Déposé le 01 10 2021 Témoignage d'une femme libérée. Je suis une femme de 62 ans veuve depuis 15 ans, mon mari est mort d'une longue maladie. J'ai un amant depuis vingt ans maintenant, lui est marié, il m'a réveillé. Depuis je suis insatiable il m'a fait découvrir l’amour sous toutes ses formes fellation, sodomisation, rencontre a plusieurs hommes et femmes, je suis sa soumise et j’y prends beaucoup de plaisir il réalise avec moi tout ce qu’il ne peut pas avec sa femme je suis une femme heureuse, il m'offre à d'autres hommes quand ceux ci me plaisent, il me demande de sucer ou de me faire prendre devant lui, cela me procure beaucoup de plaisir, alors franchement je me gênerait. Il m'a fait connaître les soirées dans des clubs ou chez des particuliers. Je m'éclate avec lui malgré mon âge avancé et j'y prend beaucoup de plaisir. Je suis devenu une femme de baise et nous nous adorons. Il m'a fait découvrir les relations féminines. Je suis bisexuelle depuis et il m'arrive quelques fois d'avoir des moments coquins et chauds sans lui avec des femmes surtout plus jeunes. Pour mon soixantième anniversaire il m'a fait le plus beau cadeau du monde, enfin presque car ça été un peu compliqué, il m'a offert un puceau de 18 ans. Cet après midi là je fut comblé car ce jeune garçon une fois le premier contact un peu raté avec une chatte c'est vite reprit et après que mon amant lui ai montré, ce fut un feu d'artifice. C'est que du plaisir de baiser en jouissant comme une dingue sans complexe. Et puis la vie est trop courte pour passer à côtés des bons moments que le sexe nous procure. Je pense que la sexualité entretient la forme et la santé car mes amies qui ne sont bien sur pas au courant sont toutes étonnées de me voir toujours avec la pêche, bien habillé un peu sexy. Mais pour moi je crois que lorsque je cesserai de faire l'amour, je mourrai d'ennui.
Témoignage déposé le 10 09 2021
Rencontre en formation. A quarante huit ans je me croyais à l'abri d'une chose pareille, mariée à un homme depuis 22 ans avec deux enfants, j'avais jusqu'alors eu une sexualité normale et sans déviation, mon mari n'étant pas libertin ni coquin. Notre sexualité était simple et sans tracas, une fellation, un bouffe minou et passage à l'acte, missionnaire et levrette point à la ligne. Quand je fus licencié pour raison économique, j'ai suivi une formation qui m'a fait rencontré d'autres personnes dont une femme Yolande un tout petit peu moins âgé que moi 40 ans, elle avait des cheveux bruns courts un sourire un coquin qui m'attirait, elle habitait à une dizaine de kilomètres de chez moi. Nous avons vite sympathisé et pris l'habitude, dès que nous étions libres de nous rencontrer chez elle ou chez moi. Elle était divorcé depuis quelques années, elle aimait bien parler de sexualité, ce qui au début me choquait un peu mais je me suis vite mise à la page car elle m'apprenait beaucoup de choses et ses histoires me faisaient rire et parfois m'excitaient un peu. Elle était très déluré, et très tactile. Je me suis habitué à sentir ses doigts d'abord sur mes bras puis petit à petit sur mes mains, mes cuisses elle s'enhardissait de plus en plus et moi je laissais faire car cela me plaisait beaucoup Au bout d'un mois nous étions les meilleures amies du monde, nous étions ensemble dès que nous avions un moment de libre. Nous avions une complicité formidable et dans ma tête je savais comment ça finirait. Je ne faisait rien pour déclencher, je l'a laissé prendre l'initiative. Je n'ai pas eu beaucoup à attendre. Un samedi après midi, mon mari absent je me rendais chez Yolande. Nous étions dans le salon face à face, nous discutions en buvant un thé quand soudain elle a écarté les cuisses pour changer de position et j’ai pu voir qu’elle n’avait pas de culotte, j'ai du faire une drôle de tête car elle m'a dit qu'est ce que tu as ? Comme je ne répondais pas elle éclata de rire et lança quand je suis chez moi j'ai jamais de culotte, ça te gêne toi ? Elle releva sa jupe en disant on est tellement mieux cul nu elle était épilée. La surprise passé, c'était la première fois que je voyais la foufoune d' une autre femme. Je lui ai donc posé la question, cela faisait mal de s’épiler le pubis. Elle m’a répondu que non et qu’elle utilisait un épilateur électrique plutôt que la cire. Elle me dit touche tu va voir comme c'est doux, timidement je m'approche et tend ma main vers cet endroit inconnu pour moi. Elle vas y tu peux toucher elle mord pas. Mes doigts caressaient cette partie intime, montaient et descendaient autour de la fente, elle me prit la main et l'appuya en disant caresse moi j'aime bien, elle écarta les jambes mes doigts entrèrent en contact avec ses lèvres, ils entrèrent un peu, c'était humide et chaud elle se mit à ronronner et se serra contre moi. Une de ses mains passa sous ma robe et remonta jusqu'à ma culotte je me raidis ne sachant pas trop quoi faire, mais quand elle m'embrassa avec la langue, je m'abandonnais j'étais prête à faire le grand saut. Elle m'a guidé vers la chambre ou elle m'a déshabille doucement tout en me bécotant dans le cou et tout le corps. Quand elle à baissé ma culotte et découvert ma chatte velue. Elle a passé sa main dessus et ses doigts sont entrés en moi j'ai tout de suite sentis quelque chose de merveilleux. Une fois allongé elle s'est mise entre mes jambes sa bouche sur ma vulve, je couinais et gémissais de plaisir, c'était tellement autre chose qu'avec mon mari, c'était plus doux, plus lent et quand elle aspirant mon bourgeon en malaxant mes seins j'ai jouis. Elle s'est alors mis en 69 et à continué ce qu'elle avait commencé, j'avais sa chatte contre ma bouche, je ne savais pas trop ou j'allais mais j'ai fais comme elle, j'ai répété ce qu'elle me faisait. Je pris vite le coup avec ma langue car elle ne tarda pas a libéré une quantité de mouille qui a coulé dans ma gorge. C’était sucré. J'étais très excité je mouillais de plus en plus et du coup cela a duré un long moment. Nous avons passés un moment intense et torride qui nous a procuré plusieurs orgasmes. Depuis nous nous voyons le plus possible, elle m'a rasé la chatte complètement ce qui m'a valu les reproches de mon mari. Nos ébats depuis ont montés en gamme puisque maintenant nous baisons réciproquement avec un gode ceinture et nous nous apprécions beaucoup toutes les deux. A la maison mon mari c'est fait une raison j'ai même l'impression qu'il aime mieux comme ça car je trouve qu'il met plus de cœur a l'ouvrage. Finalement tout est bien qui finit bien.
Témoignage déposé le 30 08 2021 Un constat ! A 46 ans, je survis dans un monde qui me dépasse complètement, mariée pendant pendant vingt, j'ai eu deux garçons, j'ai divorcé à la suite de problèmes financiers que mon mari à crée car pas très porté sur le boulot. Pour garder ma maison j'ai trimé comme une dingue. Au bout de six ans je m'en suis sorti financièrement en laissant de côté ma vie de femme, en plus j'ai beaucoup grossi ce qui n'attire pas les hommes, je suis plutôt timide et réservé. Malgré mes longs cheveux noirs ma vie n'est que morne plaine. Donc je vis seule, mes garçons vivent de leur côté et je ne peux pas dire que je les voit beaucoup. Voilà un résumé de ma vie. Le mois dernier, en vacances, je décide de repeindre les volets en bois de ma maison et de mon garage qui en ont bien besoin. Pour les cinq premiers je n'ai pas eu de problème avec les conseils que m'avaient donnés le marchand de peinture. Mais pour ceux à l'étage je ne savais pas comment m'y prendre quand le voisin dans son jardin me demande si j'ai besoin d'un coup de main ? Je lui explique mon problème, il me répond vous savez il faut monter et les dégonder pour les peindre en bas. Il laisse tomber ses outils et me rejoins chez moi, il me dit qu'il est à la retraite depuis un mois que si je veux il peut m'aider avec plaisir. Je le regarde d'abord avec scepticisme puis son sourire me convainc, il semble reluquer avec passion ma poitrine dans mon tee-shirt noir moulant. Je lui souris et réponds que je suis ok si ça ne le dérange pas. Il m'explique qu'il va les descendre, je les peindrais il les remettra en place. Je lui fais mon plus beau sourire et l'invite à boire l'apéro, il est onze heures passés. Il semble content, face à moi dans la cuisine ses yeux sont braqués sur mon 95 D, quand je me lève pour servir je sens son regard sur mes fesses, je suis dans un premier temps déstabilisé, mais bon il faut que j'en finisse avec mon chantier. Nous nous mettons d'accord pour le lendemain à neuf heures. A l'heure prévue il arrive avec une échelle, il la pose contre le mur et commence à démonter le premier qu'il descend puis le deuxième et ainsi de suite. Moi en bas je les ai repéré et les place par paire. Une heure plus tard il à terminé. Il retourne à son jardin après avoir discuté un peu avec moi et surtout bien maté. Je me retrouve avec six paires de volets à poncer et à peindre, j'en ai pour une semaine. J'attaque de suite avec ma ponceuse, au bout de quelques heures j'ai chaud car le soleil est chaud en ce mois de juillet. Je décide de me changer, de troquer mon pantalon et mon tee-shirt contre une blouse légère boutonnée sur le devant. Mon voisin est toujours dans son jardin, je ne sais pas s'il travaille ou ce qu'il fait mais chaque que je lève la tête il est entrain de me regarder, cela me fait sourire, mes seins et mes fesses plaisent au moins à une personne ? A chaque fois je lui fait signe de la main pour lui faire bien voir que je le voit. Le lendemain même chose, je décide d'entrer dans son jeu, d'autant que finalement je n'ai rien à perdre, peut être même tout à gagner car finalement je n'aurai rien contre une petite baise à la sauvette si ça lui dit ou même une grosse pour rattraper le retard que j'ai pris depuis 10 ans. Ce cochon à réveillé un peu ma libido, d'autant qu'il est bien conservé pour son âge et paraît bien capable de me satisfaire. Toutes ses idées dans ma tête m'excitent de plus en plus, à tel point que dans l'après midi je me suis masturbé en pensant à ce que j'aimerais qu'il me fasse. Le lendemain matin vers onze heures je le vois qui rapplique il vient voir ou j'en suis, comme j'ai la même tenue que la veille il est à l'aise pour contempler ce qui l'intéresse et je suis sur que ce n'ai pas mes volets, il se place toujours en face moi attendant que je me baisse un peu, je souris discrètement et j'ai vite la confirmation en voyant la bosse qui gonfle sur son short. Je le laisse mijoter encore un peu puis lui demande s'il veut entrer boire l'apéro, je passe devant pour qu'il profite un peu de la vue sur ma croupe, en marchant je déboutonne le bouton le plus bas, je l'entraîne cette fois dans le salon avant d'aller à la cuisine, lorsque je reviens il est installé dans un fauteuil, ses yeux sont braqués sur mes cuisses car la blouse s'écarte à chaque pas. Je le sers en me baissant pour lui en mettre plein la vue. Je suis chaude et prête à tout,j'espère qu'il va se dévoiler car sinon je vais le violer, cela fait deux jours qu'il m'allume, je ne peux pas laissé passer ça. Je m'assois en face de lui les jambes un peu écartées. Nous discutons de mon travail sur mes volets, il me flatte tant qu'il peut, me dit que si j'ai besoin d'un coup de main pour la peinture ça ne lui pose pas de problème. La conversation tourne sur la vie, heureusement qu'il a son jardin car il s'ennuierait. Je me lève pour le resservir c'est ce moment qu'il choisit pour glisser une main entre mes cuisses, je feins la surprise mais cela ne le convainc pas, sa main monte encore, je me remonte face à lui toujours assis j'ouvre ma blouse. Il est pantois une seconde puis se lève et m'enlace, ses mains courent sur mon corps, je fais glisser ma blouse, il dégrafe mon soutien gorge sa bouche suce et lèche mes tétons pendant qu'une main s'occupe de mon entre cuisses. Je suis toute excité je sens ma chatte mouiller mes tétons durcirent. Je tâte à travers le short l'engin qui j'espère me donnera du plaisir. Je me retrouve vite à la renverse dans le canapé les cuisses écartées sans culotte avec une tête qui me bouffe la chatte pendant que ses doigts triturent mes tétons, je me mets à gémir et à mouiller abondamment, je le somme de me prendre je suis à bout j'ai envie de sentir une queue dans mon ventre. Il me fait mettre à genoux sur le fauteuil et sans plus de sentiments il me plante jusqu'à la garde, il s'arrête se mets à me mettre des gifles sur les fesses, je pousse de petits cris je gémis sa queue s'active dans ma chatte en fusion, cramponné à mes hanches il me besogne de plus en plus fort, ses coups de reins m'emmènent doucement vers la jouissance, je me contracte en prenant mon pied ahahahhahahahah, il m'attrape alors par les seins me redresse contre lui, sa bite vibre dans mon ventre en même temps qu'il râle. Oh bon dieu j'avais oublié, que c'est bon de jouir. Il se retire, je m'assois pour reprendre mon souffle, mais déjà il me brandit sa queue sous nez. Je secoue la tête non je ne suce pas j'ai horreur de ça, prends moi encore si tu veux mais pas de fellation. Il me regarde étonné et réplique non sérieux t'a jamais sucé une bite? Moi non j'aime pas. Il me renverse alors dans le fauteuil me tire vers le bord me lève les jambes qu'il pose sur ses épaules et m'embroche à nouveau, il va et vient dans ma chatte dégoulinante de sperme et de mouille, mais il y mets tout son cœur, je gémis crie de bonheur, il me fait hurler de plaisir pendant que je malaxe mes nichons. Quand il m'abandonne je suis Ko. Je reste sans bouger les jambes pendantes sur les accoudoirs du fauteuil. Je l'entends me dire tu es très bonne, je vais revenir souvent car tu as vraiment besoin d'une remise en marche. Je le vois disparaître dans le couloir. Ensuite j'ai pris une douche, j'ai mangé et me suis remise à mes volets en pensant pourvu qu'il revienne vite car j'ai l'impression de renaître et j'ai bien l'impression d'en profiter au maximum. Depuis les semaines ont passées je suis sur d'une chose le sexe c'est bon pour le corps et l'esprit. Je me suis remise sur le marché, le voisin vient faire mon entretien au moins une fois par semaine et j'ai fait mes premières fellations. Je crois que dans les prochaines leçons il y aura sodomie car il tourne autour depuis quelques temps et son doigt m'excite fortement.
Témoignage déposé le 10 08 2021 J’ai trompé mon mari pour reprendre confiance en moi. Anne marie 37 ans mariée depuis huit sans enfant, mon mari n'en veut pas. Je suis devenue infidèle par colère, les premières années furent magnifiques puis doucement il est devenu macho, il me rabaissait tout le temps surtout devant mes amies ou ma famille. C'est une amie qui m’a confié qu’elle voyait un autre homme et que cela lui avait donné un second souffle. Ce fut le déclencheur à partir de là que j’ai commencé à jouer avec le feu, l’idée de rencontrer quelqu'un avec qui parler, qui me soutienne m’a excité. J'ai commencé doucement à entrer dans le rôle de séductrice et puis cela à dérapé un jour avec un inconnu rencontré au hasard d'un centre commercial. Ce fut une révélation, je l'ai revu plusieurs fois et ça m'a poussé à recommencer. Je me sens bien dans les bras d'un inconnu qui ne me dit que de belles choses et puis le sexe est beaucoup plus fort j'arrive à me lâcher, chose que je ne peux pas faire avec mon mari. Cela m’a fait du bien que l’on prenne soin de moi et le fait de me faire draguer me redonne de l' espoir. Maintenant je crois que je vais avoir le courage de lui dire que je veux divorcer. Ce qui me pousse à recommencer ? L’excitation et l’imprévisibilité du moment. Je ne cherche pas l'amour ou une vie parallèle faite de sentiments. Je veux profiter, prendre beaucoup de plaisir. L'extraconjugal me permet aussi de découvrir des aspects non explorés dans le passé comme faire l’amour dans des lieux insolites ou avec plusieurs personnes. Je suis incapable de me satisfaire d’une seule personne. Je veux papillonner, m’amuser et surtout pas me projeter dans quoi que ce soit pour le moment. Je n’ai pas encore le courage de renoncer à mes envies et de n’être qu’avec une seule personne à la fois. Je pense que mon comportement changera lorsque j’aurai une relation vraiment sérieuse, avec un partenaire avec qui j’aimerais m’engager davantage. Je ne veux plus être la propriété d'une personne. Je ne suis pas sûre que l’on devienne infidèle par choix. Je crois plutôt que cela nous tombe dessus, au détour d’un chemin. C’est ce qu’il s’est produit pour moi lorsque j’ai rencontré mon premier amant qui lui avait une autre philosophie de vie que mon mari. Avec lui, tout était magique. Depuis je suis heureuse dans ma vie mais j'ai besoin de plus : plus de frissons, de piment, de partenaires, j'ai besoin de penser que c'est moi qui mène le jeu. Je pense sincèrement que je vais le quitter car la situation devient de plus en plus tendu et j'ai vraiment peur de sa réaction. Mais j'assume
Témoignage posé le 04 05 2021
Témoignage de Laurie du 17. Mon mari Michel et moi la quarantaine, sommes échangistes depuis six dans le sud ouest. Depuis plus d'un an maintenant, comme tout le monde nous avons suivis et subit les aléas de la pandémie sans jamais dérogé. Mais depuis plus d'un mois nous n'en pouvions plus et nous avons décidés de passer outre mais avec toutes les précautions possibles. Comme on nous à rabâché qu'il ne fallait pas dépasser six personnes, nous nous sommes mis en charge de trouver deux autres couples pour passer enfin une bonne soirée. Comme nous connaissons un couple Carole et Gilles depuis cinq environ avec qui nous avons beaucoup d'atomes crochus il ne restait qu'un autre à trouver. Grâce à un site internet spécialisé nous avons trouvés un couple un peu plus jeune Sophie et Miguel. Après plusieurs échanges en vidéo nous avons décidés de procéder comme suit chacun de nous passera un test covid la veille de la soirée et devra le présenter le moment venu. Nous nous sommes retrouvés chez nous samedi soir juste avant le couvre feu, comme tout le monde était clin nous avons passés une soirée extra un bon buffet et enfin la délivrance enfin du plaisir à volonté. Et pour preuve de réussite nous nous sommes séparés que le dimanche en début d'après midi. Nous étions tous épuisés mais tellement heureux, nous nous sommes fait une promesse recommencer rapidement dans les mêmes conditions si la situation n'évolue pas.
Témoignage de Delphine 69 ans le 29 04 2021
Suite au témoignage d' Alexandrine, je viens confirmer qu'il est difficile d'être une femme au dessus de soixante ans si l'on est a encore des envies sexuelles. Pour moi c'est une problème permanent car il se trouve que j'ai toujours une libido digne de ce nom, j'ai des envies régulières et fortes qu'il m'est difficile d'assouvir. J'ai un homme qui à eu de gros problèmes de santé AVC et autres, donc absent totalement de ce côté là, ensuite il faut bien être réaliste une femme de plus de soixante ans sur le marché de la baise c'est pas des plus coté, les hommes ne veulent pas de nanas fripées ridées et un peu grassouillette, à l'exception peut être de quelques uns qui acceptent tout pour tirer un coup, ou comme cela m'est arrivé plusieurs fois ces dernières années de tout jeunes hommes qui veulent se payer une vieille pour voir si le dicton est juste : c'est dans les vieilles casseroles qu'on fait la meilleure soupe. Moi je rajouterai simplement oui mais pas avec des carottes nouvelles. Faire de l'auto école non merci j'ai passé l'âge, moi je veux du sexe du vrai. Depuis plus d'un dizaine d'années je fonctionnais avec les annonces et j'arrivais à trouver assez facilement pour assouvir mes pulsions mais depuis quatre ou cinq ans c'est le désert ou presque. Pourtant quand je trouve un partenaire je me donne à fond et souvent il abandonne avant moi car c'est vrai je n'ai pas de tabou et j'aime le sexe, j'ai toujours été gourmande et j'ai un peu tout essayé à la quarantaine j'ai eu quelques fois deux hommes en même temps, j'ai aussi connu le plaisir avec des femmes. Alors je suis bien obligé de me rendre à l'évidence il faut que je me débrouille comme je peux, je fais donc sur internet des achats de matériel pour essayer de calmer mes chaleurs. Je dois dire que rien ne vaut un bon être vivant qui vibre en vous et vous rend heureuse au moins pour un moment.
Pas de retraite pour le sexe, témoignage du 22 04 2021 Alexandrine 70 ans, témoigne de sa vie intime. Elle raconte les différentes étapes qui ont marqué sa vie et comment elle s’est adaptée à chacune d’elles. À 70 ans, Alexandrine : je suis une femme épanouie, mariée depuis plus de 40 ans à un homme qui me trouve toujours belle, séduisante et attirante, la complicité qui règne entre eux n'a jamais faiblit, de la même manière notre sexualité se poursuit avec la même complicité et la même envie, même si évidemment elle est très différente, moins fougueuse, de ce qu’elle a pu être lorsqu’ils étaient plus jeunes. A cette époque nous faisions l'amour plusieurs fois par semaine presque toujours à la va vite. Maintenant ce n'est qu'une fois par semaine mais c'est tellement bon, nous prenons notre temps, les caresses et les bisous sont plus tendres et profonds, ma jouissance est souvent décuplé. Bien sûr, j'ai eu du mal à voir mon corps se transformer, celui de mon mari aussi, je sais qu’il faut faire avec que malheureusement c'est la vie. Donc il faut s'en contenter. Mon mari m'a beaucoup aidé à accepter les changements mais grâce à la communication nous avons surmonter toutes les difficultés. Face à tous les problèmes que j'ai pu rencontrer sécheresse vaginale, petites fuites urinaires, douleurs de toutes sortes j'ai a toujours eu le bon réflexe : en parler à mon médecin. Je pense qu’il est grand temps de lever les tabous et d’oser parler de tout ! Je m'aperçois que même à mon âge c'est agréable et surtout nécessaire de faire l'amour, nous le faisons régulièrement et je crois que c'est ce qui nous maintient en forme et nous donne envie de vivre encore longtemps.
Témoignage de Mathilde le 25 03 2021 A 56 ans je vous affirme que je suis libertine et l'assume pleinement depuis maintenant 30 ans. Quand j'ai rencontré mon mari j'avais 25 ans, j'avais bien sur eu quelques hommes mais je n'avais jamais penser au libertinage, j'étais une fille sage. Avec Jacques j'ai vite compris que la sexualité c'était autre chose que ce que j'avais connu jusque là. Il m'a fait découvrir le monde secret des clubs et des rendez vous chez des adeptes du libertinage. Je me suis vite rendu compte que l'on y rencontrait des hommes et des femmes de tous âges, de tous physiques, des grands, des petits des gros des maigres sans complexe qui se retrouvent pour s'éclater point à la ligne. On s'y fait parfois des amis que l'on revoit toujours 20 ans après. Il n'y a pas plus tolérant et démocratique que le libertinage. Jamais personne ne te force tu reste toujours maître de tes choix. Je suis mariée et partage la vie de mon cher et tendre amour depuis déjà, 30 ans, aucune érosion, aucune lassitude, je suis encore et toujours amoureuse. Couple normal, banal, ayant eu des enfants, un métier respectable, des joies, des peines, ni tordu, ni bizarre. Bref nous sommes madame et monsieur tout le monde, avec une auréole secrète qui est notre jardin coloré, le libertinage. Mon mari et moi avons toujours abusé, adoré faire l’amour, cela va vous faire sourire c’est sûr, mais tant pis, nous faisons l’amour encore et toujours! Pas tout à fait comme à l’apogée de nos ébats car nous avons changés, nos corps ont changés, nos corps à corps n'est plus le même, mais faire l’amour reste pour nous éternel. A présent, je sais bien ce vous trotte dans la tête, comment peut on accepter, regarder, et tolérer que l'autre partage une grande intimité et du plaisir charnel avec souvent des inconnus. Pour nous nous nous sommes jamais posé la question. Nous passons du bon temps ensemble même si souvent nous sommes séparés dans l'acte charnel. Quand nous nous retrouvons seul c'est un plaisir intense qui s'empare de nous et nous emporte vers le plaisir. Le libertinage, c'est quelque chose que l'on fait à 2 en couple, on en parle, on en rit, on s’en excite, un peu, beaucoup parfois, pas toujours, mais ce qui est certain c’est qu’il n’est pas entre nous, il est en nous. Pour moi chaque fois que nous avons fait des rencontres je m'imaginais que c’était un cadeau que je lui faisais et qu’il me faisait, car mesdames, vous ne serez pas en reste ! Vous lui offrirez du plaisir, un autre corps, de la pluralité, des sensations différentes. Il vous écoutera feuler sous les assauts de votre partenaire du moment et vous l'entendrait râler de plaisir entre les cuisses d'une autre. Enfin pour nous le libertinage aura été une grande passion pour nous, nous y avons trouvé la curiosité, le plaisir, la sensualité, la jouissance, l'amitié, il a enrichit notre vie de couple.
Article posé le 24 03 2021
Le témoignage d'un inconnu à propos des femmes fontaines. Surprenant et étonnant, généralement les hommes sont fiers de ça ! Je me souviendrais toujours de ma première fois avec Katie. Une belle et jeune femme de 24 ans que j’avais rencontré par le biais d’amis en commun. Elle m’avait tapé dans l’œil et rien que sa présence à mes côtés me rendait toute chose ! Elle le remarqua rapidement et fît le premier pas et c’est à ce moment qu’à commencé le rêve. En effet au départ ce fût quelques baisers puis quelques caresses et enfin on se retrouva dans un lit commun. Cette nuit fût inoubliable! Nos baisers étaient torrides et nos caresses de plus en plus directives et dirigées. Mes mains avaient glissé sous son pull afin de lui dégrafer son soutien gorge et libérer ses gros seins. Je les malaxais de plus en plus vite et de plus en plus fermement. L’excitation était à son apogée et on déshabilla l’un l’autre afin de passer à la vitesse supérieure ! Mes lèvres caressèrent son corps dans sa totalité et ma langue insista au creux de son intimité. Elle gémissait de plaisir sous mes caresses buccales. Hors d’elle, elle empoigna mon sexe déjà raide afin de le masturber et le rendre encore plus dur ! Cette branlette s’accompagna rapidement de baisers et de léchage sur le bout du gland puis d’une bonne fellation au plus profond de sa gorge. J’étais au bord de l’explosion mais je devais me retenir afin qu’elle connaisse elle aussi un orgasme. C’est ainsi que je suis retourné vers sa chatte dégoulinante afin de la lécher jusqu’au septième ciel ! Ma langue fouillait entre ses cuisses, un coup sur les lèvres suivi d’un coup sur le clito puis d’un bon suçon ! Elle ne pût résister longtemps et elle jouit !!!! Et là ce fût la surprise, en effet accompagner de spasmes orgasmiques, de longs jets de cyprine jaillirent de sa chatte et me couvrît le visage. Je n'avais jamais vu ce phénomène. J’étais désormais tout poisseux et mon envie de sexe était retombée après cette explosion de mouille. Je n'ai plus cherché à la revoir. Je déteste les femmes fontaines.
Réponse d'Aurélie. Ah les femmes fontaines, elles ont fait couler beaucoup d'encre ! Mais aujourd’hui, on le sait, ce n’est pas un mythe, mais bien une réalité. Quand elles font l’amour, au moment clé du plaisir, celui de l’orgasme donc, si le lâcher prise est là, ces femmes émettent un liquide en quantité importante. Comme les hommes lorsqu’ils éjaculent en somme… On parle d’ailleurs d’éjaculation féminine. Un phénomène qui n’a rien à voir avec la lubrification vaginale ! On sait aujourd’hui, que les tissus situés entre le vagin et l’urètre sont des tissus prostatiques. Bref, les femmes comme les hommes auraient une prostate ! Le liquide serait émis par les glandes de Skènes situées de part et d’autre de l’orifice urinaire et qui sont plus ou moins développées selon les femmes. Compte tenu toutefois du volume parfois expulsé, cela n’explique pas tout. Mais dans tous les cas, que l’on se rassure, il s’agit d’un liquide incolore et inodore.
Témoignage de Emma posé le 02 03 2021
Je suis accroc au sexe
Je m’appelle Emma, je vis dans le sud ouest du pays, j’ai 32 ans, je suis divorcé sans enfant, mon mari m'a quitté car il me reprochait d'être une nympho, d'avoir toujours envie de baiser, à la fin il s'enfermait dans la chambre d'ami pour dormir, je suis d'accord avec lui, je suis accroc mais je n'y peux rien je suis comme ça, depuis ma première branlette et mon premier orgasme à 15 ans je suis folle de sexe, à 20 ans j'ai passé une soirée avec deux mecs et depuis j'ai toujours le feu. Je sens mal dès que je ne fais pas l'amour au moins deux fois par jour et quand c'est le cas je peux sauter sur tout ce qui à une queue vieux ou jeune rien ne m'arrête, j'ai besoin de sentir un membre qui s'active en moi. Quand je n'ai rien sous la main je me baise avec des accessoires ou tout ce qui peut remplacer. Quand je trouve un mec à la hauteur il reste avec moi quelques jours puis il disparaît, je suis insatiable. J'aime jouir comme une dingue par tous les trous, mais je n'aime pas le cunnilingus il me faut de l'action et de la puissance. Le summum pour moi à été le soir ou ils m'ont prise à deux en même temps, j'ai pris un pied d'enfer. A la fin d'une soirée anniversaire je me suis retrouvé avec quatre mecs ce fut un feu d'artifice pendant deux heures. J'ai essayé des soirées avec des couples mais les femmes ne me branche pas sauf si une d'entre elle à un vrai bon gode ceinture et peut me bourrer comme un mec. J'ai souvent pensé à voir un addictologue mais je n'ose pas, j'espère pourtant trouver une solution car je sais bien qu'il va falloir que je trouve une solution car si je continu comme ça je ne sais pas comment je vais finir.
Témoignage posé le 17 02 2021 Témoignage de mon envie de libertinage.
Marie 38 ans, j’étais marié depuis 10 ans quand j’ai commencé à avoir envie d’explorer d’autres horizons pour ma sexualité. En parlant avec des copines de travail je me suis rendu compte qu'il y avait autre chose dans la sexualité que le sexe à la maison toujours avec le même partenaire, au même endroit, de la même façon le même jour à la même heure. Connaissant Jacques mon mari sur ce sujet, je savais que c'était pas gagné, pourtant moi je voulais ardemment tenter l'expérience. Donc doucement j'ai abordé le sujet un dimanche matin après que nous ayons fait l'amour et la réponse ne c'est pas faite attendre mais tu es complètement folle pourquoi veux tu aller voir ailleurs tu n'a pas ce que tu veux avec moi. Et moi du tac au tac NON ! Après son coup de colère passé, une discussion d'une heure après je n'étais pas plus avancé. J'ai tenté de renouveler la discussion pendant un mois sans résultat. Pour lui tout allait bien il était heureux sexuellement et ça lui suffisait. Pendant toute cette période je parlais beaucoup avec Sophie une copine de travail qui est libertine et avec qui j'ai beaucoup parlé libertinage, nous sommes devenues complices, elle connaissait bien Jacques pour être venu souvent à la maison. Toutes les deux nous avons décidé de monter un piège à mon mari le jour de son anniversaire un mois plus tard. En attendant le jour, Sophie est venu souvent à la maison le week-end avec pour objectif de chauffer doucement mon époux en restant toutefois discrète. Avec des tenues un peu sexy et des regards chauds elle su l'émoustiller et elle à rempli le contrat car au bout de trois semaines j'ai remarqué qu'il avait changé un peu. Par exemple après le départ de Sophie il me sautait dessus et me faisait l'amour comme jamais, nous étions sur le bon chemin. J'avais prévu de fêter son anniversaire en deux fois, une en tête à tête à la maison ou je lui offrirais Sophie en cadeau, et une autre la semaine d'après avec nos amis. Donc le soir venu nous étions à la maison tous les deux j'avais organisé une belle table avec des chandelles, un repas spécial. Je m'étais habillé sexy même un peu plus que d'habitude. L'ambiance était bonne, moi j'étais fébrile car j'attendais ce moment depuis un mois et j'avais un peu peur qu'il pique une colère et foute tout par terre. A neuf heures comme prévu la sonnette retentit. Il me regarde avec surprise et me demande qui c'est, je réponds je vais voir. Je vais jusqu'à la porte l'ouvre la fait entrer et je crie c'est Sophie ! Elle à mit une tenue qu'elle met quand elle va chasser en club libertin. Nous débarquons dans le salon elle devant, moi un peu à l'écart derrière. Elle se jette dans ses bras moi je crie bonne anniversaire chéri. Il est là médusé, il nous regarde d'un air ahuri il ne sait pas très bien ce qui lui arrive. Je lui confirme c'est ton cadeau chéri ! Il la tient dans ses bras, elle l'embrasse et je me joins à eux. Coincé entre nous deux il se laisse faire et mon dieu à plutôt l'air d'apprécier car il ne bronche pas ses mains caressent les fesses de ma copine. A tour de rôle nous l'embrassons sur la bouche. Sophie lové bien contre lui, et moi qui enlace les deux. Puis une fois qu'apparemment il a bien prit la chose je lance si nous mangions le cadeau ? Tous les trois à table nous rigolons de ce moment agréable que nous venons de passer quand Jacques me demande tu es sérieuse quand tu m'offre Sophie en cadeau. Moi bien sur chéri et en plus je m'offre en prime car tu sais que je t'aime. Puis le champagne, la musique et un moment plus tard nous étions les deux femmes nues sur le canapé entrain de déshabiller mon mari qui souriait et avait l'air content du cadeau. Il nous à prise toutes les deux, j'ai fait l'amour avec ma copine pour la première fois sous le regard de mon mari qui nous à baisées toute la nuit. Ce fut le déclenchement de notre vie libertine. Nous avons fait ensuite plusieurs soirées avec Sophie avant de commencer à fréquenter les clubs libertins mais toujours tous les trois. Il y a beaucoup changé dans sa façon de voir la sexualité et je dois dire que notre couple c'est jamais si bien porté.
Témoignage déposé le 09 02 2021 Témoignage d'une femme ronde devenu libertine.
Je m'appelle Colette j'ai 35 ans, je suis célibataire sans enfant. Je faisais partie des femmes complexées par leurs kilos en trop et le regard goguenard de certains hommes. Je m'habillais toujours en pantalon ? Enfin pour faire vite, j'étais une grosse que les hommes fuient. Une copine qui me voyait malheureuse m'a faite entrer avec elle dans une association caritative ou là j'ai rencontré un garçon pas comme les autres, bien plus grand que moi sportif et pas mal du tout. Dès les premiers jours il est devenu mon ami, il me traité comme une femme pas comme une grosse, nous parlions souvent de cul, il était très gentil avec moi me complimentait souvent, me conseillait pour m'habiller. Ah ce fut long mais il était tenace, grâce à lui je me suis aperçu que j'aimais le sexe même si je n'avais pas beaucoup pratiqué, au bout de quatre mois je couchais avec lui, j'osais me mettre nue devant lui, me promener nue dans l'appartement. Il m'a fait découvrir les sex-toys, la lingerie sexy. Je me suis mis à faire du sport avec lui, après avoir perdu quelques kilos il m'a habitué à m'habiller en femme et m'a demandé d'aller avec lui en club libertin ce que j'ai fini par accepter. Et puis ce fut notre première expérience en club libertin, cela nous à vite plu le mélange des corps, l’absence totale de jugement, pouvoir observer et être observés sans que ce soit malsain ou étrange. Il m'a toujours dit il n'y a rien d'obligatoire si tu veux tu le fait sinon tu laisse il n'y a aucune obligation. Je me suis vite aperçu que beaucoup d'hommes s’intéressaient à moi et même quelques femmes. Cela m'a donné beaucoup d'assurance, maintenant je ne crains plus rien. Je fais aisément l'amour nu devant plusieurs personnes hommes ou femmes sans me poser la moindre question sur les kilos en trop que j'ai toujours et sur mes énormes seins. Nous y avons trouvé beaucoup de beauté, de sensualité, un monde où les barrières tombent. J'aime maintenant le libertinage et j'en profite au maximum mais toujours avec mon chouchou.
Témoignage posé le 04 02 2021. Je ne sais plus ou j'en suis ?
Je suis une femme de 38 ans, mariée depuis 12 ans, deux enfants, vivant avec mon mari une vie de couple un peu monotone certes, mais sans problème particulier. Dans ma jeunesse, j'ai eu une vie sexuelle très active et variée , amour à plusieurs, entre filles, etc. Je ne m'en suis jamais caché auprès de mon mari, mais j'ai l'impression qu'il ressent comme une jalousie vis à vis de mon parcours, lui n'ayant eu que peu d'histoires et toujours sans extra. Depuis que nous parlons beaucoup de sexualité ensemble, il commence à admettre qu'il aimerait beaucoup connaître d'autres sensations mais il à aussi un peu peur. Nous avons toujours dit que si l'occasion se présentait, on pourrait faire quelque chose avec une autre personne ou avec un couple sans que ce soit de la tromperie à partir du moment où chacun est d'accord sur le principe et à la condition qu’on le fasse ensemble. Nous fantasmions beaucoup sur un couple d'amis qui nous semblait partant aussi. L'été dernier ce qui devait arrivé s'est produit pendant que nous étions en vacances ensemble. Sauf que dans notre scénario, nous couchions tous ensemble. Mais en réalité, lui l'a fait avec l'autre femme, mais moi j'ai simplement regardé, car l'ami en question n'était pas à l'aise et n'a pas voulu franchir le pas. En fin de soirée nous avons fini à trois et il m'a fait l'amour après, notre ami restant de côté. Personnellement, cette expérience m'a beaucoup excité. Mais je suis soucieuse de la facilité avec laquelle mon homme à couché avec cette femme alors qu'il voyait qu'il ne se passait rien de mon côté. Certes, nous étions d'accord et je ne lui reproche rien mais Je crois qu'au fond de moi, je le croyais pas capable et cela me perturbe. J’ai jouer avec le feu, et je me suis brûlé. Depuis nous continuons l'expérience avec d'autres mais nous n'échangeons jamais nous faisons l'amour côte à côte. Je suis devenu jalouse et j'ai peur que cela lui donne envie de me tromper vraiment. Je suis totalement perdue, je l'aime et je voudrais qu'il n'ait envie que de moi. Pourtant j'ai toujours envie de rencontrer d'autres couples.
Témoignage posé le 03 02 2021 Ménage à trois.
Suite à un article lu dans un mensuel à grands tirage sur le sujet du ménage à trois, j'ai décidé de vous raconter en quelques lignes mon histoire. Audrey, j'ai 48 ans je suis marié depuis 25 ans avec Xavier, j'ai eu deux enfants de 25 et 23 ans. Mon mari et moi avions une vie de couple normale tous les deux, nos enfants avaient leur vie au dehors. Un jour ou par le plus grand des hasards dans une galerie marchande j'ai retrouvé une copine d'enfance Béatrice que je n'avais pas vu depuis 20 ans. Elle revenait d'Angleterre ou elle à passé 12 ans. Ce fut pour moi un chamboulement complet, tout de suite nous ne pouvions plus nous passer l'une de l'autre nous avions retrouvé notre complicité de gamine et nous sommes tombé amoureuse l'une de l'autre. Béatrice n'ayant jamais été marié, m'a vite avoué qu'elle avait toujours été attiré par moi. Après cette déclaration et ma stupéfaction passé, nous nous sommes rapprochés petit à petit et nous avons fini au lit toutes les deux. Très vite l'amour à prit le dessus, j'étais obligé de me mettre à l'évidence j'aimais deux personnes de sexe opposé en même temps. J'étais aussi incapable de faire un choix. Je vivais un amour fou avec mon mari et je ne me voyais plus vivre sans Béatrice. J'ai donc décidé doucement de parler à mon mari. Cela m'a prit plusieurs mois. Finalement il à accepté que j'invite Béatrice à la maison un samedi soir. J'avais tout organisé pour qu'il soit bien, un repas spécial qu'il affectionne tout particulièrement, une musique d'ambiance qu'il écoute très souvent. Au début l'ambiance était un peu froide et c'était pas gagné. Une heure plus tard après l'apéro et les premiers plats l'ambiance était détendu et le courant passait pas trop mal entre mon mari et Béatrice. Ils discutaient bien ensemble, à la fin du repas nous avons dansés tous les trois. La soirée c'est bien passé. Béatrice à dormi dans la chambre d'ami. Xavier et moi avons fait l'amour comme des fous. Le dimanche se passa à merveille même si à plusieurs reprises Béatrice et moi nous sommes un peu bécoté en douce. A partir de là nous nous sommes retrouvé très souvent tous les trois en week-end et mon mari à vite apprécié car souvent nous étions de plus en plus dénudés et les caresses sont vite devenues des habitudes que Xavier à vite apprécié. De fil en aiguille, nous avons couchés ensemble. Mon mari m'a même avoué qu'il apprécié beaucoup. Petit à petit nous avons instauré des règles pour que chacun y trouve son compte. Chacun à tour de rôle couche seul dans la chambre d'ami c'est ainsi que je dors une nuit avec Béatrice et une nuit avec mon mari et vice et versa. Et puis de temps en temps il y a une dérogation. Nous vivons en toute quiétude et nous sommes heureux tous les trois, nous ne nous quittons plus et cela depuis sept ans maintenant.
Ce témoignage qui nous à été envoyé le 25 01 2021 par une de nos fidèles lectrices mérite une réflexion !
La vieille est encore verte. Ceci n'est pas une histoire mais plutôt une réflexion sur ma vie. Delphine j'ai aujourd'hui soixante dix barreaux au compteur, née quelques années après la guerre j'ai tout connu la libération sexuelle, les hippies dont j'ai fais un passage dans une communauté de l'Ardèche pendant trois ans. C'était bien avant le sida, j'avais vingt cinq ans, nous vivions d'amour et d'eau fraîche, on baisait plus que l'on travaillait. On avait pas d'argent mais qu'importe pourvu qu'on prenne son pied le plus souvent possible. Puis à vingt neuf ans je me suis marié avec un homme rencontré par hasard sur une route alors que je faisais du stop. Un super mariage puis deux enfants. Il était chaud comme de la braise, nous avons connu les premiers clubs échangistes clandestins qui fonctionnaient avec le minitel, nous nous sommes éclatés tous les deux pendant trente ans, pour nous le sexe était notre nourriture quotidienne, pas un jour sans ou presque. Nous avons passés des soirées et des nuits à baiser avec d'autres couples sans jamais être rassasié. Oh bien sur j'avais pris quelques kilos et quelques rides mais l'envie était toujours la même avec la recherche de la jouissance réciproque du partenaire. Puis à soixante ans il m'a quitté pour l'éternité. Je suis resté seule d'abord avec ma peine puis j'ai repris le dessus et ma libido est repartit de plus belle, je fais les sites de rencontres coquines, les journaux gratuits et les rencontres au hasard font que malgré ma retraite je butine, je suce et jouis encore régulièrement comme une folle. Pour le jour de l'an 2019 avec deux hommes de quarante ans. Je n'ai aucun complexe et surtout aucun tabou sur le sexe mon âge ne m'intéresse pas, si un homme ou une femme me drague et qu'il ou elle me plaise j'en fait mon quatre heures sans me poser la moindre question. Il m'arrive même de baiser avec de jeunes hommes, femmes ou jeune couple. Pour moi le sexe c'est la vie. Quand je m’arrêterai de baiser je serai morte. Je vous le dit mesdames baiser et jouir c'est le meilleur de la vie et méfiez vous car elle est courte.
Réponse à l'article précédent le 02 02 2021.
A la suite de l'article sur la taille du pénis que j'ai lu il y a quelques jours ici même je voudrais témoigner. Je suis Edwige j'ai aujourd'hui presque soixante dix ans. Je fréquentais dans les années 80 un club le California Dream qui en réalité n'était qu'une maison dans la campagne entre Grenoble et Lyon, ce club clandestin était tenu par un couple très sympathique de mon âge à peu près à l'époque, tous les jeudis, vendredi et samedi soirs se retrouvaient des couples et uniquement des couples qui venaient de plus de 150 kms des départements limitrophes, Isère, Rhône, Ain, Drome, Ardèche et Savoie. C'était les prémices du libertinage plus ou moins officiel. A cette époque un seul existait à Lyon sous la couverture d'un restaurant l'épicure. J'ai fait la connaissance dans ce club d'un homme qui se prénommé Jacques il avait la petite quarantaine, il était commandant de bord dans l'aviation civile, il était charmant instruit plein d'humour, mais il avait un problème, il était monté comme un cheval, c'était le malheur de sa vie. Je peux vous dire que pour avoir vu des films de Rocco Sifredi, lui était un poney à côté de Jacques. Il avait beaucoup de conquêtes mais quand il sortait le monstre car il n'y a pas d'autre mot les femmes fuyaient. D'ailleurs il n'avait jamais été marié. Moi même j'ai été son amie pendant au moins deux ans, j'étais pourtant une femme qui aimait le sexe et était prête à tout. J'ai essayé plusieurs fois mais nous n'avons jamais pu faire l'amour jusqu'au bout. Je l'ai vu abattu, il pleurait souvent de voir les autres s'éclater comme des bêtes. Nous étions lui et moi des amis très proches de Maryse et Max et nous retrouvions souvent ensemble les jours de fermeture. Nous parlions souvent de son problème, nous l'aidions à surmonter mentalement le malheur de sa vie. Tout ça pour dire, la taille ne compte pas c'est la façon de s'en servir qui est importante.