La Librairie coquine.
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Sur cette page nous vous proposons, pour un simple abonnement de 5 euros, plus de 360 histoires coquines, renouvelées régulièrement, elles sont chaudes, parfois extravagantes ou hors pistes. Elles mettent en scènes des hommes, des femmes souvent dans des situations inattendues, hors normes, scabreuses ou complètement loufoques.
Il s'agit d'histoires, de rêves de fantasmes inédits raconté par les protagonistes eux même.
Retrouvez ici de jeunes garçons ou jeunes filles avec de vieilles femmes ou hommes plutôt chauds, des belles mères avec leur gendre, des voisines avec le voisin, histoire de lesbiennes, ici on baise la copine de maman, ou le fils de la copine. les tantes, la patronne ou le patron, la belle fille, etc , etc. Ici il n'y a que des histoires de sexe avec un grand S.
Des histoires courtes 2 ou 3 pages et des histoires de 30 ou 40 pages telle la notable cachait bien son jeu.
Vous allez avoir des frissons, des érections et des chaleurs et peut être beaucoup plus, j'en suis sur.
Pour avoir droit à l'accès illimité de notre librairie d'histoires et ainsi pouvoir télécharger toutes les histoires qui vous plaise à tous moments du jour ou de la nuit, ceci pour un temps illimité. Vous aurez droit à un code d' accès personnel que vous pourrez utiliser quand bon vous semble, pour des centaines d'histoires renouvelées régulièrement.
Mais pour cela vous devez vous abonner pour la somme dérisoire de 5 euros.
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Un exemple d'histoire que vous pourrez lire.
Amandine et le sexe
L'histoire d'une femme qui aime les jeux du sexe et qui est prête à
tout pour le plaisir sexuel et s'envoyer en l'air !!!
Chapitre 1 la découverte.
Comment j'ai perdu mon pucelage avec une fille.
Je me nomme Amandine j'avais 17 ans nous étions au Lycée, et j'en pinçais pour Irène, une ravissante copine qui était dans ma classe. Elle était très déluré et déjà plus pucelle, un après midi que nous étions seules quel ne fut pas mon étonnement de la voire enfiler profondément deux doigts dans son minou ! Elle était grande et mince, et moi bien en chair . Elle avait déjà eu plusieurs aventures avec des garçons et moi aucune idée sur les choses de l'amour à part que lorsque je me touchais les seins ils devenaient durs. De retour d'un séjour à Paris, Irène me ramené un vibro-masseur . Ce n’était pas aussi banal que maintenant, et pour nous, c’était un peu sulfureux. Je me souviens que je regarde ce truc de plastique lisse et glacé avec effroi. Irène m’explique qu’elle n’aime pas trop ça, qu'elle le trouve trop dur, et qu’elle préfère de loin ses doigts, ou la bonne queue d’un garçon, mais qu’elle en à besoin régulièrement, qu'elle est prête à me le prêter car elle sait que je suis encore pucelle. Elle me dit si tu veux je te faire voir et je fais le garçon. J'eus un temps d'hésitation mais j'acceptais et je me laissais faire, non sans appréhension. Nous nous enfermons dans ma chambre et nous quittons nos fringues. Toutes les deux nues sur le lit, elle me le passe sur tout le corps avec le vibreur cela me fais frémir, en insistant sur les points sensibles, derrière mes oreilles, le long de mon cou, sur les seins qui ne tardent pas à se dresser, sur le nombril, ce qui me fait frissonner, sur mes cuisses puis le long de ma chatte, qui commence à devenir humide et je ressent des sensations complètement inconnues. J’écarte de plus en plus les jambes et elle tourne le vibro de plus en plus près de mon petit trou du cul. Elle le promène autour de ma vulve où elle le lubrifiait abondement, puis l'approche de ma rondelle que je resserre instantanément Elle le pousse un peu juste à l'entrée puis le retire dès qu'elle sent que je veux qu'elle le rentre. Je n'en peux plus, je suis comme folle, je gesticule dans tous les sens, je soulève mes fesses et ondule des hanches pour qu'elle le rentre, je n'étais plus moi même, je haletais, je me cramponnais au drap du lit des deux mains. D’un mouvement de haut en bas, elle revenait sur ma fente qui dégoulinait et retournai à mon petit rond qui s’ouvrait et implorait tellement j'avais envie. Les yeux mi clos, les dents serrées, j’étais crispée sur ces sensations inconnues qui me parcouraient. Je me sentais assaillie et je ne savais pas par quoi et je me sentais impuissante. Elle insistait sur mon clitoris maintenant complètement dressé hors de ma vulve. Je sentais que ma fente trempée était ouverte. Je poussais un petit cri quand elle se mit à me lécher en faisant tourner sa langue en même temps que l’appareil qui continuait à vibrer me titillait le derrière. Elle pointa sa langue dans mon petit trou, puis y mit un doigt qu’elle enfila très loin. De sentir son doigt dans mon cul, je me tendis en criant , je me crispai au point que ça me fit presque mal. Et cette vibration entre les jambes me mettait hors de moi. Comme elle promenait le vibro-masseur sur mon clitoris, puis sur ma fente, je hurlai <<arrête arrête j'en peux plus>>. Je pris violemment son poignet pour arrêter mais au contraire elle poussa et me l'enfila jusqu'à la garde cet engin en plastique me pilonnais tant qu'elle pouvait avec le vibreur au maxi, au bout d'une minute j'explosais dans un long jet qui inonda le lit. J'ai ressenti à ce moment là dans mon ventre et dans ma tête, une douleur fulgurante qui s’atténua très vite et j'eus un orgasme, qui me souleva du lit, je m’effondrai anéantie sur le lit, hébétée, je ne savais
pas ce qui m'arrivait. Irène me caressa pour me calmer. Je restais là pantelante et meurtrie mais tellement heureuse. Nous primes une douche ensemble en nous embrassant goulûment, j'étais heureuse. Elle me passa un gant plein de mousse en me frottant délicatement le sexe. J'étais maintenant prête pour ma vie sexuelle
ou je me jurais de ne louper aucune occasion, j'avais vraiment aimé cette première expérience.
Chapitre2
Avec ma cousine
Quelques semaines plus tard avant les vacances de Pâques ma mère me dit : tu va aller passer quelques jours chez ta tante avec Aurélie, c'est ma cousine nous avons le même âge et nous nous entendons bien. Les vacances arrivent et me voilà chez tante Renée, on m'installe dans une petite chambre à coté de celle d'Aurélie. Les premiers jours se passent bien, nous sortons rencontrons ses copains parmi lesquelles je remarque un garçon Michel qui à l'air très intéressé par ma cousine, en rentrant je lui en parle et elle me dit qu'elle voudrait bien mais il est timide et elle n'ose pas faire le premier pas, pourtant elle à une envie folle de faire l'amour avec lui, en plus la première fois qu'elle à fait l'amour avec un garçon çà c'est pas bien passé et maintenant elle à un peu peur de recommencer. Le lendemain après midi il pleut, nous sommes seules à la maison, assises côte à côte sur le canapé nous parlons de Michel et essayons de mettre au point un plan pour qu'elle puisse faire quelque chose avec lui, tout en parlant je lui caresse le bras, nous nous regardons et je vois ses jolis yeux
pétillants qui me font comme un appel, quoique que petite 1,60m et assez ronde 65 kgs elle est très belle et je la trouve sensuelle, nous nous rapprochons et doucement je l'embrasse sur la bouche elle ne bronche pas au contraire elle à l'air d' apprécier je m 'enhardi et cherche sa langue, notre baiser devient fougueux et nous nous serrons de plus en plus fort, ma main gauche cherche son sein et le
malaxe, il est énorme par rapport au mien. Je lui dis viens et la prend par la main, nous allons dans ma chambre pour ne pas nous faire surprendre en cas de retour de quelqu'un. Une fois la porte fermée nous reprenons notre étreinte et en même temps je commence à la déshabiller tee short et sous tifs se retrouvent vite par terre, ses seins sont énormes je suis émerveillé je les sucent les titillent les malaxent
c'est elle qui quitte son jean et sa culotte j'en fait autant, je la couche sur le lit et commence à l'embrasser partout ma langue court sur son corps et la fait gémir son souffle devient de plus en plus saccadé ma main court entre ses cuisses qu'elle écarte pour mieux me laisser entrer, ma langue joue avec son clitoris et sa vulve elle n'en peux plus elle tient ma tête entre ses cuisses, je lui aspire le clito et le lèche
goulûment , j'enfourne ma langue au plus profond de sa minette juste au moment ou elle jouit en m 'envoyant son jus dans la bouche, elle se trémousse et se tortille comme un lézard, je dégage ma tête et met deux doigts sur son clito que je branle doucement d'abord pour accélérer petit à petit et en même temps avec mon autre main je titille le téton du sein et le malaxe aussi fort que je peux, elle n'en peux
plus elle essaie de se dégager c'est le moment que j'ai choisi pour forcer son trou, mes deux doigts entrent jusqu'à la garde et la pistonnent aussi fort que je peux, elle hurle jouit saute, quand je la lâche elle retombe comme évanouie. Au bout de quelques minutes elle revient à elle et me dit tu es complètement folle et elle m'embrasse en mettant sa langue, ensuite elle dit si mon copain pouvait me faire une chose
pareille ce serait super. Je lui fait remarquer que moi aussi je suis trempé elle s'approche et commence à me sucer et me lécher maladroitement, je me caresse les bouts des seins qui deviennent durs et comme je suis très excité je ne tarde pas à jouir moi aussi surtout quand même temps qu'elle me suce le clitoris je m'enfile deux doigts dans la grotte en les enfonçant au maxi, quand mon jus arrive je lui met la bouche à l'entrée de ma chatte et lui dit bouffe tout coquine.
Notre journée se terminera tranquillement avec tonton et tatan.
Chapitre 3
Quelques années plus tard.
À l'époque, je suis déjà mariée et mère, j'ai 35 ans. On me dit plutôt jolie et bien roulé . Sexuellement, ça marche bien dans mon couple et je n’ai jamais cherché à voir ailleurs, même si j'ai quelques soupçons sur la fidélité de mon mari, et malgré les occasions que j'ai eu, oui bien sur j'ai quelque fois par ci par là un coup vite fait, mais c'est sans importance. En effet, je suis et reste toujours persuadée qu'à plusieurs reprises, il est allé voir ailleurs. A cette époque je travaille comme assistante de direction depuis deux ans avec un patron qui avait dix ans de plus que moi, il m' à la bonne, aussi je ne me manque jamais de lui rendre service, tout se passe bien même si parfois je remarque qu'il me regarde et me déshabille en même temps. Ce soir là il est déjà tard je suis sur le point de partir lorsque mon téléphone sonne. C’est mon patron qui me demande de passer à son bureau aussi rapidement que possible. Pour moi, les ordres c'est sacré, aussi, sans réfléchir à l’heure on ne peut plus tardive, je me présente aussitôt devant sa porte. Il me fait entrer puis me demande ou plutôt m’ordonne de relire un document de travail que je lui ai fait parvenir dans la journée. Le ton de sa voix est sans appel, aussi je lui obéis sans même me poser la moindre question. Je me dirige vers le bureau, commence ma lecture et cherche le problème, ne faisant pas attention à ce qui se passe autour moi. Tout à coup, je le sens tout près, derrière moi. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui se passe qu' il me plaque contre le bureau. Il me force à me pencher en avant ; ma poitrine s'écrase sur le bureau, je sens immédiatement qu’il est beaucoup plus fort que moi et que je ne peux rien faire contre lui, surtout qu'à cette heure il n'y à plus personne au bureau, je le laisse me plaquer sur le bureau comme il en a envie puis, tandis qu’une de ses mains me parcourt les reins, je lui demande : << Qu’est-ce que vous faites ? Vous n’allez quand même pas me violer ? Vous pourriez le demander gentiment>> Il ne répond pas, sa main passe sous ma jupe pour parcourir lentement le galbe de mes fesses, ce qui me fait frissonner malgré moi. La rapidité, mais surtout l’irréalité de cette situation me fait perdre mes moyens, je ne veux pas mais pourtant j'en ai envie et ce salaud l'à bien compris d'un geste, il soulève ma jupe sur mes reins pour découvrir mes fesses au milieu desquelles doit disparaître la minuscule ficelle de mon string, quelle maigre défense, ses cuisses se plaquent contre mes fesses, me faisant réaliser qu’il n' à ni pantalon ni caleçon En sentant sa queue contre mes fesses un grand frisson me parcourt la colonne vertébrale pour finir dans mon bas-ventre, je ne veux pas mais je commence à mouiller pourtant il veut me violer. Je sens maintenant la puissance de son désir appuyé contre mes fesses. J’essaie de le raisonner car, dans quelques secondes, il sera trop tard et je sais déjà que je vais sentir son gland se frayer un chemin entre mes cuisses et trouver mes lèvres intimes trempées. Bizarrement, au lieu de crier, hurler, pleurer, me débattre, je sens l’excitation prendre possession de mon ventre et je n'en peux plus je mouille contre ma volonté. Il écarte la ficelle de mon string puis, à petits coups de reins, cherche l’entrée de ma chatte que je sens déjà trempée. Je me tortille pour l’empêcher d'entrer, mais sa queue est déjà bien calée entre mes fesses et elle s' immisce doucement vers ma chatte. Je passe mes mains derrière mon dos pour essayer de le repousser mais il réussit à les attraper et les bloquer avec une seule main sur mes reins puis, s'aidant de sa main libre, il cherche l’entrée de ma vulve pour mieux y glisser sa queue. Elle est dure comme du bois, je me rends compte qu'il va arriver à ses fins. Je suis à la fois écœuré, en colère je le maudit et pourtant j'ai envie qu'il me la mette car je n'en peux plus, s’apercevant de mon émoi, il me dit: ça t'excite autant que moi salope tu coules comme une fontaine. Ses paroles brisent mon dernier rempart. C’est vrai : je sens que ma chatte est inondée et le doigt qu’il a plongé dans mon intimité s’en est vite rendu compte. J'abandonne je me laisse retomber sur la table. Il m'ajuste tranquillement et, en deux secondes, son gland posé dans l’entrée de ma chatte, me pénètre lentement mais sûrement. Son ventre bute déjà contre mes fesses. Il pousse un soupir de satisfaction, je crevais d’envie de te la mettre depuis la première fois que tu es rentrée dans mon bureau. J’ai cessé toute résistance devenue inutile. Il est planté dans ma chatte jusqu’à la garde et commence à coulisser nerveusement entre mes fesses et moi je le laisse faire et je participe car je suis au comble de l'excitation, je suis son rythme en poussant de petits cris et des râles de plaisir ses mains, qui jusqu’à présent n’avaient servi qu’à m’immobiliser, parcourent maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs. Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui me viole mais j'aime çà c'est le comble. Lui n’en a que faire, de mes états d’âme : il me ramone en profondeur, m’arrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince l’œil, le salaud! Peut-être même a-t-il envie de me sodomiser, comme la plupart des hommes qui m’ont possédée. Je le laisse faire, docile. Un de ses doigts qu'il à mouillé se plaque sur mon trou encore libre puis d'un coup, il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup rentrer jusqu’à la garde en tournant sur lui-même pour m’ouvrir un peu plus et moi je pousse immédiatement, ce qui le fait aller encore plus profond dans mon intimité. – Tu aimes ça, on dirait... Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens qu’il s’ouvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon cul. Je l’accueille avec les mêmes égards j'aime çà et du coup il en est baba Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses, il à compris que c'est ce que je veux Sans attendre ma réponse, le voici déjà en train de se retirer de ma chatte pour pointer devant mon cul, sa queue raide d’excitation. Avant même que je n’aie le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il est déjà au fond, putain c'est bon jamais je n'avais ressenti un orgasme aussi fort je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur n’est pas dupe. Il sait que c’est ce que je préfère. Bourre moi, salaud ! Bourre bien mon cul... j'aime çà va y salaud je vais jouir si tu t’y prends bien. Joignant le geste à la parole, mon violeur s’agrippe à mes hanches pour s’enfoncer inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Ça m’excite un max de me sentir prise par derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du pieu qui m' explose le cul. L’humiliation suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous. Je l’agresse maintenant verbalement.– Plus fort ! Plus vite ! Fais moi sentir ta bite dans mon cul...crache moi dans le cul salaud. Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu, mais il continue à plonger en moi sans ménagement. Il m'amène vers un orgasme que je sens dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. À peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. J’explose en silence mais mon cavalier ne se laisse pas surprendre. Il redouble d’effort en me soufflant : Oui, vas-y, jouis ; laisse-toi aller… Jouis je vais t'en mettre plein le cul!!! Épuisée, pantelante et meurtrie je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur le bureau, lui accélère ses mouvements pour exploser à son tour dans mon cul. Ses spasmes sont puissants il me met la dose, c’est sûr. Il prend son pied dans mon cul, ce salaud… Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est trop bon... On reste un moment accouplés, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. Il m'embrasse sur l'épaule et se retire de mon derrière, je me relève et m'enfuie aux toilettes pour essayer de mettre un peu d'ordre dans ma tenue en me disant tu es vraiment une salope ma fille.
Chapitre 4
Avec un inconnu à la maison
Cette histoire s'est passé vers l'âge de 45 ans, j'étais en vacances seule à la maison car mon mari étais absent quelques jours pour son travail, il était environ 9 h du matin je prenais un bain en rêvant les yeux fermés dans une eau tiède et odorante tout en me caressant les seins et le bas ventre, j'étais bien je sentais le plaisir monter en moi, mes mains malaxaient mes seins et mon clitoris en douceur, la tête en arrière sur le rebord de la baignoire je me laissais gagner par le plaisir en ondulant mon corps, mes doigts s'agitaient autour de ma vulve en frôlant mon clito ce qui avait pour effet de me faire pousser de petits gémissements, ils allaient et venaient de plus en plus vite mon autre main pincé le téton de mon sein j'étais au bord de l'orgasme, mes deux doigts rentraient au fond de ma chatte et tournaient à l'intérieur en me pistonnant la chatte et mon pouce lui appuyait sur mon clito je n'en pouvais plus je gémissais, criait et éclatait dans une jouissance extraordinaire je voyais des étoiles partout, j'étais bien et apaisé. Après avoir repris mes esprits je me rinçais m'essuyais et allais m'habiller car je devais allé faire des courses ? Je mis comme d'habitude un string et un soutien gorge noir (j'adore cette couleur) une jupe marron un chemisier blanc, je mettais mes escarpins quand la sonnette retentit<< pouah qui peut bien venir à cette heure je ne vais pas être en avance>> j'ouvre et me trouve en face d'un jeune homme de 25 ans environ grand sportif qui tient dans les mains un carton. <<J'ai un colis pour madame xxxxxxx>> oui c'est moi il me tend le colis et un papier que je dois signer. Je lui dis d'entrer 5 minutes au salon, je remarque qu'il me déshabille des yeux ce coquin et cela ne me laisse pas indifférente, j'ai toujours envie et je ne dirais pas non s'il faisait le premier pas, après avoir ouvert mon colis et signé le papier je lui demande s'il veut boire quelque chose, il répond oui et s'assoit dans un fauteuil , je vais à la cuisine et nous ramène un jus d'orange je m'assois en face de lui dans le canapé en croisant les jambes bien haut ce qui à pour effet de dévoiler mes cuisses et surtout de lui faire briller les yeux il me regarde fasciné et un peu gêné, nos regards se croisent et nos yeux en disent long d'autant que je vois une bosse dans son entre jambe et que je sens ma chatte s'humidifier copieusement, j'ai envie de ce jeune homme qui pourrait être mon fils, je le sens ailleurs ses yeux cherchent mes cuisses, c'est le moment que je choisi pour les écarter un peu et le regarde en souriant malicieusement, il n'en peut plus se lève vient devant moi et pose ses mains sur mes cuisses je tends ma tête vers lui en l'attirant à moi, nous nous embrassons à pleine bouche fougueusement ses mains me pelotent de partout et en 2 minutes il me quitte mon chemisier ma jupe et mon soutif, il commence à lâcher mes pointes de seins qui sont droites et dures, ma main déboucle sa ceinture et la fermeture éclair de son pantalon qui tombe à se pieds elle cherche l'objet de mon désir quelle surprise
il n' à pas de slip et sa queue est raide comme un pieu je lui fais des mouvement de va et vient lents et réguliers ce qui lui fait sortir des gémissements de plaisir, je le prends en bouche il est énorme (en tout cas plus gros que celui de mon mari) je suis au ange je lui suce le gland et l'enfourne au plus profond de ma gorge, lui me titille les pointes de seins et de temps en temps les pincent doucement çà m'excite je mouille j'ai la chatte en feu, je lui dis suce moi j'ai envie de sentir quelque chose il s'exécute et sa langue commence à me lécher le minou il avale bouffe mon jus en me tortillant la pointe des seins ce qui me fait hurler de plaisir je mouille comme une salope et passe mes jambes au dessus de ses épaules pour mieux le sentir quand il mordille mon clito en l'aspirant j'éclate je subi un orgasme torrentiel que jamais je n'ai connu dans ma vie amoureuse c'est l'apothéose, il en profite pour glisser sur moi et me pourfendre d'un coup violent j' hurle je suis complètement dans les nuages je ne sais plus ce qui m'arrive il me pilonne avec son gros engin et je suis en pleine jouissance j'expulse un jet important de liquide je me tiens blotti contre lui tellement je suis bien je ne voudrais pas que çà finisse, il accélère le rythme et pousse un gémissement rauque au même moment que je sens dans mon vagin un liquide chaud qui m'envahit.
Il se retire me regarde j'ai honte de qui est arrivé car le canapé est trempé et je ne sais pas ce qui m' est arrivé, il me rassure en me disant << c'est la première fois que je rencontre une femme fontaine>> nous éclatons de rire et nous embrassons fougueusement, puis nous prenons une douche et il se sauve comme il est arrivé. Je vous assure je n'ai pas rêvé. Alors je me r' habille et pars faire mes courses en pleine forme le cœur léger, une bonne baise à l'improviste c'est toujours très bon.
Chapitre 5
Avec mon neveu
J'ai maintenant 45 ans, je viens de divorcer et me retrouve seule dans un petit appartement dans le sud ouest du pays, les années n'ont pas encore eu d'emprise sur moi car je n'ai pratiquement pas pris de poids et je suis toujours aussi sexy et ai toujours la même envie de mordre dans le fruit défendu, j'ai quelques aventures de temps en temps mais toujours avec des inconnus et je laisse sans suite pour pas m'attacher, je suis loin de ma famille et ce n'est pas mes enfants partis à l'étranger qui viennent me voir, alors quand mon frère me demande de prendre son fils en vacances chez moi j'accepte sans sourciller, et puis 15 jours c'est vite passé et cela me fera un peu de compagnie, je vais donc le récupérer à la gare en me disant pourvu que je le reconnaisse, le train arrive à l'heure et je le vois descendre avec son sac,
il est devenu un homme il à 17 ans, on s'embrasse et on file à la maison, je lui fait voir sa chambre l'aide à ranger ses affaires, je m'aperçois alors qu'il me regarde en douce surtout quand je suis penché en avant, ce petit coquin matte mes seins et c'est vrai comme j'ai un corsage ouvert il n' à pas trop de peine, bon c'est pas grave et c'est de son âge me dis-je sans rien lui dire. Le soir nous mangeons regardons la télé, je lui dis <<demain matin je pars travailler de bonne heure, je te récupère à 12h15 et je t'emmène manger ok>>et allons nous coucher, la salle de bain qui est petite sépare nos deux chambres ,comme cela nous avons chacun notre intimité. Le lendemain je pars au boulot à midi je le récupère et nous allons manger ensuite je repars au boulot, quand je rentre le soir je le trouve devant la télé, je vais prendre une douche et je ne sais pas pourquoi je regarde dans le panier de linge sale, je vois que celui-ci à été chambouler mon string que j'ai mis au sale ce matin ne se trouve plus dessus mais au milieu et quand je le sort il est tout collé par une matière blanchâtre que je connais bien<< oh le petit salaud il s'est branlé sur mon string>>, je finis ma toilette passe ma robe de chambre et vais préparer le repas du soir, nous nous mettons à table et nous discutons de tout et de rien, je lui pose la question qui gêne <<ta copine t'a laissé partir sans rien dire>> gêné il rétorque << j'en ai pas>> je dis << c'est pas normal à ton âge tu dois avoir des besoins>> il baisse les yeux comme quelqu'un qui à quelque chose à se reprocher. Une fois sur le canapé pour regarder le film, nous sommes côte à côte je le vois régulièrement reluquer mes cuisses et mes seins car j'ai fais en sorte que le haut sur ma poitrine soit légèrement entre-baillé et la même sur le haut de mes cuisses, mais comme nous sommes dans la pénombre car j'ai éteint la lumière il ne voit pas que je l'observe je fais des mouvements légers pour faire ouvrir un peu plus et je referme enfin je l'allume mais sans exagération et je sens bien que çà le travaille car j'aperçois qu'il à mis sa main droite sur sa braguette et qu'il se touche discrètement, le film terminé je l'embrasse tendrement sur le coin des lèvres pour lui mettre un peu plus la pression et lui souhaite une bonne nuit. Une fois dans ma chambre je m'aperçois que moi aussi je suis en ébullition car ma chatte est humide, je me couche et je me masturbe doucement sans faire de bruit et fermant la bouche pour ne pas gémir au moment fatidique, moi qui suis une habitué de la masturbation je me rends compte que celle ci est bien meilleur que d'habitude et surtout plus rapide.
Le lendemain midi je rentre avec un plat tout préparé que j'ai acheté chez un traiteur, pendant qui met la table je vais à la salle de bain pour voir mais rien d'anormal, nous mangeons et je repars au travail. Le soir je prend ma douche et matte le panier bingo le petit salaud à recommencé mais il ne doit pas y avoir bien longtemps la tâche n'est pas sèche. Cette fois je ressort de la salle de bain et vais dans la chambre pour m'habiller je mets une mini jupe avec un corsage blanc échancré et un soutien gorge noir avec un string noir, j'arrive au salon il est toujours devant la télé mais me regarde comme si j'étais un fantôme ses yeux vont de haut en bas et s'attardent longuement sur mes seins, <<tu sors>> me dit il << non mon grand je reste avec toi>>nous mangeons et regardons la télé au bout de quelques minutes je défais en douce un bouton de mon corsage et croise haut les jambes de façon à se qu'il puis bien voir mon entre jambe, je le sens comme un fou il ne sais plus ou mettre les yeux, moi je regarde sans bouger l'écran mais cette sensation d'être déshabillé me mets en émoi et ma chatte est humide, sa main caresse la bosse qu'il à sous son pantalon, je reste de marbre, pourtant le désir me brûle le bas ventre, un moment avant la fin du film je lui dis <<excuse moi je suis fatigué je vais me coucher>> il me répond<<moi aussi>> je l'embrasse sur le coin de la bouche il est décontenancé, j'entre dans ma chambre sans fermer en plein la porte mais je n'éclaire pas, je me déshabille et attends tranquillement sans faire de bruit, je l'entends rentrer à la salle bain et en ressortir immédiatement la porte de sa chambre se referme mais heureusement pour moi elle ne crochète pas, au bout d'une minute je me glisse à pas de loup nue comme un ver vers la porte, je tend l'oreille rien quelques instants après j'entends un petit gémissement, je pousse la porte d'un cm et là mon neveu et à poil sur le lit en train de bouffer mon string en se branlant ce doit être bon car il ondule et se tortille comme un ver de terre, de le voir faire mon envie se décuple et je me met deux doigts dans la chatte pour me calmer, dans l'euphorie je perd l'équilibre et tombe sur la porte qui s'ouvre en grand, je prend le dessus tout de suite et dit <<petit salaud tu te branle dans mon string et tu me fais mouillé comme une chatte en chaleur tu ne va pas t'en tirer comme çà>> il est sans réaction toujours sur le lit la main sur la bite et mon string dans la bouche, je m'approche lui enlève sa main de sa bite et l'enfourne dans ma bouche immédiatement il se met à gémir et me pelote les seins comme un gamin qui fait de la pâte à modeler je le suce l'aspire ma langue tourne autour de son gland et l'enfourne jusqu'au fond de ma gorge il s'emballe et me crache tout dans la bouche comme çà sans avertissement, je failli m'étrangler, je lâche le morceau devenu flasque et mou. Il est gêné et s'excuse de ne pas avoir pu se retenir ,j'éclate de rire et lui dit <<lâche mon string que tu as toujours dans la bouche et viens plutôt bouffer ma chatte, je m'allonge sur le dos, il est à genoux mais pas trop hardi, il me regarde sans bouger, je lui dit<< c'est la même chose que dans mon string allez vient ne fait pas ton timide>> maladroitement il commence par se mettre entre mes cuisses et me lèche la vulve et la mouille qui inonde ma chatte, le feu me reprends de plus belle je l'encourage et le guide en lui tenant la tête, sa lange entre timidement dans mon vagin je gémi et l'incite à aller plus loin en poussant mon bassin contre sa bouche, mon doigt vient sur mon clito et le branle en même temps pour accentuer mon excitation, avec sa bouche il pousse mon doigt et aspire mon bouton qui n'en demandait pas plus pour se durcir et me faire hurler de plaisir je sens ses doigts qui entrent dans ma chatte et la pourfendent tant qu'ils peuvent, je m'attrape les seins et les presse fortement en les tortillant je suis au bord de l'orgasme il sent rend compte car il accentue la pression sur mon clito avec ses dents ses doigts font merveille dans ma chatte je hurle et j'éclate dans une jouissance atomique il retire ses doigts et aussitôt il se met à avaler tout ce que j'ai craché il boit et bouffe goulûment le salaud il à aimé. Nous restons allongés côte à côte pendant un instant et je lui dit<<c'est pas mieux comme çà?>>il répond< <oui tatie>>Je l'embrasse sur la bouche et ajoute << c'était bon ma mouille? >> <<oui tatie>> et nous nous sommes endormis tous les deux dans ma chambre.
Amandine et le sexe
L'histoire d'une femme qui aime les jeux du sexe et qui est prête à
tout pour le plaisir sexuel et s'envoyer en l'air !!!
Chapitre 1 la découverte.
Comment j'ai perdu mon pucelage avec une fille.
Je me nomme Amandine j'avais 17 ans nous étions au Lycée, et j'en pinçais pour Irène, une ravissante copine qui était dans ma classe. Elle était très déluré et déjà plus pucelle, un après midi que nous étions seules quel ne fut pas mon étonnement de la voire enfiler profondément deux doigts dans son minou ! Elle était grande et mince, et moi bien en chair . Elle avait déjà eu plusieurs aventures avec des garçons et moi aucune idée sur les choses de l'amour à part que lorsque je me touchais les seins ils devenaient durs. De retour d'un séjour à Paris, Irène me ramené un vibro-masseur . Ce n’était pas aussi banal que maintenant, et pour nous, c’était un peu sulfureux. Je me souviens que je regarde ce truc de plastique lisse et glacé avec effroi. Irène m’explique qu’elle n’aime pas trop ça, qu'elle le trouve trop dur, et qu’elle préfère de loin ses doigts, ou la bonne queue d’un garçon, mais qu’elle en à besoin régulièrement, qu'elle est prête à me le prêter car elle sait que je suis encore pucelle. Elle me dit si tu veux je te faire voir et je fais le garçon. J'eus un temps d'hésitation mais j'acceptais et je me laissais faire, non sans appréhension. Nous nous enfermons dans ma chambre et nous quittons nos fringues. Toutes les deux nues sur le lit, elle me le passe sur tout le corps avec le vibreur cela me fais frémir, en insistant sur les points sensibles, derrière mes oreilles, le long de mon cou, sur les seins qui ne tardent pas à se dresser, sur le nombril, ce qui me fait frissonner, sur mes cuisses puis le long de ma chatte, qui commence à devenir humide et je ressent des sensations complètement inconnues. J’écarte de plus en plus les jambes et elle tourne le vibro de plus en plus près de mon petit trou du cul. Elle le promène autour de ma vulve où elle le lubrifiait abondement, puis l'approche de ma rondelle que je resserre instantanément Elle le pousse un peu juste à l'entrée puis le retire dès qu'elle sent que je veux qu'elle le rentre. Je n'en peux plus, je suis comme folle, je gesticule dans tous les sens, je soulève mes fesses et ondule des hanches pour qu'elle le rentre, je n'étais plus moi même, je haletais, je me cramponnais au drap du lit des deux mains. D’un mouvement de haut en bas, elle revenait sur ma fente qui dégoulinait et retournai à mon petit rond qui s’ouvrait et implorait tellement j'avais envie. Les yeux mi clos, les dents serrées, j’étais crispée sur ces sensations inconnues qui me parcouraient. Je me sentais assaillie et je ne savais pas par quoi et je me sentais impuissante. Elle insistait sur mon clitoris maintenant complètement dressé hors de ma vulve. Je sentais que ma fente trempée était ouverte. Je poussais un petit cri quand elle se mit à me lécher en faisant tourner sa langue en même temps que l’appareil qui continuait à vibrer me titillait le derrière. Elle pointa sa langue dans mon petit trou, puis y mit un doigt qu’elle enfila très loin. De sentir son doigt dans mon cul, je me tendis en criant , je me crispai au point que ça me fit presque mal. Et cette vibration entre les jambes me mettait hors de moi. Comme elle promenait le vibro-masseur sur mon clitoris, puis sur ma fente, je hurlai <<arrête arrête j'en peux plus>>. Je pris violemment son poignet pour arrêter mais au contraire elle poussa et me l'enfila jusqu'à la garde cet engin en plastique me pilonnais tant qu'elle pouvait avec le vibreur au maxi, au bout d'une minute j'explosais dans un long jet qui inonda le lit. J'ai ressenti à ce moment là dans mon ventre et dans ma tête, une douleur fulgurante qui s’atténua très vite et j'eus un orgasme, qui me souleva du lit, je m’effondrai anéantie sur le lit, hébétée, je ne savais
pas ce qui m'arrivait. Irène me caressa pour me calmer. Je restais là pantelante et meurtrie mais tellement heureuse. Nous primes une douche ensemble en nous embrassant goulûment, j'étais heureuse. Elle me passa un gant plein de mousse en me frottant délicatement le sexe. J'étais maintenant prête pour ma vie sexuelle
ou je me jurais de ne louper aucune occasion, j'avais vraiment aimé cette première expérience.
Chapitre2
Avec ma cousine
Quelques semaines plus tard avant les vacances de Pâques ma mère me dit : tu va aller passer quelques jours chez ta tante avec Aurélie, c'est ma cousine nous avons le même âge et nous nous entendons bien. Les vacances arrivent et me voilà chez tante Renée, on m'installe dans une petite chambre à coté de celle d'Aurélie. Les premiers jours se passent bien, nous sortons rencontrons ses copains parmi lesquelles je remarque un garçon Michel qui à l'air très intéressé par ma cousine, en rentrant je lui en parle et elle me dit qu'elle voudrait bien mais il est timide et elle n'ose pas faire le premier pas, pourtant elle à une envie folle de faire l'amour avec lui, en plus la première fois qu'elle à fait l'amour avec un garçon çà c'est pas bien passé et maintenant elle à un peu peur de recommencer. Le lendemain après midi il pleut, nous sommes seules à la maison, assises côte à côte sur le canapé nous parlons de Michel et essayons de mettre au point un plan pour qu'elle puisse faire quelque chose avec lui, tout en parlant je lui caresse le bras, nous nous regardons et je vois ses jolis yeux
pétillants qui me font comme un appel, quoique que petite 1,60m et assez ronde 65 kgs elle est très belle et je la trouve sensuelle, nous nous rapprochons et doucement je l'embrasse sur la bouche elle ne bronche pas au contraire elle à l'air d' apprécier je m 'enhardi et cherche sa langue, notre baiser devient fougueux et nous nous serrons de plus en plus fort, ma main gauche cherche son sein et le
malaxe, il est énorme par rapport au mien. Je lui dis viens et la prend par la main, nous allons dans ma chambre pour ne pas nous faire surprendre en cas de retour de quelqu'un. Une fois la porte fermée nous reprenons notre étreinte et en même temps je commence à la déshabiller tee short et sous tifs se retrouvent vite par terre, ses seins sont énormes je suis émerveillé je les sucent les titillent les malaxent
c'est elle qui quitte son jean et sa culotte j'en fait autant, je la couche sur le lit et commence à l'embrasser partout ma langue court sur son corps et la fait gémir son souffle devient de plus en plus saccadé ma main court entre ses cuisses qu'elle écarte pour mieux me laisser entrer, ma langue joue avec son clitoris et sa vulve elle n'en peux plus elle tient ma tête entre ses cuisses, je lui aspire le clito et le lèche
goulûment , j'enfourne ma langue au plus profond de sa minette juste au moment ou elle jouit en m 'envoyant son jus dans la bouche, elle se trémousse et se tortille comme un lézard, je dégage ma tête et met deux doigts sur son clito que je branle doucement d'abord pour accélérer petit à petit et en même temps avec mon autre main je titille le téton du sein et le malaxe aussi fort que je peux, elle n'en peux
plus elle essaie de se dégager c'est le moment que j'ai choisi pour forcer son trou, mes deux doigts entrent jusqu'à la garde et la pistonnent aussi fort que je peux, elle hurle jouit saute, quand je la lâche elle retombe comme évanouie. Au bout de quelques minutes elle revient à elle et me dit tu es complètement folle et elle m'embrasse en mettant sa langue, ensuite elle dit si mon copain pouvait me faire une chose
pareille ce serait super. Je lui fait remarquer que moi aussi je suis trempé elle s'approche et commence à me sucer et me lécher maladroitement, je me caresse les bouts des seins qui deviennent durs et comme je suis très excité je ne tarde pas à jouir moi aussi surtout quand même temps qu'elle me suce le clitoris je m'enfile deux doigts dans la grotte en les enfonçant au maxi, quand mon jus arrive je lui met la bouche à l'entrée de ma chatte et lui dit bouffe tout coquine.
Notre journée se terminera tranquillement avec tonton et tatan.
Chapitre 3
Quelques années plus tard.
À l'époque, je suis déjà mariée et mère, j'ai 35 ans. On me dit plutôt jolie et bien roulé . Sexuellement, ça marche bien dans mon couple et je n’ai jamais cherché à voir ailleurs, même si j'ai quelques soupçons sur la fidélité de mon mari, et malgré les occasions que j'ai eu, oui bien sur j'ai quelque fois par ci par là un coup vite fait, mais c'est sans importance. En effet, je suis et reste toujours persuadée qu'à plusieurs reprises, il est allé voir ailleurs. A cette époque je travaille comme assistante de direction depuis deux ans avec un patron qui avait dix ans de plus que moi, il m' à la bonne, aussi je ne me manque jamais de lui rendre service, tout se passe bien même si parfois je remarque qu'il me regarde et me déshabille en même temps. Ce soir là il est déjà tard je suis sur le point de partir lorsque mon téléphone sonne. C’est mon patron qui me demande de passer à son bureau aussi rapidement que possible. Pour moi, les ordres c'est sacré, aussi, sans réfléchir à l’heure on ne peut plus tardive, je me présente aussitôt devant sa porte. Il me fait entrer puis me demande ou plutôt m’ordonne de relire un document de travail que je lui ai fait parvenir dans la journée. Le ton de sa voix est sans appel, aussi je lui obéis sans même me poser la moindre question. Je me dirige vers le bureau, commence ma lecture et cherche le problème, ne faisant pas attention à ce qui se passe autour moi. Tout à coup, je le sens tout près, derrière moi. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui se passe qu' il me plaque contre le bureau. Il me force à me pencher en avant ; ma poitrine s'écrase sur le bureau, je sens immédiatement qu’il est beaucoup plus fort que moi et que je ne peux rien faire contre lui, surtout qu'à cette heure il n'y à plus personne au bureau, je le laisse me plaquer sur le bureau comme il en a envie puis, tandis qu’une de ses mains me parcourt les reins, je lui demande : << Qu’est-ce que vous faites ? Vous n’allez quand même pas me violer ? Vous pourriez le demander gentiment>> Il ne répond pas, sa main passe sous ma jupe pour parcourir lentement le galbe de mes fesses, ce qui me fait frissonner malgré moi. La rapidité, mais surtout l’irréalité de cette situation me fait perdre mes moyens, je ne veux pas mais pourtant j'en ai envie et ce salaud l'à bien compris d'un geste, il soulève ma jupe sur mes reins pour découvrir mes fesses au milieu desquelles doit disparaître la minuscule ficelle de mon string, quelle maigre défense, ses cuisses se plaquent contre mes fesses, me faisant réaliser qu’il n' à ni pantalon ni caleçon En sentant sa queue contre mes fesses un grand frisson me parcourt la colonne vertébrale pour finir dans mon bas-ventre, je ne veux pas mais je commence à mouiller pourtant il veut me violer. Je sens maintenant la puissance de son désir appuyé contre mes fesses. J’essaie de le raisonner car, dans quelques secondes, il sera trop tard et je sais déjà que je vais sentir son gland se frayer un chemin entre mes cuisses et trouver mes lèvres intimes trempées. Bizarrement, au lieu de crier, hurler, pleurer, me débattre, je sens l’excitation prendre possession de mon ventre et je n'en peux plus je mouille contre ma volonté. Il écarte la ficelle de mon string puis, à petits coups de reins, cherche l’entrée de ma chatte que je sens déjà trempée. Je me tortille pour l’empêcher d'entrer, mais sa queue est déjà bien calée entre mes fesses et elle s' immisce doucement vers ma chatte. Je passe mes mains derrière mon dos pour essayer de le repousser mais il réussit à les attraper et les bloquer avec une seule main sur mes reins puis, s'aidant de sa main libre, il cherche l’entrée de ma vulve pour mieux y glisser sa queue. Elle est dure comme du bois, je me rends compte qu'il va arriver à ses fins. Je suis à la fois écœuré, en colère je le maudit et pourtant j'ai envie qu'il me la mette car je n'en peux plus, s’apercevant de mon émoi, il me dit: ça t'excite autant que moi salope tu coules comme une fontaine. Ses paroles brisent mon dernier rempart. C’est vrai : je sens que ma chatte est inondée et le doigt qu’il a plongé dans mon intimité s’en est vite rendu compte. J'abandonne je me laisse retomber sur la table. Il m'ajuste tranquillement et, en deux secondes, son gland posé dans l’entrée de ma chatte, me pénètre lentement mais sûrement. Son ventre bute déjà contre mes fesses. Il pousse un soupir de satisfaction, je crevais d’envie de te la mettre depuis la première fois que tu es rentrée dans mon bureau. J’ai cessé toute résistance devenue inutile. Il est planté dans ma chatte jusqu’à la garde et commence à coulisser nerveusement entre mes fesses et moi je le laisse faire et je participe car je suis au comble de l'excitation, je suis son rythme en poussant de petits cris et des râles de plaisir ses mains, qui jusqu’à présent n’avaient servi qu’à m’immobiliser, parcourent maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs. Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui me viole mais j'aime çà c'est le comble. Lui n’en a que faire, de mes états d’âme : il me ramone en profondeur, m’arrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince l’œil, le salaud! Peut-être même a-t-il envie de me sodomiser, comme la plupart des hommes qui m’ont possédée. Je le laisse faire, docile. Un de ses doigts qu'il à mouillé se plaque sur mon trou encore libre puis d'un coup, il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup rentrer jusqu’à la garde en tournant sur lui-même pour m’ouvrir un peu plus et moi je pousse immédiatement, ce qui le fait aller encore plus profond dans mon intimité. – Tu aimes ça, on dirait... Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens qu’il s’ouvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon cul. Je l’accueille avec les mêmes égards j'aime çà et du coup il en est baba Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses, il à compris que c'est ce que je veux Sans attendre ma réponse, le voici déjà en train de se retirer de ma chatte pour pointer devant mon cul, sa queue raide d’excitation. Avant même que je n’aie le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il est déjà au fond, putain c'est bon jamais je n'avais ressenti un orgasme aussi fort je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur n’est pas dupe. Il sait que c’est ce que je préfère. Bourre moi, salaud ! Bourre bien mon cul... j'aime çà va y salaud je vais jouir si tu t’y prends bien. Joignant le geste à la parole, mon violeur s’agrippe à mes hanches pour s’enfoncer inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Ça m’excite un max de me sentir prise par derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du pieu qui m' explose le cul. L’humiliation suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous. Je l’agresse maintenant verbalement.– Plus fort ! Plus vite ! Fais moi sentir ta bite dans mon cul...crache moi dans le cul salaud. Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu, mais il continue à plonger en moi sans ménagement. Il m'amène vers un orgasme que je sens dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. À peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. J’explose en silence mais mon cavalier ne se laisse pas surprendre. Il redouble d’effort en me soufflant : Oui, vas-y, jouis ; laisse-toi aller… Jouis je vais t'en mettre plein le cul!!! Épuisée, pantelante et meurtrie je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur le bureau, lui accélère ses mouvements pour exploser à son tour dans mon cul. Ses spasmes sont puissants il me met la dose, c’est sûr. Il prend son pied dans mon cul, ce salaud… Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est trop bon... On reste un moment accouplés, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. Il m'embrasse sur l'épaule et se retire de mon derrière, je me relève et m'enfuie aux toilettes pour essayer de mettre un peu d'ordre dans ma tenue en me disant tu es vraiment une salope ma fille.
Chapitre 4
Avec un inconnu à la maison
Cette histoire s'est passé vers l'âge de 45 ans, j'étais en vacances seule à la maison car mon mari étais absent quelques jours pour son travail, il était environ 9 h du matin je prenais un bain en rêvant les yeux fermés dans une eau tiède et odorante tout en me caressant les seins et le bas ventre, j'étais bien je sentais le plaisir monter en moi, mes mains malaxaient mes seins et mon clitoris en douceur, la tête en arrière sur le rebord de la baignoire je me laissais gagner par le plaisir en ondulant mon corps, mes doigts s'agitaient autour de ma vulve en frôlant mon clito ce qui avait pour effet de me faire pousser de petits gémissements, ils allaient et venaient de plus en plus vite mon autre main pincé le téton de mon sein j'étais au bord de l'orgasme, mes deux doigts rentraient au fond de ma chatte et tournaient à l'intérieur en me pistonnant la chatte et mon pouce lui appuyait sur mon clito je n'en pouvais plus je gémissais, criait et éclatait dans une jouissance extraordinaire je voyais des étoiles partout, j'étais bien et apaisé. Après avoir repris mes esprits je me rinçais m'essuyais et allais m'habiller car je devais allé faire des courses ? Je mis comme d'habitude un string et un soutien gorge noir (j'adore cette couleur) une jupe marron un chemisier blanc, je mettais mes escarpins quand la sonnette retentit<< pouah qui peut bien venir à cette heure je ne vais pas être en avance>> j'ouvre et me trouve en face d'un jeune homme de 25 ans environ grand sportif qui tient dans les mains un carton. <<J'ai un colis pour madame xxxxxxx>> oui c'est moi il me tend le colis et un papier que je dois signer. Je lui dis d'entrer 5 minutes au salon, je remarque qu'il me déshabille des yeux ce coquin et cela ne me laisse pas indifférente, j'ai toujours envie et je ne dirais pas non s'il faisait le premier pas, après avoir ouvert mon colis et signé le papier je lui demande s'il veut boire quelque chose, il répond oui et s'assoit dans un fauteuil , je vais à la cuisine et nous ramène un jus d'orange je m'assois en face de lui dans le canapé en croisant les jambes bien haut ce qui à pour effet de dévoiler mes cuisses et surtout de lui faire briller les yeux il me regarde fasciné et un peu gêné, nos regards se croisent et nos yeux en disent long d'autant que je vois une bosse dans son entre jambe et que je sens ma chatte s'humidifier copieusement, j'ai envie de ce jeune homme qui pourrait être mon fils, je le sens ailleurs ses yeux cherchent mes cuisses, c'est le moment que je choisi pour les écarter un peu et le regarde en souriant malicieusement, il n'en peut plus se lève vient devant moi et pose ses mains sur mes cuisses je tends ma tête vers lui en l'attirant à moi, nous nous embrassons à pleine bouche fougueusement ses mains me pelotent de partout et en 2 minutes il me quitte mon chemisier ma jupe et mon soutif, il commence à lâcher mes pointes de seins qui sont droites et dures, ma main déboucle sa ceinture et la fermeture éclair de son pantalon qui tombe à se pieds elle cherche l'objet de mon désir quelle surprise
il n' à pas de slip et sa queue est raide comme un pieu je lui fais des mouvement de va et vient lents et réguliers ce qui lui fait sortir des gémissements de plaisir, je le prends en bouche il est énorme (en tout cas plus gros que celui de mon mari) je suis au ange je lui suce le gland et l'enfourne au plus profond de ma gorge, lui me titille les pointes de seins et de temps en temps les pincent doucement çà m'excite je mouille j'ai la chatte en feu, je lui dis suce moi j'ai envie de sentir quelque chose il s'exécute et sa langue commence à me lécher le minou il avale bouffe mon jus en me tortillant la pointe des seins ce qui me fait hurler de plaisir je mouille comme une salope et passe mes jambes au dessus de ses épaules pour mieux le sentir quand il mordille mon clito en l'aspirant j'éclate je subi un orgasme torrentiel que jamais je n'ai connu dans ma vie amoureuse c'est l'apothéose, il en profite pour glisser sur moi et me pourfendre d'un coup violent j' hurle je suis complètement dans les nuages je ne sais plus ce qui m'arrive il me pilonne avec son gros engin et je suis en pleine jouissance j'expulse un jet important de liquide je me tiens blotti contre lui tellement je suis bien je ne voudrais pas que çà finisse, il accélère le rythme et pousse un gémissement rauque au même moment que je sens dans mon vagin un liquide chaud qui m'envahit.
Il se retire me regarde j'ai honte de qui est arrivé car le canapé est trempé et je ne sais pas ce qui m' est arrivé, il me rassure en me disant << c'est la première fois que je rencontre une femme fontaine>> nous éclatons de rire et nous embrassons fougueusement, puis nous prenons une douche et il se sauve comme il est arrivé. Je vous assure je n'ai pas rêvé. Alors je me r' habille et pars faire mes courses en pleine forme le cœur léger, une bonne baise à l'improviste c'est toujours très bon.
Chapitre 5
Avec mon neveu
J'ai maintenant 45 ans, je viens de divorcer et me retrouve seule dans un petit appartement dans le sud ouest du pays, les années n'ont pas encore eu d'emprise sur moi car je n'ai pratiquement pas pris de poids et je suis toujours aussi sexy et ai toujours la même envie de mordre dans le fruit défendu, j'ai quelques aventures de temps en temps mais toujours avec des inconnus et je laisse sans suite pour pas m'attacher, je suis loin de ma famille et ce n'est pas mes enfants partis à l'étranger qui viennent me voir, alors quand mon frère me demande de prendre son fils en vacances chez moi j'accepte sans sourciller, et puis 15 jours c'est vite passé et cela me fera un peu de compagnie, je vais donc le récupérer à la gare en me disant pourvu que je le reconnaisse, le train arrive à l'heure et je le vois descendre avec son sac,
il est devenu un homme il à 17 ans, on s'embrasse et on file à la maison, je lui fait voir sa chambre l'aide à ranger ses affaires, je m'aperçois alors qu'il me regarde en douce surtout quand je suis penché en avant, ce petit coquin matte mes seins et c'est vrai comme j'ai un corsage ouvert il n' à pas trop de peine, bon c'est pas grave et c'est de son âge me dis-je sans rien lui dire. Le soir nous mangeons regardons la télé, je lui dis <<demain matin je pars travailler de bonne heure, je te récupère à 12h15 et je t'emmène manger ok>>et allons nous coucher, la salle de bain qui est petite sépare nos deux chambres ,comme cela nous avons chacun notre intimité. Le lendemain je pars au boulot à midi je le récupère et nous allons manger ensuite je repars au boulot, quand je rentre le soir je le trouve devant la télé, je vais prendre une douche et je ne sais pas pourquoi je regarde dans le panier de linge sale, je vois que celui-ci à été chambouler mon string que j'ai mis au sale ce matin ne se trouve plus dessus mais au milieu et quand je le sort il est tout collé par une matière blanchâtre que je connais bien<< oh le petit salaud il s'est branlé sur mon string>>, je finis ma toilette passe ma robe de chambre et vais préparer le repas du soir, nous nous mettons à table et nous discutons de tout et de rien, je lui pose la question qui gêne <<ta copine t'a laissé partir sans rien dire>> gêné il rétorque << j'en ai pas>> je dis << c'est pas normal à ton âge tu dois avoir des besoins>> il baisse les yeux comme quelqu'un qui à quelque chose à se reprocher. Une fois sur le canapé pour regarder le film, nous sommes côte à côte je le vois régulièrement reluquer mes cuisses et mes seins car j'ai fais en sorte que le haut sur ma poitrine soit légèrement entre-baillé et la même sur le haut de mes cuisses, mais comme nous sommes dans la pénombre car j'ai éteint la lumière il ne voit pas que je l'observe je fais des mouvements légers pour faire ouvrir un peu plus et je referme enfin je l'allume mais sans exagération et je sens bien que çà le travaille car j'aperçois qu'il à mis sa main droite sur sa braguette et qu'il se touche discrètement, le film terminé je l'embrasse tendrement sur le coin des lèvres pour lui mettre un peu plus la pression et lui souhaite une bonne nuit. Une fois dans ma chambre je m'aperçois que moi aussi je suis en ébullition car ma chatte est humide, je me couche et je me masturbe doucement sans faire de bruit et fermant la bouche pour ne pas gémir au moment fatidique, moi qui suis une habitué de la masturbation je me rends compte que celle ci est bien meilleur que d'habitude et surtout plus rapide.
Le lendemain midi je rentre avec un plat tout préparé que j'ai acheté chez un traiteur, pendant qui met la table je vais à la salle de bain pour voir mais rien d'anormal, nous mangeons et je repars au travail. Le soir je prend ma douche et matte le panier bingo le petit salaud à recommencé mais il ne doit pas y avoir bien longtemps la tâche n'est pas sèche. Cette fois je ressort de la salle de bain et vais dans la chambre pour m'habiller je mets une mini jupe avec un corsage blanc échancré et un soutien gorge noir avec un string noir, j'arrive au salon il est toujours devant la télé mais me regarde comme si j'étais un fantôme ses yeux vont de haut en bas et s'attardent longuement sur mes seins, <<tu sors>> me dit il << non mon grand je reste avec toi>>nous mangeons et regardons la télé au bout de quelques minutes je défais en douce un bouton de mon corsage et croise haut les jambes de façon à se qu'il puis bien voir mon entre jambe, je le sens comme un fou il ne sais plus ou mettre les yeux, moi je regarde sans bouger l'écran mais cette sensation d'être déshabillé me mets en émoi et ma chatte est humide, sa main caresse la bosse qu'il à sous son pantalon, je reste de marbre, pourtant le désir me brûle le bas ventre, un moment avant la fin du film je lui dis <<excuse moi je suis fatigué je vais me coucher>> il me répond<<moi aussi>> je l'embrasse sur le coin de la bouche il est décontenancé, j'entre dans ma chambre sans fermer en plein la porte mais je n'éclaire pas, je me déshabille et attends tranquillement sans faire de bruit, je l'entends rentrer à la salle bain et en ressortir immédiatement la porte de sa chambre se referme mais heureusement pour moi elle ne crochète pas, au bout d'une minute je me glisse à pas de loup nue comme un ver vers la porte, je tend l'oreille rien quelques instants après j'entends un petit gémissement, je pousse la porte d'un cm et là mon neveu et à poil sur le lit en train de bouffer mon string en se branlant ce doit être bon car il ondule et se tortille comme un ver de terre, de le voir faire mon envie se décuple et je me met deux doigts dans la chatte pour me calmer, dans l'euphorie je perd l'équilibre et tombe sur la porte qui s'ouvre en grand, je prend le dessus tout de suite et dit <<petit salaud tu te branle dans mon string et tu me fais mouillé comme une chatte en chaleur tu ne va pas t'en tirer comme çà>> il est sans réaction toujours sur le lit la main sur la bite et mon string dans la bouche, je m'approche lui enlève sa main de sa bite et l'enfourne dans ma bouche immédiatement il se met à gémir et me pelote les seins comme un gamin qui fait de la pâte à modeler je le suce l'aspire ma langue tourne autour de son gland et l'enfourne jusqu'au fond de ma gorge il s'emballe et me crache tout dans la bouche comme çà sans avertissement, je failli m'étrangler, je lâche le morceau devenu flasque et mou. Il est gêné et s'excuse de ne pas avoir pu se retenir ,j'éclate de rire et lui dit <<lâche mon string que tu as toujours dans la bouche et viens plutôt bouffer ma chatte, je m'allonge sur le dos, il est à genoux mais pas trop hardi, il me regarde sans bouger, je lui dit<< c'est la même chose que dans mon string allez vient ne fait pas ton timide>> maladroitement il commence par se mettre entre mes cuisses et me lèche la vulve et la mouille qui inonde ma chatte, le feu me reprends de plus belle je l'encourage et le guide en lui tenant la tête, sa lange entre timidement dans mon vagin je gémi et l'incite à aller plus loin en poussant mon bassin contre sa bouche, mon doigt vient sur mon clito et le branle en même temps pour accentuer mon excitation, avec sa bouche il pousse mon doigt et aspire mon bouton qui n'en demandait pas plus pour se durcir et me faire hurler de plaisir je sens ses doigts qui entrent dans ma chatte et la pourfendent tant qu'ils peuvent, je m'attrape les seins et les presse fortement en les tortillant je suis au bord de l'orgasme il sent rend compte car il accentue la pression sur mon clito avec ses dents ses doigts font merveille dans ma chatte je hurle et j'éclate dans une jouissance atomique il retire ses doigts et aussitôt il se met à avaler tout ce que j'ai craché il boit et bouffe goulûment le salaud il à aimé. Nous restons allongés côte à côte pendant un instant et je lui dit<<c'est pas mieux comme çà?>>il répond< <oui tatie>>Je l'embrasse sur la bouche et ajoute << c'était bon ma mouille? >> <<oui tatie>> et nous nous sommes endormis tous les deux dans ma chambre.