deux. Très vite l'amour à prit le dessus, j'étais obligé de me mettre à l'évidence j'aimais deux personnes de sexe opposé en même temps. J'étais aussi incapable de faire un choix. Je vivais un amour fou avec mon mari et je ne me voyais plus vivre sans Béatrice. J'ai donc décidé doucement de parler à mon mari. Cela m'a prit plusieurs mois. Finalement il à accepté que j'invite Béatrice à la maison un samedi soir. J'avais tout organisé pour qu'il soit bien, un repas spécial qu'il affectionne tout particulièrement, une musique d'ambiance qu'il écoute très souvent. Au début l'ambiance était un peu froide et c'était pas gagné. Une heure plus tard après l'apéro et les premiers plats l'ambiance était détendu et le courant passait pas trop mal entre mon mari et Béatrice. Ils discutaient bien ensemble, à la fin du repas nous avons dansés tous les trois. La soirée c'est bien passé. Béatrice à dormi dans la chambre d'ami. Xavier et moi avons fait l'amour comme des fous. Le dimanche se passa à merveille même si à plusieurs reprises Béatrice et moi nous sommes un peu bécoté en douce. A partir de là nous nous sommes retrouvé très souvent tous les trois en week-end et mon mari à vite apprécié car souvent nous étions de plus en plus dénudés et les caresses sont vite devenues des habitudes que Xavier à vite apprécié. De fil en aiguille, nous avons couchés ensemble. Mon mari m'a même avoué qu'il apprécié beaucoup. Petit à petit nous avons instauré des règles pour que chacun y trouve son compte. Chacun à tour de rôle couche seul dans la chambre d'ami c'est ainsi que je dors une nuit avec Béatrice et une nuit avec mon mari et vice et versa. Et puis de temps en temps il y a une dérogation.
Nous vivons en toute quiétude et nous sommes heureux tous les trois, nous ne nous quittons plus et cela depuis sept ans maintenant.
Réponse à l'article précédent le 02 02 2021.
A la suite de l'article sur la taille du pénis que j'ai lu il y a quelques jours ici même je voudrais témoigner. Je suis Edwige j'ai aujourd'hui presque soixante dix ans. Je fréquentais dans les années 80 un club le California Dream qui en réalité n'était qu'une maison dans la campagne entre Grenoble et Lyon, ce club clandestin était tenu par un couple très sympathique de mon âge à peu près, tous les jeudis, vendredi et samedi soirs se retrouvaient des couples et uniquement des couples qui venaient de plus de 150 kms des départements limitrophes, Isère, Rhône, Ain, Drome, Ardèche et Savoie. C'était les prémices du libertinage plus ou moins officiel. A cette époque un seul existait à Lyon sous la couverture d'un restaurant l'épicure. J'ai fait la connaissance dans ce club d'un homme qui se prénommé Jacques il avait la petite quarantaine, il était commandant de bord dans l'aviation civile, il était charmant instruit plein d'humour, mais il avait un problème, il était monté comme un cheval, c'était le malheur de sa vie. Je peux vous dire que pour avoir vu des films de Rocco Sifredi, lui était un poney à côté de Jacques. Il avait beaucoup de conquêtes mais quand il sortait le monstre car il n'y a pas d'autre mot les femmes fuyaient. D'ailleurs il n'avait jamais été marié. Moi même j'ai été son amie pendant au moins deux ans, j'étais pourtant une femme qui aimait le sexe et était prête à tout. J'ai essayé plusieurs fois mais nous n'avons jamais pu faire l'amour jusqu'au bout. Je l'ai vu abattu, il pleurait souvent de voir les autres s'éclater comme des bêtes. Nous étions lui et moi des amis très proches de Maryse et Max et nous retrouvions souvent ensemble les jours de fermeture. Nous parlions souvent de son problème, nous l'aidions à surmonter mentalement le malheur de sa vie.
Tout ça pour dire, la taille ne compte pas c'est la façon de s'en servir qui est importante.
A la suite de l'article sur la taille du pénis que j'ai lu il y a quelques jours ici même je voudrais témoigner. Je suis Edwige j'ai aujourd'hui presque soixante dix ans. Je fréquentais dans les années 80 un club le California Dream qui en réalité n'était qu'une maison dans la campagne entre Grenoble et Lyon, ce club clandestin était tenu par un couple très sympathique de mon âge à peu près, tous les jeudis, vendredi et samedi soirs se retrouvaient des couples et uniquement des couples qui venaient de plus de 150 kms des départements limitrophes, Isère, Rhône, Ain, Drome, Ardèche et Savoie. C'était les prémices du libertinage plus ou moins officiel. A cette époque un seul existait à Lyon sous la couverture d'un restaurant l'épicure. J'ai fait la connaissance dans ce club d'un homme qui se prénommé Jacques il avait la petite quarantaine, il était commandant de bord dans l'aviation civile, il était charmant instruit plein d'humour, mais il avait un problème, il était monté comme un cheval, c'était le malheur de sa vie. Je peux vous dire que pour avoir vu des films de Rocco Sifredi, lui était un poney à côté de Jacques. Il avait beaucoup de conquêtes mais quand il sortait le monstre car il n'y a pas d'autre mot les femmes fuyaient. D'ailleurs il n'avait jamais été marié. Moi même j'ai été son amie pendant au moins deux ans, j'étais pourtant une femme qui aimait le sexe et était prête à tout. J'ai essayé plusieurs fois mais nous n'avons jamais pu faire l'amour jusqu'au bout. Je l'ai vu abattu, il pleurait souvent de voir les autres s'éclater comme des bêtes. Nous étions lui et moi des amis très proches de Maryse et Max et nous retrouvions souvent ensemble les jours de fermeture. Nous parlions souvent de son problème, nous l'aidions à surmonter mentalement le malheur de sa vie.
Tout ça pour dire, la taille ne compte pas c'est la façon de s'en servir qui est importante.
Article placé le 30 01 2021
Le souci de beaucoup d'hommes, la taille de leur zizi.
Parfois affublé de petits surnoms affectueux, le pénis, plus précisément sa taille, fait souvent partie des préoccupations de ces messieurs. Depuis la nuit des temps, ils comparent cet organe à celui des autres hommes… Est-il plus petit? Plus court? Et comment puis-je le faire allonger, le faire grossir? Souvent cela devient un complexe.
Oui, la taille du pénis préoccupe les hommes… et une minorité de femmes, du moins selon plusieurs sondages. Certains sont très heureux de la taille de leur organe. D’autres s’en vanteront. En contrepartie, ceux qui possèdent un pénis plus petit rêvent d’un appareil plus flatteur. Dans la tête : Ironiquement, beaucoup hommes qui consultent au sujet de la taille de leur pénis font face à une dure réalité : leur pénis est tout à fait normal. D’accord, certains sont moins bien moins longs ou gros que d'autres, mais les diagnostics de micropénis sont très rares. Seulement 25 hommes sur 1000 ont vraiment de petits ou très petits sexe.. En fait, le pénis normal mesure entre 11 et 15 cm en érection, du moins chez 68 % des hommes, pour un diamètre qui varie entre 3 et 4 cm. Donc, si les dimensions de votre organe mâle se situent dans cette moyenne, il y a de fortes chances que votre médecin vous renvoie chez vous. Et si vous insistez, il vous recommandera probablement de consulter un psychologue. Oh bien sur il y a des possibilités de modifier le pénis. La chirurgie : Il existe des méthodes efficaces pour augmenter la taille du pénis, mais elles sont peu nombreuses. Parmi celles-ci, on note la chirurgie. Une première consiste à sectionner les ligaments qui relient le pénis à l’os du pubis pour faire ressortir la partie interne de l’organe masculin. L’organe mâle gagne environ deux centimètres, mais sa circonférence demeure la même En contrepartie, l’érection peut devenir instable chez un homme sur cinq. Il est également possible de prélever de la graisse sur le corps de l’homme pour l’injecter dans le fourreau de l’organe reproducteur. Le pénis gagne alors de trois à cinq centimètres de circonférence. Chacune de ces méthodes nécessite un repos sexuel d’au moins deux semaines. Des complications sont également possibles, comme dans tous les cas de chirurgie. Pour augmenter la taille d’un micropénis, il existe une prothèse pénienne qui, implantée dans l’organe, le maintient en état de semi-érection. Mais cette méthode n’est appliquée qu’aux pénis de taille nettement inférieure à la moyenne. L’étirement du pénis : Parmi les autres méthodes proposées, les extenseurs de pénis paraissent les plus efficaces, selon trois études indépendantes. En portant l’extenseur six heures par jour durant quatre mois, l’homme gagne environ 1,8 cm en érection, et 2,3 cm au repos. Quoique onéreux, ces extenseurs sont bien tolérés en général. Certains ont toutefois fait état de douleurs insupportables tandis que d’autres n’ont pas constaté de progrès significatifs. Informez-vous auprès de votre médecin avant de vous procurer l’appareil.
Quelques conseils : Tous savent que c’est l’afflux du sang dans le pénis qui assure l’érection. Une bonne hygiène de vie et l’activité physique améliorent la circulation sanguine et, par ricochet, ont une incidence sur la taille de ce dernier.
Gardez la forme en faisant du sport - Ayez une alimentation saine et équilibrée - Évitez le tabac - Modérez votre consommation d’alcool - Évitez le stress et l’anxiété.
L’anneau pénien : Sans faire grossir le pénis, l’anneau pénien (cockring), un jouet sexuel, renforcera et prolongera l’érection en maintenant le sang dans l’organe masculin.
Prudence : Parmi les méthodes suggérées sur la Toile, vous retrouverez l’enveloppement chaud, la masturbation à l’aide d’orties (ouch!), des crèmes et/ou les médicaments naturels ou chimiques, voire des injections d’huile d’olive, de cire d’abeille ou de silicone. Toutes ces méthodes ne donnent pas de résultats significatifs, selon des études sérieuses. Et elles ne sont pas recommandées par les médecins. Si on vous propose une recette miracle, efficace en quelques jours, changez de site… Les utiliser ne fera que faire grossir le porte-monnaie de ceux qui en vendent. Messieurs, rappelez-vous. Chez les femmes, les terminaisons nerveuses sont principalement regroupées dans le premier tiers du vagin. Et ce dernier s’adapte à toutes les grosseurs de pénis. En outre, la taille du pénis n’a pas une si grande importance pour plus d’une femme sur deux. Votre apparence générale, votre façon de faire l’amour, les préliminaires et les sentiments amoureux viennent en tête de liste. Et beaucoup d'entre elles craignent de ressentir des douleurs lors de relations sexuelles avec un homme qui possède un pénis de taille supérieure à la normale.
Le souci de beaucoup d'hommes, la taille de leur zizi.
Parfois affublé de petits surnoms affectueux, le pénis, plus précisément sa taille, fait souvent partie des préoccupations de ces messieurs. Depuis la nuit des temps, ils comparent cet organe à celui des autres hommes… Est-il plus petit? Plus court? Et comment puis-je le faire allonger, le faire grossir? Souvent cela devient un complexe.
Oui, la taille du pénis préoccupe les hommes… et une minorité de femmes, du moins selon plusieurs sondages. Certains sont très heureux de la taille de leur organe. D’autres s’en vanteront. En contrepartie, ceux qui possèdent un pénis plus petit rêvent d’un appareil plus flatteur. Dans la tête : Ironiquement, beaucoup hommes qui consultent au sujet de la taille de leur pénis font face à une dure réalité : leur pénis est tout à fait normal. D’accord, certains sont moins bien moins longs ou gros que d'autres, mais les diagnostics de micropénis sont très rares. Seulement 25 hommes sur 1000 ont vraiment de petits ou très petits sexe.. En fait, le pénis normal mesure entre 11 et 15 cm en érection, du moins chez 68 % des hommes, pour un diamètre qui varie entre 3 et 4 cm. Donc, si les dimensions de votre organe mâle se situent dans cette moyenne, il y a de fortes chances que votre médecin vous renvoie chez vous. Et si vous insistez, il vous recommandera probablement de consulter un psychologue. Oh bien sur il y a des possibilités de modifier le pénis. La chirurgie : Il existe des méthodes efficaces pour augmenter la taille du pénis, mais elles sont peu nombreuses. Parmi celles-ci, on note la chirurgie. Une première consiste à sectionner les ligaments qui relient le pénis à l’os du pubis pour faire ressortir la partie interne de l’organe masculin. L’organe mâle gagne environ deux centimètres, mais sa circonférence demeure la même En contrepartie, l’érection peut devenir instable chez un homme sur cinq. Il est également possible de prélever de la graisse sur le corps de l’homme pour l’injecter dans le fourreau de l’organe reproducteur. Le pénis gagne alors de trois à cinq centimètres de circonférence. Chacune de ces méthodes nécessite un repos sexuel d’au moins deux semaines. Des complications sont également possibles, comme dans tous les cas de chirurgie. Pour augmenter la taille d’un micropénis, il existe une prothèse pénienne qui, implantée dans l’organe, le maintient en état de semi-érection. Mais cette méthode n’est appliquée qu’aux pénis de taille nettement inférieure à la moyenne. L’étirement du pénis : Parmi les autres méthodes proposées, les extenseurs de pénis paraissent les plus efficaces, selon trois études indépendantes. En portant l’extenseur six heures par jour durant quatre mois, l’homme gagne environ 1,8 cm en érection, et 2,3 cm au repos. Quoique onéreux, ces extenseurs sont bien tolérés en général. Certains ont toutefois fait état de douleurs insupportables tandis que d’autres n’ont pas constaté de progrès significatifs. Informez-vous auprès de votre médecin avant de vous procurer l’appareil.
Quelques conseils : Tous savent que c’est l’afflux du sang dans le pénis qui assure l’érection. Une bonne hygiène de vie et l’activité physique améliorent la circulation sanguine et, par ricochet, ont une incidence sur la taille de ce dernier.
Gardez la forme en faisant du sport - Ayez une alimentation saine et équilibrée - Évitez le tabac - Modérez votre consommation d’alcool - Évitez le stress et l’anxiété.
L’anneau pénien : Sans faire grossir le pénis, l’anneau pénien (cockring), un jouet sexuel, renforcera et prolongera l’érection en maintenant le sang dans l’organe masculin.
Prudence : Parmi les méthodes suggérées sur la Toile, vous retrouverez l’enveloppement chaud, la masturbation à l’aide d’orties (ouch!), des crèmes et/ou les médicaments naturels ou chimiques, voire des injections d’huile d’olive, de cire d’abeille ou de silicone. Toutes ces méthodes ne donnent pas de résultats significatifs, selon des études sérieuses. Et elles ne sont pas recommandées par les médecins. Si on vous propose une recette miracle, efficace en quelques jours, changez de site… Les utiliser ne fera que faire grossir le porte-monnaie de ceux qui en vendent. Messieurs, rappelez-vous. Chez les femmes, les terminaisons nerveuses sont principalement regroupées dans le premier tiers du vagin. Et ce dernier s’adapte à toutes les grosseurs de pénis. En outre, la taille du pénis n’a pas une si grande importance pour plus d’une femme sur deux. Votre apparence générale, votre façon de faire l’amour, les préliminaires et les sentiments amoureux viennent en tête de liste. Et beaucoup d'entre elles craignent de ressentir des douleurs lors de relations sexuelles avec un homme qui possède un pénis de taille supérieure à la normale.
Article déposé le 29 01 2021
La sensualité est un concept assez complexe, car tout le monde peut y trouver sa propre définition. Ce qu'une personne perçoit comme étant sensuel, pour une autre ce sera tout autrement. Cependant, tous s'entendent sur son importance au sein d'une relation.
L'appel des sens. À la base, la sensualité se vit à travers les sens. C'est prendre plaisir à voir, sentir, toucher, entendre et goûter les choses qui nous font sentir bien. On apprécie la vie par la découverte de nouvelles sensations. Longtemps perçue comme étant à l'opposée de la sexualité, la sensualité devrait plutôt s'y intégrer. Personnellement, je l'associe à la détente, à la lenteur, au laisser-aller. Les grands amis du désir sexuel...
Comment ça se vit au sein du coupleC'est important de prendre le temps d'admirer notre amoureux, son sourire craquant, son regard intense, son corps qui nous plaît toujours. On se laisse admirer aussi. On oublie nos complexes et on se fusionne au regard amoureux qu'il nous offre. On en profite pour sentir l'odeur de son corps, de ses cheveux. Peut-être qu'un souvenir agréable refera surface, l'odorat a le pouvoir absolu de faire surgir toutes sortes d'émotions. Peut-être est-ce simplement le parfum de la chandelle sur la table de nuit qui nous fait vibrer. Elle nous rappelle les douces soirées passées entre amoureux. On se laisse caresser. On frôle son corps doucement, on se laisse guider par nos mouvements simultanés. Le contact de sa peau sécurise, on ressent sa chaleur. On ferme les yeux, simplement pour apprécier un sens à la fois. On est attentive à son souffle, on l'écoute murmurer des mots doux. On lui répond tendrement. On s'embrasse passionnément, on goûte à sa peau en le laissant faire pareil... On oublie le temps.
À chacun sa sensualitéÉvidemment, la sensualité se vit différemment selon chaque personne. C'est d'abord et avant tout ce qui se dégage de quelqu'un. Il faut se sentir à l'aise de l'exprimer et faire la paix avec soi-même. Car si on ne prend pas plaisir à expérimenter nos sens, le résultat sera tout autrement et le partenaire ressentira que tout est faux.
Faites-vous confiance et l'expérience de la sensualité viendra d'elle-même. Renouez avec le plaisir des sens et laissez-vous guider par votre intuition. La sensualité se cultive, il suffit seulement de reprendre contact avec soi.
Article posé le 29 01 2021
L’érotisme est la suggestion de l’amour physique et sensuel via des gestes, des mots ou une attitude. Littérature érotique, films érotique, fantasmes érotiques… Rien de mieux que l’érotisme pour pimenter sa vie de couple ou inventer des jeux de couple qui boosteront le désir!
Si le terme d’érotisme parle à tout le monde, peu de personnes sont véritablement capables de le définir. Point de convergence entre la séduction et l’acte sexuel, l’érotisme n’est pas à confondre avec la pornographie. Car si la pornographie montre tout, l’érotisme, lui, suggère. Il suggère tout ce qui attrait à l’acte sensuel, à l’amour physique et à la relation sexuelle de manière glamour et pleine de charme. Le terme érotisme est d’ailleurs issu du grec Éros, Dieu de l’amour.
Du livre érotique aux films érotiques.
L’érotisme est une source d’inspiration inépuisable pour la peinture, la photographie, la littérature ou bien le cinéma… Art, culture et érotisme font d’ailleurs souvent bon ménage, comme peut en témoigner le succès du livre érotique Fifty shades of grey, véritable best-seller littéraire de ces derniers mois.
Le cinéma trouve lui aussi son inspiration dans l’érotisme. On peut citer le célèbre long-métrage Emmanuelle, film érotique français réalisé par Just Jaeckin en 1974 et adapté du roman éponyme d'Emmanuelle Arsan qui reste aujourd’hui l’œuvre de référence en matière de films érotiques.
Rêve érotique, fantasme érotique et jeu en couple
Rien de mieux que l’érotisme pour pimenter sa vie de couple… Grâce à un geste, un mot, une intonation de voix, une bretelle de soutien-gorge qui tombe ou bien la lisière d’un bas légèrement visible, l’érotisme naît, suggère l’acte sexuel et peut provoquer le désir chez le partenaire. L’érotisme est d’ailleurs la base de tous les jeux de couple, du simple "dés coquin" aux huiles de massages parfumées ou à la peinture comestible pour le corps…
L’érotisme est la suggestion de l’amour physique et sensuel via des gestes, des mots ou une attitude. Littérature érotique, films érotique, fantasmes érotiques… Rien de mieux que l’érotisme pour pimenter sa vie de couple ou inventer des jeux de couple qui boosteront le désir!
Si le terme d’érotisme parle à tout le monde, peu de personnes sont véritablement capables de le définir. Point de convergence entre la séduction et l’acte sexuel, l’érotisme n’est pas à confondre avec la pornographie. Car si la pornographie montre tout, l’érotisme, lui, suggère. Il suggère tout ce qui attrait à l’acte sensuel, à l’amour physique et à la relation sexuelle de manière glamour et pleine de charme. Le terme érotisme est d’ailleurs issu du grec Éros, Dieu de l’amour.
Du livre érotique aux films érotiques.
L’érotisme est une source d’inspiration inépuisable pour la peinture, la photographie, la littérature ou bien le cinéma… Art, culture et érotisme font d’ailleurs souvent bon ménage, comme peut en témoigner le succès du livre érotique Fifty shades of grey, véritable best-seller littéraire de ces derniers mois.
Le cinéma trouve lui aussi son inspiration dans l’érotisme. On peut citer le célèbre long-métrage Emmanuelle, film érotique français réalisé par Just Jaeckin en 1974 et adapté du roman éponyme d'Emmanuelle Arsan qui reste aujourd’hui l’œuvre de référence en matière de films érotiques.
Rêve érotique, fantasme érotique et jeu en couple
Rien de mieux que l’érotisme pour pimenter sa vie de couple… Grâce à un geste, un mot, une intonation de voix, une bretelle de soutien-gorge qui tombe ou bien la lisière d’un bas légèrement visible, l’érotisme naît, suggère l’acte sexuel et peut provoquer le désir chez le partenaire. L’érotisme est d’ailleurs la base de tous les jeux de couple, du simple "dés coquin" aux huiles de massages parfumées ou à la peinture comestible pour le corps…
Article posé le 27 01 2021
Faire l'amour en voiture.
Quelques fois vous ne voulez pas attendre de rentrer à la maison, pas question d'aller à l'hôtel ou simplement parce qu'il s'agit d'un petit coup vite fait, vous avez décidé de faire ça dans la voiture, d'abord attention aux risques le couple surprit risque jusqu'à deux ans de prison, 500 euros d'amende. Plus généralement, il est autorisé d'avoir des rapports sexuels dans sa voiture si celle-ci est cachée et à l'abri des regards.
Mais bon on sait tous que l'envie est toujours plus forte.
On sait tous que faire l'amour ne se limite pas à le pénétration, alors pourquoi une bonne masturbation en duo ? La femme assise sur le siège passager plonge sa main dans le pantalon de son partenaire du moment pendant que lui glisse sa main entre les cuisses de la passagère, elle ressort l'engin qu'elle convoite le caresse pendant que la main de l'homme s'agite sur la petite culotte puis sous le tissu et masse doucement le bourgeon qui se tend, elle va et vient sur cette queue toute raide qui regarde vers le ciel. Il ne vous reste plus qu' a vous laissez entraîner vers l'orgasme.
Une autre position l'andromaque.
Celle çi est une des plus connu des baiseurs en voiture, sièges reculés à fond l'homme sur le siège passager la femme s'assied sur lui face en face, elle peut se tenir ainsi au dossier et selon l'inclinaison profiter d'une meilleure pénétration qui rendra l'orgasme plus fort.
Une autre position la chaise.
Comme la précédente l'homme est assis sur le siège passager, la femme s'assoit sur lui mais en lui tournant le dos, elle peut s'accrocher au tableau de bord ou au volant pendant que lui s'accroche à ses seins
Une autre plus acrobatique le bateau ivre.
L'homme est toujours assis sur le siège passager, elle s'assoit sur lui de face passe ses chevilles sur les épaules de son partenaire se renverse en arrière contre le tableau de bord, là c'est une pénétration profonde garantie et en plus très érotique.
Une autre plus courante le missionnaire.
Celle ci peut se faire soit sur le siège passager c'est la plus courante en mettent le siège position couchette ou sur la banquette arrière en travers mais attention pour les grands il faudra ouvrir la porte. La femme se met sur le dos et l'homme dessus un peu acrobatique pour lui mais bon résultat.
Une autre plus ludique et écolo, la levrette.
Installée à l'arrière à quatre pattes sur la banquette les jambes à l'extérieure, la porte ouverte l'homme se tient debout, profite de l'air pur pour faire plaisir à madame les coups de reins peuvent être puissants et la pénétration profonde.
Une autre plus zen, la fleur de lotus.
Le siège passager avancé au maximum, l'homme s'assied en tailleur à l'arrière la femme s'assoit sur lui en l'entourant avec ses jambes ce qui accentue la pénétration, elle peut coller ses mains au plafond pour s''aider cela ajoute du plaisir.
Une autre mais plus exhibitionniste.
Sur le capot bien au chaud, mais attention aux risques encourus amende. Mais la encore plusieurs positions peuvent se réaliser sans problème. Je vous en laisse le choix.
Comment s'y retrouver parmi les centaines de positions du Kamasutra?
Il y a les caresses et les baisers et tout le reste. Mais pas que ! N’oublions pas la pénétration. Pour optimiser ce moment, tant en terme de confort que de plaisir, tout est une question d’angle ! Voici cinq positions sexuelles qui sont ressorties dans notre sondage comme étant les pénétrations jouissives par excellence. Mais cela n'engage personne car l'essentiel est que chacun y trouve son plaisir.
L'union de la pie
Avec cette position, tout les ingrédients sont là pour vous offrir une belle pénétration. Vos mains sur ses épaules en guise d’appui, vous gérez vous-même le rythme, la cadence et les ondulations. Et rien ne vous empêche de saupoudrer le tout de noms d’oiseaux.
L’union du tigre Ici, vous n’avez pas grand-chose à faire mais vous allez tout de même rugir de plaisir. Ainsi installée, vous n’avez qu’à laisser votre partenaire vous pénétrer en, pourquoi pas, lui caressant les fesses (vous n’avez que cela à faire de toute façon).
La position de l'indolent
Inversion totale des rôles. Ici, c’est vous qui prenez les commandes, mais pour le plus grand bonheur de tout le monde. Pendant que c’est au tour de votre partenaire de se la couler douce, vous pourrez savourer un angle de pénétration digne de ce nom.
Le missionnaire
A courir après les positions extravagantes, on en oublierait presque le plaisir. Et le plaisir, cela passe d’abord par du confort. Le missionnaire, ce grand classique, offre une amplitude de pénétration très appréciable pour vous. De temps en temps, un peu de simplicité, ça ne fait pas de mal. Cela fait même du bien.
La levrette
La levrette est au sexe ce que Michel Drucker est à la télévision, indémodable, classique. Et ce n’est pas sa pénétration optimale qui nous fera dire le contraire. Si les clitoridiennes n’hésiteront pas à demander un coup de main (ou de doigt) pour accélérer l’extase, les autres ne bouderont pas leur plaisir. Et même votre partenaire en profite ! 100% plaisir.
Découvrez toutes les positions du Kamasutra
Article déposé par Serena le 14 01 2021
Je suis une mangeuse d'homme.
Je m’appelle Serena , j’approche la trentaine et je travaille dans une très grande entreprise international. Pour le moment, je n’ai aucune envie de m’installer avec un mec pour la vie : je préfère butiner et m’amuser car j'assume j'aime le sexe! En général, je choisis mes amants dans les soirées arrosées de l'entreprise et je les ramène à la maison. Ensuite, le rituel est toujours le même : on baise quelques fois je prends des photos discrètement en noir et blanc que je consigne dans mon album de trophées. Souvent ça se passe le vendredi soir, cela dépend des soirées quelques dizaines de personnes, un centaine. Je suis une chasseuse, je traque ma proie en fonction de certains critères, pour moi il faut qu'il soit bon vivant qu'il fasse honneur au buffet et aux alcools après il faut qu'il soit baratineur, qu'il soit baraqué et enfin qu'il me plaise, j'ai une grosse préférence pour les poilues, ceux qui ont la chemise ouverte sur leur poitrine et qui sont fiers de leurs poils frisés, ceux là ont gagnés d'avance. Ensuite je me fait fort de leur mettre la main au paquet sans trop qu'ils comprenne, ceci pour un dernier contrôle, puis j'opte pour le laisser passer, dans la discussion je l'entraîne un peu à l'écart et je lui roule une pelle. Si l'essai est concluant je l'emmène chez moi, sinon je vais voir ailleurs. Je ne rentre que rarement bredouille. Une fois à la maison je lui laisse le champ libre mais attention si toutefois il n'est pas à la hauteur je reprends vite les choses en main car je suis exigeante et j'ai veux pour mon argent, il me faut la totale en commençant par un cuni et après la pipe il faut au moins qu'il me prenne deux fois dans deux positions différentes si c'est plus et s'il aime la porte de secours il aura une bonne note, moi je tiens la nuit, donc pas de problème avec mon entraînement.
J'assume, je suis une salope et j'aime la queue.
Je suis une mangeuse d'homme.
Je m’appelle Serena , j’approche la trentaine et je travaille dans une très grande entreprise international. Pour le moment, je n’ai aucune envie de m’installer avec un mec pour la vie : je préfère butiner et m’amuser car j'assume j'aime le sexe! En général, je choisis mes amants dans les soirées arrosées de l'entreprise et je les ramène à la maison. Ensuite, le rituel est toujours le même : on baise quelques fois je prends des photos discrètement en noir et blanc que je consigne dans mon album de trophées. Souvent ça se passe le vendredi soir, cela dépend des soirées quelques dizaines de personnes, un centaine. Je suis une chasseuse, je traque ma proie en fonction de certains critères, pour moi il faut qu'il soit bon vivant qu'il fasse honneur au buffet et aux alcools après il faut qu'il soit baratineur, qu'il soit baraqué et enfin qu'il me plaise, j'ai une grosse préférence pour les poilues, ceux qui ont la chemise ouverte sur leur poitrine et qui sont fiers de leurs poils frisés, ceux là ont gagnés d'avance. Ensuite je me fait fort de leur mettre la main au paquet sans trop qu'ils comprenne, ceci pour un dernier contrôle, puis j'opte pour le laisser passer, dans la discussion je l'entraîne un peu à l'écart et je lui roule une pelle. Si l'essai est concluant je l'emmène chez moi, sinon je vais voir ailleurs. Je ne rentre que rarement bredouille. Une fois à la maison je lui laisse le champ libre mais attention si toutefois il n'est pas à la hauteur je reprends vite les choses en main car je suis exigeante et j'ai veux pour mon argent, il me faut la totale en commençant par un cuni et après la pipe il faut au moins qu'il me prenne deux fois dans deux positions différentes si c'est plus et s'il aime la porte de secours il aura une bonne note, moi je tiens la nuit, donc pas de problème avec mon entraînement.
J'assume, je suis une salope et j'aime la queue.
Article déposé le 14 01 2021
Si vous traversez une période sexuelle déserte, il y a certaines choses à savoir sur l’adaptation de votre corps face à cela. Aucune inquiétude à avoir cependant, à condition de ne pas s’abstenir trop longtemps.
La privation de sexe dépend de deux choses : soit de vous, soit des autres…Plus précisément, il pourrait vous arriver, d’un coup, de vouloir vous abstenir pour retrouver une certaine aspiration spirituelle. Une mauvaise expérience, quel qu’elle soit, vous aurait ainsi poussé à abandonner toute pratique sexuelle, convaincu que le bonheur se trouve ailleurs. Autre cas de figure, vous n’êtes pas vraiment attirant(e) et vous avez les pires difficultés à séduire et convaincre quelqu’un pour faire l'amour avec vous.
Quoi qu’il en soit, l’abstinence a des répercussions sur votre corps en interne, sur l’aspect physique mais aussi l’aspect psychologique.
Voici les 10 phénomènes susceptibles d’arriver si vous ne faîtes pas l’amour pendant trop longtemps :
1 – Votre système immunitaire est plus vulnérable.
L’activité sexuelle renforce votre système immunitaire. Alors logiquement, le contraire semble inévitable si vous êtes privés de sexe. Des chercheurs de plusieurs universités dans le monde ont trouvé que les personnes faisant l’amour une à deux fois par semaine voyaient leur production de l’immunoglobuline s’élever de 30%. Cette dernière représente la première ligne de défense corporelle contre les virus et les bactéries.
2 – Votre libido peut décliner.
Ceci n’est pas entièrement vrai. Certains experts ont défini que l’activité sexuelle régulière était une façon de « faire du feu » de votre libido et qu’au contraire, une période d’abstinence diminuerait le désir sexuel. Cependant, d’autres chercheurs estiment que le niveau de votre libido dépend tout simplement de vos propres expériences sexuelles.
3 – Vous baissez les risques d’attraper une infection urinaire ou une MST (ça, c’est bien !)
Une fois n’est pas coutume, l’abstinence peut être une très très bonne chose pour votre corps. En effet, sans sexe, vous êtes quasiment totalement à l’abri d’une potentielle MST. Ce qui est plus surprenant est que la privation de sexe réduit également le risque d’infection urinaire.
4 – Votre santé cardiovasculaire peut en pâtir.
Une bonne vie sexuelle est fortement liée à une bonne santé cardiovasculaire. Seulement, peu d’étude ont permis de définir si la privation de sexe avait un réel impact négatif sur votre cœur. Cependant, il serait préférable d’évacuer votre frustration sexuelle sur un tapis de course, par exemple, pour vous assurer que votre cœur fonctionne bien sainement.
5 – Vous pouvez être plus stressés.
Sans surprise, le manque de sexe entraîne de la frustration et donc, un surplus de stress. Des études ont montré que les personnes qui n’avaient pas de relations sexuelles régulières avaient une pression sanguine beaucoup plus élevée que les personnes ayant eu une relation sexuelle récente.
6 – Votre vagin se resserre ? Non, pas vraiment…
Pour vous Mesdames, contrairement aux idées reçues, l’abstinence ne rend pas votre vagin plus serré. Ce que vous ressentez dans votre jardin secret ne dépend pas du nombre de partenaires sexuels, et l’abstinence ne réduit pas l’espace de votre vagin. Cependant, vos tissus vaginaux peuvent ne plus avoir cette habitude de se relaxer à chaque pénétration lorsque vous reprendrez une activité sexuelle. Il faudra juste un peu de temps pour que ça revienne à la normale. Vous risquez aussi la sécheresse vaginale
7 – Les hommes sont plus susceptibles au dysfonctionnement érectile.
Les études réalisées sur ce propos sont unanimes puisque l’activité sexuelle a un effet grandement positif sur les érections. Si, du jour au lendemain, vous stoppez votre activité sexuelle, ne serait-ce même que la masturbation, vous rencontrerez probablement des dysfonctionnement érectile.
8 – Pour les femmes, ça peut prendre plus longtemps avant de « mouiller »
Ce n’est plus un secret : une activité sexuelle régulière permet à vos organes sexuels de fonctionner sans encombre. Des experts sexuels ont établi que le processus qui permet à votre vulve de « mouiller » bénéficie beaucoup de la régularité de votre activité sexuelle. Et si vous arrêtez pendant un moment, vous aurez probablement besoin d’un coup de pouce (sans mauvais jeux de mots) et d’un peu de temps pour vous faire mouiller.
9 – Contrairement aux idées reçues, ça ne vous rend pas plus intelligent .
Une vieille rengaine dit que l’abstinence vous rend plus intelligent. C’est faux, c’est même le contraire ! Des scientifiques ont établi que l’activité sexuelle boostait le développement des neurones dans votre cerveau. Cette vieille idée reçue vient simplement du fait que durant l’abstinence, on s’ennuie plus donc on est plus amené à penser, à réfléchir, mais c’est tout…
10 – Messieurs, prenez garde au cancer de la prostate.
En répercussion au problème d’érection susmentionné, la rareté des éjaculations augmente le risque d’avoir un cancer de la prostate. Une étude scientifique a établi que les hommes ayant une activité sexuelle régulière avaient 20% de risques en moins d’attraper un cancer de la prostate. En effet, l’éjaculation sert à nettoyer les substances potentiellement nocives de votre corps.
Si vous traversez une période sexuelle déserte, il y a certaines choses à savoir sur l’adaptation de votre corps face à cela. Aucune inquiétude à avoir cependant, à condition de ne pas s’abstenir trop longtemps.
La privation de sexe dépend de deux choses : soit de vous, soit des autres…Plus précisément, il pourrait vous arriver, d’un coup, de vouloir vous abstenir pour retrouver une certaine aspiration spirituelle. Une mauvaise expérience, quel qu’elle soit, vous aurait ainsi poussé à abandonner toute pratique sexuelle, convaincu que le bonheur se trouve ailleurs. Autre cas de figure, vous n’êtes pas vraiment attirant(e) et vous avez les pires difficultés à séduire et convaincre quelqu’un pour faire l'amour avec vous.
Quoi qu’il en soit, l’abstinence a des répercussions sur votre corps en interne, sur l’aspect physique mais aussi l’aspect psychologique.
Voici les 10 phénomènes susceptibles d’arriver si vous ne faîtes pas l’amour pendant trop longtemps :
1 – Votre système immunitaire est plus vulnérable.
L’activité sexuelle renforce votre système immunitaire. Alors logiquement, le contraire semble inévitable si vous êtes privés de sexe. Des chercheurs de plusieurs universités dans le monde ont trouvé que les personnes faisant l’amour une à deux fois par semaine voyaient leur production de l’immunoglobuline s’élever de 30%. Cette dernière représente la première ligne de défense corporelle contre les virus et les bactéries.
2 – Votre libido peut décliner.
Ceci n’est pas entièrement vrai. Certains experts ont défini que l’activité sexuelle régulière était une façon de « faire du feu » de votre libido et qu’au contraire, une période d’abstinence diminuerait le désir sexuel. Cependant, d’autres chercheurs estiment que le niveau de votre libido dépend tout simplement de vos propres expériences sexuelles.
3 – Vous baissez les risques d’attraper une infection urinaire ou une MST (ça, c’est bien !)
Une fois n’est pas coutume, l’abstinence peut être une très très bonne chose pour votre corps. En effet, sans sexe, vous êtes quasiment totalement à l’abri d’une potentielle MST. Ce qui est plus surprenant est que la privation de sexe réduit également le risque d’infection urinaire.
4 – Votre santé cardiovasculaire peut en pâtir.
Une bonne vie sexuelle est fortement liée à une bonne santé cardiovasculaire. Seulement, peu d’étude ont permis de définir si la privation de sexe avait un réel impact négatif sur votre cœur. Cependant, il serait préférable d’évacuer votre frustration sexuelle sur un tapis de course, par exemple, pour vous assurer que votre cœur fonctionne bien sainement.
5 – Vous pouvez être plus stressés.
Sans surprise, le manque de sexe entraîne de la frustration et donc, un surplus de stress. Des études ont montré que les personnes qui n’avaient pas de relations sexuelles régulières avaient une pression sanguine beaucoup plus élevée que les personnes ayant eu une relation sexuelle récente.
6 – Votre vagin se resserre ? Non, pas vraiment…
Pour vous Mesdames, contrairement aux idées reçues, l’abstinence ne rend pas votre vagin plus serré. Ce que vous ressentez dans votre jardin secret ne dépend pas du nombre de partenaires sexuels, et l’abstinence ne réduit pas l’espace de votre vagin. Cependant, vos tissus vaginaux peuvent ne plus avoir cette habitude de se relaxer à chaque pénétration lorsque vous reprendrez une activité sexuelle. Il faudra juste un peu de temps pour que ça revienne à la normale. Vous risquez aussi la sécheresse vaginale
7 – Les hommes sont plus susceptibles au dysfonctionnement érectile.
Les études réalisées sur ce propos sont unanimes puisque l’activité sexuelle a un effet grandement positif sur les érections. Si, du jour au lendemain, vous stoppez votre activité sexuelle, ne serait-ce même que la masturbation, vous rencontrerez probablement des dysfonctionnement érectile.
8 – Pour les femmes, ça peut prendre plus longtemps avant de « mouiller »
Ce n’est plus un secret : une activité sexuelle régulière permet à vos organes sexuels de fonctionner sans encombre. Des experts sexuels ont établi que le processus qui permet à votre vulve de « mouiller » bénéficie beaucoup de la régularité de votre activité sexuelle. Et si vous arrêtez pendant un moment, vous aurez probablement besoin d’un coup de pouce (sans mauvais jeux de mots) et d’un peu de temps pour vous faire mouiller.
9 – Contrairement aux idées reçues, ça ne vous rend pas plus intelligent .
Une vieille rengaine dit que l’abstinence vous rend plus intelligent. C’est faux, c’est même le contraire ! Des scientifiques ont établi que l’activité sexuelle boostait le développement des neurones dans votre cerveau. Cette vieille idée reçue vient simplement du fait que durant l’abstinence, on s’ennuie plus donc on est plus amené à penser, à réfléchir, mais c’est tout…
10 – Messieurs, prenez garde au cancer de la prostate.
En répercussion au problème d’érection susmentionné, la rareté des éjaculations augmente le risque d’avoir un cancer de la prostate. Une étude scientifique a établi que les hommes ayant une activité sexuelle régulière avaient 20% de risques en moins d’attraper un cancer de la prostate. En effet, l’éjaculation sert à nettoyer les substances potentiellement nocives de votre corps.
Témoignage de Morine envoyé le 10 01 2021.
A 20 ans je multipliais les rencontres et passais beaucoup de temps sur Internet pour trouver des partenaires masculins. Puis, pour des raisons familiales, mariage, j'ai tout arrêté pendant plus de quinze ans. Depuis mon adolescence j'ai toujours eu une forte attirance pour la sexualité. A 40 ans passés, changement de vie radical divorce ! Seule, J'ai décidé de vivre à fond mes désirs et j'ai découvert un nouvel univers, de nouveaux jeux sexuels et de nouvelles pratiques avec l’envie de ne plus passer à côté de choses qui m’attirent le plus.
J'ai butiné avec des hommes, des femmes, des couples et même des trans. Doucement j'en suis arrivé au BDSM ou j'ai découvert la fessée qui m'a procuré des sensations extraordinaires, puis la cravache, le shibari et les liens, mais je ne suis pas que soumise, je peux aussi dominer les hommes ou les femmes sans le moindre complexe. Maintenant à presque cinquante ans je suis redevenue plus sage avec un fort penchant pour la lingerie, les talons hauts et tous les accessoires intimes.
J'ai trouvé mon équilibre grâce au libertinage.
le 12 01 2021 : Témoignage d'un mari candauliste.
Le vrai bonheur pour un mari candauliste est de voir ou savoir que sa propre femme est avec un amant et qui lui donne du plaisir. !
hum. Le plaisir intense d'être un bon cocu de mari ! C''est vraiment formidable.
c'est bien le rêve de tout bon vieux cocu de mari ! C'est ce que j'attend d'un jeune cocufieur ! Pour un vrai candauliste, savoir sa femme faire l'amour avec d'autres hommes et la savoir s'épanouir dans les bras d'un amant est la chose la plus merveilleuse qui soit ! merci à tout les cocufieurs de s'occuper de nos femmes et de faire de nous de bon cocus de maris ! c'est en bon futur cocu de mari que je considère qu'il n'y à rien de plus beau que de voir, ou savoir sa propre femme baiser avec d'autres hommes, même d'avoir un jeune amant attitré qui lui donne tout les plaisir qu'elle mérite, qu'elle à toute la bénédiction de son mari pour être le cocu qu'il mérite d'être. Ma femme d'amour est faite pour l'amour ! C'est fantastique et tellement excitant de partager son épouse ! C'est un des plus beau moment qu'un couple puisse partager ! Messieurs, partagez vos dames et mesdames, prenez plaisir à cocufier vos maris ! c'est un vrai bonheur que de vivre çà, que de savoir sa femme prendre du plaisir avec un autre, un amant, même plusieurs amants, jeunes cocufieurs et moins jeunes ! Il n'y à pas de règles dans le candaulisme ! il doit être défini ensemble ! Etre cocu est un sentiment magnifique ! merci aux cocufieurs et vive le candaulisme ! Pour un vrai candauliste, savoir sa femme faire l'amour avec d'autres hommes et la savoir s'épanouir dans les bras d'un amant est la chose la plus merveilleuse qui soit ! merci à tout les cocufieurs de s'occuper de nos femmes et de faire de nous de bon cocus de maris ! c'est en bon futur cocu de mari que je considère qu'il n'y à rien de plus beau que de voir, ou savoir sa propre femme baiser avec d'autres hommes, même d'avoir un jeune amant attitré qui lui donne tout les plaisir qu'elle mérite, qu'elle à toute la bénédiction de son mari pour être le cocu qu'il mérite d'être. Ma femme d'amour est faite pour l'amour ! C'est fantastique et tellement excitant de partager son épouse ! Quand votre femme lui appartient ! la dépossession de son épouse est un moment terriblement excitant ! C'est le bonheur absolu pour un bon cocu de mari de savoir sa petite femme d'amour dans les bras d'un autre homme et encore plus lorsque c'est un beau jeune homme qui s'occupe d'elle, qui lui donne tout les plaisirs du sexe que son cocu ne peut plus lui donner ! C'est merveilleux et excitant ! Vive le candaulisme et le cocufiage volontaire !
Le vrai bonheur pour un mari candauliste est de voir ou savoir que sa propre femme est avec un amant et qui lui donne du plaisir. !
hum. Le plaisir intense d'être un bon cocu de mari ! C''est vraiment formidable.
c'est bien le rêve de tout bon vieux cocu de mari ! C'est ce que j'attend d'un jeune cocufieur ! Pour un vrai candauliste, savoir sa femme faire l'amour avec d'autres hommes et la savoir s'épanouir dans les bras d'un amant est la chose la plus merveilleuse qui soit ! merci à tout les cocufieurs de s'occuper de nos femmes et de faire de nous de bon cocus de maris ! c'est en bon futur cocu de mari que je considère qu'il n'y à rien de plus beau que de voir, ou savoir sa propre femme baiser avec d'autres hommes, même d'avoir un jeune amant attitré qui lui donne tout les plaisir qu'elle mérite, qu'elle à toute la bénédiction de son mari pour être le cocu qu'il mérite d'être. Ma femme d'amour est faite pour l'amour ! C'est fantastique et tellement excitant de partager son épouse ! C'est un des plus beau moment qu'un couple puisse partager ! Messieurs, partagez vos dames et mesdames, prenez plaisir à cocufier vos maris ! c'est un vrai bonheur que de vivre çà, que de savoir sa femme prendre du plaisir avec un autre, un amant, même plusieurs amants, jeunes cocufieurs et moins jeunes ! Il n'y à pas de règles dans le candaulisme ! il doit être défini ensemble ! Etre cocu est un sentiment magnifique ! merci aux cocufieurs et vive le candaulisme ! Pour un vrai candauliste, savoir sa femme faire l'amour avec d'autres hommes et la savoir s'épanouir dans les bras d'un amant est la chose la plus merveilleuse qui soit ! merci à tout les cocufieurs de s'occuper de nos femmes et de faire de nous de bon cocus de maris ! c'est en bon futur cocu de mari que je considère qu'il n'y à rien de plus beau que de voir, ou savoir sa propre femme baiser avec d'autres hommes, même d'avoir un jeune amant attitré qui lui donne tout les plaisir qu'elle mérite, qu'elle à toute la bénédiction de son mari pour être le cocu qu'il mérite d'être. Ma femme d'amour est faite pour l'amour ! C'est fantastique et tellement excitant de partager son épouse ! Quand votre femme lui appartient ! la dépossession de son épouse est un moment terriblement excitant ! C'est le bonheur absolu pour un bon cocu de mari de savoir sa petite femme d'amour dans les bras d'un autre homme et encore plus lorsque c'est un beau jeune homme qui s'occupe d'elle, qui lui donne tout les plaisirs du sexe que son cocu ne peut plus lui donner ! C'est merveilleux et excitant ! Vive le candaulisme et le cocufiage volontaire !
Article reçu le 10 01 2021.
Je n'ai jamais voulu devenir libertine, c'est l'occasion du hasard !
Pour nous : Chantal revient sur la rencontre qui a tout changé, Il y a encore une dizaine d'années, je venais de me marier, je menais une vie normale et ma sexualité était plutôt classique. J'étais sage et réservée, mais à l'aise avec mon corps. Tout a basculé quand j'ai rencontré dans mon travail une femme, qui est rapidement devenue une copine et une amie Nous passions beaucoup de temps à discuter, elle me racontait ses soirées arrosées, ses rencontres avec des hommes. Elle était libre, sans tabou. Très vite, je suis tombée en admiration pour elle, pour ses récits, son style de vie, son aisance dans la vie. Elle était sûre d'elle, bien dans sa peau, elle ne se posait aucune question et se foutait franchement des qu'en-dira-t-on. Ce qui me frappait, le sentiment de lui ressembler, mais quelque chose au fond de moi m'empêchait de me révéler. Quelque chose bloquait. Lors d'une soirée ou nous avions un peu picolé, elle m'a dragué ouvertement, je gardais pourtant mes distances, puis des contacts de mains ce fut les lèvres et ce fut une révélation. Là je savais que ma vie allé changer. En rentrant chez moi j'en ai tout de suite parlé à mon mari avec qui j'avais plusieurs fois parlé de nouvelles expériences sexuelles lui étant tenté depuis longtemps. Petit à petit l'idée pour lui, c'était de me voir faire l'amour avec cette femme, lui plaisait beaucoup. Nous l' avons donc invités sans lui dire exactement pourquoi. Au cours du repas notre complicité s'est accéléré et dès qu'elle à comprit que mon mari était OK nous avons franchis le pas, nous avons fini toute les deux nues dans notre chambre, mon mari est resté passif. La je me suis vraiment découverte une passion libertine. Quand elle fut parti mon mari m'a fait l'amour comme jamais. Je venais de comprendre qu'avec j'allais vivre le meilleur de la sexualité. Ensuite nous nous sommes fixé des limites, libertiner oui mais jamais l'un sans l'autre. Nous avons décidé de nous faire confiance, de ne jamais se forcer. Un peu plus tard nous avons opté pour rencontrer un couple et doucement nous avons avancés dans le libertinage. Je me rappelle par exemple la première fois à quatre, nous étions tous nus, nous avons tout partagé sauf la pénétration, pourquoi je ne sais pas peut être la peur ou la méfiance. A la deuxième rencontre avec ce couple ce fut fantastique. C'était très agréable d'un point de vue sensations, mais dans ce genre d'aventure, on ne parle pas tant de plaisir que de partage : nous venions de partager quelque chose de dingue. Le lendemain, nous étions tous les deux sur un petit nuage. Nous avions le sentiment d'avoir vécu une soirée exceptionnelle. C'était assez dingue et cela nous rassurait quant à la direction que nous prenions. Nous ne nous forçons jamais. Nous prenons les rencontres comme elles se présentent, on ne s'impose rien. Si au bout de quelques minutes nous voyons que nous ne sommes pas en symbiose avec l'autre couple, nous partons. Ce mode de vie est pour nous une cerise sur le gâteau. Nous aimons vivre ces instants exceptionnels, suspendus dans le temps, hors du temps. Nous ne courons pas après l'acte en lui-même, nous aimons la séduction, Le fait de rencontrer des gens, à nous faire des amitiés à géométrie variable, comme on aime le dire. Nous créons des liens et nous voyons où ça nous mène. Nous ne considérons jamais les autres comme de simples plans cul. Très fréquemment, nous profitons simplement d'une expo avec des personnes pour qui nous avons un coup de cœur. Nous tombons sur des gens de tous bords, aux histoires différentes, qui nous racontent leurs vies, leurs voyages, leurs métiers. C'est génial. Notre démarche ne se résume pas au sexe, elle est bien plus profonde que ça. Penser que ce n'est que du sexe, c'est réducteur. On s'aperçoit vite que sur les sites de rencontres libertins, il y a deux catégories d'approches. Celle qui veut simplement du sexe et de la partouze, ils sont là pour faire leur marché. Une deuxième qui au contraire, privilégient l'humain, sans arrière-pensée. Nous appartenons à la deuxième catégorie. Nous ne courons pas après l'acte en lui-même, nous aimons la séduction, le fait de s’apprécier, comme si nous étions un couple célibataire. Nous nous sommes toujours dit que si nous n'avions pas de papillons dans le ventre avant un rendez-vous, on annulait. Ce n'est pas de l'amour, c'est davantage de la curiosité, une envie physique, un besoin relationnel. La seule chose qui nous gênerait le plus c'est que nous amis ou notre famille le découvre un jour.
Article déposé le 11 01 2021
Témoignage de Sabine recueillît par Aurélie
j'ai fait cette rencontre la dernière fois que je suis allé en club il y a un an a peu près.
Pourquoi et comment je suis devenu libertine ? en réalité je ne sais pas, une succession de rencontres sans intérêt dans mon adolescence me promettait plutôt une vie de none plutôt que de libertine. Vers 20 ans j'ai eu la chance de rencontrer tout à fait par hasard un homme de 20 ans mon ainé qui pour la première fois de ma vie m'a fait découvrir la sexualité, la vraie et le plaisir qui va avec. J'ai été folle amoureuse de lui, mais pas de l'amour qui vous mène à la mairie, de l'amour du sexe. Avec lui chez tout connu pendant les trois années ou nous nous sommes côtoyés, les clubs les soirées privées. Petit à petit j'ai pris ma liberté et me suis juré de vivre libre. A trente ans, je me suis marié avec un libertin car cela me semblait inconcevable autrement, être la femme d'un seul homme! Ah non ça jamais. Lui assume le même raisonnement, donc pas de problème. Aujourd'hui nous avons des enfants et nous sommes toujours libertins pour notre plus grand plaisir.
Témoignage de Sabine recueillît par Aurélie
j'ai fait cette rencontre la dernière fois que je suis allé en club il y a un an a peu près.
Pourquoi et comment je suis devenu libertine ? en réalité je ne sais pas, une succession de rencontres sans intérêt dans mon adolescence me promettait plutôt une vie de none plutôt que de libertine. Vers 20 ans j'ai eu la chance de rencontrer tout à fait par hasard un homme de 20 ans mon ainé qui pour la première fois de ma vie m'a fait découvrir la sexualité, la vraie et le plaisir qui va avec. J'ai été folle amoureuse de lui, mais pas de l'amour qui vous mène à la mairie, de l'amour du sexe. Avec lui chez tout connu pendant les trois années ou nous nous sommes côtoyés, les clubs les soirées privées. Petit à petit j'ai pris ma liberté et me suis juré de vivre libre. A trente ans, je me suis marié avec un libertin car cela me semblait inconcevable autrement, être la femme d'un seul homme! Ah non ça jamais. Lui assume le même raisonnement, donc pas de problème. Aujourd'hui nous avons des enfants et nous sommes toujours libertins pour notre plus grand plaisir.
C'est quoi le quickie ?
En résumé c'est un coup vite fait bien fait sans préméditation,
c'est le coup de foudre sexuel .
Contrairement à ce que l'on dit généralement : plus c'est long plus c'est bon !
Dans le cas du quickie ça peut être aussi bon même mieux, mais très court.
Ainsi, le quickie permet aux deux partenaires de se faire plaisir et ce, rapidement. Le quickie est un acte sexuel vif et osé qui va droit à l’essentiel : atteindre l'orgasme efficacement et sans attendre. C’est un moment où le désir prend le pas sur tout.
Voici les raisons pour lesquelles il est recommandé.
Une ardeur parfois oubliéeLe quickie est ce rapport sexuel rapide, spontané, qui répond à un besoin impérieux. De part sa brièveté, il témoigne de la fougue des débuts, de l'ardeur des prémisses de la vie sexuelle. Il peut pour certains couples redonner de l'ardeur, parfois oubliée. Une étincelle qui s'était peut-être éteinte.
Un petit cadeau.
Le petit coup vite fait bien fait improvisé est un fantasme classique chez les hommes. Sauvage et sans préliminaires, il peut être envisagé comme un petit cadeau sexuel. Il n'a qu'un but : s'envoyer en l'air. Une pratique qui semble aussi avoir de nombreuses fans parmi la gent féminine, puisque 47 % des femmes (selon un sondage féminin, affirment être adeptes du quickie. En effet, son plaisir, elle le tirera de la fougue de l'homme, de son envie d’elle de façon si soudaine.
Une pause plaisir.
Une psychologue clinicienne et sexothérapeute a témoigné sur le sujet en évoquant le côté bestial et sauvage de la chose. Elle parle d'un interlude, d'une pause, un fantasme de l'ordre de la transgression. Elle confirme ainsi que le fait d'être pressé et de revenir à ce qu'on faisait par la suite comme si de rien ne s'est passé, peut être très excitant.
Un côté excitant incomparable.
Le quickie se réalise souvent dans des lieux insolites et cela entraîne aussi une certaine excitation qui peut faire son charme. Les toilettes d’un bar/restaurant, dans une voiture, dans des cabines d’essayage. C’est l’avantage du coup vite fait qui ne sera jamais renouvelé : disparaître pendant quelques minutes n’éveille pas l’attention et augmente l'excitation. De plus, avoir une relation sexuelle dans ce genre d’endroits exigus et inadéquats apporte toujours un peu plus de piment quand on a peur de se faire surprendre.
Un moment non planifié où la surprise joue son rôle.
Généralement, un quickie ne se planifie pas, c'est inattendu et l'effet surprise y joue un grand rôle. Mais lorsque l'on prévient son partenaire que cela risque d’arriver dans la journée, il / elle y pensera à chaque seconde. Et l'attente peut accentuer le plaisir lors de l'acte.
Ce témoignage qui nous à été envoyé par une de nos fidèles lectrices mérite une réflexion !
La vieille est encore verte.
Ceci n'est pas une histoire mais plutôt une réflexion sur ma vie.
Delphine j'ai aujourd'hui soixante dix barreaux au compteur, née quelques années après la guerre j'ai tout connu la libération sexuelle, les hippies dont j'ai fais un passage dans une communauté de l'Ardèche pendant trois ans. C'était bien avant le sida, j'avais vingt cinq ans, nous vivions d'amour et d'eau fraîche, on baisait plus que l'on travaillait. On avait pas d'argent mais qu'importe pourvu qu'on prenne son pied le plus souvent possible. Puis à vingt neuf ans je me suis marié avec un homme rencontré par hasard sur une route alors que je faisais du stop. Un super mariage puis deux enfants. Il était chaud comme de la braise, nous avons connu les premiers clubs échangistes clandestins qui fonctionnaient avec le minitel, nous nous sommes éclatés tous les deux pendant trente ans, pour nous le sexe était notre nourriture quotidienne, pas un jour sans ou presque. Nous avons passés des soirées et des nuits à baiser avec d'autres couples sans jamais être rassasié. Oh bien sur j'avais pris quelques kilos et quelques rides mais l'envie était toujours la même avec la recherche de la jouissance réciproque du partenaire. Puis à soixante ans il m'a quitté pour l'éternité. Je suis resté seule d'abord avec ma peine puis j'ai repris le dessus et ma libido est repartit de plus belle, je fais les sites de rencontres coquines, les journaux gratuits et les rencontres au hasard font que malgré ma retraite je butine, je suce et jouis encore régulièrement comme une folle. Pour le jour de l'an 2019 avec deux hommes de quarante ans. Je n'ai aucun complexe et surtout aucun tabou sur le sexe mon âge ne m'intéresse pas, si un homme ou une femme me drague et qu'il ou elle me plaise j'en fait mon quatre heures sans me poser la moindre question. Il m'arrive même de baiser avec de jeunes hommes, femmes ou jeune couple. Pour moi le sexe c'est la vie. Quand je m’arrêterai de baiser je serai morte. Je vous le dit mesdames baiser et jouir c'est le meilleur de la vie et méfiez vous car elle est courte.
Fait le 05 01 2021
le 09 12 020
Pourquoi ne pas faire une surprise à votre mec. Il va aimer ! c'est sur.
Je m’appelle Enora, j’ai 31 ans, et cela fait maintenant six ans que je suis avec mon homme. On habite en Bretagne. On s’aime énormément, on adore faire l’amour, mais je dois avouer que le quotidien ne nous laisse pas beaucoup de temps pour des nuits très chaudes. Alors j’étais décidé, je voulais « re-séduire » mon chéri. J’ai donc programmé un super week-end, celui qui précède la fameuse Saint Valentin. Je n’avais qu’une seule idée en tête, « jouir », mais pas n’importe où ! J’ai réservé une cabane dans les arbres en Bretagne, isolée du reste du monde. Mon amoureux n’était bien sûr au courant de rien, le moment. La semaine de préparation fut longue, mon esprit et mes idées coquines me hantaient la tête. Je mouillais d’avance d’envie.
Le samedi est enfin arrivé. Nous avions rendez-vous à 17 h 30. Je me suis fait épiler intégralement la foufoune, puis je suis allée acheter une perruque brune, un porte-jarretelles, des bas et des sous-vêtements transparents car mon homme adore mes seins. Rien qu’à les toucher, il bande comme un taureau… J’ai également pris un tout petit pot de caviar, du champagne, des toasts et de la glace.
Quand je suis arrivée à la maison, mon chéri m’attendait. Je sentais l’excitation qui l’envahissait, il avait hâte de savoir ce qui je lui préparais en secret. Je me suis installée dans la chambre pour me transformer en femme fatale. Ma chatte toute douce était trempée. J’avais trop envie de me faire prendre, mais je résistais à la tentation. Mon imper noir par-dessus mes sous-vêtements, mes cuissardes et ma perruque brune en place, j’ai enfin ouvert la porte de la chambre. Et là, sous le regard ébahi de mon conjoint, j’ai vu la forme de son sexe à travers son pantalon…
Les bagages dans le coffre, on a pris la route pour un week-end magique. Alors que je conduisais, mon chéri s’était rendu compte que je n’avais pas mis de culotte et que j’étais presque nue sous mon manteau. Il a commencé par enfoncer ses gros doigts dans ma chatte qui n’attendait que cela. Ce n’était pas facile de me concentrer sur la route, mais cela m’excitait davantage. Il a ensuite détaché sa ceinture pour venir me lécher entre les jambes. Le week-end de sexe commençait très bien… J’avais de plus en plus de mal à me contrôler, je jouissais très fort, je n’arrivais pas à le repousser. Pendant quarante minutes, il s’est occupé de ma chatte qui était au bord de la folie.
Nous sommes enfin arrivés. Je suis descendue de la voiture avec la tête un peu dans les nuages. Mon chéri est resté assis à la place passager, se demandant toujours dans quoi je l’embarquais. Un homme m’a remis les clés de la cabane, tout en me regardant d’un air un peu mateur. Ensuite, il nous a emmenés, mon chéri et moi, dans notre cabane, à plusieurs mètres de haut dans un arbre. C’était magnifique, il y avait un grand lit avec des câbles, et j’imaginais déjà les positions qu’on allait pouvoir réaliser. Nous avons d’abord décidé d’explorer les bois tout autour. La nuit commençait à tomber, nous avions des lampes frontales. Nous étions tous les deux seuls au monde avec la nature. Une idée cochonne m’a traversé l’esprit ! J’avais envie de sucer mon homme en pleine forêt. J’ai baissé son jean, attrapé sa grosse queue que j’ai enfoncée au fond de ma gorge. Il gémissait… Il n’en fallait pas beaucoup plus avant qu’il ne craque ! Mais, comme je voulais la garder dure pour toute la soirée, j’ai arrêté. On est rentrés ensuite dans notre petite cabane. Je lui avais préparé un Scrabble coquin : dès que l’un de nous dépassait une dizaine de points, l’autre avait un gage. J’ai dû faire une pipe au caviar à mon homme, jouer à la fliquette avec des menottes. Moi, je lui ai demandé de me prendre par « l’entrée des artistes ». Sa queue dans ma bonne paire de fesses, c’en était trop pour lui et pour moi aussi. J’ai tellement hurlé de plaisir qu’il a laissé jaillir son jus en moi. On a fait trembler la cabane et gêné nos voisins qui sont partis à l’aube. On a remis ça dès le lendemain, en levrette sur le lit, pour le petit-déjeuner. Depuis ce week-end, notre vie sexuelle a pris un autre tournant. Sans télévision, coupé du quotidien, cela rapproche un couple, croyez-moi ! J’espère que mon récit vous plaira comme il m’a plu… J’aimerais gagner pour pouvoir m’offrir un autre week-end insolite grâce au salon de l’érotisme.
Pourquoi ne pas faire une surprise à votre mec. Il va aimer ! c'est sur.
Je m’appelle Enora, j’ai 31 ans, et cela fait maintenant six ans que je suis avec mon homme. On habite en Bretagne. On s’aime énormément, on adore faire l’amour, mais je dois avouer que le quotidien ne nous laisse pas beaucoup de temps pour des nuits très chaudes. Alors j’étais décidé, je voulais « re-séduire » mon chéri. J’ai donc programmé un super week-end, celui qui précède la fameuse Saint Valentin. Je n’avais qu’une seule idée en tête, « jouir », mais pas n’importe où ! J’ai réservé une cabane dans les arbres en Bretagne, isolée du reste du monde. Mon amoureux n’était bien sûr au courant de rien, le moment. La semaine de préparation fut longue, mon esprit et mes idées coquines me hantaient la tête. Je mouillais d’avance d’envie.
Le samedi est enfin arrivé. Nous avions rendez-vous à 17 h 30. Je me suis fait épiler intégralement la foufoune, puis je suis allée acheter une perruque brune, un porte-jarretelles, des bas et des sous-vêtements transparents car mon homme adore mes seins. Rien qu’à les toucher, il bande comme un taureau… J’ai également pris un tout petit pot de caviar, du champagne, des toasts et de la glace.
Quand je suis arrivée à la maison, mon chéri m’attendait. Je sentais l’excitation qui l’envahissait, il avait hâte de savoir ce qui je lui préparais en secret. Je me suis installée dans la chambre pour me transformer en femme fatale. Ma chatte toute douce était trempée. J’avais trop envie de me faire prendre, mais je résistais à la tentation. Mon imper noir par-dessus mes sous-vêtements, mes cuissardes et ma perruque brune en place, j’ai enfin ouvert la porte de la chambre. Et là, sous le regard ébahi de mon conjoint, j’ai vu la forme de son sexe à travers son pantalon…
Les bagages dans le coffre, on a pris la route pour un week-end magique. Alors que je conduisais, mon chéri s’était rendu compte que je n’avais pas mis de culotte et que j’étais presque nue sous mon manteau. Il a commencé par enfoncer ses gros doigts dans ma chatte qui n’attendait que cela. Ce n’était pas facile de me concentrer sur la route, mais cela m’excitait davantage. Il a ensuite détaché sa ceinture pour venir me lécher entre les jambes. Le week-end de sexe commençait très bien… J’avais de plus en plus de mal à me contrôler, je jouissais très fort, je n’arrivais pas à le repousser. Pendant quarante minutes, il s’est occupé de ma chatte qui était au bord de la folie.
Nous sommes enfin arrivés. Je suis descendue de la voiture avec la tête un peu dans les nuages. Mon chéri est resté assis à la place passager, se demandant toujours dans quoi je l’embarquais. Un homme m’a remis les clés de la cabane, tout en me regardant d’un air un peu mateur. Ensuite, il nous a emmenés, mon chéri et moi, dans notre cabane, à plusieurs mètres de haut dans un arbre. C’était magnifique, il y avait un grand lit avec des câbles, et j’imaginais déjà les positions qu’on allait pouvoir réaliser. Nous avons d’abord décidé d’explorer les bois tout autour. La nuit commençait à tomber, nous avions des lampes frontales. Nous étions tous les deux seuls au monde avec la nature. Une idée cochonne m’a traversé l’esprit ! J’avais envie de sucer mon homme en pleine forêt. J’ai baissé son jean, attrapé sa grosse queue que j’ai enfoncée au fond de ma gorge. Il gémissait… Il n’en fallait pas beaucoup plus avant qu’il ne craque ! Mais, comme je voulais la garder dure pour toute la soirée, j’ai arrêté. On est rentrés ensuite dans notre petite cabane. Je lui avais préparé un Scrabble coquin : dès que l’un de nous dépassait une dizaine de points, l’autre avait un gage. J’ai dû faire une pipe au caviar à mon homme, jouer à la fliquette avec des menottes. Moi, je lui ai demandé de me prendre par « l’entrée des artistes ». Sa queue dans ma bonne paire de fesses, c’en était trop pour lui et pour moi aussi. J’ai tellement hurlé de plaisir qu’il a laissé jaillir son jus en moi. On a fait trembler la cabane et gêné nos voisins qui sont partis à l’aube. On a remis ça dès le lendemain, en levrette sur le lit, pour le petit-déjeuner. Depuis ce week-end, notre vie sexuelle a pris un autre tournant. Sans télévision, coupé du quotidien, cela rapproche un couple, croyez-moi ! J’espère que mon récit vous plaira comme il m’a plu… J’aimerais gagner pour pouvoir m’offrir un autre week-end insolite grâce au salon de l’érotisme.
Au crépuscule de ma vie. Le 05 12 2020
Je suis Mathilde 60 ans marié avec jean 65 ans. Je vais vous raconter non pas une aventure mais plutôt le déroulement de ma vie sexuelle avec un homme extraordinaire.
Nous nous sommes mariés j'avais 25 ans nous avons eu deux enfants. Vers l'âge de 35 ans la monotonie nous à gagné et nous avons décidés d'essayer l'échangisme qui dans les années 70 était à son balbutiement. Nous rencontrions des couples par l'intermédiaire du minitel et c'était une véritable galère. Nous échangions des paroles pendant un long moment et nous décidions ou pas de nous rencontrer chez eux ou chez nous. Parfois nous faisions cent kilomètres des fois plus pour arriver chez des gens qui ne correspondaient pas du tout à ce qu'ils nous avaient dit. Il fallait vraiment avoir envie mais bon nous y trouvions notre compte.
Puis petit à petit dans les années 80 il s'est ouvert des clubs plus ou moins discret voir secret et puis internet avec la webcam ce fut le paradis, nous avons Jean et moi rencontrés de nombreux couples avec qui pour la plupart nous avons passés de très bons moments. Puis à partir de 50 ans nous avons un peu levé le pied pour ne rencontrer plus que trois ou quatre couples avec qui nous nous entendons très bien.
Pendant toutes ces années ou nous avons butinés à droite et à gauche je ne garderais que le moment ou nous nous retrouvions tous les deux à faire l'amour comme au premier jour, le fait d'aller ailleurs nous rapproché à chaque fois un peu plus, nous aimions nous retrouver enlacés tous les deux et jouir comme des fous après avoir quittés le couple avec qui nous venions de passer un bon moment.
Un soir ou nous étions enlacés dans le canapé en pensant et en nous racontant les meilleures histoires de jambes en l'air que nous avions vécues Jean me dit, nous allons achetés un camping car.
A partir de là notre vie à changé complètement, nous étions sexuellement devenus plus calme, une relation par semaine environ. Jean à décidé de tout organiser, une inscription sur un site de rencontres échangistes nationale. Nous avons commencés par la Bretagne en juin, une fois arrivés sur place jean mettait une annonce sur le site et nous rencontrions les couples nous retrouvions notre jeunesse, notre camping cars de 6 couchages. Souvent cela commençait par un barbecue dehors avec l'apéro et nous finissions chacun de notre côté jusqu'au petit matin. Quand nous étions seuls nous recommencions à faire l'amour. Nous avons ainsi butinés de région en région visitant le jour et baisant la nuit mais pas tous les jours quand même. Je me rappelle d'une fois ou j'ai passé la nuit avec Mirabelle une femme de trente ans qui rêvait de faire l'amour avec une femme, elle m'a sucé léché et fait jouir au moins dix fois. Je n'avais rarement jouis comme ça avec une femme. Elle était insatiable. Jean en était jaloux.
Une autre fois un couple super est parti avec nous pendant huit jours dans les Landes. Une autre fois nous avons fait l'amour à trois couples et je me suis fait prendre par deux hommes à la fois quel pied ! Nous avons ainsi fait la traversée de la France dans tous les sens et j'ai été prise dans tous les sens aussi pour ma plus grande joie. A soixante ans passé je ne pensais par pouvoir tenir le choc comme ça, plus je baisais plus j'avais envie. Je crois que de changer de partenaire me motivait et m'excitait. Si beaucoup de femmes de mon âge ont des sécheresses vaginales je peux vous affirmer que c'est pas mon cas au contraire. Je peux vous dire que si vraiment vous aimer faire l'amour comme nous, faites le le plus souvent possible sans tabou ni retenue. L'amour c'est bon pour la santé et tellement agréable quand on a le bon partenaire. Pour nous maintenant c'est fini ou presque.
Alors a vous toutes profiter du sexe et de la vie, elle est trop courte.
Je suis Mathilde 60 ans marié avec jean 65 ans. Je vais vous raconter non pas une aventure mais plutôt le déroulement de ma vie sexuelle avec un homme extraordinaire.
Nous nous sommes mariés j'avais 25 ans nous avons eu deux enfants. Vers l'âge de 35 ans la monotonie nous à gagné et nous avons décidés d'essayer l'échangisme qui dans les années 70 était à son balbutiement. Nous rencontrions des couples par l'intermédiaire du minitel et c'était une véritable galère. Nous échangions des paroles pendant un long moment et nous décidions ou pas de nous rencontrer chez eux ou chez nous. Parfois nous faisions cent kilomètres des fois plus pour arriver chez des gens qui ne correspondaient pas du tout à ce qu'ils nous avaient dit. Il fallait vraiment avoir envie mais bon nous y trouvions notre compte.
Puis petit à petit dans les années 80 il s'est ouvert des clubs plus ou moins discret voir secret et puis internet avec la webcam ce fut le paradis, nous avons Jean et moi rencontrés de nombreux couples avec qui pour la plupart nous avons passés de très bons moments. Puis à partir de 50 ans nous avons un peu levé le pied pour ne rencontrer plus que trois ou quatre couples avec qui nous nous entendons très bien.
Pendant toutes ces années ou nous avons butinés à droite et à gauche je ne garderais que le moment ou nous nous retrouvions tous les deux à faire l'amour comme au premier jour, le fait d'aller ailleurs nous rapproché à chaque fois un peu plus, nous aimions nous retrouver enlacés tous les deux et jouir comme des fous après avoir quittés le couple avec qui nous venions de passer un bon moment.
Un soir ou nous étions enlacés dans le canapé en pensant et en nous racontant les meilleures histoires de jambes en l'air que nous avions vécues Jean me dit, nous allons achetés un camping car.
A partir de là notre vie à changé complètement, nous étions sexuellement devenus plus calme, une relation par semaine environ. Jean à décidé de tout organiser, une inscription sur un site de rencontres échangistes nationale. Nous avons commencés par la Bretagne en juin, une fois arrivés sur place jean mettait une annonce sur le site et nous rencontrions les couples nous retrouvions notre jeunesse, notre camping cars de 6 couchages. Souvent cela commençait par un barbecue dehors avec l'apéro et nous finissions chacun de notre côté jusqu'au petit matin. Quand nous étions seuls nous recommencions à faire l'amour. Nous avons ainsi butinés de région en région visitant le jour et baisant la nuit mais pas tous les jours quand même. Je me rappelle d'une fois ou j'ai passé la nuit avec Mirabelle une femme de trente ans qui rêvait de faire l'amour avec une femme, elle m'a sucé léché et fait jouir au moins dix fois. Je n'avais rarement jouis comme ça avec une femme. Elle était insatiable. Jean en était jaloux.
Une autre fois un couple super est parti avec nous pendant huit jours dans les Landes. Une autre fois nous avons fait l'amour à trois couples et je me suis fait prendre par deux hommes à la fois quel pied ! Nous avons ainsi fait la traversée de la France dans tous les sens et j'ai été prise dans tous les sens aussi pour ma plus grande joie. A soixante ans passé je ne pensais par pouvoir tenir le choc comme ça, plus je baisais plus j'avais envie. Je crois que de changer de partenaire me motivait et m'excitait. Si beaucoup de femmes de mon âge ont des sécheresses vaginales je peux vous affirmer que c'est pas mon cas au contraire. Je peux vous dire que si vraiment vous aimer faire l'amour comme nous, faites le le plus souvent possible sans tabou ni retenue. L'amour c'est bon pour la santé et tellement agréable quand on a le bon partenaire. Pour nous maintenant c'est fini ou presque.
Alors a vous toutes profiter du sexe et de la vie, elle est trop courte.
Article déposé le 23 10 2020
Pour la femme la ménopause n'est pas du tout la fin de la sexualité, bien au contraire et voilà pourquoi faire l’amour est bénéfique ?
La vie sexuelle après la ménopause existe-t-elle encore ? La réponse est oui, et sans équivoque. Actuellement, 90 % des femmes de plus de 50 ans ont eu des rapports sexuels dans l’année. Et en moyenne, 5 par mois. Ce n’était pas le cas dans les années 70 où seulement une femme sur 10 environ avait une vie sexuelle au même âge ! Mieux encore, la pratique sexuelle est bénéfique pour les femmes ménopausées. Pourquoi ? Réponse à suivre.
Faire l’amour, ça rend heureux !
Les couples de plus de 50 ans qui ont des relations sexuelles régulières sont plus heureux que les autres. Rien que cela pourrait suffire à motiver pour l’amour !
L’acte sexuel entretient le désir.
Le désir sexuel est stimulé par les relations sexuelles. Comme le dit la sagesse populaire, « l’appétit vient en mangeant ». On sait que c’est lié à la légère augmentation de testostérone liée aux rapports sexuels, ainsi, certainement qu’aux pensées et gestes érotiques qui surviennent à ce moment.
L’acte sexuel fait fonctionner les vaisseaux.
Lors d’une relation sexuelle, il existe chez l’homme une érection et chez la femme une lubrification. Pour que ces phénomènes se produisent, il faut une activation de la circulation dans les vaisseaux, qui se dilatent pour laisser passer davantage de sang. Ces réactions des artères sont très bénéfiques pour la circulation et entretiennent le bon fonctionnement de ces artères sur la durée.
L’élasticité vaginale s’entretient avec les rapports sexuels
A chaque relation sexuelle la zone vaginale s’étire. Ses tissus font donc fonctionner son élasticité qui est entretenue et qui garde un bon fonctionnement. Une femme ménopausée qui n’a plus aucune relation sexuelle pendant longtemps peut petit à petit subir une perte d’élasticité ce qui rend parfois la reprise de relations sexuelles difficiles. Moins de gêne.
Le sperme, c’est bon pour la zone vaginale.
Lors d’une éjaculation, le sperme se répand dans le vagin. Or, le sperme contient un peu d’hormones œstrogènes, celles qui justement, manquent aux femmes après la ménopause. Cette hormone administrée ainsi de manière locale conserve un bon moelleux à la surface vaginale avec une meilleure hydratation. Alors, pourquoi s’en priver ?
Et puis, ajoutons que faire l’amour, ça fait du bien !
Une femme se sent belle quand elle se sent désirée. Et c’est important après la ménopause. Et un rapport sexuel, c’est un petit exercice physique, souvent bien plus agréable qu’un jogging ! Au total, la sexualité, après la ménopause, c’est à la fois bon pour la santé physique, mentale et sexuelle, et même pour la santé du couple. Et comme c’est gratuit, agréable et sans effet indésirable, c’est une pratique particulièrement intéressante !
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Article déposé le 17 10 2020
Le libertinage, synonyme d'infidélité ?
Selon un sondage effectué en 2017 pour un site échangiste, 12% des Français auraient déjà pratiqué l’échangisme. Une liberté sexuelle et un désir de transgression qui possède néanmoins des limites, puisqu’elle s’établit avec des règles bien précises édictées par chaque couple. Les libertins sont des couples qui souvent en ont parlé longuement auparavant et qui ne cachent pas leur désir d’aller voir ailleurs. Mais aussi quelque fois avec le concours d'une soirées arrosé ou pas ils passent à l'acte. Après ils assument cette pratique et ils savent pourquoi ils aiment ça et sont prêts à recommencer ou à le bannir pour toujours.
Des couples pour qui les sentiments amoureux sont dissociables des relations sexuelles et pour qui l’amour peut se vivre aux côtés d’autres personnes. Une pratique donc qui n'est pas perçue par les couples comme une infidélité, puisque les choses sont dites , assumées et partagées ensemble.
Comment et pourquoi se mettre au libertinage ?
Le libertinage n’est pas cantonné à un lieu précis et peut se pratiquer chez soi, par exemple dans un club ou chez un couple hôte. Le libertinage est avant tout un état d’esprit. Les couples qui souhaitent s’y mettre doivent auparavant s’assurer que les deux partenaires soient entièrement d’accord, sans que l’un se plie aux désirs de l’autre.
Ce consentement doit se poursuivre tout au long du chemin : on peut en avoir parlé avec son ou sa partenaire, être d'accord dans l'idée, et ne plus en avoir envie de le faire le moment venu. On peut avoir testé, et ne plus vouloir s'y adonner par la suite. Il est important de se sonder continuellement dans le couple. Ceci permettra de pratiquer cette pratique dans la sincérité, pour un plaisir partagé et afin d'éviter tout fracture dans le couple.
Article déposé le 07 09 2020 C'est quoi une cougar ?
Il ne se passe pas une journée sans qu'on entende parler de cougar.
Mais c'est quoi une cougar ? C' est une femme, généralement de plus de 40 ans, qui recherche et fréquente des hommes plus jeunes (ayant au minimum 10 ans de moins qu'elles ). Les vraies ont pour partenaire un homme qui a 18 ou 20 ans de moins qu'elles.
D'après une étude menée par plusieurs organismes et un site de rencontre , depuis 2005, les femmes quadragénaires et quinquagénaires sont de moins en moins réticentes à entretenir une relation avec un homme plus jeune qu’elles de 8 ans ou beaucoup plus. Cette tendance des femmes affichant leur préférence pour des hommes plus jeunes, qui était auparavant marginale, devient de plus en plus courante. En 2005, on notait que seulement 5 à 10% des femmes quadragénaires et quinquagénaires envisageaient de sortir avec un homme plus jeune. Ce chiffre a considérablement augmenté en seulement quelques années. Depuis 2010, cela à bien progressé un tiers au moins (34%) des femmes dans la quarantaine (31%) et dans la cinquantaine (38%) affirme vouloir sortir avec un homme de cinq ans ou plus leur cadet.
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Article déposé le 15 06 2020 Que penser de la bisexualité?
J'ai découvert ce site il y a assez peu de temps et j'avais envie de vous faire partager ce que je vis. Ce qui suit je l'ai écrit pour essayer de comprendre ce que je vis et ce que je ressens. Je n'avais pas prévu de le mettre à lire sur un forum mais à la fin de l'écriture j'ai eu envie d'oser enfin venir ici pour reconnaitre ce qui pour moi est encore dure a accepter: oui je suis bi! et quoi qu'on en dise quand on réalise ça à 40 ans c'est pas si simple; Alors peut-être certains se reconnaitront ils dans ma réflexion. En tout cas merci du temps que vous prendrez pour lire ce qui suit.
Pourquoi ça me pose autant problème d?ailleurs ? Pourquoi moi j?ai été attiré par une femme à l'aube de mes 40 ans ? Est-ce que c'est normal ou pathologique? Est-ce que ces sentiments que j'ai ressenti pour une femme et qui donc je suppose devaient dormir depuis longtemps au fond de moi, peuvent avoir une répercussion sur mes enfants ? Est-ce que au niveau transgénérationnel, ces sentiments que j'ai « admis », c'est peut-être un grand mot, pourraient se retrouver dans la tête de mes enfants? Est-ce que je pourrais assumer, aux yeux de la société d'avoir un de mes enfants voir les deux qui serait attiré par quelqu'un du même sexe qu'eux ? Est-ce que j'ai pas peur que dans ce cas là, je me sente jugée sur mes capacités à être une bonne mère ? alors que les autres auront des petits enfants, des couples dit normaux autour d'eux et pourront être fiers de leurs enfants. Et si un jour j'avais honte des miens, et si un jour on les rejetait? et si un jour ils étaient super malheureux?..est ce que le fait que j'ai pu avoir des tendances bi visiblement pourraient être la cause de leurs malheurs? et si plus tard je me sentais de nouveau une super mauvaise mère comme j'ai pu me sentir avec Gilles quand il était plus petit ? es-ce que je supporterais ? ou est ce que je m'effondrerais ? Pourquoi j'ai pu avoir ces sentiments là pour une autre femme ? C'est pas la première fois maintenant que j'y pense je devais avoir cette attirance depuis longtemps puisque j'avais déjà pensé à ça avec une autre personne il y a quelque années qui d'ailleurs avait du le sentir puisque d'emblée elle m'avait dit que elle c'était pas son truc alors même que moi j'avais pas pris conscience de cet état de fait. C'est tellement angoissant de se sentir différent des autres, de se sentir épiée par ses collègues qui voudraient sentir s'ils ont eu raison ou pas d'imaginer ça. Car c'est ce qui s'est passé au boulot : je suis sure de m'être fait critiquer la dessus mais le doute persistait ! Je comprends que les gens qui découvrent ça au fond d'eux, tapis dans un coin en soient effrayé et que l'on dise que c'est très violent à vivre. C'est vrai, c'est d'une grande violence de se rendre compte que l'on est différent tout à coup, de se sentir différent, de se sentir jugée, d'avoir peur de perdre les gens qu'on aime, d'avoir une nouvelle fois, peur de n'être plus aimé, d'être jugée moins bien que les autres. Quand on a déjà pas grandi avec une grande confiance en soi, c'est difficile de se retrouver tout à coup dans une situation qui risque encore de nous enlever le peu de confiance en nous qu'on avait réussi à construire avec les années.
Voila ma réflexion de ce matin, c'est une première pour moi d'oser mettre en mot la chose qui a été la plus dure à vivre pour moi cette année puisque vous l'avez compris j'ai éprouvé des sentiments assez forts et une attirance physique pour une personne avec qui je travaille et que beaucoup de mes collègues s'en sont aperçu. Merci de m'avoir lu. J'espère avoir blessé personne quand je parle de différence. C'est simplement une façon d'exprimer ce que je ressens pour moi même.
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Article déposé le 12 06 2020 Je suis l’heureuse femme d’un candauliste.
C'est quoi le candaulisme? Témoignage d'une adepte.
Elle nous explique le quotidien de cette vie de couple pas comme les autres. Un jour en parlant avec une copine de travail j'ai découvert qu'elle était libertine, qu'avec son mari il fréquentaient les clubs échangistes. Je suis resté complètement scotché par cette déclaration. J'ai beaucoup réfléchi à tout ça et me suis rappelé que mon mari m'avait plusieurs fois fait des sous entendus à ce sujet sans jamais que j'en saisisse bien le sens. Moi la bonne maman qui a éleva ses deux enfants, maintenant a la bonne quarantaine c'était une histoire de fou. Et puis, la petite graine semé dans mon esprit par ma copine et mon Julien a commencé à germer. Je me suis soudain autorisée à regarder les hommes, à fantasmer sur ceux qui me plaisait et parfois à m’imaginer avec eux et même jusqu'à la masturbation. Et j’ai réalisé que finalement, tout cela me plaisait beaucoup et relançait ma libido. Alors j'ai commencé à lui faire des sous entendus discrets. Puis à en parler et lui raconter mes fantasmes. J’ai bien mis l’accent sur le fait que ce n’était que ça : de simples pensées érotiques et pas forcément des envies concrètes. Il l’a accepté avec un grand respect et un enthousiasme plus grand encore ! Dès lors, sans jamais brusquer les choses, nous avons commencé à fantasmer à deux. Nous nous inventions des scénarios pendant l’amour où de parfaits inconnus nous rejoignaient, nous regardions ensemble les autres hommes dans la rue et imaginions ce qu’ils pourraient me faire. Avant cela, je n’avais jamais perçu le fait de coucher avec un autre homme. Mais avec ces nouveaux jeux, je découvrais une nouvelle facette de notre couple : l’idée de coucher avec un autre donnait une toute nouvelle dimension à notre sexualité, lui apportait une ouverture et un souffle nouveau. Et comment pouvait-il être question de trahison ou de blesser l’autre puisque son plaisir passait par le mien propre. Mes fantasmes se sont alors complètement démultipliés. En me ramenant au centre de notre couple, mon mari m’a libéré. Alors un jour, nous avons sauté le pas. Il m'a proposé de faire un trio. Pour commencer, on s’est dit que ce serait déjà pas mal. Nous avons rencontré, un homme la trentaine, libertin aguerri et très respectueux qui nous a assuré que je serais toujours maître de la situation. Notre première rencontre ! L’impression de découvrir nos corps et celui des autres. C’était aussi troublant qu’excitant. J’étais rassuré d’avoir mon mari à mes côtés et j’ai apprécié aussi qu’il soit actif ce jour-là. Ça m’a aidé à me mettre en confiance. Comme le courant passait plutôt bien avec cet homme, nous avons renouvelé l’expérience à plusieurs reprises. Et petit à petit, mon mari a commencé à se mettre à l’écart, en position de voyeur. J'ai lu beaucoup de choses sur le candaulisme et il est vrai que moi-même au départ je ne comprenais pas cette position de cocu passif. Mais ce n’est pas comme cela en réalité. Mon mari n’est pas cocu puisqu’il participe pleinement et volontairement à l’expérience. De plus, c’est une vision très simpliste de ne voir la sexualité qu’en terme d’actif et passif. Être candauliste, c’est bien plus complexe que cela. De la façon dont il me l’explique, pour lui c’est observer son objet de désir prendre du plaisir. C’est parfois guider ce plaisir même si ce n’est pas tout le temps. C’est enfin sentir les limites de ce lien qui nous unit, en prendre pleinement conscience et finalement lui redonner l’envie furieuse de me posséder et de m’appartenir à la fois. Quant à moi, quel plaisir j’y prends ? Comme je disais plus haut, les fantasmes de mon mari me place au centre de notre sexualité. Je me sens aimée, désirée et donc désirable. Depuis que nous avons commencé ces petits jeux, c’est comme si j’avais redécouvert mon corps et ma capacité à faire jouir un homme. Il y a le physique bien sûr, ça c’est que je fais avec nos amants. Mais il y a aussi le psychologique, la façon dont je vais exciter et donner du plaisir à mon mari. Je sais quelles positions prendre avec les autres pour le rendre fou lui. Pour vous donner une idée, me voir me faire prendre, pour lui, c’est un peu comme regarder un porno mais avec l’actrice qu’il désire le plus au monde et qui se trouve connaître exactement le scénario de ses fantasmes les plus fous. En quoi peut-on qualifier de passif un homme pour lequel sa femme réinvente les meilleurs scènes porno ? Au final, cela fait maintenant deux ans que nous pratiquons ces jeux libertins. Nous avons beaucoup mûri dans nos jeux, notre approche et bien sûr notre sexualité. Notre couple a gagné en complicité et en confiance. Bien sûr le quotidien est toujours là mais globalement, nous nous sentons plus heureux et plus épanouis. Et je suis heureuse que nous ayons tous deux eu l’ouverture d’esprit suffisante pour sortir de notre zone de confort. Si j’avais un conseil à donner à ceux qui me liront, c’est celui-ci : osez parler de vos fantasmes à votre partenaire. C’est la première étape pour les voir se réaliser. Et quoi de plus merveilleux que de les vivre avec la personne que vous aimez ?
Nous ne sommes pas échangistes nous somme candaulistes.
Il ne se passe pas une journée sans qu'on entende parler de cougar.
Mais c'est quoi une cougar ? C' est une femme, généralement de plus de 40 ans, qui recherche et fréquente des hommes plus jeunes (ayant au minimum 10 ans de moins qu'elles ). Les vraies ont pour partenaire un homme qui a 18 ou 20 ans de moins qu'elles.
D'après une étude menée par plusieurs organismes et un site de rencontre , depuis 2005, les femmes quadragénaires et quinquagénaires sont de moins en moins réticentes à entretenir une relation avec un homme plus jeune qu’elles de 8 ans ou beaucoup plus. Cette tendance des femmes affichant leur préférence pour des hommes plus jeunes, qui était auparavant marginale, devient de plus en plus courante. En 2005, on notait que seulement 5 à 10% des femmes quadragénaires et quinquagénaires envisageaient de sortir avec un homme plus jeune. Ce chiffre a considérablement augmenté en seulement quelques années. Depuis 2010, cela à bien progressé un tiers au moins (34%) des femmes dans la quarantaine (31%) et dans la cinquantaine (38%) affirme vouloir sortir avec un homme de cinq ans ou plus leur cadet.
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Article déposé le 15 06 2020 Que penser de la bisexualité?
J'ai découvert ce site il y a assez peu de temps et j'avais envie de vous faire partager ce que je vis. Ce qui suit je l'ai écrit pour essayer de comprendre ce que je vis et ce que je ressens. Je n'avais pas prévu de le mettre à lire sur un forum mais à la fin de l'écriture j'ai eu envie d'oser enfin venir ici pour reconnaitre ce qui pour moi est encore dure a accepter: oui je suis bi! et quoi qu'on en dise quand on réalise ça à 40 ans c'est pas si simple; Alors peut-être certains se reconnaitront ils dans ma réflexion. En tout cas merci du temps que vous prendrez pour lire ce qui suit.
Pourquoi ça me pose autant problème d?ailleurs ? Pourquoi moi j?ai été attiré par une femme à l'aube de mes 40 ans ? Est-ce que c'est normal ou pathologique? Est-ce que ces sentiments que j'ai ressenti pour une femme et qui donc je suppose devaient dormir depuis longtemps au fond de moi, peuvent avoir une répercussion sur mes enfants ? Est-ce que au niveau transgénérationnel, ces sentiments que j'ai « admis », c'est peut-être un grand mot, pourraient se retrouver dans la tête de mes enfants? Est-ce que je pourrais assumer, aux yeux de la société d'avoir un de mes enfants voir les deux qui serait attiré par quelqu'un du même sexe qu'eux ? Est-ce que j'ai pas peur que dans ce cas là, je me sente jugée sur mes capacités à être une bonne mère ? alors que les autres auront des petits enfants, des couples dit normaux autour d'eux et pourront être fiers de leurs enfants. Et si un jour j'avais honte des miens, et si un jour on les rejetait? et si un jour ils étaient super malheureux?..est ce que le fait que j'ai pu avoir des tendances bi visiblement pourraient être la cause de leurs malheurs? et si plus tard je me sentais de nouveau une super mauvaise mère comme j'ai pu me sentir avec Gilles quand il était plus petit ? es-ce que je supporterais ? ou est ce que je m'effondrerais ? Pourquoi j'ai pu avoir ces sentiments là pour une autre femme ? C'est pas la première fois maintenant que j'y pense je devais avoir cette attirance depuis longtemps puisque j'avais déjà pensé à ça avec une autre personne il y a quelque années qui d'ailleurs avait du le sentir puisque d'emblée elle m'avait dit que elle c'était pas son truc alors même que moi j'avais pas pris conscience de cet état de fait. C'est tellement angoissant de se sentir différent des autres, de se sentir épiée par ses collègues qui voudraient sentir s'ils ont eu raison ou pas d'imaginer ça. Car c'est ce qui s'est passé au boulot : je suis sure de m'être fait critiquer la dessus mais le doute persistait ! Je comprends que les gens qui découvrent ça au fond d'eux, tapis dans un coin en soient effrayé et que l'on dise que c'est très violent à vivre. C'est vrai, c'est d'une grande violence de se rendre compte que l'on est différent tout à coup, de se sentir différent, de se sentir jugée, d'avoir peur de perdre les gens qu'on aime, d'avoir une nouvelle fois, peur de n'être plus aimé, d'être jugée moins bien que les autres. Quand on a déjà pas grandi avec une grande confiance en soi, c'est difficile de se retrouver tout à coup dans une situation qui risque encore de nous enlever le peu de confiance en nous qu'on avait réussi à construire avec les années.
Voila ma réflexion de ce matin, c'est une première pour moi d'oser mettre en mot la chose qui a été la plus dure à vivre pour moi cette année puisque vous l'avez compris j'ai éprouvé des sentiments assez forts et une attirance physique pour une personne avec qui je travaille et que beaucoup de mes collègues s'en sont aperçu. Merci de m'avoir lu. J'espère avoir blessé personne quand je parle de différence. C'est simplement une façon d'exprimer ce que je ressens pour moi même.
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Article déposé le 12 06 2020 Je suis l’heureuse femme d’un candauliste.
C'est quoi le candaulisme? Témoignage d'une adepte.
Elle nous explique le quotidien de cette vie de couple pas comme les autres. Un jour en parlant avec une copine de travail j'ai découvert qu'elle était libertine, qu'avec son mari il fréquentaient les clubs échangistes. Je suis resté complètement scotché par cette déclaration. J'ai beaucoup réfléchi à tout ça et me suis rappelé que mon mari m'avait plusieurs fois fait des sous entendus à ce sujet sans jamais que j'en saisisse bien le sens. Moi la bonne maman qui a éleva ses deux enfants, maintenant a la bonne quarantaine c'était une histoire de fou. Et puis, la petite graine semé dans mon esprit par ma copine et mon Julien a commencé à germer. Je me suis soudain autorisée à regarder les hommes, à fantasmer sur ceux qui me plaisait et parfois à m’imaginer avec eux et même jusqu'à la masturbation. Et j’ai réalisé que finalement, tout cela me plaisait beaucoup et relançait ma libido. Alors j'ai commencé à lui faire des sous entendus discrets. Puis à en parler et lui raconter mes fantasmes. J’ai bien mis l’accent sur le fait que ce n’était que ça : de simples pensées érotiques et pas forcément des envies concrètes. Il l’a accepté avec un grand respect et un enthousiasme plus grand encore ! Dès lors, sans jamais brusquer les choses, nous avons commencé à fantasmer à deux. Nous nous inventions des scénarios pendant l’amour où de parfaits inconnus nous rejoignaient, nous regardions ensemble les autres hommes dans la rue et imaginions ce qu’ils pourraient me faire. Avant cela, je n’avais jamais perçu le fait de coucher avec un autre homme. Mais avec ces nouveaux jeux, je découvrais une nouvelle facette de notre couple : l’idée de coucher avec un autre donnait une toute nouvelle dimension à notre sexualité, lui apportait une ouverture et un souffle nouveau. Et comment pouvait-il être question de trahison ou de blesser l’autre puisque son plaisir passait par le mien propre. Mes fantasmes se sont alors complètement démultipliés. En me ramenant au centre de notre couple, mon mari m’a libéré. Alors un jour, nous avons sauté le pas. Il m'a proposé de faire un trio. Pour commencer, on s’est dit que ce serait déjà pas mal. Nous avons rencontré, un homme la trentaine, libertin aguerri et très respectueux qui nous a assuré que je serais toujours maître de la situation. Notre première rencontre ! L’impression de découvrir nos corps et celui des autres. C’était aussi troublant qu’excitant. J’étais rassuré d’avoir mon mari à mes côtés et j’ai apprécié aussi qu’il soit actif ce jour-là. Ça m’a aidé à me mettre en confiance. Comme le courant passait plutôt bien avec cet homme, nous avons renouvelé l’expérience à plusieurs reprises. Et petit à petit, mon mari a commencé à se mettre à l’écart, en position de voyeur. J'ai lu beaucoup de choses sur le candaulisme et il est vrai que moi-même au départ je ne comprenais pas cette position de cocu passif. Mais ce n’est pas comme cela en réalité. Mon mari n’est pas cocu puisqu’il participe pleinement et volontairement à l’expérience. De plus, c’est une vision très simpliste de ne voir la sexualité qu’en terme d’actif et passif. Être candauliste, c’est bien plus complexe que cela. De la façon dont il me l’explique, pour lui c’est observer son objet de désir prendre du plaisir. C’est parfois guider ce plaisir même si ce n’est pas tout le temps. C’est enfin sentir les limites de ce lien qui nous unit, en prendre pleinement conscience et finalement lui redonner l’envie furieuse de me posséder et de m’appartenir à la fois. Quant à moi, quel plaisir j’y prends ? Comme je disais plus haut, les fantasmes de mon mari me place au centre de notre sexualité. Je me sens aimée, désirée et donc désirable. Depuis que nous avons commencé ces petits jeux, c’est comme si j’avais redécouvert mon corps et ma capacité à faire jouir un homme. Il y a le physique bien sûr, ça c’est que je fais avec nos amants. Mais il y a aussi le psychologique, la façon dont je vais exciter et donner du plaisir à mon mari. Je sais quelles positions prendre avec les autres pour le rendre fou lui. Pour vous donner une idée, me voir me faire prendre, pour lui, c’est un peu comme regarder un porno mais avec l’actrice qu’il désire le plus au monde et qui se trouve connaître exactement le scénario de ses fantasmes les plus fous. En quoi peut-on qualifier de passif un homme pour lequel sa femme réinvente les meilleurs scènes porno ? Au final, cela fait maintenant deux ans que nous pratiquons ces jeux libertins. Nous avons beaucoup mûri dans nos jeux, notre approche et bien sûr notre sexualité. Notre couple a gagné en complicité et en confiance. Bien sûr le quotidien est toujours là mais globalement, nous nous sentons plus heureux et plus épanouis. Et je suis heureuse que nous ayons tous deux eu l’ouverture d’esprit suffisante pour sortir de notre zone de confort. Si j’avais un conseil à donner à ceux qui me liront, c’est celui-ci : osez parler de vos fantasmes à votre partenaire. C’est la première étape pour les voir se réaliser. Et quoi de plus merveilleux que de les vivre avec la personne que vous aimez ?
Nous ne sommes pas échangistes nous somme candaulistes.
Article déposé le 01 09 2020
Alors être une femme fatale, c’est quoi exactement ?
Une femme attirante est une femme qui arrive à créer une attirance avec les hommes à travers son attitude, son comportement, mais aussi son physique, il ne faut pas se voiler la face. Mais attention, une fille qui fait l’unanimité physiquement, qui n’a pas de mal à capter les regards masculins, n’est pas forcément une femme fatale, bien au contraire, il en faut bien plus pour le devenir. Sinon pas mal de femmes pourraient prétendre à ce titre mais c’est loin d’être le cas. Le fait d’être belle ne signifie pas pour autant que l’on va devenir une femme fatale. Elle est tout d’abord inaccessible et énigmatique, ce qui est la base, car un homme ne séduit pas une telle femme, Non c’est elle qui décide de laisser une chance à tel ou tel homme ou bien même qui fait le premier pas simplement en laissant suggérer ses intentions. Elle contrôle le jeu de séduction en jouant de ses charmes et connaît exactement ses atouts mais aussi le comportement des hommes. D’ailleurs une vraie fille fatale ferait une parfaite love coach car elle maîtrise la psychologie masculine. Elle utilise son propre langage pour capter l’attention à travers ses mouvements bien sûr mais aussi et surtout son regard. Elle n’exprime pas ses sentiments ce qui rend son homme totalement fou d’elle mais aussi qui peut le plonger dans une profonde tristesse car la frustration est évidemment importante. Grâce ou à cause de son attitude, les hommes et plus particulièrement ceux qu’elle convoite ou bien qui sont attirés n’agissent plus raisonnablement. Il y a une forte tentation pour ce style de femme que les hommes ne peuvent pas contrôler. C’est exactement ça la loi de l'attraction et une femme captivante fait craquer en général !
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COMMENT FAIRE UN (BON) CUNNILINGUS ?
Quand vient l’heure de se déshabiller fougueusement et de faire des folies de leurs corps, ces messieurs ont parfois une légère tendance à considérer leur membre fièrement érigé comme la star du film qui commence à se dérouler dans leur tête… Mais quand il s’agit d’effectuer un bon cunnilingus certifié Label Rouge, les hommes se mettent tout à coup à bégayer. N’oublions pas qu’on fait l’amour avec tout son corps et pas seulement avec sa lance de feu. Laissons de côté la baguette magique pour quelques instants et élargissons nos horizons. Comme dit le proverbe, l’appétit vient en mangeant, alors voila quelques petits conseils à suivre avant de déguster avant de passer à table. Pour lancer les hostilités, oublions même la vulve de madame. Ne plongez pas droit au but. Rien de tel que des baisers profonds et langoureux pour faire monter la température avant d'effectuer des caresses de plus en plus appuyées en descendant progressivement autour de la zone interdite, à l'intérieur des cuisses, sur les fesses ou encore la poitrine. Attardons-nous un instant sur les tétons avant que votre visage ne descende lentement, sans se précipiter. Mettez-la au supplice ! Trouver ce qui lui convient le mieux : Vous êtes sur le point d'ouvrir la boîte de Pandore. Avec les doigts, la langue ? Aux réactions de Madame, vous saurez vite ce qui lui convient le mieux. Trouver la bonne position : Il y a mille et une façons pour faire grimper madame aux rideaux. Du très classique avec la femme allongée sur le dos et monsieur œuvrant entre ses cuisses, ou bien madame debout, ou encore à califourchon sur le visage de son partenaire, sans oublier l'incontournable 69 où les deux tourtereaux peuvent exercer leur art des préliminaires. À table ! Quand votre bouche est enfin à portée de son sexe dégoulinant de plaisir, dégustez-la sans plus hésiter. Écartez son clitoris en deux avec votre langue et puis lécher laper. On apprend à tenir sa langue ! Le clitoris est une zone particulièrement sensible. Autant des coups de langues habiles sauront amener madame au septième ciel, autant un cunnilingus bâclé risque d'expédier monsieur hors du lit conjugal ! On ne le répétera jamais assez mais soyez à l'écoute de votre partenaire. Varier le rythme, jouez avec le bout de votre langue. Commencez en douceur, puis accélérez à gauche, à droite. Titillez son clitoris avec votre langue de manière circulaire, de bas en haut ou de haut en bas. On maintient le cap ! car lorsqu'elle se met à gémir, à onduler du bassin ou encore à refermer ses cuisses autour de votre tête Vous êtes sur la bonne voie ! Vous faîtes partie des spécialistes, Vous avez enfin atteint votre rythme de croisière, surtout, maintenez le cap jusqu'à l'explosion. Si vous avez un peu d'imagination vous pouvez jouer avec une boisson pétillante des glaçons ou du thé chaud buvez quelques gorgées du liquide choisi et lancez-vous dans un cunnilingus classique, que ce soit les bulles de la boisson gazeuse ou la chaleur du thé, l'effet fera à coup sûr chavirer madame.
Et bon courage pour la suite.
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Des astuces pour une fellation de rêve.
Ne vous jetez pas d'emblée sur son pénis. Quitte à sortir le grand jeu, autant prendre son temps et faites un peu durer le suspense. Rien de tel que des baisers langoureux et des petites caresses sensuelles pour faire monter la température.
Pour une fellation réussie, la position compte ! un sexologue explique quelles sont celles à adopter.
L'homme est allongé sur le dos, la femme est entre ses jambes, à genoux Assis : l'homme est assis sur le rebord d'un lit ou d'un fauteuil, et la femme est à genoux entre ses cuisses.
En mode 69 : si la position rencontre un vif succès, elle comporte certains inconvénients, à savoir, la difficulté à se concentrer sur le plaisir de son partenaire quand le sien l’emporte. Faites durer le plaisir. A moins que vous ne voyez aucun inconvénient à recevoir toute sa semence dans votre bouche, repérer les signes d'une éjaculation imminente est important : Durcissement maximum de la verge Ascension des testicules vers le haut des bourses Crescendo des manifestations de plaisir, gémissements, contractions musculaires. Pour le rendre fou de plaisir, vous pouvez accompagner la fellation avec vos mains, ce qui stimulera davantage monsieur en augmentant les va-et-vient. Le sexe masculin est composé de différentes zones à cajoler. Mais le gland est la partie la plus sensible du pénis et c'est là que vos efforts doivent se concentrer. Une fois la mise en bouche commencée, entamez la fellation tout en douceur avant de progressivement accélérer vos va-et-vient verticaux. Si elle est l'un des fantasmes les plus courants des films x, la gorge profonde, bien exécutée, peut s'avérer incroyablement agréable pour votre partenaire. Cette pratique consiste à introduire le pénis de son partenaire le plus loin possible dans la gorge. C'est un exercice assez technique qui requiert un minimum d'entraînement afin d'éviter de s'étouffer ou de vomir. Des petits astuces le froid peut entraîner un effet des plus aphrodisiaques, si il est utilisé à bon escient. Vous pouvez vous laver les dents au dentifrice mentholé juste avant, avaler des pastilles à la menthe ou encore garder un petit glaçon au moment de faire la fellation. Parmi ses techniques toutes plus farfelues les unes que les autres, il y en a une qui n'a pas manqué de nous surprendre : la pipe au pamplemousse. Prenez un pamplemousse, rose de préférence, et passez le sous de l’eau chaude pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’il soit à température ambiante. Puis faites le rouler sous vos doigts comme un rouleau de pâtisserie pour qu’il soit le plus juteux possible. Enfin, coupez les deux extrémités de sorte à avoir l’équivalent d’un très large collier qu’il vous suffit juste de passer autour du pénis. Et voilà, le tour est joué. Vous pouvez aussi le faire avec du champagne ou du vin pétillant. Tous les ingrédients sont réunis pour commencer votre petite gâterie dont il se souviendra longtemps.
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Alors être une femme fatale, c’est quoi exactement ?
Une femme attirante est une femme qui arrive à créer une attirance avec les hommes à travers son attitude, son comportement, mais aussi son physique, il ne faut pas se voiler la face. Mais attention, une fille qui fait l’unanimité physiquement, qui n’a pas de mal à capter les regards masculins, n’est pas forcément une femme fatale, bien au contraire, il en faut bien plus pour le devenir. Sinon pas mal de femmes pourraient prétendre à ce titre mais c’est loin d’être le cas. Le fait d’être belle ne signifie pas pour autant que l’on va devenir une femme fatale. Elle est tout d’abord inaccessible et énigmatique, ce qui est la base, car un homme ne séduit pas une telle femme, Non c’est elle qui décide de laisser une chance à tel ou tel homme ou bien même qui fait le premier pas simplement en laissant suggérer ses intentions. Elle contrôle le jeu de séduction en jouant de ses charmes et connaît exactement ses atouts mais aussi le comportement des hommes. D’ailleurs une vraie fille fatale ferait une parfaite love coach car elle maîtrise la psychologie masculine. Elle utilise son propre langage pour capter l’attention à travers ses mouvements bien sûr mais aussi et surtout son regard. Elle n’exprime pas ses sentiments ce qui rend son homme totalement fou d’elle mais aussi qui peut le plonger dans une profonde tristesse car la frustration est évidemment importante. Grâce ou à cause de son attitude, les hommes et plus particulièrement ceux qu’elle convoite ou bien qui sont attirés n’agissent plus raisonnablement. Il y a une forte tentation pour ce style de femme que les hommes ne peuvent pas contrôler. C’est exactement ça la loi de l'attraction et une femme captivante fait craquer en général !
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COMMENT FAIRE UN (BON) CUNNILINGUS ?
Quand vient l’heure de se déshabiller fougueusement et de faire des folies de leurs corps, ces messieurs ont parfois une légère tendance à considérer leur membre fièrement érigé comme la star du film qui commence à se dérouler dans leur tête… Mais quand il s’agit d’effectuer un bon cunnilingus certifié Label Rouge, les hommes se mettent tout à coup à bégayer. N’oublions pas qu’on fait l’amour avec tout son corps et pas seulement avec sa lance de feu. Laissons de côté la baguette magique pour quelques instants et élargissons nos horizons. Comme dit le proverbe, l’appétit vient en mangeant, alors voila quelques petits conseils à suivre avant de déguster avant de passer à table. Pour lancer les hostilités, oublions même la vulve de madame. Ne plongez pas droit au but. Rien de tel que des baisers profonds et langoureux pour faire monter la température avant d'effectuer des caresses de plus en plus appuyées en descendant progressivement autour de la zone interdite, à l'intérieur des cuisses, sur les fesses ou encore la poitrine. Attardons-nous un instant sur les tétons avant que votre visage ne descende lentement, sans se précipiter. Mettez-la au supplice ! Trouver ce qui lui convient le mieux : Vous êtes sur le point d'ouvrir la boîte de Pandore. Avec les doigts, la langue ? Aux réactions de Madame, vous saurez vite ce qui lui convient le mieux. Trouver la bonne position : Il y a mille et une façons pour faire grimper madame aux rideaux. Du très classique avec la femme allongée sur le dos et monsieur œuvrant entre ses cuisses, ou bien madame debout, ou encore à califourchon sur le visage de son partenaire, sans oublier l'incontournable 69 où les deux tourtereaux peuvent exercer leur art des préliminaires. À table ! Quand votre bouche est enfin à portée de son sexe dégoulinant de plaisir, dégustez-la sans plus hésiter. Écartez son clitoris en deux avec votre langue et puis lécher laper. On apprend à tenir sa langue ! Le clitoris est une zone particulièrement sensible. Autant des coups de langues habiles sauront amener madame au septième ciel, autant un cunnilingus bâclé risque d'expédier monsieur hors du lit conjugal ! On ne le répétera jamais assez mais soyez à l'écoute de votre partenaire. Varier le rythme, jouez avec le bout de votre langue. Commencez en douceur, puis accélérez à gauche, à droite. Titillez son clitoris avec votre langue de manière circulaire, de bas en haut ou de haut en bas. On maintient le cap ! car lorsqu'elle se met à gémir, à onduler du bassin ou encore à refermer ses cuisses autour de votre tête Vous êtes sur la bonne voie ! Vous faîtes partie des spécialistes, Vous avez enfin atteint votre rythme de croisière, surtout, maintenez le cap jusqu'à l'explosion. Si vous avez un peu d'imagination vous pouvez jouer avec une boisson pétillante des glaçons ou du thé chaud buvez quelques gorgées du liquide choisi et lancez-vous dans un cunnilingus classique, que ce soit les bulles de la boisson gazeuse ou la chaleur du thé, l'effet fera à coup sûr chavirer madame.
Et bon courage pour la suite.
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Des astuces pour une fellation de rêve.
Ne vous jetez pas d'emblée sur son pénis. Quitte à sortir le grand jeu, autant prendre son temps et faites un peu durer le suspense. Rien de tel que des baisers langoureux et des petites caresses sensuelles pour faire monter la température.
Pour une fellation réussie, la position compte ! un sexologue explique quelles sont celles à adopter.
L'homme est allongé sur le dos, la femme est entre ses jambes, à genoux Assis : l'homme est assis sur le rebord d'un lit ou d'un fauteuil, et la femme est à genoux entre ses cuisses.
En mode 69 : si la position rencontre un vif succès, elle comporte certains inconvénients, à savoir, la difficulté à se concentrer sur le plaisir de son partenaire quand le sien l’emporte. Faites durer le plaisir. A moins que vous ne voyez aucun inconvénient à recevoir toute sa semence dans votre bouche, repérer les signes d'une éjaculation imminente est important : Durcissement maximum de la verge Ascension des testicules vers le haut des bourses Crescendo des manifestations de plaisir, gémissements, contractions musculaires. Pour le rendre fou de plaisir, vous pouvez accompagner la fellation avec vos mains, ce qui stimulera davantage monsieur en augmentant les va-et-vient. Le sexe masculin est composé de différentes zones à cajoler. Mais le gland est la partie la plus sensible du pénis et c'est là que vos efforts doivent se concentrer. Une fois la mise en bouche commencée, entamez la fellation tout en douceur avant de progressivement accélérer vos va-et-vient verticaux. Si elle est l'un des fantasmes les plus courants des films x, la gorge profonde, bien exécutée, peut s'avérer incroyablement agréable pour votre partenaire. Cette pratique consiste à introduire le pénis de son partenaire le plus loin possible dans la gorge. C'est un exercice assez technique qui requiert un minimum d'entraînement afin d'éviter de s'étouffer ou de vomir. Des petits astuces le froid peut entraîner un effet des plus aphrodisiaques, si il est utilisé à bon escient. Vous pouvez vous laver les dents au dentifrice mentholé juste avant, avaler des pastilles à la menthe ou encore garder un petit glaçon au moment de faire la fellation. Parmi ses techniques toutes plus farfelues les unes que les autres, il y en a une qui n'a pas manqué de nous surprendre : la pipe au pamplemousse. Prenez un pamplemousse, rose de préférence, et passez le sous de l’eau chaude pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’il soit à température ambiante. Puis faites le rouler sous vos doigts comme un rouleau de pâtisserie pour qu’il soit le plus juteux possible. Enfin, coupez les deux extrémités de sorte à avoir l’équivalent d’un très large collier qu’il vous suffit juste de passer autour du pénis. Et voilà, le tour est joué. Vous pouvez aussi le faire avec du champagne ou du vin pétillant. Tous les ingrédients sont réunis pour commencer votre petite gâterie dont il se souviendra longtemps.
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